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Europe et Union européenne - Page 841

  • L'Europe colonisée

    Selon Yvan Blot, l'Europe subit 3 colonisations :

    "[...] L’une est économique. La structure des marchés est influencée historiquement par des relations de pouvoir ; or, les centres de décision économiques sont de moins en moins chez nous. On assiste à un transfert. Je rappelle que la valorisation du CAC 40 dans son ensemble n’équivaut qu’au tiers des sommes détenues par le plus grand fonds au monde, l’américain Blackrock.

    La seconde est physique. Elle découle de l’immigration incontrôlée qui s’installe actuellement sur le territoire européen.La dernière, la plus importante, est culturelle et spirituelle : l’Europe est gagnée par l’utilitarisme américain, qui met la fonction marchande au sommet avec comme valeurs suprêmes les droits et l’argent. [...]

    Comment l’Europe pourrait-elle se décoloniser, selon vous ?

    L’une des clés de sortie de cette colonisation est culturelle. Nos énarques ont perdu tout repère humaniste. Ils ne sont guidés que par les deux premières causes, la matérielle et la formelle, c’est-à-dire le droit et l’économie. Nous avons des hommes politiques desséchés et cela joue énormément sur le manque de représentativité. Pour sortir de notre arraisonnement utilitaire actuel, il serait possible de se baser sur deux institutions fortes : l’Église et l’Armée. C’est ce qu’a fait la Russie au sortir du communisme. De manière générale, tout redressement ne pourra se faire sans une démocratisation de nos pays qui vivent en réalité en régime oligarchique."

    Michel Janva

  • La dette maudite...

    La dette est un piège pour les États et elle démontre à l’envi que les situations apparemment les mieux assurées au regard du PIB ou du Développement peuvent cacher bien des déconvenues et des ennuis, voire des drames : le cas de la Grèce est, à cet égard, tristement éloquent...

    Un État qui croyait être à l’abri du besoin, étant entré dans le cycle du Développement et dans une Union européenne qui promettait la prospérité et la solidarité, se retrouve menacé par ses propres partenaires d’une exclusion et d’une véritable mise au ban des nations européennes, ou, à l’inverse, d’une véritable dictature économique de la fameuse troïka (Banque Centrale européenne, Commission européenne, Fonds monétaire international) pour le simple fait de ne pouvoir rembourser des dettes que la génération précédente (entre autres) a faites : en somme, c’est « l’esclavage pour dettes », celui-là même que, en 594 avant Jésus Christ, Solon avait interdit !

    Je ne vais pas revenir sur les fautes de la Grèce, de ses politiciens et de ses consommateurs : elles existent, indéniablement, et l’ignorer serait de mauvais aloi. Mais, cela ne change rien à l’affaire : aujourd’hui, les Grecs souffrent, y compris sanitairement, d’une situation qui, au fond, est avant tout financière ! Or, n’y a-t-il pas quelque malaise à constater qu’en 2008, et d’après un titre du quotidien Le Monde, 2.500 milliards de dollars avaient purement et simplement disparu en quelques semaines, effacés des compteurs et des comptes de l’économie mondiale ? Je ne connais pas grand-chose à l’économie, si ce n’est son histoire plurielle, mais le fait même de cette disparition me laisse éminemment perplexe, tout comme quand on m’explique, il y a quelques semaines, que la société propriétaire d’Airbus a vu partir en fumée plus de 4 milliards d’euros en quelques jours, simplement parce que son cours en bourse a baissé... N’y a-t-il pas là une véritable disjonction entre cette économie légale et virtuelle, et les réalités économiques vécues par le commun des mortels en Europe, et cela en Grèce comme en France, où nombre de familles bataillent pour, simplement, se nourrir à moindre frais, et pour lesquelles le moindre euro est important, voire vital ? Il suffit de se rendre sur un marché de ville après 13 heures quand des jeunes et des moins jeunes, voire des très vieux, fouillent dans les cagettes éventrées pour y trouver quelques fruits et légumes qu’ils ne peuvent se payer ordinairement, pour se rendre compte de l’absurdité de la situation ! Tous les arguments comptables possibles et imaginables ne pèseront jamais, à mes yeux, aussi lourds que les peines et les misères de ceux que je croise parfois au détour des rues de Rennes ou de Versailles.

    D’ailleurs, le souci grec n’est-il pas une préfiguration de ce qui pourrait bien, un jour ou l’autre, survenir à (et dans) notre pays ? Après tout, notre dette publique représente désormais une année de PIB de la France, au-delà de 2.000 milliards d’euros, somme considérable qu’il semble bien illusoire de pouvoir acquitter aux créanciers ces prochaines décennies, surtout si le chômage se maintient à un niveau aussi élevé que celui d’aujourd’hui. [....]

