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Europe et Union européenne - Page 793

  • Les paysans français rétablissent une forme de protectionnisme

    Alors que nos agriculteurs sont minés par la concurrence tarifaire des concurrents européens, aucun politique français n’a parlé de protectionnisme. C’est pourtant tout naturellement que les paysans ont mis en place des barrages filtrants aux frontières espagnoles et allemandes.

     

  • La Serbie, entre les États-Unis, l’UE et la Russie – Colloque du 30/06/2015 à Bruxelles. Première partie

    Le mardi 30 juin 2015 se tenait, à Bruxelles, le premier colloque de l’Institut du Monde Multipolaire, sous la Présidence d’Aymeric Chauprade, co-organisé avec leSerbian Institute for Public Diplomacy et en partenariat avec la revue Conflits et Realpolitik.tv. Le thème de cette première réunion était « La Serbie, entre les États-Unis, l’Union Européenne et la Russie ».
    Première partie : introduction et intervention d’Aymeric Chauprade « La Serbie dans le monde multipolaire et son rôle dans les équilibres européens ».

    http://fr.novopress.info/

  • Après un an d’absence, la « Troïka » revient en Grèce

    Des représentants des créanciers de la Grèce, UE et FMI, entameront lundi à Athènes les discussions avec les autorités grecques sur un nouveau prêt au pays.

     

    Les équipes techniques des créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) doivent commencer à arriver à Athènes ce week-end mais les chefs de mission n’arriveront que d’ici à jeudi, a déclaré samedi soir une source du ministère grec des Finances. Les discussions débuteront dès lundi entre les équipes techniques et des responsables grecs pour finaliser l’accord sur un nouveau prêt international au pays, a indiqué de son côté un porte-parole du FMI. Les chefs de mission des créanciers « seront en retard d’un ou deux jours », ils seront à Athènes d’ici à jeudi, a précisé cette source.

    Quelques heures auparavant, la même source avait indiqué à l’AFP que Declan Costello, de la Commission européenne, Rasmus Rüffer, de la Banque centrale européenne (BCE), Delia Velculescu, du Fonds monétaire internationale (FMI), et Nicola Giammarioli, responsable du Mécanisme européen de stabilité (MES), se rendraient à Athènes ce week-end. « Le retard des chefs de mission est dû à des raisons techniques et non pas à des raisons politiques ou diplomatiques », a expliqué cette source qui n’a pas donné plus d’information sur les lieux de ces rencontres.

    Samedi matin, un porte-parole de la Commission n’a pas voulu confirmer la date exacte de l’arrivée des représentants des créanciers à Athènes, indiquant juste qu’ils s’y rendraient dans « les prochains jours ». [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Apres-un-an-d-absence-la-Troika

  • Crise des éleveurs : les agriculteurs maintiennent la pression

    Malgré les accords trouvés ces derniers jours, les éleveurs sont restés mobilisés dans plusieurs régions de France. Près de neuf Français sur dix approuvent leur mouvement de contestation, tandis que 81% d’entre eux se disent prêts à payer plus cher pour acheter de la viande et du lait français.

     

    La crise des éleveurs aura eu pour grand intérêt de faire prendre conscience à l’opinion publique et aux responsables politiques de la gravité de la situation. Selon un sondage BVA-Orange-iTELE publié vendredi, les Français soutiennent les agriculteurs : près de neuf Français sur dix (88%) approuvent le mouvement de contestation des éleveurs français, mobilisés depuis plusieurs jours pour protester contre la faiblesse des prix de la viande et du lait. Et ils se disent prêts à les aider : 81% des personnes interrogées se déclarent également « prêtes à faire un effort financier » pour privilégier le lait et la viande français. En revanche, ils ne font pas confiance (78%) au gouvernement en place pour améliorer leur situation.

    Cette crise n’est d’ailleurs pas terminée. Péages gratuits et opérations escargot sur autoroute, vérification de la provenance des viandes dans de nombreux supermarchés.... Malgré une série de réunions d’urgence et d’accords cette semaine pour relever le prix du boeuf, du porc et du lait, les éleveurs sont restés mobilisés ce samedi dans plusieurs régions de France. Ils disent vouloir vérifier que les promesses seront tenues ou jugent les résultats insuffisants.

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Crise-des-eleveurs-les

  • 17 députés français se rendent en visite officielle en Crimée, dans un contexte de crise agricole due aux sanctions russes.

