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Europe et Union européenne - Page 567

  • Allemagne (vidéos) : colère populaire dans la ville de Chemnitz après un meurtre raciste contre un Allemand

    xvm6d832018-aa2e-11e8-bc61-2e9f952ed857.jpgPrès de 2 000 personnes se sont rassemblées. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans la ville de Chemnitz.

    Des milliers de sympathisants d’extrême droite se sont rassemblés lundi 27 août, dans la soirée, à Chemnitz sous haute tension. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans cette ville de l’ex-RDA, dénoncée avec véhémence par Angela Merkel.

    « Merkel doit partir », scandaient certains manifestants, arborant des drapeaux allemands, du parti d’extrême droite AfD, et des pancartes telles que : « Arrêter le flot de demandeurs d’asile » ou « Défendre l’Europe ! ».

    Mot d’ordre de ce rassemblement organisé par le mouvement Pegida : exiger que le gouvernement allemand garantisse « la sécurité de ses citoyens » après le meurtre d’un Allemand de 35 ans vraisemblablement commis par deux jeunes étrangers, un Syrien et un Irakien.

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  • L’immigration de peuplement conduit à une catastrophe civilisationnelle

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle 

    Article initialement paru le 25 juin dernier. L’oligarchie ne cesse de nous vanter les avantages de l’immigration et les mérites des immigrés. M. Macron n’a-t-il pas souligné leurs « qualifications remarquables » et la nécessité d’en accueillir davantage ? Chacun sait pourtant que la réalité est tout autre. Car l’immigration est massive, elle ne s’assimile pas, elle provoque un éclatement territorial et culturel et mène à l’islamisation de notre pays. Bref, elle change la France et conduit les Français à ne plus se sentir chez eux dans leur propre pays. L’immigration de peuplement est peut-être une chance pour les immigrés, mais c’est une catastrophe pour la France et pour l’Europe.

    L’immigration a changé brutalement la France

    L’immigration de peuplement a commencé dans les années soixante-dix lorsque le grand patronat a fait pression sur le gouvernement pour autoriser le regroupement familial afin d’obtenir une main-d’œuvre abondante et peu exigeante. Mais, en ouvrant ainsi les portes à l’immigration de peuplement, le Système n’a pas rendu la France plus prospère, plus forte ou plus jeune, il a seulement changé la France. Changé ses mœurs, changé sa physionomie, changé sa population et changé sa religion. Il suffit de parcourir les rues de nos villes ou de regarder des photographies des années soixante-dix pour s’en rendre compte. Et seuls ceux qui n’aiment pas la France, ceux qui la réduisent à une idéologie politique ou à une ligne de compte, peuvent s’en réjouir. Pour les autres, il s’agit d’un bouleversement traumatisant et d’une grande brutalité, car c’est en moins de trente ans que la France a changé, un phénomène sans précédent dans l’histoire moderne.

    L’importance de la présence immigrée est occultée ou minimisée

    Or, le phénomène se poursuit à un rythme extrêmement élevé. Aujourd’hui, la pression migratoire est si forte qu’on ne sait pas exactement combien d’immigrants ont fait souche en France et combien y séjournent actuellement. Selon l’Insee, 25% des bébés nés en 2016 dans notre pays avaient au moins un parent né à l’étranger.
    Mais les chiffres officiels sont faussés, d’abord en raison de l’interdiction des statistiques ethniques, ensuite à cause de l’immigration irrégulière, laquelle a connu une progression spectaculaire depuis 2015 avec ce que l’on nomme la « crise des migrants ». Les données sur l’immigration sont également truquées par l’effet du droit du sol et des naturalisations massives qui ont ainsi fabriqué des Français de papier à la chaîne, lesquels n’ont aucun lien réel avec notre pays, sinon leur présence sur notre territoire.
    La manipulation est d’ailleurs poussée si loin que les membres de l’oligarchie et leurs soutiens osent prétendre sans rire que l’immigration n’augmente pas. Il est vrai qu’ils n’utilisent pas les transports urbains, qu’ils ne vivent pas en banlieue et ne mettent pas leurs enfants dans les écoles publiques ! Pour autant, ils ne peuvent ignorer les faits et, s’ils se livrent à un tel déni de réalité, c’est pour minimiser leur propre responsabilité dans la catastrophe.