    Alors, que faire ? Faudrait-il abolir les dettes des pays européens mais aussi celles de leurs débiteurs, et remettre, d'une certaine manière, les compteurs à zéro ? Ce que pouvait faire Solon dans l'Antiquité pour Athènes semble difficile à refaire aujourd'hui, au moins à une telle échelle et dans de brefs délais : en effet, la Seisachtheia appliquée à toute l'Union européenne risquerait de faire capoter le système mondial de la Finance et la mondialisation elle-même (ce qui ne serait peut-être pas si mal que cela...), mais surtout d'entraîner nos sociétés droguées à la croissance et à l'addiction à la consommation (« l'addictature », diraient certains...) dans une zone inconnue, sans doute turbulente et compliquée. En fait, cela ne servirait à rien si l'on ne changeait pas, dans le même temps, les fondations de la société et, même, du monde dans lequel nous vivons, et principalement son esprit : vaste programme, sans aucun doute !

    Utopie, rétorqueront certains à ces quelques phrases apparemment « révolutionnaires » : espérance, pourrais-je répondre, tout en rappelant que je me méfie des utopies qui, dans l'histoire, nous ont fait tant de mal... Mais le « Que faire ? » n'est pas encore vraiment écrit, si ce n'est de manière éparse dans des brochures confidentielles ou sur des sites connus de quelques initiés. Néanmoins, il me semble que la France pourrait utilement jouer son rôle dans une nouvelle « disposition du monde », et c'est aussi pour cela que je privilégie la stratégie politique, appliqué à pratiquer le « Politique d'abord ! » ici et maintenant, en France pour aujourd'hui et pour demain... D' ailleurs, à bien y regarder, n'est-ce pas la stratégie que la coalition de la gauche radicale et de la droite nationaliste en Grèce, alliance apparemment improbable et dénoncée comme une « alliance rouge-brune » par les libéraux de tout acabit (de Cohn-Bendit à Le Boucher, l'inénarrable chroniqueur de L'Opinion, quotidien libéral assumé), tente d'appliquer en haussant le ton tout en préservant l'avenir, et en voulant réhabiliter la parole et l'action politiques face à des institutions européennes qui ne raisonnent qu'en termes économiques et budgétaires ?

    Une mise au point s'impose, pour éviter tout malentendu sur mes propos et intentions : d'abord, même si cela peut être souhaitable, je ne pense pas que l'on puisse si facilement s'émanciper d'un système financier qui, aujourd'hui, structure la société de consommation dont nous sommes (certains moins que d'autres, et je pense être de ceux-là) dépendants ; ensuite, il me semble que, si étalement ou annulation partielle ou complète de la dette il y avait, cela devrait s'accompagner d'une véritable révolution structurelle et spirituelle (encore plus que seulement économique) pour éviter de refaire de la dette et de retomber dans la même spirale infernale qu'auparavant ; dernier point (pour l'instant), je ne me rallie pas à cette gauche radicale grecque qui est devenue la dernière coqueluche d'une gauche française qui n'a guère brillé par sa clairvoyance en France et qui se fait surtout remarquer par une tolérance à géométrie variable : cela n'empêche pas, certes, le compromis avec des mouvements et des partisans de gauche comme de droite sur des points précis et conjoncturels, mais celui-ci ne doit pas être la compromission sur le fond des idées...

    Si la victoire de Syriza entraîne un changement (dans un sens plus raisonnable et plus humain, plus social) dans les politiques de l'Union européenne et participe à rendre l'espoir et du souffle aux peuples et aux Hellènes en premier lieu, j'en suis ravi, et je rappelle que cette nouvelle situation ne me fait pas peur : ce propos, pour autant, s'inscrit dans une logique politique et sociale qui plonge ses racines dans un royalisme français qui a toujours accordé, au fil de l'histoire et au présent, une grande importance au soulagement des pays et des populations sans négliger la pérennisation de celui-ci dans des institutions adaptées à notre propre présence au monde...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1197:la-dette-maudite&catid=49:2015&Itemid=60

  • La CEDH oblige la France à héberger des terroristes étrangers, aux frais de l'Etat

    D'après le Figaro (via), neuf islamistes sont, à l'heure actuelle, assignés à résidence dans nos campagnes, aux frais de l'Etat, qui ne peut les expulser. Un régime qu'a connu Djamel Beghal, le mentor des frères Kouachi et de leur complice Coulibaly, avant qu'il ne retourne en prison. En cause ? La cour européenne des droits de l'homme :

    "C’est le sort réservé à ceux qui, d’origine étrangère, sont frappés d’une interdiction définitive du territoire français mais ne peuvent être expulsés. La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qu’ils saisissent, fait en effet barrage à une extradition vers leur pays en évoquant des risques de torture. C’est alors l’impasse. La France, qui ne peut se débarrasser de ceux qu’elle bannit, les installe dans des bourgades isolées, avec interdiction pour eux d’en sortir et obligation de pointer quatre fois par jour à la gendarmerie."

