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Europe et Union européenne - Page 643

  • Immigration, l’Autriche dit Stop !

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    On écrit immigration, on lit chaos ! Au sein de l’Europe, nouvelle tour de Babel des temps modernes, l’anarchie règne souverainement en matière d’immigration.

    L’Autriche a décidé de protester à nouveau contre l’arrivée des demandeurs d’asile qui débarquent en Italie par la Méditerranéen, le grand couloir des invasions.

    Ce n’est pas un nationaliste mais un social-démocrate, Hans Peter Doskozil, le ministre de la Défense, qui dit Stop :

    « Tant que l’immigration illégale, incontrôlée, continue à exister, a expliqué Doskozil à l’Agence de presse italienne Apa, et tant que l’Autriche continuera à supporter cet énorme poids, il ne pourra pas y avoir de canal légal supplémentaire pour les demandeurs d’asile. »

    En 2016, l’Autriche a accueilli 36 000 demandes d’asile,

    « un tiers, a calculé le ministre, de celles accueillies en Italie, qui a une population sept fois supérieure. »

    Au même moment où ce socialiste autrichien s’insurge contre les flots de migrants, la commission défense du Sénat italien a autorisé l’enquête concernant le rôle des bateaux des ONG en Méditerranée dans les débarquements des clandestins africains sur les côtes italiennes, enquête plusieurs fois demandée par Forza Italia. Selon ce parti politique italien, les ONG

    « au lieu de se limiter à leur fonction humanitaire, de fait contribuent au transport de clandestins en Italie, alimentant ainsi les activités des trafiquants d’êtres humains et les passeurs. » « Une chose est l’aide humanitaire. Autre chose est l’encouragement d’une activité qui enrichit les marchands de personnes et transporte en Italie des milliers et des milliers de clandestins chaque semaine, avec des retombées en termes de charges, de coûts pour l’accueil et pour la sûreté du pays.»

    ont expliqué trois députés de Forza Italia.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.secoloditalia.it/2017/03/migranti-laustria-chiude-la-porta-basta-richiedenti-asilo-dallitalia/

    http://www.medias-presse.info/immigration-lautriche-dit-stop/71459/

  • Londres, Bruxelles, Paris, Berlin : Européens, chassons les islamistes !

    Une fois encore une grande ville européenne a été frappée par le terrorisme islamiste. Le mode opératoire n’a pas changé, des innocents sont tués au hasard, par haine de ce que nous sommes, par haine de notre identité et de notre civilisation.

    Depuis plusieurs mois, à travers notre campagne « Chassons les islamistes », nous appelons les politiques européens à prendre à bras le corps la menace de l’islamisme qui a fait de trop nombreux morts en Europe depuis 2015.

    La seule question qui doit animer la réflexion de chacun est de savoir comment les Européens vont pouvoir se débarrasser de cette menace qui a grandi dans nos pays, alimentée par une immigration massive et continue.

    De grands bouleversements se profilent si des choix politiques courageux et forts ne sont pas faits dans les prochains mois. Génération Identitaire appelle tous les Français et tous les Européens fiers de leur identité à s’engager politiquement et à se dresser face aux islamistes.

    Communiqué de Génération Identitaire

    http://fr.novopress.info/204524/londres-bruxelles-paris-berlin-europeens-chassons-les-islamistes/

  • Dramatique vidéo de l'attentat terroriste musulman à Londres (22 mars 2017)

  • 26 mars : Marche pour la vie à Bruxelles

    25 mars à 20 heures à la Veillée pour la Vie à l'église Sainte-Catherine (Place Sainte-Catherine, métro Sainte-Catherine) à Bruxelles

    15h dimanche 26 mars au Mont des Arts, marche pour la Vie !

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attaque terroriste au Parlement britannique à Londres

    Une attaque terroriste vient d’avoir lieu devant le Parlement britannique. Selon les premiers éléments rapportés par la presse britannique, un homme armé d’un couteau, qui serait de type pakistanais ou indien, a été abattu devant le Parlement britannique, après qu’il a attaqué et blessé un policier à l’intérieur du Parlement.