    L’assimilation est impossible, le Vivre ensemble une fiction

    En dépit de l’occultation des chiffres, force est en effet de constater qu’en raison de sa masse, l’immigration de peuplement a empêché toute assimilation. De fait, les immigrants sont trop nombreux pour pouvoir se diluer dans la population, et cela d’autant plus qu’ils se concentrent dans les zones urbaines. Les technologies modernes de communication leur permettent par ailleurs d’entretenir des liens étroits avec leur pays d’origine, ce qui les aident à conserver leur identité et donc à ignorer celle du pays qui les accueille. L’immigration de masse a dès lors débouché sur le communautarisme, un phénomène que l’on retrouve pour les mêmes raisons dans tous les pays occidentaux.
    Face à cette situation, l’oligarchie a inventé le concept du « Vivre ensemble » et en vante assidument les vertus. Mais ce mot d’ordre ne correspond à aucune réalité concrète : les autochtones refusent de vivre avec les migrants selon un phénomène déjà connu dans les pays anglo-saxons sous le nom de white flight. Quant aux migrants, ils veulent seulement vivre en France comme ils vivent chez eux, c’est-à-dire selon leur culture africaine ou leur religion musulmane. Certains « jeunes » des banlieues de l’immigration ont même repris à leur compte le slogan identitaire « on est chez nous », pour bien montrer qu’ils entendent se constituer en société différente de celle de la France, une France que certains font d’ailleurs profession de vouloir « niquer » au son du rap.

    L’immigration provoque un éclatement territorial et culturel

    Dès lors, ce sont des territoires entiers qui sortent de l’orbite nationale pour abriter des populations, une culture et des normes qui n’ont plus rien de français. On recenserait officiellement dans notre pays mille trois cents « quartiers sensibles », plus de six cents « zones de non-droit » et près d’une centaine de Molenbeek (par référence à la banlieue bruxelloise pépinière de terroristes islamistes). L’actualité a en outre montré qu’il fallait y ajouter les « no-go zones » de certaines villes, où les femmes non voilées risquent le harcèlement. Autant de territoires où, contrairement à l’expression trompeuse de « zones de non-droit », s’impose en réalité un droit clanique, mafieux et religieux, en tout cas une autre civilisation que celle des Français.
    L’immigration de peuplement a ainsi multiplié la création d‘enclaves étrangères qui viennent miter le territoire national avec une logique de sécession de fait. Un processus que la « politique de la ville », la coûteuse panacée du Système, n’a pas été capable d’enrayer.

    L’immigration a entraîné l’islamisation qui a apporté l’islamisme

    Les conséquences dramatiques de cette immigration de peuplement ne se limitent cependant pas à cet éclatement territorial et culturel, car, comme le rappelle la démographe Michèle Tribalat, l’immigration de peuplement a entrainé l’islamisation. Et l’islamisation a apporté l’islamisme et sa haine de l’Occident. La catastrophe migratoire est donc d’ampleur géométrique.
    Avant les vagues d’immigration de la fin du XXe siècle, l’islam restait confidentiel en France comme en Europe (à l’exception des Balkans) et ne posait aucun problème particulier. Aujourd’hui, il serait en passe de devenir la seconde religion dans notre pays et, en raison de sa forte natalité, l’importance de la population musulmane ne cesse de croître indépendamment même de l’immigration. Aujourd’hui, en Seine-Saint-Denis, la majorité des habitants est ainsi de religion musulmane.
    Or, l’islam n’est pas une religion comme les autres. Non seulement elle est étrangère à notre culture, mais elle impose un mode vie bien particulier. La pression pour que la société française se conforme aux commandements de l’islam ne cesse donc d’augmenter et de modifier en conséquence la physionomie de notre pays ainsi confronté à un antagonisme civilisationnel de grande ampleur.

