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Europe et Union européenne - Page 846

  • L’ambassade de Hongrie remet à sa place SOS Racisme

    Chapeau-CP-300x145Les 4Vérités relaient une remontée de bretelles de SOS Racisme par l'ambassade de Hongrie en France : l'ambassade accuse l'association de proférer des contre-vérités dans un communiqué de presse, et remet les pendules à l'heure. Sans langue de bois ni périphrases : savoureux.

    "Nous avons le plus grand respect pour SOS Racisme et son action de vigilance à l’égard des comportements racistes en France et ailleurs. Toutefois, pour rester crédible, cette association doit veiller à ne pas fonder ses jugements sur des contre-vérités. C’est hélas le cas de son communiqué récent sur la Hongrie intitulé « Viktor Orbán ouvre la chasse aux musulmans ». Permettez-nous d’y apporter les corrections qui s’imposent :

    – « L’autorisation donnée ce jour par le premier ministre de Hongrie de tirer à balles réelles sur les migrants… administrer la mort à des civils » : FAUX, c’est exactement le contraire qui a été autorisé : « des armes non susceptibles de donner la mort » . C’est écrit en toutes lettres dans les textes législatifs concernés, veuillez en prendre connaissance, ils sont disponibles sur Internet.

    – « …actes insensés tels que barrières de barbelés et expulsion manu militari de migrants vers d’autres pays » : si la barrière de barbelés est un « acte insensé », il faut en demander compte à la Convention de Schengen qui impose à la Hongrie de défendre la frontière extérieure de l’Europe par tout moyen approprié. Nous comprenons la logique de SOS Racisme, mais on ne protège pas une frontière en traçant une ligne dans le sable avec le doigt, et l’on ne peut pas reprocher à un pays membre de l’Union Européenne d’exécuter les obligations qui en découlent et que d’ailleurs tout le monde lui réclame.

    – Quant à « l’expulsion manu militari de migrants vers d’autres pays », nous ne voyons pas où SOS Racisme veut en venir : quels sont ces « autres pays » ? L’Autriche, par laquelle tous les migrants veulent passer pour aller en Allemagne ?Si c’est cela, on n’a pas besoin de les « expulser », ils y vont d’eux-mêmes. Si c’est un autre pays, nous ne voyons pas lequel : pouvez-vous préciser votre pensée ?

    – Les « sanctions adéquates » réclamées de l’Union Européenne n’ont pas été prises pour la bonne raison qu’il lui est évidemment impossible de sanctionner (1) des actions qui n’existent pas et (2) des actions qui sont imposées par ses propres conventions.

    Les autres accusations : « dérive fasciste », « idéal européen assassiné » et autres amabilités sont des prises de position politiques qui n’engagent que SOS Racisme.Chacun est libre de penser ce qu’il veut, quitte à être jugé pour le caractère ridiculement excessif de ses propos. Mais pour rester crédible au moins sur le reste, il est préférable de vérifier ses sources avant de sortir devant l’opinion publique.

    L’Ambassade de Hongrie en France"

    Marie Bethanie

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  • Cette machine à détruire les peuples et les nations enracinées

    Invité hier soir de France 2 de l’émission « Des paroles et des actes », Manuel Valls, fidèle à la méthode Coué, a affiché un optimisme assez sidérant (« Nous allons réussir ») quelques heures après la publication des chiffre  du chômage, actant officiellement une nouvelle hausse en août (+ 20 000 demandeurs d’emploi supplémentaires, +0,6 %). Les questions migratoires n’ont pas été oubliées, et partant, la nécessité de lutter contre le seul mouvement qui tient un langage de vérité aux Français sur cette question capitale. «Tout sera fait » pour empêcher la victoire du FN aux élections régionales, et notamment en Nord-Pas-de-Calais/Picardie, a menacé le Premier ministre. Il a également promis que notre pays n’accueillera « pas plus » de 30 000 réfugiés sur les 160 000 (chiffre très en deçà du nombre réel d’immigrés clandestins qui ont pénétré en Europe ces dernières semaines) qui seront dispatchés dans les pays de l’UE. Il n’y a pas de  « concurrence des pauvretés» entre «migrants » et Français. «On ne prend pas aux Français, ou à ceux qui vivent en France, on n’oppose pas » a-t-il tenté d’expliquer. Une concurrence qui sera de toute façon escamotée à terme par l’habituelle politique de naturalisation massive. Un chemin emprunté aujourd’hui par une Allemagne, certes beaucoup mieux portante sur le plan économique mais à la démographie plus catastrophique que la nôtre, faute de politique nataliste autochtone jugée d’essence fascisante. L’ex ministre de l’Économie de Mme Merkel, Philipp Rösler, avait déjà expliqué qu’il fallait donner la double nationalité aux immigrés puisque «les ressortissants nationaux ne suffiront pas à couvrir les besoins » des entreprises…

