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Europe et Union européenne - Page 644

  • Macron : des élections européennes taillées sur mesure - Journal du Mardi 13 Février 2018

  • Il faut détruire les 200 bateaux qui servent à l’esclavage humain

    6a00d83451619c69e201b8d2d99f3a970c-800wi.jpgPropos de Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, rapportés dans Présent :

    « On ne va pas me dire que nous ne sommes pas capables de détruire les 200 bateaux qui servent aujourd’hui à l’esclavage humain sur les côtes libyennes… » « Il faut couler ces bateaux, une fois qu’ils sont vides bien sûr, pour en finir avec les passeurs. » 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • En Allemagne, de jeunes migrants fraudent pour 141 000 € de prestations familiales et on retrouve chez eux des drapeaux de l’État islamique…

    A Hambourg, démantèlement d’un réseau de 43 familles qui ont détourné de l’argent des caisses familiales avec de fausses pièces administratives.

    En prétendant à des prestations avec règlement rétroactif, c’est-à-dire en revenant 3 à 4 années en arrière sous prétexte qu’ils étaient en formation ou en recherche d’emploi durant ces périodes, les fraudeurs ont éveillé les soupçons de l’administration, notamment aussi en présentant des attestations falsifiées (fausses adresses, réponses négatives d’entreprises n’existant déjà plus depuis de nombreuses années…). Malgré cela, la caisse des allocations familiale a donné une suite favorable à 1/3 des dossiers et ainsi versé jusqu’à 141’000 €.

    Les fraudeurs sont tous de jeunes migrants de moins de 25 ans. Les autorités ont découvert que des groupes WhatsApp et des bars à chicha servaient de cellules de recrutement pour élargir le réseau qui comptent 78 suspects et 2 auteurs principaux qui auraient à eux seuls encaissé la moitié des sommes ainsi détournées. Lors de perquisitions, en plus de documents falsifiés et de drogue, la police a trouvé des armes et des drapeaux du prétendu Etat islamique.

    Bild.de via http://www.fdesouche.com/952037-allemagne-de-jeunes-migrants-fraudent-141000-e-de-prestations-familiales-on-retrouve-chez-eux-drapeaux-de-letat-islamique

  • La Pologne rétablit le repos dominical

    6a00d83451619c69e201b7c94f3df4970b-800wi.jpgLu ici :

    "Le présidant polonais Andrzej Duda a signé le 30 janvier 2018 le projet de loi restreignant l’ouverture des commerces le dimanche dans le but de donner plus de temps à la vie de famille.

    Ce sont à la fois le gouvernement conservateur et le syndicat Solidarité qui ont permis à cette loi de voir le jour. Au 1er mars 2018, les commerces et les marchés devront, dans un premier temps, tenir leur rideau baissé au moins deux dimanches par mois. Le but est de faire cesser tout commerce dominical - sauf rares exceptions - à l’horizon 2020.

    Pour le président polonais cette loi sera l’occasion de donner une chance aux parents de passer plus de temps avec leurs enfants, en permettant aussi aux employés de se reposer davantage : « notre stratégie de développement passe par le fait de consacrer du temps avec ceux que l’on aime », a déclaré Andrzej Duda à la presse.

    « Il nous faut transmettre à nos enfants un beau pays, bien en ordre », a commenté de son côté le Premier ministre Mateusz Morawiecki. Et de conclure « ma priorité est de reconstruire ce que la guerre et le communisme nous ont fait perdre ».

    Un exemple à imiter, à l'heure où la plupart des gouvernements européens ont libéralisé à outrance le travail du dimanche, obnubilés qu'ils sont par le commerce et l'activité économique, et oublieux du repos sacré du jour du Seigneur."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zoom - Gilles Lebreton : Avec le FN pour la liberté d'expression

  • Viktor Orbán tient bon sur l’immigration

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    Le Premier ministre belge Charles Michel a commencé les hostilités en affirmant que les pays d’Europe centrale seraient forcés d’accueillir des demandeurs d’asile.
    Dans une entrevue accordée au quotidien Le Soir, Charles Michel a évoqué l’envoi d’un ultimatum aux pays refusant d’accepter des immigrants clandestins. En substance, si à l’issue du Conseil Européen de juin aucun accord a été trouvé entre l’Union Européenne et les pays d’Europe centrale alors ces derniers se verraient imposer de force les décisions adoptées lors du Conseil.

