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Europe et Union européenne - Page 793

  • « Agressions de Cologne » ou le politiquement correct devenu fou

    Le silence médiatique et politique qui a d’abord succédé aux violences de Cologne le soir du 31 décembre, n’a pas fini de faire polémique. Et si l’une des causes était la dérive du politiquement correct ?

    Tartuffe n’était pas à Cologne la nuit du 31 décembre, mais, pendant quelques jours, policiers, journalistes, politiques ont tiré de leur poche son célèbre mouchoir pour se voiler la face. Comme si une consigne dictée par l’inconscient : « Couvrez ces viols que je ne saurais voir » avait eu raison quelques jours de la réalité. Rappelons rapidement les faits. Le soir du 31 décembre, à Cologne entre la gare et la cathédrale, la foule des fêtards découvre un phénomène crapuleux qui, dans les pays arabes, porte le nom de taharrush gamea, sorte de « harcèlement sexuel collectif ». Des centaines de femmes prises au cœur d’une terrifiante mêlée subissent attouchements, violences, viols. Le premier janvier au matin pourtant, nul, sinon les victimes, ne peut imaginer cette agression de masse. Sur l’air de « Tout va très bien, Mme la Merkel » la police de Cologne établit le bilan positif de la soirée. Silence radio chez les politiques et les journalistes. Les réseaux sociaux vibrionnent mais nul ne sait quel crédit leur apporter.

    Les plaintes cependant affluent et, en quelques jours, prennent des proportions impressionnantes (plus de 750 à ce jour dont 40 % pour agression à caractère sexuelle). « L’insécurité culturelle » (Laurent Bouvet) éclate au grand jour et emporte tout avec elle : la télévision publique fait son mea culpa, la chancelière est l’objet d’attaques venant de toute part, Henriette Reker, maire de Cologne, ajoute l’absurde au tragique en recommandant aux femmes de sa ville de se tenir à un bras tendu des réfugiés. Cette irruption du réel ébranle les plus grandes certitudes. Les réseaux sociaux charrient le désarroi des manichéens qui avaient tracé à jamais la ligne qui sépare le Bien du Mal. On se raccroche désespérément à la branche de l’analogie historique : « Entre avril et septembre 1945, deux millions d’Allemandes violées par des soldats. La faute à l’islam ? » tweete l’élue communiste Clémentine Autain. Ou à celle des causes sociales : « Les jeunes migrants ont connu chômage et misère culturelle » explique Thierry Pech, le patron de Terra Nova à l’émission « Esprit public ». [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Agressions-de-Cologne-ou-le

