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Europe et Union européenne - Page 670

  • Marion Maréchal-Le Pen à Moscou: l’UE est «irréformable»

    Sous sa forme actuelle, l’Union européenne ne peut pas fonctionner. Or, tout changement substantiel de ce système exige l’unanimité des pays membres, estime Marion Maréchal-Le Pen, député du Front national.
  • La République agonise avec ses paysans

    « C’est un homme brisé mais digne, courageux. » Ainsi commence le reportage de TF1 sur l’exploitation laitière de Rodolphe Meunier lors du journal de 13 heures, du 19 octobre dernier. Il ne dure qu’une minute quarante, et pourtant il suscite autant l’indignation qu’un profond sentiment d’injustice.

    Si l’on dresse un rapide état des lieux, on constate que le milieu agricole est aujourd’hui plein de disparités. On pourrait dire aussi plein de variétés, mais il reste de cruelles injustices liées à la politique agricole. On peut prendre aujourd’hui pour exemple ces cas extrêmes d’agriculteurs céréaliers et d’éleveurs :

    -   Il y a ceux qui travaillent avec un imposant parc de tracteurs, sur des centaines d’hectares. Ils sont à la merci des banques et des subventions, profitant d’une vague dont ils tirent le meilleur profit, un peu en opportunistes, car la politique agricole du moment leur est favorable, mais peuvent-ils être assurés qu’elle continuera dans le temps ?

    -  Il y a aussi les oubliés, les laissés pour compte, qui travaillent dur, sans profiter de leur dimanche ou autre jour chômé et qui ne vivent pas des fruits de leur travail. Parmi eux les éleveurs, dont le sort ne semble pas intéresser les politiques qui les ont livrés à la fois à la dictature agro-alimentaire,  et à la concurrence des cours européens.  

    Et puis, tentant de survivre à la marge des circuits économiques classiques,  on trouve les petites exploitations indépendantes qui avancent vaille que vaille, faisant de la vente directe, et transformant elles-mêmes leurs produits. Cette indépendance n’est pas toujours facile, mais elles peuvent fixer un prix de vente qui leur est juste, ce qui leur permet de mieux s’en sortir.

     « La République sera la République des paysans ou ne sera pas ». Cette phrase de Jules Ferry semble bien obsolète aujourd’hui. Lorsque les pères fondateurs de la République entamèrent un travail intense de propagande dans les campagnes, ils avaient bien compris que le rattachement de la société rurale était indispensable à la sûreté et la stabilité du régime politique. Mais aujourd’hui, leurs héritiers semblent l’avoir oublié.

    Les trois derniers Présidents de la République n’ont pas pris à cœur de défendre les intérêts des agriculteurs : même Jacques Chirac, pourtant réputé soucieux des intérêts de l’agriculture, n’a pas empêché le déclin des métiers agricoles.

    Pendant que les présidents se pavanent au salon de l’agriculture sous les feux des projecteurs, ils ne semblent pas comprendre les réels enjeux de la condition paysanne, qui aujourd’hui paraît régresser. Chaque année, environ deux cents agriculteurs se suicident : les dettes sans fin, la mécanique infernale des prix cassés par les grandes distributions, la solitude, la pauvreté…

    On se souvient que les rois de France avaient à cœur la condition paysanne.  Henri IV disait : « Oui, ce que je veux, parce qu'ayant le cœur de mon peuple j'en aurai ce que je voudrai, et si Dieu me donne encore de la vie je ferai qu'il n'y aura point de laboureur en mon Royaume qui n'ait moyen d'avoir une poule dans son pot », ou par les plus discrètes attentions de Louis XVI envers les paysans, immortalisées par la gravure de Pierre-Michel Adam.

    Ne soyons pas naïfs sur des promesses électorales faciles :  car nous savons bien que la politique agricole est une affaire de long terme, impossible à mettre en place dans un régime quinquennal, où les présidents se succèdent tricotant et détricotant le travail du précédent. D’ailleurs, le nombre de paysans a tellement diminué, qu’il ne doit plus constituer un électorat signifiant aux yeux des hommes politiques, on peut donc douter du réel intérêt que la plupart portent à nos agriculteurs.

