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Europe et Union européenne - Page 716

  • Fécondité : amélioration en Hongrie et en Pologne, recul en France. Emploi: même constat. Le respect des principes chrétiens améliore la situation

    1) Les premiers résultats de la politique du gouvernement polonais conservateur d’inspiration catholique, dirigé par le PiS (Droit et justice) commencent à être rendus public par le GUS (Bureau central de la statistique, l’équivalent polonais de l’INSEE).
    La fécondité a augmenté en 2016: elle passe de 1,29 à 1,36 enfant. Certes, si on tient compte des 9 mois que dure une grossesse et du fait que le gouvernement polonais actuel est arrivé au pouvoir à la fin de l’été 2015, seule le résultat de la 2e partie de 2016 peut lui être attribué. Mais la situation continue de s’améliorer en 2017: sur les 5 premiers mois de 2017, la hausse de la natalité est de 7,9% par rapport aux 5 premiers mois de 2016 (166 100 naissances contre 153 900), ce qui est considérable si on prend en compte le fait que la situation évolue lentement en démographie.
    Le nombre de mariages a augmenté de 188 800 à 193 500 entre 2015 et 2016 (+ 2,5%), le nombre de divorces a, lui, reculé de 67 300 à 63 500 (-5,6%). Par ailleurs, 63% des mariages sont des mariages religieux, soit 1 point de plus qu’en 2015. C’est la première fois que le taux de mariages religieux augmente en Pologne depuis le début du XXIe siècle. Or, les mariages catholiques représente presque 100% des mariages religieux en Pologne. 
    Le taux de chômage a fortement diminué. Il est passé de 9,6% en octobre 2015 à 7,1% en juin 2017. 
    2) Voyons maintenant les résultats en Hongrie, où Viktor Orban et son parti, le Fidesz, sont au pouvoir depuis 2010, alliés avec le Parti national chrétien démocrate (chrétiens conservateurs).
    La fécondité augmente: elle est passée de 1,23 enfant par femme en 2011 (il faut toujours tenir compte des 9 neuf mois de grossesse par rapport à la date d’arrivée au pouvoir) à 1,49 en 2016. A noter que la fécondité de 2011 constitue le plus bas niveau historique en Hongrie. En 2016, il s’agit du plus haut niveau depuis 1995. Par ailleurs, la tendance continue en 2017: sur les 5 premiers mois de l’année, la natalité a augmenté de 0,7%, ce qui est d’autant plus encourageant que le nombre de femmes en âge de procréer diminue actuellement fortement en Hongrie, du fait de la dénatalité passée.
    Le nombre de mariages augmente: il est passé de 35 520 en 2010 (plus bas niveau depuis le XIXe siècle) à 51 805 en 2016 (+45,8% en 6 ans), ce qui est d’autant plus encourageant que le nombre de personnes en âge de se marier diminue actuellement en Hongrie, du fait, là aussi, de la dénatalité passée. Avec 5,3 pour 1000 habitants, le taux de nuptialité hongrois est plus élevé que ceux de tous les pays d’Europe de l’Ouest.
    Le taux de chômage a très fortement reculé. Entre le 2e trimestre 2010 et le 2e trimestre 2017, il est passé de 11,2% à 4,3%, l’un des taux les plus bas au monde, alors que l’économie hongroise était ravagée en 2010, du fait du communisme et aussi, dans une moindre mesure, de l’ultra-libéralisme qui a eu cours dans les premières années qui ont suivi la chute du régime communiste (1988 en Hongrie).
    3) Terminons par la situation de la France. Le taux de chômage le plus récent connu, celui du 1er trimestre 2017 est de 9,6%. Il est en hausse par rapport au 2e trimestre 2010 (9,3%). Mais il faut aussi tenir compte du fait qu‘il est actuellement minoré par les centaines de milliers de chômeurs qui ont été mis en formation dans la dernière année de la présidence de Hollande, dans le seul but de faire baisser le taux de chômage. Mais, il est fortement à craindre que la plupart de ces formations ne déboucheront pas sur l’obtention d’emplois, du moins d’emplois stables, ce qui contribuera à augmenter le taux de chômage lorsque ces formations prendront fin.
    Le nombre de mariages, environ 223 000 en 2016 entre un homme et une femme (il est affligeant de devoir préciser), soit le plus bas niveau depuis 1944, et depuis 1821 hors guerres mondiales, il est catastrophique (3,4 pour 1000 habitants).
    La natalité et la fécondité sont en baisse depuis 2010, malgré l’immigration massive et à cause des nombreuses mesures anti-familiales et anti-natalistes de Sarkosy et surtout de Hollande. Entre autres mesures, le remboursement à 100% des avortements et des actes qui leur sont liés, la réduction du congé parental et bien sûr, le soi-disant « mariage » homo qui ne favorise ni les vrais mariages, ni la fécondité. Pour le 1er semestre 2017, il n’y a eu que 353 000 naissances vivantes en France métropolitaine, soit 2,6% de moins que lors du 1er semestre 2016. A ce rythme là, l’indice de fécondité ne sera plus que de 1,85 ou 1,86 enfant par femme en 2017, toujours en France métropolitaine. Quant au nombre de naissances, il serait de 726 000 environ, soit à peine plus que le plus bas niveau de la période allant de 1946 à 2016 (710 993 naissances en 1994).
    Que Dieu sauve la France en nous donnant des chefs menant une politique catholique!
    G. Paume