    Le président hongrois Viktor Orbán a promis de faire passer les intérêts de la Hongrie avant les demandes de Bruxelles. C’est ainsi que via une vidéo postée sur Facebook il a déclaré :

    Notre gouvernement a pris position. Pour nous la Hongrie passe avant. Nous nous battrons contre ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie ainsi que celle de l’Europe.

  • Une crise agricole mise en sourdine - Journal du Lundi 12 Février 2018

  • Nouvelle campagne anti-Soros – La Hongrie ne veut pas devenir l’Afrique

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    Hongrie – Une nouvelle fois, le gouvernement lance une campagne nationale pour dénoncer les nuisances orchestrées par le milliardaire mondialiste George Soros que l’on retrouve derrière le financement de nombreuses ONG facilitant l’immigration vers l’Europe.

    Cette campagne très présente dans les rues des grandes villes hongroises, se déroule au moment où le gouvernement prend également de nouvelles mesures pour contrer toute association ou fondation, établie et enregistrée en Hongrie, qui parraine l’entrée, la réinstallation ou la résidence illégales d’un ressortissant étranger.

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  • LA CHUTE DU DIRIGEANT SOCIAL-DÉMOCRATE ALLEMAND MARTIN SCHULZ

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    Alors que le Parti social-démocrate allemand SPD est arrivé à s’entendre avec les démocrates-chrétiens de la CDU d’Angela Merkel et les sociaux-chrétiens bavarois de la CSU en vue de former un gouvernement, le très européiste Martin Schulz, qui a conduit les négociations pour le SPD, annonce ce 9 février 2018 qu’il renonce finalement à exercer la fonction de ministre des Affaires étrangères.

    Cet événement survient suite à des règlements de comptes au sein du parti. Sigmar Gabriel, vice-chancelier et ministre des Affaires étrangères sortant, reproche ouvertement à Martin Schulz de ne pas avoir respecté sa parole, sans préciser le sujet de la dispute.

    En janvier 2017, Gabriel avait renoncé au profit de Schulz à la présidence du SPD et au fait de conduire la campagne électorale du parti lors des législatives. Le bruit court que Schulz avait promis à Gabriel que ce dernier resterait ministre des Affaires étrangères dans le cas d’un nouveau gouvernement de coalition.

    Schulz avait annoncé, le 7 février 2018, devenir ministre des Affaires étrangères, alors qu’à l’issue des élections législatives du 24 septembre 2017, il avait exclu être ministre au sein d’un gouvernement dirigé par Angela Merkel.

    Martin Schulz, président du Parlement européen durant cinq ans, avait quitté ses fonctions en 2017 et échoué électoralement à la tête du SPD lors des législatives, son parti enregistrant le plus mauvais score de son histoire depuis la Seconde Guerre mondiale, en obtenant 20,5 % des voix.

    Née au XIXe siècle, la famille politique sociale-démocrate allemande, qui a fortement imprégné au fil des décennies la politique du pays, lutte désormais, à l’instar de partis similaires d’autres pays d’Europe occidentale, pour sa survie.

    Un sondage INSA réalisé début février donne le parti à, désormais, 17 %.

    Au sein du SPD, la campagne a débuté en vue de la consultation par écrit des membres du parti qui doivent décider, le 4 mars 2018, si leur formation prend part ou non au futur gouvernement.

    Si le « Non » l’emporte, le retour aux urnes deviendra quasi inévitable, l’avènement d’un gouvernement minoritaire étant peu probable.

    L’ouverture des frontières à une immigration de masse réalisée au cours de l’été 2015 par le gouvernement CDU/CSU/SPD dirigé par Angela Merkel a conduit, au fil du temps, à un retournement progressif d’une partie de l’opinion publique allemande, qui est de plus en plus sceptique vis-à-vis des partis en place, et à la percée lors des législatives du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui siège désormais au sein de la Chambre des députés.

    L’entrée d’un parti de ce type au sein de cette institution a constitué un séisme politique, cette famille politique n’y étant plus représentée depuis 1961 et l’élimination, de cette assemblée des élus, du Deutsche Partei (Parti allemand).

    Le parti libéral centriste FDP, autrefois en déroute, a réussi un retour en force lors des législatives de 2017 en se refondant politiquement sur une ligne plus patriotique et en proposant de renvoyer les réfugiés vers leur pays et d’expulser la Grèce de la zone euro.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog