Face au recul de Daesh, le problème du retour des djihadistes se pose plus que jamais.
Rapatriés dans leur pays d’origine ou traduits en justice en Irak ou en Syrie, chaque pays a sa propre stratégie.
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Face au recul de Daesh, le problème du retour des djihadistes se pose plus que jamais.
Rapatriés dans leur pays d’origine ou traduits en justice en Irak ou en Syrie, chaque pays a sa propre stratégie.
Lorsque les démocrates parlent de «milliardaires républicains» maléfiques comme Sheldon Adelson ou les frères Koch, c'est toujours en termes apocalyptiques. Ils essaient d '«acheter» des élections et cachent leur influence avec de l'argent.
Mais les démocrates ne parlent jamais de leurs propres milliardaires et des énormes sommes d'argent versées aux causes démocratiques par Tom Steyer, Mark Cuban et J.B. Pritzker, candidat au poste de gouverneur de l'Illinois.
Et, bien sûr, George Soros. La portée de Soros est internationale. Il a un vaste réseau d'organisations internationales qui font la promotion de ses causes favorites. Et il est un contributeur fiable, parfois obscur, aux causes du Parti démocrate aux États-Unis.
Mais le fils de Soros, Alexander, est en train de devenir un acteur majeur de la politique démocratique. Selon la Commission électorale fédérale, Alexander a donné 650 000 $ aux campagnes démocratiques et à divers comités en 2017.
Il était une fois… ça commence comme un conte de fées… Il n’y a pas si longtemps internet et les réseaux sociaux pouvaient être considérés comme un refuge pour la liberté d’expression et un courant d’air frais loin de la propagande douce des médias dominants.
Et ce fût le cas. De très nombreux blogs, sites d’analyse, chaines YouTube se sont créés faisant en effet contrepoids aux informations officielles. Toute nouvelle création entrainant des effets d’opportunité inattendus, de nombreux sites dits « putes à clic » ont été créés pour attirer le public – et la publicité – via des informations fantaisistes. Sur un plan plus politique, l’élection de Trump et le Brexit n’allant pas dans le sens de l’histoire, les médiacrates ont trouvé une explication simple : de fausses nouvelles via internet et les réseaux sociaux ont permis ces aberrations, naissance du concept de « fake news ».
Soros côté pile : pour l’innovation et la démocratie
Pour mener le combat de l’Empire du Bien, nul n’est mieux placé que le milliardaire américain George Soros. Dans un article de The Guardian publié jeudi 15 février il met en garde contre la liberté des médias sociaux qui peuvent « influencer la manière dont les gens pensent et se conduisent sans même qu’ils s’en rendent compte ». Il ajoute « Ceci interfère avec le fonctionnement de la démocratie et l’intégrité des élections » et le peuple perd « sa liberté de penser ». D’où l’urgence de légiférer pour que la liberté d’expression soit plus strictement contrôlée sur internet et les réseaux sociaux. Que constate George Soros ? Que les géants Facebook et Google sont devenus « des obstacles à l’innovation ». Comprenez : ils ont contribué à libérer la parole aux Etats-Unis comme en Europe. Et plus « ils ont causé nombre de problèmes ». Comprenez : cette libération de la parole est allée trop loin. D’où sa supplique aux autorités de l’Union Européenne pour qu’elles reprennent les choses en mains.
Soros côté face : renforcer l’autocensure des GAFA
Habilement, Soros semble s’attaquer au monopole des GAFA mais le véritable enjeu de son discours n’est pas là et il est à double facette. Tout d’abord demander aux autorités politiques de museler Google et Facebook. Ce qui a déjà été fait en Allemagne et ce qui sera peut-être fait par la loi en France en 2018. Ensuite et surtout que Google et Facebook instaurent eux-mêmes leur propre censure pour se protéger d’une possible régulation venue de l’extérieur. Ce qu’ils sont en train de faire. Il est toujours plaisant de voir un pyromane jouer les pompiers. Au nom de l’économie Soros regrette le Brexit et la chute de la livre sterling qui affaiblirait les finances britanniques. Le même Soros le 16 septembre 1992 (Black Wednesday) spéculait contre la livre britannique, la forçait à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et empochait un milliard de livres au passage. Au nom de la « liberté du peuple » George Soros veut instaurer « le contrôle de la liberté ». De même que dans le 1984 d’Orwell le ministère de l’Amour organisait la semaine de la Haine.
Texte repris du site site de l’OJIM
Diverses initiatives prises par des femmes, notamment des manifestations, voient le jour en Allemagne afin de dénoncer les violences sexuelles commises par les migrants.
Ainsi, une marche des femmes s’est déroulée dans ce cadre, ce samedi 17 février 2018, dans le centre de Berlin. Selon la police, 500 personnes ont pris part au rassemblement organisé par madame Leyla Bilge, âgée de 35 ans, kurde et musulmane, membre du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD) et sympathisante du mouvement anti-islamisation PEGIDA.
Leyla Bilge, qui se présente en tant que militante des droits de l’homme et qui aide – grâce à son association « Leyla » – les réfugiés yézidis et chrétiens au Proche-Orient et dans les camps de réfugiés situés près de la frontière turco-syrienne, déclare : « Nous sommes ici en Allemagne au XXIe siècle. Il ne doit pas y avoir de retour au Moyen Âge, ni d’introduction rampante de la charia. »
Le motif de ce rassemblement n’a pas plu à tout le monde et 900 gauchistes ont perturbé et bloqué l’événement durant des heures malgré la forte présence policière. Des affrontements physiques et verbaux ont eu lieu entre les gauchistes et les représentants des forces de l’ordre. Les contre-manifestations, au même titre que la manifestation, ont été autorisées. Par contre, le blocage de la manifestation est illégal. Les deux manifestations se sont dissoutes près de Checkpoint Charlie vers 18 h 30. Les contre-manifestants de gauche reprochent à Leyla Bilge de diffuser une vision raciste et antimusulmane, et d’instrumentaliser le droit des femmes.
La police a annoncé, en début de soirée, que certains participants à la marche des femmes ont, malgré tout, pu atteindre, en petits groupes, le but ultime : la chancellerie d’Allemagne. Les forces de l’ordre ont qualifié la situation de défi en matière logistique et de sécurité.
La perturbation par des gauchistes de manifestations de femmes a également eu lieu à Hambourg, dans le nord du pays.
Le 5 février dernier, la première manifestation du lundi – inspirée de celles qui eurent lieu en 1989 en Allemagne de l’Est et qui conduisirent, à l’époque, à la chute du régime communiste – y a rassemblé 60 personnes. Organisée par une dame indépendante de tout parti ou mouvement politique, dénommée Uta Ogilvie, et visant le départ de la chancelière sous le slogan « Merkel doit partir ! » (« Merkel muß weg »), elle n’a pas provoqué d’afflux de contre-manifestants.
Cependant, la réussite de ce rassemblement quasi spontané a attiré a posteriori les foudres de membres de milices gauchistes qui s’en sont pris à Uta, à ses biens et à sa famille. Ainsi, dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 février, des gauchistes ont conduit une attaque contre son domicile : la façade de la maison a été salie avec de la peinture, une fenêtre de chambre à coucher a été brisée par un objet contenant de la peinture et celle-ci s’est répandue dans la pièce. Les pneus des deux véhicules de la famille ont été aussi endommagés.
Le lundi 12 février, en début de soirée, en se rendant à la deuxième manifestation, Uta et son père ont été attaqués par des gauchistes, mais ont pu être extraits par la police. D’autres personnes ont rencontré le même problème. Uta Ogilvie dénonce le fait que, selon elle, ces gauchistes sont financés par l’État, via de l’argent public accordé à des fondations. Afin de protéger sa famille, Uta a été contrainte de jeter l’éponge en déclarant : « Je ne peux imaginer ce qu’il serait advenu si les lits des enfants s’étaient trouvés sous cette fenêtre. »
Mais une autre dame a décidé de reprendre le flambeau et organise, ce lundi 19 février 2018, une nouvelle manifestation.
À Berlin, des échauffourées ont éclaté entre des manifestants et la police. Ils s’étaient réunis pour tenter d’empêcher un défilé de militants de l’AFD, le parti populiste allemand.
Plusieurs personnes ont été arrêtées. Les manifestants ont organisé un sit-in sur le tracé du cortège.
Ils n’ont cependant pas empêché la tenue de la manifestation, dont le principal slogan était “Stop à l’islamisation”. Sur les pancartes des participants, un appel à défendre les droits des femmes.
L’AFD avait organisé cette manifestation dans le quartier de Kreuzberg où vivent de nombreux musulmans.
Plus d’un millier de personnes ont défilé à Berlin pour protester contre la violence des migrants. L’organisatrice de la marche dans la capitale allemande est la militante pour les droits des femmes et membre du parti de l’AfD Leyla Bilge.
L’une des raisons de la protestation était la mise en danger des femmes allemandes par une immigration incontrôlée, pouvait-on lire sur des pancartes.
Sur un flyer, le groupe exige «la sécurisation immédiate de la frontière allemande et l’expulsion de tous les immigrés illégaux».
Interview de Laszlo Földi, expert en sécurité et en renseignement, sur la télévision hongroise M1
Journaliste : Y a-t-il quelqu’un en Europe qui sache, à 200'000 près, combien il y a de migrants sur le continent ?
Földi : Le problème est plus grave que ça. Est-ce que quelqu’un peut dire QUI sont ces 1 million de migrants ? De ce point de vue, la situation est catastrophique. La cause, comme je l’ai souvent dit, c’est la politique des frontières ouvertes, qui laisse entrer des foules innombrables.
Il y a un an, un an et demi, c’était un sujet tabou ne serait-ce que d’évoquer la possibilité qu’il y ait des terroristes mêlés aux migrants. Dans une émission TV dont je tairai le nom [sur France Inter], le reporter disait qu’il serait stupide pour des terroristes de faire ces voyages dangereux en canots pneumatiques alors qu’ils peuvent voyager confortablement en avion.
Mais le problème n’est même pas ça. Ils peuvent effectivement venir en avion. Mais le fait est que des milliers de soldats musulmans sont arrivés ici [parmi les migrants]. Il ne s’agit pas de terrorisme au sens classique, mais d’une attaque, d’une invasion qui a deux buts.
D’abord, faire entrer en Europe le plus possible de soldats bien entraînés, dont la tâche première sera d’enrôler la population musulmane locale, les musulmans de 2e et 3e génération qui vivent dans ces zones de non-droit « qui n’existent pas ». Plus de 50% de cette population ne veulent pas s’intégrer dans la culture d’accueil. Ce sont eux les membres de cette armée potentielle.
Journaliste : Ces réfugiés (appelons-les réfugiés sur la base de la 51e Convention de Genève), ceux qui ont fui la persécution raciale, religieuse, ethnique ou politique, affrontant des dangers mortels, pourquoi ne sont-ils pas allés dans les riches pays pétroliers voisins ?
Földi : Il y a une seconde stratégie, en plus d’envoyer des soldats et des terroristes en Europe, c’est celle de conquérir l’Europe d’une autre manière, plus pacifique. Les pays pétroliers n’accueillent pas ces migrants parce qu’ils savent qu’ils ne sont qualifiés pour aucun travail utile, mais aussi parce qu’ils ont besoin d’une nouvelle base de masse en Europe. Pour quand il n’y aura plus de pétrole et qu’ils viendront en Europe, ils veulent créer des partis politiques pour eux. Ces gens voteront pour les partis islamiques qui seront créés en Europe. Ils auront la masse critique pour entrer au Parlement. C’est donc une occasion parfaite si l’Europe invite chez elle leurs futurs électeurs. Car il ne faut pas croire qu’ils voteront pour les partis traditionnels. Du jour où ces partis islamiques seront établis – et les pays pétroliers ont tout l’argent qu’il faut pour cela – ils [les personnes issues de l’immigration musulmane actuelle] ne voteront pour aucun autre parti.
Journaliste : La devise de l’Union européenne, c’est « Unité dans la Diversité ». La diversité à laquelle pensaient les pères fondateurs de l’UE (Schuman) n’avait pas le même sens qu’aujourd’hui.
Földi : Tout à fait, car, en conséquence de la migration, la structure ethnique de l’Europe va changer pour toujours. Diversité voulait dire hongrois ou français, allemand et russe. Ils ne pensaient pas qu’une loi religieuse, la charia, allait être introduite en Europe. Personne n’aurait pu y penser sérieusement.
Si la situation ne change pas et que l’Europe continue à se débattre dans une guerre interne – car c’est ce qu’on voit - la charia aura pour conséquence, d’ici 1 à 5 ans (j’espère me tromper), que la question sera combien il y a de foyers de guerre civile.en Europe.
Le problème des no-go zones n’est pas tant qu’on ne peut pas y entrer, ni de jour ni surtout de nuit, mais c’est que des soldats musulmans bien entraînés et bien armés sortiront de ces zones et commenceront à se répandre dans les zones environnantes et à se battre avec la population locale qui tentera de se défendre. Les autorités ne seront pas capables de gérer ce processus avec leur logique actuelle.
Journaliste : Quelles seront les conséquences, si c’est vrai ce qu’a dit l’ambassadeur de Turquie auprès de l’UE il y a quelquess jours : que si les Turcs n’obtiennent pas l’exemption de visa ce mois-ci [octobre] (pour des séjours de 90 jours pour du tourisme ou des visites à la famille), ils annuleront l’accord avec l’UE sur les migrants.
Földi : Des foules énormes arriveront. Les Turcs ont utilisé cette menace et tiendront cette promesse.
Nous devons menacer la Turquie nous aussi. Lui dire qu’on l’exclura de l’OTAN. Le dilemme ici est que si la Turquie est exclue elle ne sera plus tenue de protéger ses alliés de l’OTAN.