    Les Français de plus en plus indésirables en France

    Comment dès lors s’étonner que nos concitoyens soient de plus en plus nombreux à exprimer leur inquiétude de ne plus se sentir chez eux ? Les sondages en témoignent mais les oligarques méprisent ce sentiment et y voient la marque infâmante du « racisme ». Il s’agit pourtant des conséquences fatales de la catastrophe migratoire qu’ils ont délibérément provoquée. Un désastre dont ils semblent se satisfaire puisque, loin de chercher à l’enrayer, ils consacrent tous leurs efforts à le faire accepter de gré ou de force par les Français.
    En tout cas, tel est le sens des campagnes incessantes qu’ils lancent pour une meilleure représentation des « minorités » ethniques et pour la réduction symétrique de la place réservée aux personnes « perçues comme blanches » ( pour reprendre la terminologie officielle). Tel est aussi l’objet de la mise en place d’une discrimination prétendument « positive » au seul profit des personnes issues de l’immigration. À cela s’ajoute le fait que les familles immigrées, ayant plus d’enfants et présentant un taux d’activité inférieur au reste de la population, se trouvent de facto prioritaires dans l’octroi des prestations sociales. Autant de réalités qui renforcent les Français d’origine dans la conviction qu’ils ne sont plus les bienvenus dans leur propre pays et qu’ils pourraient bien être « remplacés » par d’autres.
    Une catastrophe civilisationnelle qu’il est encore possible d’empêcher mais plus pour longtemps.

    Ligne droite 25/08/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Alastair Rae via wikimedia cc

    https://www.polemia.com/immigration-peuplement-catastrophe-civilisationnelle-rediff/

  • Macron aujourd'hui au Danemark en quête de la « souveraineté européenne »

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    L'usine Peugeot de Khodro, près de Téhéran, en 2016. (Photo BEHROUZ MEHRI/AFP) 

    Emmanuel Macron entame aujourd'hui au Danemark sa tournée nordique à la recherche de la souveraineté européenne. Il ne la trouvera pas tout simplement parce qu'elle n'existe pas. Voici ce que nous en disions le 14 août. Rien n'a changé ...  

    C'est un fait que, nonobstant les ventes perdues, parfois considérables, la quasi-totalité des entreprises européennes, notamment celles du secteur automobile, aéronautique, et de l'énergie, mais pas seulement, ont plié bagage en Iran.

    Elles ont obtempéré sans broncher. La double menace de rétorsions sur le marché américain et de pénalités financières étatsuniennes pour les transactions avec l'Iran simplement parce qu'elles se traitent en dollars, ont amplement suffi à contraindre les entreprises européennes à se retirer sans délai du marché iranien. Peugeot-Citroën renonce à 300 000 véhicules annuels, Airbus à des intentions de commandes de l’ordre de 100 avions, et ainsi de suite.

    Qu'importe que la plupart des États signataires du traité sur le nucléaire iranien conclu sous Obama le proclament toujours en vigueur : après que Trump l'eut déchiré (mai 2018) et qu'il eut rétabli les sanctions qui frappaient l'Iran, ce traité s'est vidé de tout contenu. Les velléités de résistance européenne, un temps affirmées, parfois en termes bravaches, ont fait long feu. On a pensé à résister, on a envisagé de s'organiser pour cela. Puis, on a abandonné, calé, renoncé. Paroles verbales, volonté faible, réactivité nulle ! Résister était trop difficile, eût demandé trop d'efforts... Notamment des accords monétaires et financiers avec la Russie et sans-doute aussi avec la Chine. Les Européens n’en ont pas eu la volonté ni le courage. 