    Dans le village où a été hébergé Beghal,

    "on parle d’une facture mensuelle de 3000 euros. «Voilà ce que coûtait ce terroriste chaque mois!»"

    Louise Tudy  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Éditorial de L’AF 2902 : LES FISSURES DU VILLAGE MONDIAL

    Grèce, Ukraine, attentats islamistes en France : il serait évidemment arbitraire d’établir des liens directs entre la victoire de Syrisa à la Vouli d’Athènes, la poursuite de la guerre que mènent, contre la Russie et sur le dos des Ukrainiens, les Etats-Unis et une Europe vassalisée, ou les différents attentats islamistes qui ont endeuillé notre pays depuis fin décembre.

     

    Et pourtant... Qui ne voit que tous ces événements sont autant de fissures de l’ordre que l’oligarchie tente de nous imposer comme l’horizon indépassable du village mondial ?

    SYRISA OU LA QUADRATURE DU CERCLE

    En Grèce, le peuple ne s’est pas seulement prononcé contre la dictature austéritaire imposée par Merkel, d’autant plus injuste que l’Allemagne a, au XXe siècle, et après avoir embrasé le monde par deux fois, largement profité de la générosité de ses anciennes victimes, dont la Grèce. Non, c’est contre les conséquences même, économiques et sociales, du mondialisme qu’il s’est prononcé, même si, tel un drogué, il pense toujours dans sa grande majorité que l’euro le protège quand la monnaie unique, dans laquelle la finance internationale a aidé la Grèce à entrer par effraction, est son problème, comme elle est le nôtre. D’où la quadrature du cercle dans laquelle l’extrême gauche notabilisée de Syrisa s’est engagée... et son risque de décevoir rapidement ses électeurs. C’est pourquoi Podemos, la gauche alternative espagnole, ou Mélenchon en France se réjouissent peut-être un peu vite. En Espagne, les législatives devront avoir lieu en décembre au plus tard, et, à moins d’une crise majeure, le Parti populaire et le PSOE n’ont aucun intérêt à les avancer alors même que Podemos a aujourd’hui le vent en poupe. Le pays légal espagnol ne peut que parier sur un échec de Syrisa et donc sur une dégonflement de la baudruche alternative. Quant à Mélenchon, qui s’est déclaré, ce 31 janvier, « disponible » pour être le candidat du Front de Gauche à la prochaine présidentielle, pense-t-il sérieusement que la victoire électorale de Syrisa en janvier 2015 sera toujours porteuse pour la gauche radicale en 2017 ? C’est croire un peu vite à la réussite d’une « alternative », qui en refusant de poser les conditions de la rupture — mais la Grèce en a-t-elle seulement les moyens — risque de se retourner contre ses promoteurs. On comprend que le Front national se soit réjoui de la victoire de Syrisa : d’un côté celle-ci rassure en montrant qu’un peuple peut donner une gifle électorale méritée à l’oligarchie européenne sans que le monde s’écroule ; de l’autre, l’échec de la coalition administrerait la preuve que l’arrivée au pouvoir d’une gauche anti-austérité mais favorable à l’euro et à l’immigration n’est pas la solution.

    LE ROI DOLLAR BIENTÔT NU ?

    Dans la guerre, dans une large mesure désespérée, que mènent en Ukraine les Etats-Unis et l’Europe américaine contre la Russie, Poutine apparaît, il est vrai, comme le méchant qui jouerait à la fois contre son gentil voisin et, compte tenu de l’aggravation de la situation économique russe et de la baisse du rouble, contre son propre peuple asservi à sa mégalomanie. Pour autant, les Etats-Unis sont-ils si sûrs, au vu des conséquences, du bien-fondé de la politique qu’ils mènent depuis la chute du Mur de Berlin, d’encerclement de la puissance russe, un peu vite enterrée, de dissolution islamiste des Proche et Moyen Orients et d’agressivité à l’encontre la Chine ? Car c’est maintenant l’arme monétaire que la Russie, la Chine et, depuis peu, l’Iran ont décidé d’employer ouvertement contre le dollar. Ainsi, l’Iran, « dans ses échanges commerciaux avec l’étranger, [...] se sert désormais d’autres monnaies, notamment du yuan chinois, de l’euro, de la livre turque, du rouble russe et du won sud-coréen », a annoncé ce 24 janvier M. Kamyab, le vice-gouverneur de la Banque centrale iranienne. Après que la Chine et la Russie ont, l’été dernier, officiellement abandonné le dollar comme monnaie d’échange.... Le roi dollar bientôt nu ? D’où le caractère acharné d’une guerre que les Etats-Unis savent vitale pour eux. Tout en jouant sur les craintes historiques des anciens pays de l’est, ils trouvent dans la France républicaine, plus encore que dans une Allemagne nationaliste par essence, un partenaire docile. Ce ne sont pourtant que leurs intérêts exclusifs, aux dépens des nôtres, que nous servons en désignant à leur demande et avec zèle la Russie comme l’ennemie.