    Dans le même temps, un véhicule de type 4×4 a fauché volontairement une dizaine de piétons et de cyclistes sur le pont de Westminster, trois d’entre eux au moins étant blessés et ayant été vus gisant au sol.

    Le premier ministre Theresa May, qui se trouvait au Parlement, a été exfiltré par la sécurité et a fait savoir qu’elle allait bien.

  • La folle semaine euro turque

    Il faut hélas revenir, d'abord, sur la décision française d'autoriser l'organisation, à Metz le 12 mars, d'une importante réunion politique communautariste où le ministre turc des affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu est venu exhorter ses compatriotes résidant en France et dans les pays frontaliers de voter "evet" (oui) à la transformation autoritaire de la constitution.

    Examinons d'abord cette décision du point de vue de la politique intérieure française.

    En elle-même cette affaire révèle l'attitude capitularde de la gauche parisienne devant un électorat qu'elle entend rallier à tout prix. Ceci résulte de la stratégie imposée depuis plusieurs années par Terra Nova. Ce prétendu laboratoire d'idées progressistes remonte à 2008. Il se coule sur le modèle du Parti Démocrate des États-Unis, que la loi autorise désormais à financer les partis de l'Internationale socialiste.

    Son propos, désormais bien connu et bien repérable, consiste à substituer aux anciens électorats ouvriers, qui constituaient historiquement le socle des partis socialistes, sociaux démocrates et communistes, les masses fédérées des minorités, toujours présentées comme opprimées. On réfute officiellement avec horreur la dénonciation du remplacement de peuple, thèse d'un Renaud Camus stigmatisée pour raciste. Mais les disciples de la gauche caviar la pratiquent allègrement. Le peuple de gauche, pour eux, ne se recrute plus chez les travailleurs, mais chez les étrangers, tous les étrangers. L'Arlette Laguillier de demain devrait ainsi ouvrir ses discours non plus par son célèbre "travailleurs, travailleuses" mais par un "étrangers, étrangères".

    Or, parmi ceux-ci un certain nombre ne se sentent aucune vocation à rejoindre les rangs de la gauche.

    Les partisans d'Erdogan en Europe en donnent sans doute le plus éclatant exemple. Militant pour une renforcement des pouvoirs constitutionnels de leur président, ils se recrutent dans deux partis : d'une part, l'AKP créé par Erdogan lui-même sur la base d'un retour méthodique de la Turquie à l'islam, et à la tradition ottomane, et d'une répression plus intransigeante vis-à-vis des revendications kurdes, tout en mettent en œuvre une économie d'apparence plus libérale ; et d'autre part le MHP, parti des Loups-Gris nationalistes, dont le fondateur Alparslan Türkes (1)⇓ considérait : "le corps de notre politique est le nationalisme turc, et son âme est l'Islam". (2)⇓

    On se trouve ici en présence d'un cas d'école

    L'objet de la campagne référendaire aurait de quoi faire réfléchir même un François Hollande, même un Ayrault qui parle "d'apaisement" et qui fait mine de considérer que rien ne justifierait l'interdiction de meetings où des ministres turcs viennent enflammer la diaspora et intimider au sein de celle-ci les représentants de l'opposition politique ou des minorités ethniques (notamment kurdes) et religieuses (notamment alévies). Toutes sont d'ores et déjà opprimées par le régime turc, caricature du jacobinisme français, et il est à craindre qu'elles le soient encore plus si le projet gouvernemental est adopté.

    Le 16 avril en effet le referendum constitutionnel portera sur une réforme renforçant outrageusement les pouvoirs du président de la république Recep Tayyip Erdogan. Ceci remplacerait le système actuellement parlementaire par un régime présidentiel quasi dictatorial. Ceci déterminerait une inversion de toute l'évolution des institutions turques depuis la fondation de la République par Mustafa Kemal Atatürk. Le caractère répressif du projet, a été rappelé aux Européens, avec éloquence, par l'actuel premier ministre Binali Yildirim venu en Allemagne faire campagne pour le oui. Le 18 février en effet il a promis une traque impitoyable de tous les partisans qu'il dénonçait, en vrac, comme des putschistes et des terroristes, aux applaudissements de plusieurs milliers de sympathisants rassemblés. "L'époque où certains pouvaient donner des leçons à la Turquie est révolue. La Turquie n'est pas un pays que l'on peut intimider", a-t-il lancé dans le grand stade d'Oberhausen, salué au cri de allahou akbar.

