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Europe et Union européenne - Page 837

  • La Cour Européenne des Droits de l’Homme impose à l’Italie la vente d’enfants par GPA

    La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné le 27 janvier 2015 l’Italie pour avoir retiré à un couple l’enfant acheté 49.000 euros, et à lui verser 30.000 euros de dommages.

    L’enfant avait été purement et simplement produit sur commande et vendu. La société qui a vendu l’enfant explique avoir acheté des gamètes humains puis loué une mère porteuse.
    Les autorités transalpines avaient refusé de donner un état civil Italien à un bébé acheté en mars 2011 en Russie. Un test ADN révéla que l’enfant n’avait aucun lien génétique avec le couple de « parents » et devait donc être confié à un organisme chargé de s’occuper de son adoption.

    Saisie par le couple, la Cour de Strasbourg a jugé que la relation créée par les acheteurs à l’égard de l’enfant constitue une « vie familiale » et par conséquence confère ainsi aux acquéreurs un droit sur cet enfant.

    Source et article plus détaillé sur Le village de la justice.

    http://fr.novopress.info/

  • 21 Coptes assassinés et attentat au Danemark : inégalité de traitement

    Alors que BFM et iTélé ont traité en boucle le sujet de l'attentat qui a lieu hier au Danemark, Bernard Antony s'interroge sur la moindre médiatisation de l'assassinat de 21 Coptes par l'Etat islamique, crime particulièrement odieux et diffusé par vidéo, dans laquelle le message est pourtant clair et vise spécifiquement les Chrétiens : "Message signé avec le sang adressé à la nation de la croix"

    "D’évidence, la décapitation de 21 chrétiens coptes en Libye par les barbares de l’État islamique ne soulève pas la même intensité d’indignation médiatique que celle suscitée par d’autres odieux assassinats en Europe ou en Amérique

    De même, s’interrompt bien vite le suivi des abominations et enlèvements perpétrés par les hordes de Boko-Haram. Ceci est profondément regrettable. Faut-il parler d’une inégalité de traitement, inconsciente peut-être, mais réelle selon l’origine ethnique ou religieuse des victimes ? 

    Peut-être aussi ne veut-on pas évoquer l’accablante responsabilité de la politique à l’égard de ce pays du gouvernement français de M. Nicolas Sarkozy avec M. Juppé comme ministre des Affaires Étrangèreset Bernard-Henri Lévy comme principal instigateur ? On se souvient trop peu de ce que le 26 août 2011 M. Juppé n’hésita pas à déclarer au quotidien Le Parisien avec l’assurance hautaine qui le caractérise : 

    « L’opération française en Libye est un investissement sur l’avenir» (sic !). 

    Le même Juppé précédemment, le 6 mars 2011, avait, on s’en souvient aussi, exprimé combien étaient « intéressants » les Frères musulmans qu’ils avait rencontrés au Caire. Pour une telle suite d’inepties, dans d’autres pays on aurait sinon invité M. Juppé à se faire « hara-kiri », du moins à avoir la décence de ne plus prétendre à des responsabilités gouvernementales

    Chrétienté-Solidarité formule des vœux pour que le général Sissi puisse poursuivre son œuvre de libération de l’Égypte de la dictature des Frères musulmans hélas très implantés à Bordeaux (...) 575x194xisis-message-blood-575x194_jpg_pagespeed_ic_0VbrVeM3XEx_XAVapyXw
    Comme le souligne justement Yves Daoudal sur son blog sur le même sujet :

    "Il faudrait mettre Sarkozy et BHL en première ligne. Ou au moins les juger. Car, si les mots ont un sens, le renversement et l’assassinat de Kadhafi ont été un crime contre l’humanité."

    Philippe Carhon

  • Attentats de Copenhague : un défi européen – par Vincent Revel

    Après Londres, Madrid, Bruxelles et Paris, nous avons à présent Copenhague ! Si le sujet n’était pas aussi tragique et si nous n’avions pas la « chance » d’avoir le sauveur du monde libre comme président, nous pourrions dire : « A qui le tour ? »

    Pour ne pas citer correctement le problème auquel nous sommes confrontés, nos journalistes et nos politiques nous expliquent avec sérieux que le terrorisme vient encore de frapper le monde libre. En employant ce mot, neutre et impersonnel, en niant l’ampleur et la réalité des faits, nos désinformateurs utilisent ce moyen détourné pour ne pas avoir à nommer précisément la cause et l’origine de ce terrorisme.

    Ce déni de réalité, dicté par la pensée unique, nous emmène tout droit vers une prochaine catastrophe. Pourtant, et malgré la propagande officielle du bien vivre ensemble, au Danemark, depuis l’affaire des caricatures de Mahomet, publiées dans le quotidien Jyllands-Posten, les Danois commencent doucement à prendre conscience que les valeurs de l’islam ne sont pas toujours compatibles avec les leurs. Représentant désormais 5% de la population de ce petit royaume scandinave, les musulmans connaissent là aussi de sérieux problèmes d’intégration.