    Il faut bien en tirer les conclusions. s'agissant de la prétendue « Europe puissance ».  

    Qu'on le regrette ou non, et sans-doute faut-il le regretter, les faits sont là. Ceux qui ont dit, cru, professé que l'addition de 27 ou 28 économies nationales formant un marché unique de cinq cents millions de citoyens-consommateurs, constituaient ipso facto une puissance, et - pourquoi pas ? - la première du monde, ont été des naïfs, des incompétents ou des marchands d'illusions.  

    Trump démontre qu'il n'y a de puissance économique et d'ailleurs aucune autre d'un type quelconque, notamment militaire, qu'adossée à une souveraineté. Trump incarne la nation américaine. Il décide souverainement en son nom. Mais il n'y a ni peuple, ni nation, ni État européens. En conséquence, il n'y a pas davantage d’ « Europe puissance ».

    Il nous faut bien nous répéter : il n'est, même en matière économique, de réelle puissance que politique.   

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/08/28/macron-aujourd-hui-au-danemark-en-quete-de-la-souverainete-e-6075444.html

  • Richard Ferrand vous demande de choisir : l’Europe de Macron et Merkel ou celle d’Orban et Salvini ?

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    Richard Ferrand, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, considère les prochaines élections européennes comme un choix entre deux visions opposées de l’Europe, celle de Macron, Merkel et Sanchez ou celle d’Orban et Salvini.

    « Donc au fond, les Françaises et les Français ont le choix entre l’Europe que porte le président Emmanuel Macron et l’Europe d’Orban, Salvini et compagnie. Au fond c’est Macron, Merkel, et Sanchez en Espagne si je résume, c’est-à-dire ceux qui se disent que nous avons un avenir européen, que ce soit la gestion de l’immigration, sur la politique de défense, sur les convergences fiscales et sociales, sur la capacité de recréer une Europe de puissance, sur tous les enjeux d’éducation avec Erasmus, la recherche etc, ou ceux qui disent non, il faut se recroqueviller sur soi parce que tout seul on va y arriver mieux », a-t-il déclaré dimanche.

    A résumer ainsi l’enjeu des élections européennes, Richard Ferrand risque bien de se prendre une sérieuse claque électorale.

    http://www.medias-presse.info/richard-ferrand-vous-demande-de-choisir-leurope-de-macron-et-merkel-ou-celle-dorban-et-salvini/97059/

  • Uli Henkel, candidat sur les listes de l’Alternative pour l’Allemagne

    Uli-Henkel.jpgLe 14 octobre 2018, un scrutin clé se déroule en Bavière. Au sein de cet État du sud de l’Allemagne, le parti patriotique AfD doit entrer au Parlement et constitue une menace pour la majorité absolue en nombre de sièges que détiennent les sociaux-chrétiens de la CSU. Lionel Baland a interrogé pour EuroLibertés Uli Henkel, candidat sur les listes de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD). Cette formation politique dispose de 92 députés au niveau national et siège au sein de 14 des 16 parlements régionaux.

    Uli Henkel, qui êtes-vous ?

    Âgé de 63 ans, je vis à Munich, la capitale de la Bavière, depuis 61 ans. Je suis marié depuis 30 ans. J’ai un fils de 13 ans. Je suis juriste de formation, spécialisé dans le droit international. J’ai travaillé durant de nombreuses années dans le secteur privé en tant que gestionnaire et dirigeant. Depuis 2002, je suis conseiller indépendant pour les Petites et Moyennes Entreprises (PME).

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  • Migrations et réalité démographique de l’Afrique

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    7,6 enfants par femme, 13,6 par homme.

    Ces chiffres ne sortent pas du chapeau d’un prestidigitateur, mais d’une étude de l’INED (Institut national des études démographiques) publiée le 18 octobre 2017. Il s’agit du taux de fécondité au Niger, l’écart hommes/femmes s’expliquant par la différence d’âge entre époux et la polygamie, dixit le rapport. Le Niger est le champion du monde de la fécondité, sa population devrait passer de 21,5 millions actuellement à 55 millions en 2050 !