    Les Français qui refusent d’être pris une nouvelle fois par des imbéciles et/ou des vaches à lait ont pourtant bien compris que ladite « concurrence » est bien réelle. N’en déplaisent à M. Valls et au lobby immigrationniste, dans un pays qui compte huit millions de pauvres, six millions de chômeurs et un million et demi de personnes qui attendent un logement social, quand la taille du gâteau reste la même, les parts attribuées à chacun diminuent d’autant en cas d’afflux de populations précarisées.

    Karim Ouchikh, président du SIEL, le rappelait dans l’entretien qu’il vient d’accorder à Minute, « en liaison avec (Angela) Merkel et (Jean-Claude) Juncker, François Hollande tente de faire passer au forceps « un mécanisme permanent de relocalisation » de migrants au sein de l’UE. De la même façon, le gouvernement socialiste s’organise discrètement depuis plusieurs mois pour répartir partout en France le flot incessant de  réfugiés, assurer méthodiquement leur hébergement et garantir leur prise en charge par la collectivité aux dépens du contribuable français.»

    Dans ce contexte, il est tout sauf anodin, constate Bruno Gollnisch, que François Hollande ait annoncé hier qu’une « politique de préemption » des terrains « sera engagée » à l’encontre des communes récalcitrantes qui sont rétives à l’obligation fixée par la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbains) d’avoir 25% de logements sociaux…

    D’accueil des migrants faisant route vers l’Europe, il sera aussi question à l’occasion de l’ouverture, le 28 septembre, de l’Assemblée générale de l’ONU qui coïncidera avec son soixante-dixième anniversaire et marquera la fin du mandat du Secrétaire général des Nations Unies  Ban Ki-moon.

    Dans une tribune publiée ces derniers jours, intitulée « L’UE a-t-elle vraiment besoin de 15 millions de migrants  d’ici 2025 ?»,  Denis Bachelot (journaliste économique, Délégué Général du Comité Richelieu, l’association française des Entreprises d’Innovation et de Croissance (EIC) et Gilbert Péna (Conseil en communication) rappellent que « l’ONU, l’OCDE, la Banque Mondiale » trouvent au sein des institutions européistes, de la Commission européenne, « le premier laboratoire où se construit l’idéologie migratoire qui domine le vieux continent ».

    « La migration est une des (dix) priorités politiques de la Commission Juncker » indique ainsi « le site de la Commission» qui « définit cette «nouvelle politique de migration légale  de la manière suivante:  Faire en sorte que l’Europe reste une destination attrayante pour les migrants dans un contexte de déclin démographique, notamment en révisant le régime de la carte bleue, en redéfinissant les priorités des politiques d’intégration et en améliorant l’efficacité de la politique migratoire des pays d’origine, par exemple en facilitant les envois de fonds des travailleurs émigrés.»

    « Plus explicitement, Dimitris Avramopoulos, commissaire chargé de la migration, des affaires intérieures et de la citoyenneté, à l’occasion de la Journée internationale des migrants, à Bruxelles, le 18 décembre 2014, expliquait que: « Les migrations sont source de croissance économique et d’enrichissement culturel et social. La migration régulière est devenue une composante essentielle des sociétés et des marchés du travail dans l’Union européenne ».

     « Au cours de la seule décennie 2010-2020, commente-t-il, « le nombre de personnes en âge de travailler dans l’UE va diminuer de 15 millions. C’est pourquoi il nous faut trouver de nouvelles modalités juridiques pour permettre à des ressortissants de pays tiers de venir travailler ou étudier en Europe. L’immigration doit devenir une composante à part entière d’une approche plus globale à l’échelle de l’UE des questions relatives au marché du travail et des problématiques socioéconomiques. (…) La Commission européenne est déterminée à définir une politique cohérente, globale et efficace pour le bien commun des Européens et des migrants. »

    «Cette vision favorable à une immigration massive » poursuivent MM. Bachelot et Péna, «  est partagée, sans restriction, par l’ensemble des 28 commissaires européens. Ainsi Carlos Moedas, commissaire en charge de la recherche, de la science et de l’innovation, invité d’Europe 1, le 11 mai 2015, estimait qu’il faut plus d’immigrants en Europe, car l’immigration est essentielle à la croissance.»