    Et si Jules ferry avait cerné le problème ? Si la République s’effondrait parce qu’elle n’avait pas réussi à préserver ses paysans ?

    Julie Langeais 

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/social-et-economie/2251-la-republique-agonise-avec-ses-paysans

  • Clash au Parlement des Pays-Bas : « Retournez en Turquie ! »

    « Si vous aimez tant votre pays, retournez y vivre, retournez en Turquie ! » : tels sont les aimables propos que Louis Bontes a lancé à Selçuk Öztürk dans l’enceinte du Parlement néerlandais, où ils siègent tous deux comme députés, ce qui est bien leur point commun !

    Selçuk Öztürk, un musulman né en Turquie en 1972, est un ancien du PvdA, le Parti travailliste, qu’il a quitté pour fonder sa propre formation avec un autre élu également né en Turquie et tout aussi musulman, Tunahan Kuzu.

    Louis Bontes est député lui aussi mais il n’est ni turc ni musulman. Elu sous l’étiquette du Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, dont il s’est éloigné depuis tout en continuant à défendre les mêmes convictions, il est même farouchement hostile à l’islamisation de son pays.

    Alors quand Selçuk Öztürk a commencé à prôner la suppression de l’armée des Pays-Bas, le sang de Louis Bontes n’a fait qu’un tour. Et il est allé lui parler du pays…

  • France relève toi par le colonel Chamagne - Meta TV 1/3

  • Le Pen vs Hollande at the European Parliament English subtitles

  • Stockholm : le plan de nettoyage « féministe » paralyse la ville

    Certains pays sont en avance sur nous dans la mise en pratique de l’idéologie du genre. C’est le cas de la Suède qui interdit déjà aux hommes, sous peine d’amende, d’uriner debout !
    Anne Dolhein de Reinformation.tv nous apprend que le pays s’enfonce un plus dans l’absurde :

    « Oui, l’idéologie du genre peut semer le chaos et créer des embouteillages monstres. Cela s’est passé à Stockholm, en Suède, où la chute de neige la plus importante depuis 111 ans a paralysé toute la circulation automobile. Normal, direz-vous : on n’a pas besoin de déranger l’idéologie du genre pour cela. Mais si ! Le plan de nettoyage de la ville en cas d’intempérie est aujourd’hui « féministe », par décision de la nouvelle équipe municipale contrôlée par une coalition des Verts et de la gauche.
    Je vous explique. Si la neige tombe également sur les hommes et les femmes, les routes et les trottoirs, l’œil avisé des politiques soucieux de l’égalité de genre savent que le trafic automobile est « dominé par les mâles » tandis que les femmes, plus adeptes de la forme et plus respectueuses de l’environnement, sont plus nombreuses à faire de la marche à pied ou à se servir de leur bicyclette.

    Déblayer la neige à Stockholm dans le respect de l’idéologie du genre

     Ce civisme évident fait qu’elles sont plus nombreuses que les hommes sur les trottoirs et les voies pour vélo. Et s’agissant d’une catégorie à protéger contre la discrimination, la solution s’impose d’elle-même : il faut déblayer avec autant d’énergie trottoirs et pistes cyclables que le macadam machiste des pollueurs.
    Hélas pour les femmes comme pour les hommes, le retard pris à dégager les artères de circulation a empoisonné la vie de chacun lors de la grosse chute de neige sur la Suède l’autre jour. Des centaines de bus – majoritairement empruntés par les femmes eux aussi – se sont retrouvés bloqués parmi les voitures. De nombreux Stockholmois ont  été contraints de se déplacer à pied sur des trottoirs et pistes pour vélos, vite verglacés : on ne compte plus les chutes.
    Pour autant, un élu municipal Vert chargé de la circulation, Daniel Helldén, estime qu’on n’en a pas fait assez dans le déblayage genré. « On constate un manque dans l’enlèvement de neige égalitaire. Il est toujours difficile de marcher sur les trottoirs – et il est important que le déblayage de la neige concerne en priorité les zones de marche, les transports publics et les pistes cyclables », dit-il.