  • La mèche est allumée

    TP_66_couverture.jpgLes hommes du Système ont eu chaud aux fesses. Gauche et droite ont révélé, de façon particulièrement spectaculaire en Nord-Pas de Calais-Picardie et en PACA, leur connivence profonde, avec le seul souci de sauver leurs prébendes (c’est ce qu’ils appellent « sauver la République »…).
    Leur victoire est une victoire à la Pyrrhus : le quotidien La Provence (14 décembre) est obligé, la mort dans l’âme, de reconnaître que « le paysage politique ressemble bien à un champ de ruines ». Mais nous, nous sommes les hommes au milieu des ruines…
    Les chiffres sont là : le Front National, en rassemblant 6,82 millions de voix, passe de 118 à 358 conseillers régionaux. Et, quand on regarde de près les résultats, on voit se dessiner des réalités de terrain. Ainsi, dans le département des Alpes de Haute-Provence, Marion Le Pen est en tête dans 54 communes. Cela signifie que le secret des futures réussites est dans l’ancrage territorial, local. Avec la perspective de prendre des mairies et de tisser des réseaux efficaces.
    Mais le plus important n’est sans doute pas là. Il est dans les perspectives qui s’ouvrent pour ceux qui, comme nous, considèrent les enjeux électoraux comme de simples leviers destinés à contribuer – mais seulement à contribuer – à faire s’écrouler le Système. Cet écroulement deviendra possible quand, dans les têtes, aura progressé la mentalité révolutionnaire (on ne discute pas avec le Système, on le détruit).
    L’essentiel est la conquête culturelle des esprits, qui prépare, comme l’enseigne Gramsci, la conquête politique. De ce point de vue là, nous sommes sur la bonne voie et les moins stupides des gens d’en face le savent fort bien (c’est même ce qui les inquiète le plus). A nous d’enfoncer le clou.
    En clair, le sentiment de frustration né de la déception d’une victoire volée doit déboucher, chez les électeurs du FN, sur une prise de conscience allant dans le sens d’une radicalisation, totale et irrémédiable. Radicalisation des convictions, radicalisation des projets. Qui permette d’en finir, enfin, avec l’illusion que la droite peut sauver quoi que ce soit dans le naufrage d’une société que nous sommes en train de vivre. Marion Le Pen, cette frêle jeune femme qui a révélé qu’elle était en acier trempé, a bien résumé la situation en déclarant : « Ils ont gagné une élection mais ils ont perdu leur âme (…) Il y a des victoires qui font honte au vainqueur (…) Ces régions que la gauche a fait gagner à la droite est un cadeau empoisonné (..) S’ils pensent nous effrayer, nous décourager, ils se trompent… Nous allons redoubler d’efforts et de combativité ».
    Alors que le chômage, la misère, l’insécurité, l’immigration-invasion vont continuer, immanquablement, à répandre toujours plus leurs ravages, il n’est plus temps de faire la fine bouche sur l’impératif de l’engagement car il existe, clairement, désormais en France, deux camps et seulement deux : les agents (et les victimes consentantes, bêlantes) du Système et les Patriotes. Quand l’ennemi est là, dans nos murs, nous ne sommes pas du genre à couper les cheveux en quatre et à discuter du sexe des anges. C’est pourquoi nous marchons au son du canon.

    Pierre Vial 

    http://www.terreetpeuple.com/terre-et-peuple-magazine-communaute-6/571-terre-et-peuple-magazine-n-66-hiver-2015/1371-editorial-tp-mag-n-66.html

  • Oskar Freysinger : « On ne peut pas faire venir un millions d’étrangers comme Mme Merkel et croire que tout va bien aller » – référendum sur l’expulsion des criminels étrangers le 28 février

    La suisse est un pays souverain , la cours européenne doit donc être soumise au droit suisse selon l’élu. Le référendum sur « l’Initiative populaire fédérale sur le renvoi des étrangers criminels « qui aura lieu le 28 février en Suisse à l’initiative du parti UDC dont Oskar Freysinger est le vice-président, est l’objet principal de cette interview, elle fait suite à la précédente initiative de l’UDC sur le renvoi des étrangers criminels qui fut adoptée en 2010. Elle est combattue par une écrasante majorité des formations politiques, de la gauche à la droite. Mais cette opposition n’effraie visiblement pas l’UDC. Ancien conseiller national, le conseiller d’Etat valaisan Oskar Freysinger est vice-président de l’UDC Suisse.

    Le côut des  prisonniers étrangers (73% de des prisonniers) coûtent 730 millions par an de Francs suisses. Une loi qui est différente de la déchéance de nationalité qui va être débattue en France, car elle ne concerne pas les bi-nationaux qui ont un passeport suisse. Car elle concerne l’expulsion automatique des criminels étrangers coupables de faits graves. Avec cette procédure cela concernerait le renvoi de 10 000 étrangers par an dans leur pays respectifs.

    freysinger

  • Moldavie : le peuple ne veut pas du nouveau Premier ministre pro-UE et envahit le parlement

    A Chisinau, la capitale moldave, la foule a laissé exploser sa colère après la désignation du nouveau Premier ministre. Le pays traverse une grave crise liée à d’incroyables scandales politico-financiers qui ont conduit à la disparition d’un milliard de dollars, à la démission du gouvernement et à l’inculpation pour corruption de l’ancien Premier ministre accusé d’avoir volé 250 millions de dollars.

    Mercredi, des manifestants se sont introduits dans le parlement après l’approbation par les députés de la nomination d’un politicien pro-UE au poste de Premier ministre.