    Selon les critères de la Banque mondiale, le Niger fait partie des dix pays les plus pauvres du monde avec un revenu par habitant de 360 euros par an.

    Prenons un peu de recul avec deux chiffres.

    284,9 millions d’habitants en 1960, 1,25 milliard en 2017.
    C’est la population de l’Afrique, dont 40 % est âgée de 0 à 14 ans et 19 % de 15 à 24 ans. En 2018, 418,8 millions de personnes y vivent dans des conditions d’extrême pauvreté, soit le tiers de la population.
    Comment alors, avec de tels chiffres, s’étonner de la « pression migratoire » ?

    Il est clair que tant que les États africains n’auront pas mis en place des politiques de planning familial efficaces, notamment par l’éducation des femmes à la contraception, on voit mal comment limiter les flux massifs de populations voulant légitimement fuir une misère inévitable.

    Ouvrons les yeux !

    Le Rwanda a réussi à le faire puisque son taux de fécondité est passé de 8,2 enfants à 4 entre 1980 et 2015.

    Et il est temps de relancer très énergiquement le développement économique de ce continent qui, en 2007, comptait 60 % des terres arables non exploitées dans le monde. Un continent qui a tout pour réussir et qui, ne l’oublions pas, est le berceau de l’humanité. C’est là qu’est né l’Homo sapiens ! Sapiens, cela veut dire « sage ». Aurons-nous la sagesse de traiter le problème à sa source au lieu d’en subir les effets, alors même que ces effets sont parfaitement connus ?

    Tout l’enjeu est là, à moins que ce ne soit volontaire. Mais c’est une autre histoire.

    Patrick Robert

    http://www.bvoltaire.fr/migrations-et-realite-demographique-de-lafrique/

  • Italie – Des migrants entame une grève de la faim. La réponse cinglante de Salvini

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    150 « migrants » embarqués sur le bateau des gardes-côtes italiens, le Diciotti, ont l’interdiction de débarquer dans le port de Catane en Sicile. Le gouvernement italien n’a vraiment pas l’intention de continuer à recueillir, comme par le passé, tous les clandestins qui décident de venir en Europe par la Méditerranée.

    Le vice-président du Conseil italien, Luigi Di Maio, avait donné jusqu’au 24 août à Bruxelles pour trouver une solution sur la répartition des migrants bloqués sur le navire italien, menaçant de réduire les versements de l’Italie à l’UE. Mais pour l’instant les technocrates de Bruxelles font la sourde oreille, peut-être dans l’espoir que l’Italie baissera les bras. Ce qui ne semble visiblement pas le cas : le gouvernement italien tient bon dans ce bras de fer avec les instances européennes et contre leur folle politique immigrationniste.

    « L’Italie est obligée de prendre acte que l’Europe a perdu aujourd’hui une bonne occasion » de montrer son attachement aux « principes de solidarité et responsabilité » qu’elle cite toujours comme étant des « valeurs fondamentales », a déclaré sur Facebook le chef du gouvernement italien, Giuseppe Conte.

    Depuis hier matin, certains de ces aspirants à l’Eldorado européen retenus à bord duDiciotti ont donc décidé d’entamer une grève de la faim pour protester contre cette interdiction de débarquer. Ils ont refusé, paraît-il de prendre leur petit déjeuner.

    La réponse que Matteo Salvini leur a faite devrait faire réfléchir tous les biens-pensants radicaux-chic et bobos gauche-caviar :

    « En Italie, 5 millions de personnes, dont 1,2 million d’enfants, vivent en situation de pauvreté absolue et font la grève de la faim tous les jours, dans le silence des journalistes et des bien-pensants. Pour moi, les Italiens viennent en premier, puis le reste du monde. Un juge voudrait-il enquêter sur eux ou m’arrêter pour cela ?  Aucun problème. Je l’attends.»