    Stockholm paralysé par le déblayage genré

     Puis, sans rire : « Cela fait plus mal lorsque vous marchez ou faites du vélo, et que vous tombez, alors que ceux qui conduisent sont confortablement installés même s’il neige. Environ trois fois plus de piétons que de conducteurs sont blessés par ce genre de temps… Mais il y a aussi l’argument de l’accessibilité, selon lequel la ville doit être accessible à tous. La neige et la glace obligent de nombreuses personnes à rester à la maison. Surtout, elles affectent la vie des femmes qui de plus en plus, marchent et font du vélo davantage que les hommes. »
    L’idéologie du genre n’a décidément aucune raison de se laisser déranger par la réalité. »

    http://www.contre-info.com/stockholm-le-plan-de-nettoyage-feministe-paralyse-la-ville#more-42862

  • Journal du Jeudi 17 Novembre 2016 : Fiscalité / Impôt à la source : le refus des contribuables

  • Toujours plus de terroristes parmi les migrants

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    Selon l’édition de dimanche du quotidien allemand Die Welt, le renseignement allemand (BND) a rendu un rapport confidentiel confirmant que l’Etat islamique entraîne ses terroristes à se fondre dans la masse des demandeurs d’asile et à répondre aux questions des autorités de manière à ne pas éveiller les soupçons. 

    Le média public pro-immigration Deutsche Welle (DW) semble lui-même reconnaître ses erreurs et cite une experte en terrorisme islamique, Susanne Schröter qui affirme : « On le savait depuis le début. […] L’EI avait annoncé qu’il enverrait des combattants en Europe par la route que prenaient les réfugiés. A ce moment-là, les politiciens niaient cette éventualité. […] Nos leaders pensaient que si nous admettions qu’il pouvait y avoir des terroristes parmi les réfugiés, cela ferait le jeu des populistes de droite et aggraverait les sentiments anti-migrants. Ils ont donc choisi de bagatelliser, ce qui n’était pas la bonne solution. »

    Mais pour ne pas reconnaître s’être trompé sur toute la ligne en harmonie avec le gouvernement allemand, DW cherche à s’en sortir en expliquant à ses lecteurs que la masse des « réfugiés » musulmans accueillis, c’est autant de gens dont la radicalisation sera rendue plus difficile que s’ils étaient restés au Moyen-Orient ! Ceci ne l’empêche pas d’avouer, pour justifier l’intensification du contrôle des communications des simples citoyens par les services allemands, que « la sécurité de l’Allemagne et de ses citoyens ne va plus de soi ». Car ce qui inquiète le BND, outre la présence de djihadistes venus spécialement avec les « migrants » en profitant de l’ouverture des frontières à l’automne 2015, c’est le recrutement de nouveaux djihadistes dans ces mêmes milieux par les musulmans radicaux déjà présents en Allemagne.

    C’est ainsi que la police allemande a conduit mardi 200 perquisitions dans tout le pays, pour fouiller les bureaux de l’organisation salafiste « Vraie religion » qui se spécialise dans la distribution gratuite d’exemplaires du Coran et, accessoirement, dans le recrutement de partisans de l’Etat islamique sur le territoire allemand. Le ministère de l’Intérieur a donc annoncé l’interdiction de cette organisation en expliquant que sa traduction du Coran servait à « diffuser des messages de haine et des idéologies contraires à la constitution ».

    Mais si c’était un simple problème de traduction du Coran, le BND ne serait pas aussi inquiet de ces centaines de milliers de demandeurs d’asile musulmans arrivés l’année dernière.

    Olivier Bault

    Article et dessins paru dans Présent daté du 17 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/