    MONDIALISME ET ISLAMISME : LES FRÈRES ENNEMIS

    Enfin, les attentats islamistes en France ne sont que la double conséquence du mondialisme puisque leur cause immédiate est le chaos provoqué par les Américains aux Proche et Moyen Orients et leur cause plus lointaine, qui les a rendus possibles, une immigration forcenée, voulue et encouragée par l’oligarchie mondiale et qui est devenue le terreau du djihadisme intérieur. L’« apartheid » ? Des dizaines de milliards ont été versés en pure perte depuis des décennies dans les « quartiers ». Où sont-ils allés ? Pourquoi n’ont-ils pas financé l’intégration ? C’est Malek Boutih, député PS de l’Essonne, qui vend la mèche. Après avoir dénoncé les élus locaux qui achètent la « paix sociale » et rappelé que « les milieux islamistes se financent par le trafic de drogue, la prostitution, par toutes les déviances » [1], il ajoute devant la volonté de Manuel Valls d’imposer sur tout le territoire la mixité « sociale » — lire « ethnique » : « Ce que refusent les maires, de gauche comme de droite, ce n’est pas de construire du logement collectif, c’est d’attirer une population islamiste. On ne fera pas disparaître les foyers radicaux en les disséminant.  » [2] Ou comment un ancien dirigeant de SOS Racisme reconnaît à travers une métaphore médicale, mais malheureusement sans en tirer toutes les leçons, que l’immigration de masse a bien provoqué le cancer du gangstérisme islamiste et que la démagogie gouvernementale ne vise ni plus ni moins qu’à provoquer sa généralisation. Valls conservera-t-il sa toute nouvelle popularité quand les Français comprendront ce que recouvre sa «  politique de peuplement » ? Exception faite de quelques bunkers au centre des « villes mondes » prisées par l’élite, la dissémination, jusque dans la plus petite ville, jusque dans le village le plus reculé, du fondamentalisme islamique et de l’économie parallèle. La France devenue un vaste 9-3...

    Le faux-ordre mondialiste commence à se fissurer de ses propres excès. Sa désagrégation se fera évidemment dans la douleur : faire croire le contraire aux Français serait leur mentir, compte tenu notamment du niveau élevé de trahison de nos élites politiques. Seule l’union des patriotes permettrait d’en finir au plus vite et au coût le moins élevé.

    François Marcilhac - L’AF 2902

    [1] http://www.linternaute.com/video/29...

    [2] http://www.lefigaro.fr/politique/20...

  • Vladimir Fédorovski : Grèce et Russie, la Sainte Alliance

    Après la victoire de Syriza, le gouvernement grec a amorcé un rapprochement avec la Russie. Vladimir Fédorovski analyse les tenants et aboutissants de cette alliance.

    Peu de temps avant leur victoire, le directeur du département des affaires étrangères de Syriza a déclaré que le parti d’extrême gauche avait l’intention « de coopérer partout où nous avons des intérêts communs avec les pays BRICS et surtout la Russie ». A peine élu, Alexis Tsipras rencontrait à Athènes l’ambassadeur russe. Cette position pro-russe va-t-elle changer la donne en Europe ?

    Il ne faut ni exagérer, ni sous-estimer la coopération actuelle entre ces deux pays. Je ne pense pas qu’il s’agira d’un changement radical, mais il y aura certainement une coopération plus poussée entre la Grèce et la Russie, qui va surtout peser d’un point de vue diplomatique. La Russie va, en effet, représenter une alternative de développement, à la fois économique, politique, et même civilisationnelle pour la Grèce.

    Poutine propose une sorte de concept de défense du monde occidental, du monde chrétien face à l’islam mais aussi face au monde anglo-saxon, protestant. Beaucoup d’affinités unissent ces deux pays : la religion orthodoxe, tout d’abord. Cette religion qui est commune à une grande partie de leurs populations est un facteur important dans le contexte actuel. Ensuite le fait que les russes adorent la Grèce comme destination touristique. Elle les attire pour leurs similitudes culturelles, religieuses et touristiques. Considérable, le tourisme russe représente une véritable manne financière pour la Grèce.