    «Mieux encore, un rapport publié en 2010, par un groupe de réflexion comprenant, notamment, Mario Monti, Nicole Notat et Lech Walesa, intitulé  Projet pour l’Europe à l’horizon 2030  à la demande du Conseil européen, considérait déjà que  le recours à une main-d’œuvre étrangère fera partie de la solution à apporter aux pénuries futures de main-d’œuvre et de compétences que connaîtra l’Europe  et soulignait que « l’UE devra élaborer une approche proactive de l’immigration ».

    «Affirmations basées sur le constat suivant: « Le fait est que, d’ici 2050, en l’absence, peu probable, d’immigration et à taux d’activité constant, la population active de l’UE diminuerait d’environ 68 millions de travailleurs. Étant donné que tous les immigrés ne rejoignent pas la population active, il faudrait un gain net de 100 millions de personnes environ pour combler le déficit. Le groupe reconnaissait, cependant, qu’« objectivement, un afflux net aussi important au cours des quarante prochaines années n’est ni probable, ni nécessairement souhaitable. »

    Ce qui est certain en revanche  affirme Bruno Gollnisch, c’est que la nature ayant horreur du vide, c’est aussi par un sursaut démographique des Européens, au-delà même de la nécessité impérieuse pour l’Europe de se protéger des flux migratoires, que notre continent pourra se construire un avenir conforme à son identité et à ses valeurs civilisationnelles. Ce qui commande de se libérer du joug que l’idéologie mondialiste et ses relais «institutionnels», font peser sur les pays de l’UE. Là encore, la France peut montrer le chemin puisque c’est sur son sol que se lève le courant politique de résistance nationale le plus à même d’enrayer cette folle machine à détruire les peuples et les nations enracinées.

    http://gollnisch.com/2015/09/25/cette-machine-a-detruire-les-peuples-et-les-nations-enracinees/

  • Selon l'Autriche, des combattants de l'EI parmi les immigrants

    Lu ici : 

    "Des "dizaines" de combattants du groupe extrémiste Etat islamique (EI) sont entrés en Europe au milieu de l'actuel afflux des migrants, a averti vendredi un expert autrichien en matière de lutte contre le terrorisme.

    Lors d'une interview accordée au journal Kronen Zeitung, l'ancien directeur du Bureau fédéral de la préservation de la Constitution et de la lutte contre le terrorisme d'Autriche (BVT), Gert-Rene Polli,a qualifié la politique de sécurité européenne de "vol aveugle".

    "La situation sécuritaire ne peut plus être maintenue sous contrôle", a-t-il estimé, faisant remarquer l'afflux constant des migrants en provenance du Moyen-Orient à destination de l'Europe.

    M. Polli, actuel chef d'une société de renseignements et de sécurité publique basée à Vienne, a insisté sur le fait que "la migration absolument incontrôlée" d'important nombre de personnes présente un grand danger.

    Il est clair que des éléments de l'EI sont parmi les migrants et profitent de cette opportunité pour entrer en Europe, chose pour laquelle ils "n'ont même pas besoin d'arme", a poursuivi M. Polli.

    Les autorités sécuritaires en Europe ont peu de chance d'attraper les suspects terroristes parmi les migrants, comme les autorités allemandes qui sont en ce moment "désespérées".

    "Les combattants de l'EI n'attendent pas que les autorités les arrêtent sans hâte, ils attaqueront avant. Nous verrons cela dans cinq mois au plus tard", a mis en garde M. Polli".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le Camp des saints en Croatie

    Tomislav Sunić est un écrivain et traducteur américano-croate, ancien professeur aux Etat-Unis en science politique et ancien diplomate.

    ♦ A quelque chose malheur est bon. C’est grâce à la poigne communiste que l’Europe de l’Est, y compris la Croatie encadrée en ex-Yougoslavie, a su préserver son visage blanc et sa mémoire historique. Pendant les Trente Glorieuses les immigrés africains, levantins et maghrébins surent fort bien que leurs hôtes en France et en Allemagne seront plus samaritains que le commissaire de l’Est dont les lendemains refusèrent obstinément de chanter.

    Il fut prévisible que, suite à l’actuel choc migratoire en provenance du Moyen Orient et de l’Afrique, le peuple croate crachera sa colère envers l’UE ou les immigrés – ou tous les deux à la fois.