  • Désislamiser l’Europe : intervention de Jean-Yves Le Gallou à Béziers [rediffusion]

    Intervention de Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, ancien député européen. Journée Désislamiser l’Europe, le 4 mars 2017, à Béziers. Source : www.islamisation.fr

  • Vidéo de l'arrestation du terroriste au couteau d'Hambourg - Il a crié allahu akbar

  • Le site Médias presse infos consacre un bel article aux deux volumes du livre de David Irving, Budapest, insurrection

    Médias Presse infos cliquez ici

    1747866229.jpgDavid Irving est un écrivain britannique à succès, autour de nombreux livres d’histoire notamment consacrés à la seconde guerre mondiale dont les traductions françaises ont été publiées chez différents grands éditeurs comme Albin Michel ou Robert Laffont, avant d’être banni pour avoir trop mis en doute l’histoire officielle.

    Lorsqu’il sortit pour la première fois en Angleterre, ce livre fut complimenté par la presse britannique (du Timesau Guardian) et salué comme le meilleur ouvrage en langue anglaise sur l’insurrection de 1956.

    Ce qui arriva en Hongrie en octobre 1956 n’était pas une révolution mais une insurrection. C’était un soulèvement. Quand il commença, il était spontané et sans chef : c’était un véritable mouvement de masses unies par une haine commune du communisme. Paradoxalement, beaucoup de rebelles détenaient une carte du Parti et la plupart étaient ouvriers ou paysans.

    797845669.jpgCette insurrection a été écrasée par un homme, Janos Kadar. Il engagea le pays dans une période de répression sauvage qui dura plusieurs années avec une cruauté pourtant superflue car les Hongrois avaient finalement admis leur impuissance et l’impossibilité d’échapper à l’emprise de l’union soviétique qui avait envoyé ses chars.

    Ce livre raconte cette insurrection et veut comprendre l’état d’esprit de ceux qui y ont participé. Pour cela, David Irving a eu accès à des milliers de pages d’interrogatoires conduits scientifiquement de réfugiés hongrois ayant participé à l’insurrection. Il en résulte que les facteurs économiques n’apparaissaient pas parmi les racines premières de la révolte. Comme ce fut le cas des différentes insurrections populaires qu’a connues la Hongrie au cours des siècles précédents, les ingrédients décisifs étaient émotionnels et politiques.

    Après avoir étudié l’origine de l’insurrection hongroise de 1956 et son déroulement, David Irving s’applique aussi à décrire la réaction des pouvoirs occidentaux et des Nations Unies. Pourquoi les nations occidentales se limitèrent à de pieuses expressions de sympathie quand le soulèvement débuta ? Quel fut le rôle de Radio Free Europe et autres émetteurs similaires financés par la CIA ? Pourquoi le représentant des Etats-Unis auprès des Nations Unies retarda-t-il délibérément toute action de l’ONU ? David Irving apporte quelques réponses après avoir consulté une documentation déclassifiée des dossiers secrets du Département d’Etat américain.