    C’est à l’initiative du député républicain, Thierry Mariani, que  dix-sept parlementaires (dont 3 sénateurs) sont partis mercredi pour Moscou. Thierry Mariani, Nicolas Dhuicq, Jacques Myard, Yves Pozzo Di Borgoainsi que la plupart de leurs compagnons de voyage, sont des récidivistes; en septembre 2014 ils s’étaient déjà rendus en Russie en compagnie de 14 parlementaires pour assurer le Kremlin de leur soutien dans la crise ukrainienne. Ils ont, comme la fois précédente, rencontrer Sergeï Narychkine, le Président de la Douma. L’originalité, cette fois-ci, tient au fait qu’ils se sont rendus en Crimée. Le rattachement de la Crimée à la Russie, selon la volonté de ses habitants, avait été le prétexte aux séries de sanctions que l’Occident a depuis, fulminées contre la Russie.

    Christine Dalloz, Yannick Moreau tous les deux Républicains, et Jérôme Lambert (RRDP) sont les nouveaux venus, cette année.

    Les parlementaires étaient en Crimée ce jeudi et y resteront demain. Il ont confié au Courrier de la Russie qu’ils militent pour une « Grande Europe, [dans laquelle] nous sommes de toute façon « condamnés » à travailler avec la Russie. L’affaire ukrainienne est un cancer qu’il faut stopper, et pour cela, il faut garder le contact. »

    Un voyage qui rappelle également la visite de parlementaires français à Damas, reçus par Bachar-el-Assad: quatre députés en février 2015, parmi lesquels Jacques Myard, et tout récemment, le parlementaire chrétien-démocrate, Jean-Frédéric Poisson .

    L’Ukraine veut interdire son territoire aux députés…

    Thierry Mariani ajoute : « la Crimée est historiquement russe. Point final. On ne lutte pas contre l’Histoire. Et si quelqu’un estime qu’il s’agit d’une violation du droit international, eh bien, je suis très fier, à 56 ans, de commencer une carrière de délinquant international ! » A propos d’une éventuelle interdiction d’entrée en Ukraine, il précise: « Je connais bien l’Ukraine et j’y étais encore il y a un mois, à titre personnel, afin de rédiger un rapport pour l’Assemblée nationale. J’attendrai que le pouvoir actuel – dont, à mon avis, les jours sont comptés – tombe et je retournerai en Ukraine lorsqu’un nouveau gouvernement sera en place.»

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  • Crise agricole : Propos d’un candide.

    « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France ! » Ces paroles du sage Sully étaient connues de tous les petits français à l’époque où l’on enseignait encore l’histoire à l’école.

    Je regardais la télé hier soir et tombait sur un reportage d’une chaine du service public qui expliquait que l’Allemagne s’en tirait mieux en matière de production bovine parce qu’elle avait privilégié le gigantisme industriel. Et de nous faire visiter une usine d’élevage que les milliers de bovins ne quittent jamais de la naissance à la mort, et le journaliste d’ajouter un brin admiratif : « En Allemagne, on ne voit plus les vaches dans les champs car elles sont toutes rassemblées dans ces immenses hangars qui permettent une réduction significative du cout d’exploitation ».

    Cela n’est pas sans me rappeler les grandes crises viticoles dans les années 70 en France, où les viticulteurs français interceptaient les transports italiens et espagnols qui inondaient nos marchés de piquette équivalente, en mauvaise qualité, à nos vins du sud de la France, mais moins cher en coût de production. Finalement, les gens de l’Aube de l’Hérault et d’ailleurs, ont arraché leurs pieds de vigne et produit un vin de meilleur qualité qu’ils ont pu vendre à nouveau au juste prix aux vrais amateurs, reléguant les vins étrangers bon marché à une position marginale qu’ils n’auraient jamais dû quitter.

    Il serait certes réducteur de limiter la crise agricole à ces seules observations, la politique agricole commune ne fonctionne pas, l’Europe est devenu le champ clos d’une concurrence féroce ou tous les coups sont permis, à cela s’ajoute la crise des sanctions contre la Russie, sur ordre de Washington, qui ferment une part importante de nos débouchés d’exportation. Sans oublier le dictat des chaines de distribution. [...]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

  • Vers une sortie de la zone euro pour la Finlande ?