Journaliste : Et leur armée est la deuxième de l’OTAN par le nombre ?
Földi : Oui. Ils représentent 10%, les Etats-Unis 75% et les autres pays au total 15%. De plus, ces 15% financent les 51% du budget, les Etats-Unis et la Turquie ensemble 49%. Cela veut dire que ces 15% ne sont pas en mesure de faire valoir leurs droits, par ex. pour la protection de l’Europe.
Journaliste : Que peut faire l’UE contre la Turquie ?
Földi : L’Europe n’a pas d’antidote contre la Turquie Le dernier accord signé par Merkel a été la tentative de la dernière chance. Là-dessus, personne ne peut la condamner, elle a tenté de construire une défense avec cet accord. Mais cela ne fait que rendre la Turquie encore plus sûre d’elle. Il y a une seule façon de sortir de cette situation : c’est de menacer la Turquie de l’exclure de l’OTAN. Car si elle était exclue de l’OTAN, la Turquie n’existerait plus sur la scène internationale.
Traduction anglaise : Crossware pour Vlad Tepes Blog et Gates of Vienna
Traduction française : Cenator pour Les Observateurs
Dans ses propositions présentées le 14 février à propos du prochain budget pluriannuel de l’Union européenne, pour la période 2021-2027, la Commission européenne a confirmé sa volonté de voir le versement des fonds européens conditionné au respect – par les États membres bénéficiaires de ces fonds – de l’État de droit, de l’indépendance de la Justice et des « valeurs européennes ». On s’en doute, et c’est ce que pensent aussi les intéressés, les premiers pays visés sont la Pologne et la Hongrie, mais aussi la Roumanie, également sous la menace d’une procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité de l’Union européenne. Ce type de procédure n’ayant aucune chance d’aboutir, conditionner le versement des fonds européens, dont les pays de l’ex-Europe de l’Est bénéficient largement, au respect des « valeurs européennes » serait un moyen d’exercer un chantage financier s’ils s’obstinent, par exemple, à refuser de prendre leurs quotas d’immigrants illégaux.
Ces pays ne sont, toutefois, pas les seuls visés. Lors d’une rencontre à Bruxelles, le 8 février, avec le ministre des Affaires étrangères polonais, la commissaire européenne à la Justice, aux Consommateurs et à l’Égalité des genres (sic) – la Tchèque Věra Jourová, qui pousse ce projet – a confirmé que les agriculteurs français pourraient être, eux aussi, frappés au portefeuille en cas de victoire du Front national. On se doute, en effet, que, plus encore que le PiS polonais ou le Fidesz hongrois, le FN français serait forcément accusé de violer l’État de droit et de ne pas respecter les « valeurs européennes ». C’est sans doute aussi pour cela que la France d’Emmanuel Macron est favorable à cette proposition de lier le paiement des fonds européens au respect de l’État de droit et des « valeurs européennes ». Ce serait un moyen de dire aux agriculteurs : attention, si vous votez FN, la Commission pourra vous punir en vous privant de subventions agricoles !
Jacek Czaputowicz, le ministre polonais, a tenté en vain d’expliquer à la commissaire européenne combien cette proposition était absurde. La Pologne, la Hongrie et la Roumanie ont, bien entendu, assuré qu’elles s’y opposeraient. Et il est probable que cette proposition rencontre une opposition plus large encore, car ce serait le triomphe de l’arbitraire des eurocrates contre la démocratie. Qui, en effet, et au nom de quoi, sera habilité à désigner les pays censés ne pas respecter l’État de droit, l’indépendance de leur institution judiciaire et les « valeurs européennes » ? Peut-on raisonnablement imaginer que la Commission puisse remplacer les cours constitutionnelles et les instances supérieures du pouvoir judiciaire des pays membres de l’Union européenne pour décider du respect ou non de l’État de droit par les gouvernements et les Parlements ? Et si un pays refuse de se soumettre et adopte des sanctions en retour, par exemple en décidant de ne plus verser sa contribution au budget européen ou en adoptant des mesures fiscales punitives contre les entreprises des pays de l’Union européenne favorables à la Commission ? En ce qui concerne les pays de l’ancienne Europe de l’Est, on oublie trop souvent que, même en tenant compte des fonds européens, le solde des flux financiers est toujours resté largement favorable aux pays de la vieille Union européenne – France comprise -, notamment en raison de la présence importante de capital étranger dans les pays de l’Est.
Non seulement la proposition de la Commission européenne, appuyée par la France, est-elle totalement antidémocratique et contraire à l’État de droit, mais sa mise en œuvre serait suicidaire pour l’Union européenne.
http://www.bvoltaire.fr/commission-europeenne-vers-toujours-plus-darbitraire-toujours-de-democratie/