    Cette proximité n’est pas à sous-estimer car elle souligne, à mon sens, la tentative de Poutine de montrer qu’il n’est pas isolé sur le plan international.

    Traditionnellement, le parti de la gauche grec était lié avec l’URSS. Au-delà de cela, la posture des grecs face à la bureaucratie de Bruxelles et l’intransigeance allemande les rapproche de la Russie. La semaine dernière, la Grèce, à l’instar de Chypre, s’est opposée à un renforcement des sanctions de l’Union européenne envers la Russie. Cette position accroit les divisions au sein de l’organisation, ce qui n’est pour déplaire à Poutine. La Grèce peut ainsi devenir son allié pour peser sur la politique européenne.

    Pour autant, La Grèce va-t-elle aller jusqu’à une exécution de sa menace de changement de cap et se désolidariser de l’UE ? Je ne pense pas. Elle reste pour l’instant aux côtés de l’UE. Cette alliance entre la Russie et la Grèce va donc essentiellement jouer sur le plan diplomatique et pas forcément de façon définitive. [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Vladimir-Fedorovski-Grece-et

  • ILS sont venus malgré nous, ILS partiront grâce à vous !

    En 1974, l’ancien président de la République Démocratique et Populaire d’Algérie, Houari BOUMEDIENNE déclarait à la tribune de l’ONU :

    « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ».

     En 1997, l’ex-maire d’Istanbul, actuel 1er ministre Turc, Recep Tayyip ERDOGAN a affirmé :

    « Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats ». 

    Dans le quotidien français « Le Figaro » du 19 décembre 2006, le guide de la Jamahiriya Islamique de Libye, Mouammar al-KADHAFI exprimait solennellement sa conviction :

    « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans en Europe la transformeront bientôt en continent musulman ! »

    liberons BXLC’était clair non ? Ecrit en langue française, compréhensible par une grande majorité des européens.

    Ces trois figures emblématiques du monde islamique ont clairement affirmé leur volonté d’aliéner notre continent au monde musulman !

    A l’opposé des discours lénifiants que nos dirigeants euro mondialistes nous assènent depuis des décennies, nous constatons la réalité des faits dans notre quotidien, que ce soit à Madrid ou à Copenhague, à Cologne ou à Bruxelles :

    partout l’islamisation de nos villes et de nos quartiers s’est substituée à nos modes de vies, à nos habitudes, à nos mœurs, à nos coutumes et bientôt à nos lois et nos règlements.

    C’est inacceptable et scandaleux !

    Et ce n’est que le 7 janvier 2015 que les Français ont constaté la réalité : ce sont des musulmans d’origine immigrée -et non pas des alsaciens protestants ou des bretons amish- qui ont froidement assassinés 17 personnes innocentes.

    « Repli sur soi », « peur de l’autre », « refus de partage », « frustrations », « esprit de clocher ».

    Il y a quelques mois, j’avais publié un article au sujet de l’immigration/invasion qui depuis des années emprunte la Mare Nostrum pour s’établir sous nos cieux.

    Depuis l’An Nouveau, le flux s’amplifie au point de déborder Frontex, ce joujou de Bruxelles, destiné à surveiller et à protéger les frontières de notre continent. A tel point que les Italiens commencent à piailler et que les couloirs de Bruxelles commencent à tanguer.

    Mais pour masquer leur incompétence et pour faire oublier leurs mensonges et leurs erreurs, les inquisiteurs de la Pensée Unique et les charlatans du Politiquement Correct, nous font chier depuis plus de 40 ans avec des procès en sorcellerie au prétexte que nous serions « racistes », « fâââchistes » ou « nazis ». Mais ce sont bien EUX, ces francs-maçons, ces lobbies judéo-capitalistes, ces laïcistes invétérés et obsédés par les soutanes, ces chrétiens de « gôche » et ces « bobos » drogués au multiculturel, qui nous ont menés au fond du gouffre économique et financier, au déclin de la morale et des mœurs et à la décadence totale des valeurs de notre civilisation européenne. Pour cela ils devront être jugés et punis.

    Partout en Europe, mais surtout en France et en Belgique, depuis 40 ans, l’idiote « politique de la ville » a coûté des dizaines de milliards d’euros qui manquent dans les caisses aujourd’hui ! Résultats : ZERO ! ! ! Ces crétins de politiciens ont voulu acheter la paix dans les quartiers !

    STOP : l’argent pour nos hôpitaux d’abord ! Et que force reste à la Loi pour nettoyer et rétablir l’Ordre dans les zones de non-droit.

    Eh bien partout, de Toulouse à Bruxelles ou de Paris à Verviers, et dans toutes les provinces de la Gaule, des crapules gangstéroislamistes ont grandi sur le fumier des utopies multiculturelles avec la complaisance et l’encouragement de TOUS les partis au Pouvoir !