    Il se trouve que, sans le vote des 39 députés du MHP le projet de révision constitutionnelle proposé par Erdogan et les 317 députés de son parti n'aurait pas passé le cap des 330 voix sur 550 à l'Assemblée nationale nécessaire pour être soumis à referendum.

    Difficile dans ces conditions d'agréger à la gauche française les amis de cette coalition, d'autant que la gauche turque est clairement identifiée aux deux autres partis et que les adversaires du projet ne manquent pas de caractériser comme de nature à renforcer une situation d'oppression.

    Enfin, on doit regarder cette affaire du point de vue européen. Étant de ceux qui ont toujours mis en garde contre la candidature d'Ankara (3)⇓, je ne puis que me féliciter de voir que des gens qui, jusque-là semblaient indifférents à l'idée qu'un pays extra-européen puisse entrer dans ce qui s'appelle l'Union européenne aient largement pris conscience du danger.

    Il est faux en effet de présenter cette affaire comme l'ont fait les médias hexagonaux lesquels n'ont guère mis l'accent que sur le contentieux avec les Pays-Bas. Ce faisant ils ont préemptés le résultat des élections néerlandaises du 15 mars : patatras les sondages se sont encore trompés. Ce n'est pas le parti de Wilders qui l'a emporté, mais le parti libéral. Or, l'affaire de la campagne intrusive du gouvernement turc en Europe avait entraîné la réaction de plusieurs pays: Hollande, certes, mais aussi Autriche, Suisse, Danemark et surtout en Allemagne où l'immigration turque est la plus forte. Depuis plusieurs semaines cette question faisait la Une des sites internet des plus sérieux parmi les journaux d'outre-Rhin. Les responsables politiques allemands se sont tous prononcés, s'indignant des provocations. Et, une fois de plus, la presse parisienne ne s'en préoccupait pas. Il lui était beaucoup plus agréable de mettre en cause la xénophobie néerlandaise et de laisser entendre qu'il s'agit seulement d'une retombée du Brexit, dont se réclame Wilders.

    On est rarement déçu avec le mégalomane d'Ankara Recep Tayyip Erdogan. Ses injures déplacées en direction des Allemands et des Hollandais restent dans la droite ligne d'un discours récurrent plein de mépris et de rancœur envers les Européens. On ne doit donc plus accepter qu'en réponse, nos pays ne se situent pas sur une même ligne, celle de la fermeté.

    En choisissant, quand les autres européens font face, de singulariser en s'aplatissant, pour des raisons électorales internes, et de surcroît illusoires, Hollande et les socialistes ont délibérément choisi d'affaiblir et de discréditer la France.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1. Ce nom, trop beau pour être vrai s'agissant d'un nationaliste turc (un peu comme si un nationaliste français s'appelait Clovis Lefranc) est un pseudonyme. La véritable identité du personnage reste mystérieuse. 
    2. L'un des exploits des Loups Gris peut être visionné avec les images de la mise à sac et du massacre de Sivas du 2 juillet 1993 à Sivas, une ville du centre de la Turquie. Il a entraîné la mort de 37 personnes, dont 33 intellectuels alévis. . 
    3. cf. Mon livre La Question turque et l'Europe.

    http://www.insolent.fr/

  • Samedi dernier, beaucoup de monde au colloque de l'Institut Iliade à Paris

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    Source Réinformation cliquez ici

    1200 personnes ont assisté au colloque annuel de l’Institut de la longue mémoire européenne. Un colloque dédié au thème : « Européens – transmettre ou disparaître ». Pour transmettre des valeurs, il faut d’abord résister à la déconstruction de notre culture. Pour ce faire, Philippe Conrad a rappelé la nécessité des médias de reinformation, citant notamment Radio Courtoisie.

    Le focus a ensuite été mis sur l’éducation.

    François Bousquet a dénoncé l’égalitarisme de l’Education nationale et ses effets délétères sur le niveau d’instruction des élèves français. Une table ronde a mis en évidence l’impasse de l’école républicaine actuelle. Une faillite délibérée.

    L’après-midi a embrayé sur la « paideia », l’éducation du corps, de l’âme et de l’esprit.

    Un auditeur de l’Iliade a présenté un film sur le « kalos kagatos », l’homme accompli des Grecs. Une table ronde a ensuite réuni un chef scout, un maître artisan et une spécialiste de la littérature jeunesse. Autant de vecteurs d’éducation.

    Par un éloge de l’entreprise, Philippe Christèle a rappelé la nécessité de convertir dans l’action les valeurs et savoirs transmis.

    Une troisième table ronde a réuni deux « Antigones » pour parler de la transmission féminine. Le rapport particulier des femmes au temps à été souligné, ainsi que la nécessité de résister à la dénaturation par la contraception hormonale.

    L’art a également été mis à l’honneur.

    Thibaud Cassel, auteur d’une anthologie poétique, a superbement déclamé « la mort du loup » d’Alfred de Vigny. Un film de l’Iliade a ensuite mis en scène la fraternité des peuples européens et la renaissance espérée de la civilisation européenne.

    Jean-Yves le Gallou a conclu la journée en proposant le recours à la civilisation face au risque du « dernier homme ».

    Dans l’histoire européenne, il n’y a pas de fatalité a-t-il affirmé. C’est aux Européens de puiser dans leurs racines pour construire un nouveau monde sur les ruines de celui qui s’achève. Quoi qu’il advienne, « le temps de l’homme européen reviendra ! ».

    Vous retrouverez les interventions de ce colloque dans le numéro spécial de la revue Livr’arbitres et sur le site de l’institut Iliade.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La Turquie déclare la guerre démographique à l’Europe

    8825-20170322.jpg« J’en appelle à mes citoyens, mes frères et sœurs en Europe. […] Allez vivre dans de meilleurs quartiers. Conduisez les meilleures voitures. Vivez dans les meilleures maisons. Ne faites pas trois, mais cinq enfants. Car vous êtes l’avenir de l’Europe. Ce sera la meilleure réponse aux injustices contre vous. »Tels sont les propos tenus par le président turc Recep Erdogan lors d’un meeting pour la campagne référendaire à Eskisehir, en Anatolie centrale.

    Le sultan a donc dévoilé ses cartes, il appelle ses concitoyens installés en Europe à œuvrer au Grand Remplacement. Et ce n’est pas juste un accès de colère, mais bien un plan d’islamisation de notre continent qui ne date pas d’hier. Encore seulement maire d’Istanbul, le même Erdogan avait dit dans un discours en 1998, citant un poète turc :

    « Les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées seront nos casernes et les croyants nos soldats. »

    Car, pour le sultan Erdogan, l’Europe est aujourd’hui le théâtre d’une « confrontation entre la croix et le croissant ». C’est ce qu’il a affirmé après le jugement de la Cour de Justice de l’UE qui est venu confirmer la semaine dernière qu’au regard du droit européen, les entreprises pouvaient interdire le port du voile islamique par leurs salariées.

    Défiant ouvertement l’Europe, le ministre de l’Intérieur ottoman Süleyman Soylu a prévenu, selon ses propos rapportés jeudi dernier par l’agence de presse turque Anadolu :

    « Je le dis à l’Europe, êtes-vous à la hauteur ? Si vous le voulez, nous pouvons ouvrir la voie aux 15 000 réfugiés que nous ne vous envoyons pas chaque mois et vous couper le souffle. »

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 21 mars 2017

    http://fr.novopress.info/204444/la-turquie-declare-la-guerre-demographique-a-leurope/