    Pour ne pas citer correctement le problème auquel nous sommes confrontés, nos journalistes et nos politiques nous expliquent avec sérieux que le terrorisme vient encore de frapper le monde libre. En employant ce mot, neutre et impersonnel, en niant l’ampleur et la réalité des faits, nos désinformateurs utilisent ce moyen détourné pour ne pas avoir à nommer précisément la cause et l’origine de ce terrorisme.

    L’ancien ministre de l’Intégration Rikke Hvilshoj se plaignait en 2006, malgré le politiquement correct qui sévit aussi chez eux, que de nombreuses femmes musulmanes cherchaient avant tout à « bénéficier de tous les avantages sociaux »sans jamais vouloir travailler, mettant en péril l’Etat-providence. Lors de cette crise dite des « caricatures » et face à la menace de boycott des pays musulmans qui s’en suivit, le Danemark se retrouva bien seul. L’éditeur Flemming Rose avoua tristement :« Cette affaire dépasse tout ce que l’on peut imaginer, c’est complètement fou. Tout ce que nous avons fait est de publier douze dessins. »

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  • L’Europe à la croisée des chemins

    Après de nouveaux attentats terroristes se revendiquant de l’islam, on ne peut que s’étonner d’entendre parler de conversions d’Européens de souche à l’islam. Mais au fond, qu’ont-ils trouvé en cette religion que notre société ne leur a pas offert ?

     

    Après de nouveaux attentats terroristes se revendiquant de l’islam, on ne peut que s’étonner d’entendre parler de conversions d’Européens de souche à l’islam. Mais au fond, qu’ont-ils trouvé en cette religion que notre société ne leur a pas offert ? Cet attrait pour l’islam est pour nous, Européens, une formidable et vitale occasion de nous remettre en question. Car si des gens se convertissent, c’est qu’ils ont trouvé une transcendance que notre société ne leur apportait pas, ou qu’ils n’ont pas su trouver en elle.

    Chacun se rappelle les paroles du Christ en Matthieu 5:3 : « Heureux les pauvres en esprit », traduites de façon plus appropriée (Bible du Semeur) par « Heureux ceux qui se reconnaissent spirituellement pauvres ».

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  • Le chef tchétchène pro-russe Kadyrov rappelle ses volontaires d’Ukraine pour contrer une campagne islamiste en Tchétchénie

    Le président de la République de Tchétchénie, Ramzan Kadyrov, a donné l’ordre à tous ses volontaires en mission en Ukraine de retourner immédiatement en Tchétchénie (source). Ces troupes soutenaient les séparatistes prorusses du Donbass. 
    La première raison évoquée est relative aux relations difficiles entre Tchétchènes et Russes sur le terrain, ce qui rend complexe la coordination des opérations entre unités. 
    La seconde raison est la volonté des Tchétchènes prorusses de venger Isa Munayev, dissident tchétchène et vétéran des guerres de Tchétchénie, engagé auprès des Ukrainiens dans le Donbass. Même Kadyrov reconnaissait que Munayev était un chef de guerre “très efficace” quoiqu’il le qualifia “d’ennemi personnel”. Solidarité tchétchène oblige, l’annonce de sa mort a semé un froid chez les troupes tchétchènes du Donbass. En conséquence, ces derniers ne veulent plus affronter leurs compatriotes ayant choisi de soutenir Kiev. 
    La troisième raison se trouve dans le Caucase lui-même. Des informations concordantes indiquent que des cellules djihadistes composées de Tchétchènes et d’étrangers – potentiellement agitées par Washington et le Qatar – planifieraient leur retour depuis la Syrie vers la Tchétchénie au printemps afin d’y ouvrir un second front contre Moscou. 
    Les affrontements entre forces de sécurité russes et islamistes tchétchènes proches d’Al Qaida ont augmenté en 2014. Un attentat à Grozny ayant fait plusieurs morts a particulièrement inquiété Kadyrov et le Kremlin (source). C’est ce climat qui explique que Kadyrov ait cru utile d’apparaître en défenseur de l’islam suite aux caricatures de Charlie Hebdo en organisant au pied de la mosquée portant le nom de son père à Grozny un rassemblement de protestation monstre (source). Il s’agit pour le vassal de Vladimir Poutine de ne pas laisser le monopole de la religion aux groupes armés qui s’apprêtent à venir contester son leadership. 
    Moscou a aussi de bonnes raisons de craindre l’ouverture d’un second front. Le calme en Tchétchénie tient notamment aux dons considérables consentis par le gouvernement central. Or, ils devraient être réduits de 50% en 2015 en raison des sanctions économiques occidentales. De quoi inquiéter le gouvernement russe qui sait la “loyauté tchétchène” fortement conditionnée à sa capacité d’acheter la paix civile dans la région. Kadyrov lui-même aura beaucoup de difficultés à maintenir sa suzeraineté sur des seigneurs de guerre moins généreusement rémunérés.