    Aujourd’hui, ils récoltent ce qu’ils ont semé ! Alors qu’ils assument et trouvent les remèdes…

    Deux exemples, parmi des milliers, en Belgique : Anémie NEYTS (ex-PVV, actuel Open VLD) élue durant plus de 30 ans dans différentes assemblées, avait eu le culot de déclarer en décembre 1988, lors d’un meeting public, rue Communale à Saint-Josse (ayant un bourgmestre turc depuis janvier 2013) que : « les belges devaient mettre de l’eau dans leur vin et que les immigrés, eux, devaient mettre du vin dans leur eau ! ». Devant tant d’idiotie, il y a lieu de rouvrir les culs-bas-de-fosses…

    Déjà, au début des années 80’, une autre excitée avait hurlé : « Bruxellois maître chez toi ! »,  en vomissant les Flamands. Ce sont ces pasionarias d’opérette qui sont responsables, entre autres coupables, de la situation explosive dans laquelle nous vivons.

    Portes ouvertes et « OPEN BAR ».

    L’Eldorado européen attire le tiers-monde entier, comme le miel attire les mouches et viendra le jour où nous verrons un bateau de croisière du genre « King of the Sea » ou un clone du « France » s’échouer sur les côtes de l’Adriatique ou du Languedoc en débarquant 8 ou 10.000 miséreux en quête de « mieux-être ». L’un des derniers cargos à la dérive et secouru par la marine italienne venait de Tartous en Syrie.

    Plus au sud, le Liban à lui seul supporte plus de 1,5 millions de réfugiés syriens officiels, sans compter 300 ou 400.000 illégaux. Et parmi ceux-ci, combien de futurs djihadistes ? Qui prétend que parmi les millions de réfugiés partant ou résidents au Proche-Orient, il n’y aurait aucune infiltration de terroristes ? Combien de cellules dormantes, prêtes à frapper à Beyrouth, Amman, Istanbul, Tripoli, Tunis, Madrid, Rome, Athènes, Copenhague, Paris ou Bruxelles ? Depuis 2010, tous les immigrés extra-européens ont-ils été enregistrés, contrôlés et suivis ? Non, bien sûr, car la Nouvelle Religion Droits-De- l’Hommiste, permet tous les abus et toutes les dérives, dès qu’il s’agit de « l’Autre » !

    Et si aucune mesure drastique n’est imposée d’urgence, ce sont des dizaines de milliers d’envahisseurs qui débarqueront en Europe ces prochaines semaines, pris en main par les gangs de la traite humaine, illégaux en provenance de tous les ports du sud de la Méditerranée.

    Et combien d’immigrés ces apôtres du « Vivre Ensemble » et du « Padamalgam » vont ils héberger chez eux ? Et vous ? Combien allez-vous accueillir de clandestins à la maison ? Les entretenir ? Les soigner ? Les nourrir ? Il faut stopper ce délire, demain si possible, le mois prochain si nécessaire, mais VITE !

    Parce qu’après l’exaspération des européens, le désespoir lui succédera et à ce moment, RIEN ni PERSONNE n’arrêtera la légitime colère des peuples bafoués et trahis par des dirigeants veules et incapables.

    Brüsselistan, émirat de l’EURABIA !

    De par la volonté des politiciens libéraux, socialistes et « chrétiens démocrates » (de gôche), la politique d’épuration ethnique menée depuis 40 ans porte ses fruits aujourd’hui à Bruxelles (Brussel) où les blancs sont devenus minoritaires.

    Il suffit de se promener à travers les 19 communes de l’agglomération –où résident environ 1,2 million de personnes-  pour constater le bouleversement considérable des us et coutumes, des traditions, des magasins, des habitants : à Bruxelles, il y a plus de burqàs et de tchadors qu’à Marrakech, Téhéran, Bamako, Damas ou Samarkand !

    Tous mes amis français, espagnols, italiens, allemands ou anglais sont estomaqués par cette concentration d’allogènes qui colore le centre-ville en proportion bien plus importante que chez eux. Effectivement, le grand Jacques Brel en pleurerait de rage, lui qui chantait les louanges du Bruxelles qui « Brusselait ». Maintenant c’est kebab, babouches, chichas, djellabas, barbus & C°, grâce au soutien de tous les pourriticards qui se sont succédé non seulement au gouvernement, mais aussi à la Région et surtout comme Bourgmestres de la prétendue « Capitale de l’Europe ».

    De droite, de gauche ou du centre mou, tous ont œuvré au sabotage de nos valeurs, à la perte de nos traditions, à la suppression de nos valeurs, au laxisme de nos lois et surtout, oui ô surtout à l’innommable lâcheté du refus de désigner clairement les ennemis de notre civilisation !