  • La Commission européenne commence à craquer

    Louis Anders, journaliste

    ♦ « L’Union ne se trouve pas dans un bon état », a déclaré le 15 janvier le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, devant un parterre de journalistes accrédités, n’hésitant pas à évoquer « le début de la fin ».

    La Commission européenne, davantage prompte à la dénégation, a laissé échapper un premier signe d’essoufflement dans sa volonté de créer un État centralisé sur le continent. Relatant l’année 2015, qui a vu en Europe l’arrivée d’un gouvernement eurosceptique en Grèce puis sa mise sous tutelle, l’entrée massive d’immigrés illégaux accueillis à bras ouverts par l’Allemagne, et deux massacres islamistes inédits en plein Paris, le président de la Commission s’est dit « impressionné par le nombre de fragilités » et les « ruptures » apparues au sein de l’Union européenne.

    Inquiet sur l’euro, entre autres…

    La récente arrivée d’un pouvoir souverainiste en Pologne a avivé davantage les craintes de Jean-Claude Juncker, dont la Commission a entamé en ce mois de janvier une procédure de surveillance pour éviter qu’un second pays d’Europe centrale n’échappe à son emprise (après la Hongrie).

    « Ma génération n’est pas une ‘génération de géants », est allé jusqu’à se plaindre le président de la Commission européenne dans un étrange élan de faiblesse.

    Concernant l’euro, l’homme a montré son inquiétude. « A quoi bon avoir une monnaie unique si nous ne pouvons pas voyager librement ? Schengen [les clauses qui permettent un rétablissement aux frontières nationales] risque de mettre fin » à la monnaie unique.

    2016, année-charnière pour l’UE ?

    L’ancien premier ministre du Luxembourg, où nombre de multinationales cotées ont déplacé leurs sièges pour des raisons fiscales et où est logée l’une des plus grandes chambres mondiales de compensation entre comptes (la très opaque Clearstream), possède-t-il des informations sur l’état financier de l’Union ?

    Comme pour faire écho à ses craintes, les 18 et 19 janvier ont vu un début de panique sur plusieurs banques italiennes, dont les obligations et les actions ont été massivement vendues, provoquant des suspensions de cotation. Un événement propre à intensifier les risques de fracturation financière dans la zone euro.

    2016 : année du début de la fin pour la Commission européenne ?