    Enfin, David Irving conclut en estimant que le rôle des intellectuels hongrois fut très décevant malgré leur auto-congratulation.

    Insurrection – Budapest 1956, le cauchemar d’unenation, volume 1, David Irving, éditions Synthèse Nationale, 320 pages, 22 euros

    Insurrection – Budapest 1956, le cauchemar d’une nation, volume 2, David Irving, éditions Synthèse Nationale, 352 pages, 22 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur ici et ici 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les dernières statistiques prouvent-elles le Grand Remplacement ?

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    Tôt ou tard dans des pays de l’Union européenne, il naîtra moins de descendants d’« autochtones » que d’enfants d’immigrés.

    Les bien-pensants nient avec véhémence que les immigrés venus d’autres continents remplacent progressivement les « autochtones » européens (j’utilise ce terme avec précaution, alors qu’il est employé sans aucune restriction pour les « progressistes « dès qu’il s’agit d’anciennes colonies). Le « Grand Remplacement » ne serait qu’un fantasme de la fachosphère, vaste conglomérat d’individus dont les avis sont immédiatement rejetés avec indignation par les partisans du « camp du bien », quelles que soient les preuves apportées.

    Pourtant, les chiffres sont têtus (et ne mentent pas) et même Libération, chantre de la pensée correcte, est obligé de les admettre en relayant une étude d’Eurostat, office statistique de l’Union européenne. Depuis deux ans, le nombre de décès égale celui des naissances dans l’Union européenne (autour de 5,1 millions). Par contre, 2 millions d’immigrés extra-européens sont venus s’installer dans notre continent en 2015, et 1,5 en 2016. Trois bébés pour un migrant !

    Et encore, ces chiffres officiels sous-estiment peut-être la réalité, du moins pour la France. Il n’y aurait chez nous, selon cette étude, que 65.900 arrivées alors que l’INSEE certifie qu’elles seraient 220.000, en y incluant les clandestins et les originaires de l’Union européenne. 

    Les bien-pensants, pour nous rassurer, mettent en avant que 35 % des arrivées sont des regroupements familiaux ; cela signifie qu’un migrant venu seul fera ensuite venir sa femme et ses enfants, voire ses parents ou ses frères et sœurs et, donc, que les deux millions d’immigrés de 2015 généreront, au final, plus de six millions d’entrants, plus que les naissances !

    L’autre grand contingent de ces nouveaux arrivés est formé de réfugiés, tandis que l’immigration « choisie » (personnes disposant d’un contrat de travail) représente moins de 10 % du total ; cela pose évidemment le grave problème de l’insertion dans le marché de l’emploi d’immigrés souvent sans qualifications. En Allemagne, seulement 42.000 réfugiés sur 1.500.000 auraient trouvé du travail. Les experts les plus pessimistes estiment que, dans vingt ans, 50 % seront toujours au chômage ; l’immigration serait donc un total non-sens économique. L’Union européenne pourra-t-elle supporter longtemps ce fardeau ?

    Une bonne partie des bébés européens ont des parents immigrés. En France, combien de nouveau-nés ont des aïeux originaires d’Afrique ou d’Asie. 20 % ? 35 % ? Difficile de le dire, car tous les fichages dits ethniques sont interdits par la loi. Même compter les prénoms est légalement dangereux. Mais au vu de ces chiffres, on peut avancer que, tôt ou tard dans des pays de l’Union européenne, il naîtra moins de descendants d’« autochtones » que d’enfants d’immigrés. La première à basculer sera l’Allemagne. Et nous ? Quand viendra notre tour, s’il arrive ? En 2050 ? En 2100 ?