    Par le biais de dons, d’aides, de subventions ou de crédits à taux privilégiés, ces laïcards ont commencé par vider les églises pour remplir les mosquées, en favorisant l’implantation de populations majoritairement maghrébines, turques et africaines. Depuis quelques années, les classes maternelles et primaires dans certains quartiers sont exclusivement peuplées d’enfants d’immigrés et non plus de têtes blondes ! Et à la cantine, c’est « Halal pour tous …et tous pour Allah ! »

    Selon des études universitaires, la population de Bruxelles compte plus de 66% d’étrangers dont 50% sont des musulmans. Depuis 1979, ce sont 850.000 étrangers qui ont été naturalisés en Belgique (population = 11 millions d’habitants), et le  pays en totalise encore 1.200.000, sans compter les demandeurs d’asile ni les clandestins (estimés à plus de 120.000). Les partis du Régime sont les seuls responsables de cette situation dangereuse !

    Alors OUI, face à la « pensée unique », face au « politiquement correct », face aux utopies des gourous qui mendient nos suffrages il est temps de dresser leur bilan !

    Pourquoi donc vouloir accepter maintenant ce qu’ils n’ont pas su, pas voulu ou pas pu appliquer de leurs programmes précédents et qu’ils voudraient réaliser durant les prochaines années ?

    Ce bilan est calamiteux : en Belgique, plus d’un million de personnes sont au chômage ou bénéficient d’argent public sans réellement chercher un emploi.

    Plus de 900.000 salariés travaillent dans l’administration et le secteur public.

    A Bruxelles il y a 21% de chômage (95.000 inscrits) et plus de 100.000 analphabètes et ce, depuis des lustres.

    On ne trouve pas de secrétaires trilingues, de paveurs ou de plombiers depuis plus de 25 ans !

    La dette publique nominale belge augmente chaque mois d’un milliard d’euros, pour atteindre le top européen de 38.300 € par habitant. Et la pression fiscale chez nous est de 45,6% du P.I.B !

    Un tiers des élèves qui terminent leurs humanités (fin du secondaire) ne savent ni lire correctement ni s’exprimer clairement ! Merci aux divers ministres de l’enseignement. On a déjà vu mieux dans le passé…

    80% de ceux qui sont traduits devant les tribunaux n’appartiennent ni à notre culture, ni à notre civilisation : POURQUOI ?

    600 racailles multirécidivistes sèment la terreur dans les quartiers bruxellois : par laxisme ou par complaisance ?

    Mais les électeurs, parents, contribuables, ouvriers, pensionnés, automobilistes, confrontés chaque jour aux mêmes maux qui les accablent, ne vont toujours pas, dans le secret de l’isoloir, déposer un carton rouge pour punir les bonimenteurs libéraux-écolos-démocrates-socialistes, qui les trompent en permanence. C’est à croire qu’ils vivent sur une autre planète, ou alors enfermés dans leur bulle !

    Quant à nous, nationalistes, nous avons la Foi dans la rectitude de nos choix.

    Pieter KERSTENS.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/ils-sont-venus-malgre-nous-ils-partiront-grace-a-vous_127436.html#more-127436

  • Les Serbes n'ont pas commis de génocide

    La Serbie n'a pas commis de génocide contre les Croates lors de la guerre qui les opposa au début des années 90, a jugé aujourd'hui la Cour internationale de justice (CIJ). "La Croatie n'a pas réussi à prouver ses allégations selon lesquelles un génocide a été commis", a déclaré le juge président Peter Tomka lors d'une audience publique à La Haye, où siège la CIJ. 
     

  • Pour réduire sa dette, la Grèce doit abandonner l’euro

    Jacques Bichot, économiste, mathématicien de formation, professeur émérite à l’université Lyon3.

    La dette grecque pèse aujourd’hui 320 milliards d’euros.

    Encourager la production grecque en revenant à la drachme et réduire la dette en la convertissant en drachmes au taux existant lors du passage à l’euro résoudrait à la fois le problème de compétitivité et celui de l’endettement excessif.

    La Grèce doit abandonner l’euro pour la drachme

    Les gouvernements européens et les autorités bruxelloises tournent en rond à propos de la Grèce alors que la solution est, dans son principe, d’une extrême simplicité : que la Grèce abandonne l’euro et que sa dette soit convertie en drachmes au taux de change qui était celui de la drachme lors du passage de la Grèce à l’euro.

    La drachme ne manquerait alors pas de chuter fortement relativement à l’euro, ce qui rendrait la dette grecque supportable (moyennant peut-être quelques rééchelonnements), et rétablirait la compétitivité de ce pays, sans avoir à réduire encore les salaires nominaux.