    Et toc !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/italie-des-migrants-entame-une-greve-de-la-faim-la-reponse-cinglante-de-salvini/96978/

  • Immigration : danger toujours immédiat

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    Notre société part à la dérive. N’en déplaise aux cœurs sensibles, aux amoureux d’utopiques droits de l’homme, à la fausse générosité d’une gauche méprisante autant que meurtrière, d’une droite irresponsable, mais l’immigration est responsable de la désagrégation de la société française. Par ses dommages collatéraux sur l’ensemble des acteurs sociaux : éducation, santé, religion, justice. Une grande partie des immigrés refusent les lois de la République, plus encore la culture française qu’elle ignore superbement. Cette haine de la France s’exprime aussi dans les moquées qu’on laisse pousser dans toutes les métropoles. Le fossé entre la France gauloise et les immigrés est culturelle. On ne pourra jamais combler le fossé des imaginaires dont la langue est l’expression majeure. Or, dans cette France en voie de déstructuration, les minorités conservent leur langue car elle demeure le lien communautaire par excellence.

     Il nous a paru révélateur de reproduire l’article suivant

     Les policiers, premiers témoins de la brutalité et de la haine

    Par Hugo Wintrebert

    Il suffit d’un regard. Deux individus se croisent, se toisent et c’est tout. Un coup d’œil ou une simple cigarette refusée : un motif parfois suffisant pour que se déchaîne une haine hors de toute proportion. Une violence sans cause, mais aux conséquences parfois tragiques. À Paris, au petit matin du 8 août, un homme monte dans un bus avec son vélo. Un voyageur lui fait une remarque. Quelques secondes après, le voilà gisant sur le trottoir, le cou transpercé par un coup de clef.

    Aux premières loges de ce spectacle sinistre, les policiers. Car derrière les chiffres démontrant la hausse des agressions, se cache un sentiment diffus au sein des forces de l’ordre : celui d’un recours toujours plus débridé à la violence par la population, d’une « radicalisation des rapports sociaux », voire d’un « ensauvagement de la société » pour reprendre les termes de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie police.

    « L’utilisation de la violence ne fait que s’amplifier, relève Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance. La société ressemble de plus en plus à une rame de métro. C’est un monde du chacun pour soi, où les incivilités sont légion. Et en cas d’agression, les voyageurs préfèrent baisser les yeux, conscients que s’ils interviennent, ils seront forcément victimes. » Un constat partagé par Jérémie Dumont, secrétaire général adjoint du syndicat des commissaires de la police nationale, qui précise qu’« il ne s’agit pas nécessairement que d’individus venant de zones urbaines sensibles, mais d’un mouvement plus large de l’en- semble de la société ».

    Pour les policiers, cette recrudescence des violences gratuites s’explique par l’impunité dont profiteraient les auteurs de ces actes. « Les magistrats sont désormais accoutumés. Ils ne condamnent jamais de manière ferme les personnes qui commettent ces violences », s’agace Patrice Ribeiro. « On retrouve les délinquants dans la rue le jour même de leur arrestation, abonde Frédéric Lagache. Seule, la police est impuissante face à une hausse des incivilités. Elle ne peut pas combler les lacunes de l’école, du manque de civisme et d’une justice laxiste. »

    La banalisation des violences n’est pas nouvelle mais certains policiers notent un phénomène émergeant : l’exhibition de la haine. Sur les réseaux sociaux, certaines rixes sont désormais filmées et des compilations de bagarres deviennent virales. Témoins de ces violences, les forces de l’ordre en sont aussi parfois les victimes. Selon les intéressés, être policier en 2018, c’est avant tout être une cible. Le moindre contrôle d’identité est source de tension. « Il n’y a plus de routine. Quand il arrive au bureau, un agent ne sait pas ce qui va lui arriver dans la journée, s’inquiète Philippe Capon, secrétaire général Unsa police. Même un petit différend familial peut dégénérer. » Dernier exemple en date : le 10 août, des gendarmes landais interviennent pour une simple affaire de vol de vélo. Trois d’entre eux ont terminé leur mission blessés, deux par arme blanche et un au moyen d’une barre métallique.