  • Les médias occidentaux : marionnettes ou agents inconscients de l’expansion américaine ?

     En mars et mai 2014 j’ai été invité à m’exprimer (très brièvement) sur la chaine française LCI, à propos de l’évolution de la situation en Ukraine.

    J’ai dit, à l’encontre de tout le mainstream médiatique ambiant de l’époque, que la Russie n’avait aucun intérêt à une partition de l’Ukraine, et les européens non plus. J’ai aussi affirmé que les événements en cours avaient leur source hors d’Europe et plus précisément en Amérique.

    Il est vrai que quelques semaines auparavant, la presse russe avait révélé un enregistrementbien embarrassant, repris par le Huffington Post. La secrétaire d’état adjointe (américaine) chargée de l’Europe, Victoria Nuland, et l’ambassadeur des États-Unis en Ukraine, Geoffrey Pyatt, discutaient de la situation chaotique qui s’installait en Ukraine, et madame Nuland a prononcé une phrase pas très diplomatique: « Que l’UE aille se faire foutre ». Cette phrase résume parfaitement la façon dont Washington manage sa relation avec son allié européen: L’UE n’a pas à donner son avis sur les affaires européennes.


    Dès le début de cette crise en Ukraine, les rares commentateurs qui ont accusé Washington de déstabiliser la région se sont fait traiter d’agents russes. On entend bien que le journaliste français de LCI qui m’interroge me présente tout naturellement comme: Le point de vue russe, pour ne pas dire la voix de Moscou, rien que ça! Pourtant je ne représente ni la Russie ni la France, je fais seulement partie des millions d’Européens qui s’inquiètent de voir l’Union Européenne transformée en protectorat américain. Je fais aussi partie de ceux qui, dans de nombreux pays, souhaitent un monde multipolaire.

    A ma connaissance du reste, LCI n’a pas relevé que le président Barack Obama, qui n’est pas la voix de Moscou, vient récemment de confirmer ce que je disais, en affirmant que l’administration américaine a clairement arrangé le changement de pouvoir en Ukraine. Il confirme ainsi la responsabilité américaine dans la déstabilisation de la région.

    Washington semble du reste être passé à la vitesse supérieure dans la volonté de déclencher un conflit en Europe orientale avec la Russie. Le congrès américain discute en ce moment de l’alourdissement des sanctions contre la Russie, et aussi de la livraison d’armes lourdes à l’armée ukrainienne pour qu’elle poursuive ses opérations dites anti-terroristes, qui ont déjà couté la vie à des milliers de civils dans l’Est de l’Ukraine.
    Simple effet de prisme et démonstration de l’odieux double standard américain: Imaginons qu’en Russie, en ce moment, la Douma (le parlement russe) soit en train de discuter de la livraison d’armes à longue portée aux fédéralistes de l’Est de l’Ukraine, pour que ces derniers puissent bombarder Kiev. Est-ce qu’il n’y aurait pas une grande indignation dans la pacifique coalition occidentale et internationale?

    L’ex-secrétaire général de l’Otan Anders Fogh Rasmussen vient d’affirmer il y a quelques jours que les ambitions de Vladimir Poutine vont au-delà de l’Ukraine et qu’il pourrait attaquer un état balte afin de tester la solidarité de l’Occident justifiant ainsi un renforcement historique de l’OTAN à l’est de l’Europe.

    Certains analystes américains et certains de leurs collègues européens pensent avoir trouvé une explication à ces comportements supposés qui caractérisent le président russe: Il souffrirait d’autisme, ou plus précisément du syndrome d’Asperger! Très curieusement et alors que c‘est une obscure fonctionnaire du Pentagone qui a fait un rapport dans ce sens il y a plusieurs années, cette information a inondé de façon unilatérale et totalitaire cette semaine la quasi-totalité des médias français sans qu’aucune analyse n’allant pas dans ce sens n’ai la moindre place dans le paysage médiatique.

    Cette obsession à vouloir que le président russe ne soit pas quelqu’un de normal est une manifestation de la totale incompréhension de nombre d’acteurs du bloc occidental à accepter l’existence d’un agenda russe qui diffèrent du leur. Ce n’est pas une nouveauté loin de là. Déjà en 1996 des experts militaires américains jugeaient les russes pour la plupart irrécupérables et un fonctionnaire de l’alliance affirmait ne jamais pouvoir s’habituer à Entendre parler russe au QG de l’OTAN. C’est peut être toute cette hystérie qui a finalement contaminé jusqu’à Angela Merkel qui l’année dernière affirmait elle aussi que Vladimir Poutine vivait dans un autre monde.