    Une sortie de la zone euro inévitable pour redémarrer la production grecque

    Le problème essentiel est de faire redémarrer la production en Grèce. Pour cela, il faut que les importations deviennent chères, donc que la Grèce sorte de la zone euro. L’adoption de l’euro par ce pays a été une erreur : il faut la corriger. Rappelons-nous le dicton : errare humanum est, sed perseverare diabolicum. Mais il ne servirait à rien de réaliser cette opération de retour à la drachme tout en maintenant une dette en euros impossible à rembourser.

    L’Europe doit choisir une solution de marché

    Alors, pourquoi chercher des solutions alambiquées destinées à réduire cette dette en euros d’un montant déterminé à l’avance ? Rendre la dette grecque remboursable par le travail des Grecs, cela signifie tout simplement la convertir en drachmes. Faire cela dirait clairement à nos amis grecs que nous parions sur leur redressement : s’ils se débrouillent pour remonter la pente, la drachme ne tombera pas indéfiniment, et nous récupérerons une partie de nos créances.

    Cela indiquerait aussi que l’Europe n’est pas purement bureaucratique, mais sait choisir une solution de marché lorsqu’il en existe une bonne : en l’occurrence le marché des changes, bien mieux à même que des politiciens et des banquiers centraux semi-politiciens de déterminer ce que la Grèce est capable de rembourser, ce que valent les créances que nous avons sur elles.

    Jacques Bichot, 02/02/2015

    Source : Economie matin.fr

    http://www.polemia.com/pour-reduire-sa-dette-la-grece-doit-abandonner-leuro/

  • Pour combattre le crime, la Norvège expulse… des immigrés

    La Norvège vient de trouver un moyen efficace et plein de sagesse pour lutter contre la délinquance allogène : les expulsions des étrangers en infraction avec la loi. Ainsi environ 5200 immigrés ont pris le chemin du retour vers leur pays d’origine en 2013 soit une augmentation de 31% par rapport à 2012. Il s’agit d’un record historique selon le chef du département de l’Immigration pour lequel« nous croyons que l’une des raisons de cette augmentation est la prise de conscience par la police de l’utilisation de l’expulsion comme un outil de lutte contre le crime ». Parmi les populations concernées par ces mesures on trouve surtout des Nigérians, des Afghans, des Irakiens, des Marocains… 
    Un exemple pour Manuel Valls ?

  • La CEDH incite au trafic international d’enfant

    La CEDH a jugé – par cinq voix contre deux — que le retrait d'un enfant né à l'étraanger par GPA a porté atteinte à la vie privée et familiale du couple l'ayant acheté. L’achat d’un enfant confère ainsi aux acquéreurs un droit sur cet enfant au nom de l’intérêt de l’enfant tel que déterminé par les juges strasbourgeois (qui n’ont consulté aucun expert). Pour Gregor Puppinck :

    "D’un crime naît un droit. Ainsi la Cour valide-t-elle la vente d’enfant. Il faut le dire lucidement : le prétendu « intérêt de l’enfant » cache en réalité celui des juges à imposer la libéralisation de la GPA.

    À aucun moment, la Cour ne s’interroge sur la moralité de la GPA, sur l’origine de l’enfant, sur l’exploitation des vendeurs de gamètes et de la mère porteuse à l’origine de son existence. La vente d’enfant ne la choque pas, elle ne sourcille pas, elle précise que ce n’est pas son affaire. Elle ne s’interroge pas davantage sur la violence irrémédiable infligée aux enfants nés de GPA : condamnés « pour leur bien », selon sa logique, à vivre avec ceux-là même qui les ont privé de leurs vrais parents et les ont achetés. [...]

    Cet arrêt est dévastateur, et les deux juges dissidents l’ont souligné : il réduit à néant la liberté des États de ne pas reconnaître d’effets juridiques à la gestation pour autrui, et même la légitimité du choix de l’État en ce sens. Plus encore, cet arrêt est une incitation au trafic international d’enfant ; il retire aux États les motifs et les moyens de s’y opposer.

    [...] Il faut espérer que le gouvernement italien fera appel, et que d’autres gouvernements le soutiendront ; mais la Cour a le pouvoir de rejeter cette demande sans justification. Cependant, peut-être que le gouvernement ne fera pas appel, car la Cour a assorti son jugement d’une mention qui semble réduire à néant sa propre argumentation : il n’est pas nécessaire de « rendre » l’enfant à ses acquéreurs car il vit depuis 2013 dans une famille.

    Ainsi, la véritable obligation concrète qui résulte de cet arrêt est celle pour l’Italie et les 46 autres États européens de ne plus s’opposer à l’avenir à la vie de telles « familles »."

    Michel Janva