    Nier ce « Grand Remplacement » paraît absurde. Le problème est, à mon sens, le suivant : faut-il le craindre ? Simplement le déplorer ? Le trouver naturel, neutre et sans importance ? Ou faut-il carrément s’en réjouir et trouver que c’est une formidable occasion ? À chacun sa réponse.

    http://www.bvoltaire.fr/dernieres-statistiques-prouvent-grand-remplacement/

  • Dans Présent d'hier, un grand entretien avec Charles-Henri d'Elloy, auteur du livre "Les enfants de Maastricht". A ne pas manquer....

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    8912-20170729.jpgMarie de Lisle a interrogé Charles-Heni d'Elloy sur son nouveau livre. Un entretien qu'il faut lire absolument. Présent est en vente chez votre marchand de journaux ou en ligne en cliquant ici

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  • 1er colloque eurasiatique : pour un destin commun des peuples eurasiatiques"

  • Un général italien explique comment régler l’invasion migratoire en quelques jours

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    Il y a, en ce moment, un général qui fait beaucoup parler de lui en Italie. Non pas qu’il ait démissionné puisqu’il est à la retraite après avoir commandé l’armée de l’air dont il est l’un des pilotes les plus décorés, mais parce qu’il s’est déclaré très préoccupé par l’invasion migratoire.

    Le général de corps d’armée Vincenzo Santo n’a pas hésité à répondre ce que personne n’avait jamais osé imaginer lorsque le journaliste du quotidien LiberoIl Giornale – lui a demandé si l’immigration était un phénomène historique qu’il était impossible d’arrêter.

    « Il suffit d’utiliser l’armée pour la mission qui est à l’origine de sa création, celle de défendre nos frontières. Il est tout à fait possible de mettre le holà à cette immigration désordonnée et massive. En quelques jours, l’armée italienne pourrait y mettre fin. »

    Ce soldat très étoilé n’est pas n’importe qui. Il fut numéro deux de l’OTAN en Afghanistan, ancien chef d’état-major de l’ISAF (International Security Assistance Force/Force internationale d’assistance à la sécurité) et, à 71 ans, il est vice-président de l’Institut des affaires internationales, le think tank le plus en vogue en Italie. Il collabore également à l’un des plus importants sites d’information sur la défense et a des relations militaires dans de nombreux pays. Il est, en France, chevalier de l’ordre national du Mérite. Il explique comment il voit l’implication de l’armée italienne dans ce combat pacifique mais indispensable qu’il faut mener contre cette véritable invasion des côtes européennes. 

    « Nous avons les outils pour contrôler la côte libyenne sans y poser le pied. Les routes migratoires qui nous concernent convergent vers Tripoli. La zone à contrôler est beaucoup plus petite que ce que vous pensez. Tout d’abord, nous devons mettre en œuvre le blocage des navires ONG pour les empêcher de pénétrer dans les eaux libyennes. En même temps, nos forces spéciales captureront les trafiquants et les conduiront en prison. Bien sûr, il n’est pas question d’attendre les autorisations des organismes internationaux ni de respecter la souveraineté nationale de la Libye ou d’un autre pays. N’oublions pas que la nôtre est violée chaque fois qu’un navire ou qu’un canot débarque sur nos rivages sa cargaison humaine. »

    La révolte gronde dans l’armée, les douanes et la population qui n’en peut plus de voir débarquer par dizaines de milliers ces migrants venus d’Afrique, très rarement avec des femmes, qui envahissent villes et villages avant de se disséminer à travers l’Europe, vivant dans des conditions d’hygiène indignes et dangereuses. « Comment peut-on avoir confiance dans nos institutions quand un migrant qui a poignardé à Milan un policier est aussitôt relâché ? ». Et le Général Santo d’expliquer qu’il est facile d’imaginer la frustration de ceux qui sont quotidiennement sur la route pour assurer la sécurité des citoyens.