    Tout ça ressemble beaucoup et surtout à une hystérie anti russe dont on doit se demander quels intérêts elle sert.

    Qui aujourd’hui pourrait sérieusement imaginer que la Russie ne souhaite ou ait intérêt à attaquer un pays Européen ou un pays de l’Otan? Pourtant, en mars et septembre 2014, j’ai donné deux conférences à Paris, au siège de l’UMP, devant des membres de la droite populaire, et à 6 mois d’intervalle, le même étudiant polonais, (représentant de je ne sais quelle association franco-polonaise) qui s’était assis au même endroit dans la salle, m’a posé la même question: Pensez-vous que la Russie va envahir la Pologne?

    On pourrait en rire si ce n’était pas tragique. J’ai posé la question à cet étudiant de savoir qu’est ce qui pouvait lui faire penser ça, il n’a su me répondre. Sans doute vivait-il, et vit-il sans doute encore, dans un autre monde. Un monde défini et modélisé par ce Russia Bashing qui prédomine au sein des soumis médias français.

    Et puisque de nombreux médias colportent cette hystérie collective au nom de la liberté d’expression, il ne faudrait pas qu’ils oublient un autre noble aspect de la profession de journaliste qui ne se limite pas à la liberté de publier des caricatures, il y a aussi la recherche de la vérité. Le 17 juillet 2014, l’avion malaisien MH17 a été abattu au dessus de l’Ukraine, 298 personnes ont ainsi été assassinées. Que sont devenues les preuves immédiatement annoncées par les américains qui accusaient la Russie ou les séparatistes pro-russes de l’Est de l’Ukraine? Pourquoi la commission d’enquête internationale est-elle silencieuse depuis des mois?

    On aimerait que des journalistes d’investigation arrêtent le Russia Bashing et, par exemple, s’intéressent à ce dossier en tentant d’apporter des faits et non des émotions.

    Alexandre Latsa, Sputnik France, 9/02/2015

    Source : fr.sputniknews

  • Gueule de bois : le voile est tombé, et c’est un linceul

    Maintenant, le bon peuple va se trouver confronté à deux dangers : le temps du terrorisme ou l’avènement d’un "Patriot Act" qui n’en portera pas le nom mais en aura tous les attributs.

    Qui a pu croire que permettre l’entrée de tant d’immigrés, essentiellement d’origine africaine et musulmane, depuis tant d’années, tant de décennies, se ferait sans dégâts collatéraux. C’était, et c’est encore une erreur fatale, ultime signe d’orgueil de nos politiques qui croient pouvoir tout maîtriser. Ceux-là mêmes qui prétendent exporter la démocratie au nom des droits de l’homme, dans des pays qui n’en connaissent même pas le sens. Ces politiques ont fait, à bon marché, la peau de quelques dictateurs, permettant l’émergence de l’hydre terroriste avec des millions de têtes, qu’il sera difficile à l’avenir de faire retourner dans la boîte où elle était enfermée et dont elle n’aurait jamais dû sortir.

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  • Minsk II… un accord mort-né ?

    Les voies de la négociation étant épuisées, la guerre ouverte doit devenir la conclusion logique de la tragédie ukrainienne.

     

    Peu après minuit (heure d’entrée en vigueur du cessez-le-feu, ndlr), des lances-missiles multiples Grad ont atteint le centre du village de Popasna et tué deux civils, a annoncé Guennadi Moskal, gouverneur pro-Kiev de la région de Lougansk. Les autorités ukrainiennes ont précisé que les combats avaient cessé sur quasiment toute la ligne de front après 03H00.

    Se pose immédiatement une question gigogne : cet accord sera-t-il respecté… s’il connaît seulement un début d’exécution ? Interrogation pertinente au vu de l’intensification des combats dans la ville martyr de Debaltseve et de l’orage d’acier qui s’abat à l’heure actuelle sur Donetsk. En outre, qui en sont les garants ? En l’état des choses, rien ni personne ne semble pouvoir en imposer l’application sur le terrain.

    Remarquons que, parmi toutes les parties concernées ou impliquées dans le conflit, seules quatre étaient présentes à Minsk au chevet de l’Ukraine moribonde : son président, l’oligarque Porochenko, la chancelière allemande Merkel, le Français Hollande et le président russe Poutine. Quid de Federica Mogherini, haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité ? Pourquoi les Premiers ministres du Royaume-Uni et de la Pologne – ce dernier pays étant l’un des protagonistes du drame, ne serait-ce que par ses liens militaires avec Kiev – étaient-ils absents ? Quid, également, de M. Obama ? Malgré tout assis par procuration à la table des négociations en la personne de M. Porochenko.

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