    Plus largement, les forces de l’ordre se plaignent de ne plus jouir d’une certaine forme de respect. « On ne relève même plus les insultes par exemple, sinon on passerait encore plus de temps derrière un ordinateur plutôt que sur le terrain », assure Frédéric Lagache. Avant de conclure : « Aux États-Unis, si vous frappez un policier, vous allez directement en prison. En France, les forces de l’ordre ne sont pas respectées. Alors pour les personnes lambda, c’est encore pire. »

    (Source : Le Figaro 27/08/2018)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Matteo Salvini, victime du délire judiciaire

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    Le gouvernement italien, entré en fonction au début du mois de juin 2018 et regroupant les deux partis patriotiques Mouvement 5 étoiles (M5S) et Ligue, doit affronter l’arrivée, par la mer, de migrants. Le ministre de l’Intérieur, vice-Premier ministre et dirigeant de la Ligue Matteo Salvini a, au cours des dernières semaines, réduit massivement les débarquements grâce à son action énergique.

    Son parti caracole désormais en tête des sondages et, lorsque Matteo Salvini se rend à la plage, de très nombreuses personnes lui affirment leur soutien.

    Pourtant, malgré le changement de cap, l’Italie est toujours victime des flux migratoires. Ainsi, le navire des garde-côtes italiens Diciotti, qui a procédé au sauvetage en mer de 150 personnes, se trouve immobilisé depuis plusieurs jours dans le sud du pays, à Catane, en Sicile. Les individus qui se trouvent à bord sont empêchés par les autorités, à l’exception de 17 personnes malades, de débarquer.

    Dans le cadre de cet événement très médiatisé, le parquet a décidé d’ouvrir une enquête, non pas à l’encontre des migrants qui tentent d’entrer illégalement sur le territoire national, mais bien en visant le ministre Salvini et son chef de cabinet pour « séquestration de personnes, arrestations illégales et abus de pouvoir ».

    Les membres de l’exécutif étant protégés dans l’exercice de leur fonction d’éventuelles attaques de la magistrature de base, l’enquête est transmise à un « tribunal des ministres » à Palerme, chargé de gérer les délits potentiels commis en Sicile par ceux-ci.

    Des magistrats, non élus, se permettent par conséquent d’attaquer sur ses décisions le ministre d’un gouvernement qui dispose d’une majorité au Parlement, ainsi que du soutien, sur la question migratoire, du troisième parti patriotique présent au Parlement, Frères d’Italie.

    Cette « dictature des juges », qui octroie à ces individus – souvent issus de la petite bourgeoisie boboïsante complice de la haute finance internationale qui organise la mondialisation – des pouvoirs exorbitants, pose une fois de plus la question de la hiérarchie réelle des institutions au sein de l’État, ainsi que celle de la défense des principes démocratiques qui doivent normalement conduire au fait que la volonté du peuple prime sur des principes juridiques abstraits qui vont à l’encontre de ses intérêts.

    Matteo Salvini a réagi à l’ouverture de l’enquête et déclaré : « Ils ne nous stopperont pas ! C’est une honte ! » Et ajouté : « Ils peuvent m’arrêter moi, mais pas la volonté de 60 millions d’Italiens. »

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/matteo-salvini-victime-du-delire-judiciaire/

  • L’infosphère doit dénoncer les mensonges d’État sur la faillite grecque et les dépenses publiques

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    Les contribuables européens ont versé 289 milliards d’euros de prêts à la Grèce lors de trois plans de sauvetage, la part française s’élevant à 40 milliards d’euros. La dette publique grecque s’élève à 180 % de son PIB et le système bancaire est en faillite puisque 98 milliards d’euros, soit 44,9 % des créances bancaires, sont douteuses.