    La création de camps en Libye ne résoudra rien tant qu’y régnera la confusion politique et la présence de djihadistes. « En outre, pour des raisons humanitaires, nous ne pouvons confier aux Libyens la gestion de camps éventuels qui devraient être créés et financés en Tunisie et en Égypte, et peut-être en Algérie. » Et ce général hors normes d’évoquer le problème des clandestins dont il croit nécessaire de les arrêter afin de les réexpédier par avion vers leurs pays d’origine, et pour ce faire, « il faut bien entendu augmenter nos forces de police »

    « Il faut confier aux policiers la mission de retrouver ces clandestins afin de les mettre à la disposition des diverses autorités consulaires, dans le but de procéder à leur identification, même s’ils ont fait disparaître leurs documents et prétendent qu’ils ont été volés ou retenus par les trafiquants afin de rendre plus difficile la recherche de leur pays d’origine. Mais je suis convaincu que si l’on veut remonter à la nationalité du clandestin, on réussit toujours. »

    Qu’il nous serait agréable de rêver que quelques-uns de nos courageux généraux se mettent à s’exprimer comme le général Vincenzo Santo !

    http://www.bvoltaire.fr/general-italien-explique-regler-linvasion-migratoire-quelques-jours/

  • Immigration, droit du sol, multiculturalisme: l’Italie découvre les débats français

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    En Italie, pas un jour ne passe sans que la presse ne rapporte des faits divers impliquant des migrants. La semaine dernière, en Sicile, une contrôleuse de train s’est fait agresser par des immigrés clandestins montés sans billets ; une rixe a opposé Albanais et Nord-africains dans une prison, tandis que des migrants guinéens commettaient des déprédations près de la gare de Milan. 

    Il suffit de parcourir la botte pour constater la profusion de vendeurs à la sauvette africains, la plupart du temps paisiblement occupés à refiler leur camelote. Face à l’afflux incontrôlé de migrants (plus de 83 000 arrivées depuis le début de l’année), le gouvernement de grande coalition centriste appelle en vain l’Union européenne à la rescousse. Et propose d’instaurer le droit de sol, ce qui pourrait provoquer un nouvel appel d’air. Une révolution dans une contrée jusqu’ici préservée de l’immigration massive. Décryptage avec le spécialiste du populisme Marco Tarchi.

    Daoud Boughezala. L’Italie est en première ligne du défi migratoire qu’affronte l’Europe. Vos compatriotes souhaitent-ils majoritairement fermer leurs frontières aux migrants? 

    Marco Tarchi1. Selon les plus récents sondages, les retombées de l’immigration sont devenues la première préoccupation des Italiens et une majorité d’entre eux souhaite l’arrêt des flux. Cependant, une forte minorité se borne à demander la répartition des migrants – réfugiés ou immigrés pour des raisons économiques – parmi les pays de l’Union européenne.

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  • Le Premier ministre hongrois exhorte l’UE à expulser tous les immigrés clandestins

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, lors du discours qu’il a prononcé samedi dans la ville roumaine de Baile Tusnad, a déclaré que l’«empire de Soros» porte atteinte aux intérêts des Hongrois et met en danger non seulement la Hongrie, mais aussi l’Europe dans son ensemble, informe l’agence de nouvelle national roumaine Agerpres.

    Selon M.Orban, «il existe un plan Soros» qui prévoit d’amener en Europe un million d’immigrants du monde musulman pour les installer dans les pays de l’Union européenne.

    «Nous ne pourrons empêcher ce processus que si l’UE regagne sa souveraineté et que chaque État-membre recouvre sa capacité à protéger ses propres frontières. Alors, nous pourrons mettre fin au phénomène migratoire et expulser tous ceux qui sont entrés illégalement», a estimé Viktor Orban.

    «Cela peut-être semble dur, mais je ne pense pas qu’on puisse résoudre ce problème d’une autre façon», a ajouté le dirigeant hongrois.

    Par ailleurs, M.Orban a noté qu’il y avait un mouvement fort en Hongrie qui s’opposait à l’afflux des migrants et que les Hongrois doutaient que les musulmans puissent s’intégrer en raison de différences importantes, voire de contradictions, entre les valeurs, la mentalité, l’éducation et la culture européennes et musulmanes.

    Sputnik

    https://www.suavelos.eu/premier-ministre-hongrois-exhorte-lue-a-expulser-immigres-clandestins