    Louis Anders, 20/1/2016

    Source : Politique magazine

    http://www.polemia.com/la-commission-europeenne-commence-a-craquer/

  • Après Cologne, les conséquences d’une insécurité culturelle devenue réalité

    La gravité des événements survenus au soir du 31 décembre dans la ville allemande sonne peut-être pour la gauche l'heure de la fin des illusions du multiculturalisme normatif
    L’affaire de Cologne –ce qui s’est passé en fait dans plusieurs villes allemandes et européennes au soir du 31 décembre– est d’une gravité exceptionnelle. Si ces faits n’ont bien évidemment pas la même portée qu’un attentat terroriste, tels ceux que la France a, comme d’autres pays, connus l’an dernier, ils pourraient en revanche jouer un rôle similaire voire plus profond encore dans la conscience collective des sociétés européennes au regard de l’immigration et de l’islam.
    Le terrorisme reste en effet un passage à l’acte fort heureusement exceptionnel, une violence ultime, alors qu’on est là, dans les événements du 31 décembre en présence d’actes quotidiens même s’ils ont été perpétrés d’une manière et à une échelle inédites en Europe. Le harcèlement sexuel collectif et massif de femmes dans le même lieu, public, est en effet une pratique qui rappelle ce qui a pu avoir lieu dans certains pays arabes, on pense immédiatement à la place Tahrir au Caire.
    Insécurité physique et insécurité culturelle
    L’onde de choc de ces actes n’est même pas encore absorbée –on notera ici qu’elle a d’ailleurs mis un certain temps avant de se diffuser dans les médias, signe de la sidération et de l’embarras qu’elle a occasionnée– que leurs conséquences en matière de débat public sur l’entrée des migrants et les conditions de leur intégration ont déjà été bouleversées en Allemagne comme ailleurs en Europe. Et ce alors même que les enquêtes sur les origines de ces faits n’ont pas livré leurs conclusions.
    Ce sont les moeurs et le mode de vie au quotidien des sociétés européennes qui sont cette fois très directement concernés: le fait pour les femmes de pouvoir sortir et se déplacer librement dans l’espace public. L’insécurité physique rejoignant ici, donnant corps si l’on peut dire, matériellement, à l’insécurité culturelle ressentie vis-à-vis de l’arrivée de migrants; le harcèlement des femmes incarnant la crainte d’une remise en cause de certains modes de vie, spécialement pour les femmes, en raison de l’arrivée d’étrangers, de religion et de culture musulmane notamment, dans les sociétés européennes.
    De tels faits peuvent dès lors conduire non seulement au renforcement de l’hostilité aux migrants au sein de l’opinion publique européenne mais encore, plus profondément, à une remise en question, au sein de la gauche notamment, de l’idéal diversitaire du multiculturalisme normatif qui a de longue date été adopté comme élément-clef de son programme politique voire de sa stratégie électorale.
    Une hostilité croissante aux migrants
    L’affaire de Cologne témoigne en effet de la réalisation d’un certain nombre de craintes énoncées à l’égard de l’entrée de migrants en Europe depuis la crise de l'été 2015. Comme si les représentations qui étaient à l’époque construites sur des préjugés ou des fantasmes étaient validées aujourd’hui par le comportement de certains de ces migrants. Ainsi, par exemple, le présupposé suivant lequel dans la masse de migrants, il pourrait y avoir non seulement des terroristes potentiels mais encore des délinquants potentiels et, en l’espèce, des jeunes gens dont l’éducation ou la culture ne leur permettent pas de s’intégrer immédiatement dans les sociétés d’accueil, eu égard notamment à leur compréhension des rapports hommes-femmes, a-t-il été confirmé par l’attitude des groupes d’agresseurs du 31 décembre.
    Comme le résumait parfaitement l’écrivain Thierry Jonquet: «Ne pas dire la vérité, c’est laisser à ses ennemis politiques le privilège de la dire à votre place»
    La confirmation de telles craintes invalidant de facto nombre des discours tenus à l’époque sur la distinction entre les réfugiés et les migrants économiques par exemple ou encore sur le fait que le niveau de diplôme et plus largement le niveau socio-culturel des migrants, syriens notamment, serait en moyenne élevé et permettrait donc une intégration plus rapide aux sociétés d’accueil.
    D’autant plus que les attentats terroristes en France notamment, et les différents réseaux mis à jour à l’occasion des enquêtes qui les ont suivis, apportent eux aussi de l’eau au moulin aux critiques de l’ouverture des frontières européennes puisque certains activistes islamistes voire directement des terroristes ont pu se servir des portes d’entrée des migrants pour aller et venir entre la Syrie ou l’Irak et l’Europe. Un continuum délétère entre le risque «culturel» et le risque terroriste que représenterait l’accueil des migrants pouvant ainsi très vite être établi aux yeux de l’opinion.
    La confirmation par les faits de ces craintes et de ces peurs évoquées depuis des mois venant, une fois de plus, renforcer le discours de ceux qui s’en servent le mieux dans le débat public, à savoir les partis populistes d’extrême-droite. Comme le résumait parfaitement l’écrivain Thierry Jonquet: «Ne pas dire la vérité, c’est laisser à ses ennemis politiques le privilège de la dire à votre place».
    La fin de l’illusion multiculturaliste à gauche