    Le PIB grec a chuté de 23 % entre 2008 et 2017, tandis que le salaire minimum est passé de 794 à 684 euros, que les prix de l’immobilier ont brutalement chuté de 50 %, que les systèmes d’éducation et de santé se sont effrités, que les jeunes ne pensent qu’à quitter le pays, d’où une amélioration apparente d’un taux de chômage de seulement 20 %.

    Les créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) ont usé d’un subterfuge honteux pour retarder, une fois encore, la faillite inéluctable de la Grèce. Ils ont repoussé de dix ans, à 2032 au lieu de 2022, la date à partir de laquelle la Grèce devra commencer à rembourser sa dette.

    Et que feront les mêmes larrons, de nouveau en 2031, les taux d’intérêt ayant monté entre-temps ? Ils repousseront encore, de nouveau, de dix ans la date de remboursement en affirmant que la Grèce n’est pas en faillite puisqu’elle n’a toujours pas de dette à rembourser ! Les informations sur la Grèce sont un mensonge d’État que l’infosphère, les blogs et les réseaux Internet doivent dénoncer avec force.

    L’Italie, c’est dix fois la Grèce, une situation économique, bancaire et financière catastrophique tandis que, depuis mars 2009, le Dow Jones et l’indice NASDAQ ont progressé respectivement de 300 et de 500 %, soit à un niveau plus élevé, respectivement, de 88 % et 55 % que celui d’avant la crise des « subprimes ». Mais pas un mot dans Le Monde ou Le Figaro pour mettre en garde les lecteurs sur un krach éventuel à venir.

    Nous croulons sous les mensonges d’un système décadent en faillite ! Le déficit public français est de l’ordre de 3 % alors qu’il est, en moyenne, de 0,7 % dans la zone euro. La France, avec 56,4 % des dépenses publiques par rapport à son PIB, est devenue le pays le plus dépensier du monde, alors que le joueur de flûte Macron, pendant sa campagne, s’était engagé à réduire les dépenses publiques d’au minimum 4 points de PIB, soit 100 milliards d’euros.

    La situation est dramatique puisque l’application complète du rapport CAP 22 nous ferait économiser à peine 30 milliards d’euros. La France, face à un déficit public de 59,7 milliards d’euros et de 67 milliards d’euros de sa balance commerciale, a besoin de réformes structurelles pour réduire la dépense publique, retrouver la compétitivité internationale et reprendre des parts de marché qui s’écroulent. Notre niveau de dépenses publiques est de 9 % supérieur à la moyenne dans la zone euro (où il est de 47 %). Le défi des dépenses publiques à réduire est donc, en réalité, de 200 milliards d’euros.

    La Cour des comptes sonne le tocsin pour les dépenses publiques, notre système fiscal est basé sur le foyer et non sur les ressources d’un individu, mais Macron, comme disait Pompidou, ne songe qu’à « emmerder » les Français avec le prélèvement inutile à la source. Le technocrate Macron n’a pas pensé à mensualiser le paiement de l’impôt, ce qui aurait été autrement plus simple et efficace.

    Selon l’Agence France Trésor, chaque augmentation à venir de 1 % des taux d’intérêt augmentera nos remboursements de 2,1 milliards d’euros la première année et de 6,9 milliards d’euros au bout de trois ans.

    Mentez, mentez comme un arracheur de dents jusqu’au jour où tout le monde sait que, comme dans la Pravda de l’URSS, le Système ment ! À la première perte subite de confiance, tout explose !

    Marc Rousset

    http://www.bvoltaire.fr/linfosphere-doit-denoncer-les-mensonges-detat-sur-la-faillite-grecque-et-les-depenses-publiques/