    Images-4Une pétition appelant à organiser un référendum en Finlande sur la sortie du pays de la zone euro a déjà obtenu plus de 26 000 signatures. Il faut en rassembler 50 000 en six mois pour que le Parlement examine le projet, rapportent les médias internationaux. L'ex-ministre finlandais des Affaires étrangères et député du Parti du centre, Paavo Väyrynen, explique :

    "Le peuple de Finlande doit avoir la possibilité de décider si on reste dans la zone euro ou si on s’unit à d’autres pays de l'Europe du nord, en commençant à utiliser notre propre monnaie parallèlement à l’euro".

    La pétition a été publiée avec le soutien du ministère de justice de Finlande.

    Michel Janva

  • En Suède, des demandeurs d'asile syriens musulmans font fuir des chrétiens

    Un centre suédois accueillant des demandeurs d'asile majoritairement musulmans est devenu rapidement invivable pour des demandeurs d'asile syriens chrétiens qui venaient d'arriver, au motif que ceux-ci portaient des croix. Ils se sont vus intimer l'ordre de ne pas porter les symboles de leur foi, et interdire les espaces communs lorsque des musulmans les utilisaient. Craignant pour leur sécurité, les chrétiens ont fini par partir. Chassés de leur pays par Daesh, ils sont chassés une deuxième fois, et c'est encore l'islam qui les oblige à fuir.

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Agriculture : enfin on parle des charges

    Il y a maintenant plus de 25 ans, réunissant des amis exploitants agricoles, de toutes régions et de toutes sortes, et cherchant à travailler sérieusement sur les dossiers qui plombaient et qui plombent encore l'agriculture, les agricultures françaises devrait-on dire, notre conclusion unanime était alors que la nuisance centrale était celle des charges et des contraintes imposées à nos entreprises par la réglementation française.

    Ce n'est pas l'Europe en effet qui a institué le monopole de la MSA, qui a développé le surendettement des exploitations, qui taxe le foncier non bâti, etc.

    Au contraire dans le contexte de la concurrence européenne si d'autres pays, autrefois moins riches du point de vue agricole, sont devenus plus compétitifs que la France, même dans ce domaine, c'est précisément, en partie, parce que leurs charges sont moins lourdes, et aussi parce que la culture d'entreprise y est mieux respectée. On compte à Paris plus d'organismes agricoles que de congrégations religieuses à Rome, et ceci n'a pas bougé malgré la diminution phénoménale du nombre des paysans.

    Évidence que tous ces constats.

    Je suis particulièrement reconnaissant aux amis du CDCA de l'époque de m'avoir confié ce travail : je le suis d'autant plus qu'à partir de ce moment le nombre de mes ennemis s'est considérablement élargi.

    Nous avons continué notre chemin.

    Beaucoup d'ennemis beaucoup d'honneur.

    Il ne fallait pas toucher à ces intérêts colossaux que gèrent et protègent les bureaucraties franco-françaises. Le CDCA et à sa tête Christian Poucet combattaient pour la liberté, on les a éliminés.

    Remarquez combien cette question des charges était restée tabou, jusqu'à la crise de ces derniers jours, où le métier de l'élevage s'est dressé de manière courageuse et indomptable pour sa survie.

    Je me félicite d'avoir enfin entendu ce 22 juillet sur France Info, M. Xavier Belin, président de la FNSEA, qui est un entrepreneur, évoquer la question des charges.

    Mieux encore, Bruno Le Maire, qui fut ministre de l'Agriculture du gouvernement Fillon, lequel à ma connaissance n'a rien reformé de ce côté-là, se risque aujourd'hui à mentionner cette question.

    Voilà qui prouve combien la situation est grave. Il déclare désormais : "Nous devons abaisser les charges dans le domaine agricole." (1)⇓

    Mais attention, ces apparitions furtives au gré de paroles qui s'envolent, ne suffiront pas à dépouiller la classe politique de son soutien aux monopoles : aux yeux de nos politiciens, il faut à tout prix trouver d'autres boucs émissaires, d'autres solutions que le libre choix ; il faut encore inventer des interventions étatiques présentées pour salvatrices.

    Comme toutes les entreprises les exploitations agricoles françaises ont besoin de moins d'aides, moins d'interventions, moins de contraintes, moins de charges. Cette évidence pour l'ensemble de l'économie était apparue il y a 30 ans.

    On est pratiquement, depuis, resté à l'écart de ce constat : c'est une des causes principales du déclin français.

    JG Malliaraki

    Apostilles

    1.  cf. Le Monde.fr le 22.07.2015 à 12h47.

    http://www.insolent.fr/