    Face à un tel défi, la gauche semble manquer cruellement d’arguments, au point qu’elle donne l’impression de se réfugier dans une forme de déni du réel, en mettant en cause par exemple l’usage que fait l’extrême-droite de ces événements plutôt que les faits eux-mêmes!
    Or il ne faut pas s’y tromper, il s’agit d’un événement-clef, surtout à l’heure où les forces de gauche peinent, dans la plupart des pays d’Europe, à convaincre du bien-fondé de leur programme économique –du moins de ses différences avec celui des partis de droite. Les questions de société et identitaires étant devenues d’autant plus déterminantes pour l’ensemble des forces politiques depuis que les électeurs, tout particulièrement à gauche, ne font plus confiance à leurs dirigeants pour résoudre les difficultés économiques et sociales qu’ils connaissent (chômage, pouvoir d’achat, impôts…)– et évidemment depuis qu’une partie des électeurs privilégient nettement ces thématiques dans leur choix des partis populistes d’extrême-droite.
    Pour une majeure partie de la gauche, tout spécialement en France, ces événements pourraient bien marquer, plus encore que les attentats, la fin des illusions du multiculturalisme et, avec lui, de la possibilité même d’envisager une stratégie politique reposant sur l’alliance des minorités partie-prenantes de ce multiculturalisme –stratégie que l’on connaît depuis 2011 sous le nom du think tank «progressiste» Terra Nova.
    Pour une majeure partie de la gauche, ces événements pourraient bien marquer, plus encore que les attentats, la fin des illusions du multiculturalisme
    On avait déjà compris, à l’occasion de certaines réactions d’associations et de familles musulmanes à l’occasion du débat sur le mariage pour tous ou de la querelle autour des «ABCD de l’égalité» dans les écoles en 2012-2013, qu’une «coalition progressiste» regroupant les «dominés» ou les «discriminés» serait difficilement réalisable dès lors que cela concernait des questions dites de société ou de moeurs. Les intérêts et le rapport à l’identité étant trop éloignés d’une «minorité» à l’autre pour pouvoir constituer un projet politique commun.
    On pourrait bien finir par comprendre aujourd’hui, au sein de cette gauche multiculturaliste, que la défense de la cause des femmes (de leur émancipation, de leur liberté, et de leur égalité avec les hommes) est strictement incompatible avec certaines habitudes, conceptions ou représentations culturelles et religieuses, du moins sans un effort conséquent d’éducation et d’exigence vis-à-vis de ceux qui ne s’y conforment pas. Le fait que ces derniers soient, comme c’est le cas dans les événements du 31 décembre, issus de l’immigration et qu’ils soient de culture ou de religion musulmane, pose un gros problème à cette gauche, celui du choix entre deux «valeurs» essentielles à ses yeux: le féminisme d’une part, le respect des différences identitaires culturelles de l’autre.
    Les défis et bouleversements actuels pourraient ainsi représenter, pour cette gauche qui croit encore à la possibilité d’un multiculturalisme normatif, l’occasion historique d’une transition: de la défense d’un droit absolu à la différence identitaire comme fondement du «vivre ensemble» contemporain (au nom du respect des différences culturelles et religieuses notamment) à la promotion d’un droit à l’indifférence des individus dans l’espace public, quelle que soit leur identité. Dans le contexte français, une telle transition, un tel déplacement, permettrait assurément de faire revivre, par la gauche si l’on peut dire, un républicanisme trop souvent oublié ou fustigé en son sein. Et accessoirement, cela permettrait aussi aux forces politiques qui se réclament de la gauche de pouvoir à nouveau être audibles auprès de certains de nos concitoyens. Ceux qu’elle a, de longue date, perdus en raison de ses errements multiculturalistes. Si des drames que nous vivons pouvait sortir quelque chose de bon politiquement, une telle évolution en ferait assurément partie.

    Laurent Bouvet Slate :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVkAFyuAVvscjFDlo.shtml

  • Big Brother Facebook lutte contre les messages « extrémistes »

    Critiquée par le gouvernement allemand pour « négligence » dans la lutte contre « la propagation des discours de haine », qui ont suivi l’afflux de 1,1 million de clandestins en Allemagne depuis l’été, Facebook s’est engagé à agir.
    Facebook a donc lancé lundi une opération intitulée « Initiative pour le courage civil en ligne », à Berlin. Doux euphémisme pour qualifier la répression du « politiquement correct. »
    Facebook veut non seulement modérer les propos, mais aussi mobiliser la société civile. La société promet un million d’euros, pour soutenir les ONG luttant « contre le racisme et la xénophobie ». Facebook a annoncé avoir fait appel aux services d’une filiale de l’éditeur allemand Bertelsmann pour surveiller et effacer les messages « racistes » publiés sur sa plate-forme en Allemagne.
    « Big Brother » nous regarde vraiment.

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  • « Brexit » : les banques mettent le paquet pour que l’Angleterre reste dans l’UE

    La City ne voit pas du tout le Brexit d’un bon oeil. De plus en plus nerveux à mesure que la perspective du référendum britannique sur la sortie de l’Europe se rapproche, le secteur bancaire a sorti le chéquier pour militer à sa façon.

    Selon Bloomberg Business, la banque d’affaires Goldman Sachs, l’une des plus riches de Wall Street, a fait un don de plusieurs centaines de milliers de livres à Britain Stronger in Europe, un lobby qui fait campagne contre le Brexit.

    Le montant précis de la donation n’a pas été divulgué puisqu’il ne s’agit pas d’un parti politique. Mais pour Goldman Sachs, qui compte 6000 employés sur 34.000 en Grande-Bretagne, l’enjeu est de taille. Tout comme pour ses concurrentes JP Morgan et Bank of America Merril Lynch,qui doivent à leur tour signer un chèque dans les prochains jours.

    Ce n’est pas la première fois que le secteur bancaire montre des signes de fébrilité. Début 2015, la Deutsche Bank a été l’une des premières à dégainer, estimant devoir rapatrier à Francfort une partie de ses 9000 employés anglais en cas de Brexit.

    Le référendum pourrait avoir lieu dès le mois de juin

    Promis par David Cameron avant fin 2017, le référendum sur l’appartenance à l’Union européenne pourrait se tenir dès le mois de juin de cette année, croit savoir The Guardian. Le premier ministre britannique, opposée à la sortie de l’UE, estimerait que l’enlisement de la crise des réfugiés joue contre lui.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Parlement européen : quotas obligatoires d’immigrés dans tous les États

    Le voici enfin ! Le grand rapport sur l’immigration (en novlangue, « rapport d’initiative stratégique sur la situation en Méditerranée et la nécessité d’une approche globale de l’Union européenne vis-à-vis des migrations », destiné à définir « la position officielle du Parlement européen sur l’immigration ») confiée à Kashetu Kyenge, l’ancienne clandestine devenue politicienne de gauche en Italie, et à la maltaise Roberta Metsola (du Parti populaire européen, le groupe censément conservateur où siègent les « Républicains » — UMP) est enfin prêt. Il sera discuté dans les prochaines semaines à la commission « Libertés publiques » du Parlement européen, et en séance plénière en mars ou avril.

    « Le rapport,comme l’explique fièrement Kyenge, a une approche globale et pas seulement sécuritaire et en termes d’urgence ». Outre des dispositions tristement prévisibles, comme « un mécanisme européen permanent de recherche, de sauvetage et d’assistance des migrants en péril », pour aller chercher en mer toujours plus de clandestins, la principale nouveauté est d’introduire des quotas. Mais attention, pas des quotas pour limiter le nombre d’immigrés, mais au contraire pour l’augmenter encore.

    Kyenge a fièrement expliqué ce beau mécanisme devant les caméras. Chaque État européen se verra attribuer un quota obligatoire de « migrants ». Une fois qu’un État aura atteint son quota, on enverra les « migrants » dans les autres États. Et lorsque tous les États ont leur quota ? Eh bien, « on retourne au premier pays qui a déjà atteint son seuil » et on lui colle un nouveau quota. Et ainsi de suite, jusqu’à extinction – la nôtre, bien entendu. C’est ce que la Congolaise la plus célèbre d’Italie appelle « le principe de la solidarité et du juste partage des responsabilités ». En d’autres termes, l’organisation planifiée de l’invasion.

    http://fr.novopress.info/197259/parlement-europeen-quotas-obligatoires-dimmigres-les-etats/