    Ayant jadis fort bien appris la pensée unique communiste, la présente vulgate multiculturelle imposée par Bruxelles compte fort peu de disciples au sein du peuple croate. Les paroles acerbes à l’encontre des immigrés, qui seraient sujets aux dispositions de la loi Fabius-Gayssot en France ou sévèrement réprimés en Allemagne en vertu du paragraphe 130 du Code pénal, sont librement proférées en Croatie par beaucoup de ses citoyens. Contrairement à la France et à l’Allemagne, les vocables « racisme », « xénophobie » ou « convivialité multiculturelle » portent en Croatie un signifié dérisoire, digne de la langue de bois communiste. Se dire blanc et catholique à haute voix est souvent considéré comme un signe d’honneur croate.

    Mais il ne faut pas s’y tromper pour autant.

    La classe dirigeante croate, à l’instar des autres pays est-européens, est composée dans sa grande majorité de rejetons des anciens apparatchiks yougo-communistes dont le but suprême consiste à montrer à Bruxelles que la Croatie se comporte plus catholiquement que le Pape, à savoir qu’elle est plus européiste que la Commission européenne. Le côté mimétique des dirigeants croates n’a rien de neuf, ayant été hérité du passé yougoslave où les anciens communistes croates devaient se montrer davantage comme de bons Yougoslaves et de meilleurs titistes que leurs homologues serbes. Une peur bleue d’être dénoncés aujourd’hui par Bruxelles ou Washington comme des dérives « fascistes », « racistes » ou « oustachis », fait que Zagreb ne bouge pas sans l’assentiment de Washington ou de Bruxelles. Cela est souvent le cas au gré des circonstances : quand Washington misait dans les années 1990 sur la carte albanaise et antiserbe, les nationalistes croates s’étaient vu la porte grande ouverte ; quand, en revanche, la vulgate multiculturelle devient la règle, la Croatie est censée devenir un pays dépotoir pour les nouveaux migrants.

    On peut tracer un parallèle avec l’Allemagne qui doit, elle aussi, jouer à la surenchère humanitaire envers les immigrés, s’imaginant que son passé, qui refuse de passer, sera ainsi mieux neutralisé. Soumise, après la Deuxième Guerre mondiale, à une rééducation exemplaire, il n’est pas étonnant que Mme Merkel et ses amis fassent des discours ultra-humanitaristes et antifascistes. Hélas, les paroles délirantes des Allemands sur leur « Willkommenskultur » (culture d’accueil) résonnent bien différemment aux oreilles des migrants venus de l’Afrique et de l’Asie.

    Le grand avantage du flux migratoire en Europe de l’Est est qu’il se déroule de façon désordonnée et imprévue, ce qui ne motive guère ni les Croates ni les Serbes ni les Hongrois à accueillir les nouveaux venus à bras ouverts. Contrairement à la tactique bolchevique du salami, à laquelle les Occidentaux s’étaient déjà bel et bien habitués, le soudain drame migratoire en Europe de l’Est semble annoncer le nouveau printemps pour tous les Européens. Notre avant-guerre a commencé !

    Tomislav Sunic, 24/09/2015

    www.tomsunic.com

    http://www.polemia.com/le-camp-des-saints-en-croatie/

  • Marche pour la vie à Berlin

    Cette marche a eu lieu le 20septembre. Voici le discours du Président de la Marche pour la vie, Martin Lohmann (en vidéo v.o. ici):

    "Chers amis de la vie !

    DSC_0785Notre témoignage est toujours plus grand, notre marche grandit !
    C´est une chance ! C´est bien comme cela !
    En effet, notre message est on ne peut plus actuel !
    Il est valable sans exception.
    Notre message est sans préjugés, et ne veut blesser personne !

    Notre message est une invitation claire : OUI à la vie !

    Il n´y a pas de bonne mort !
    Il n´y a pas un droit de tuer
    Mais il y a un droit à la vie!
    Toujours.

    DSC_0479Nous témoignons aujourd´hui à Berlin pour beaucoup  d´autres de notre société, qui ne pouvant se joindre à nous, nous accompagnent par leurs prières et pensées. Nous agissons pacifiquement – et avec tolérance. Nous agissons amicalement – et avec respect. C´est pour cela que nous n´acceptons aucun extrémisme. Nous n´aimons aucune idéologie d´extrême droite. Nous n´aimons aucune idéologie d´extrême gauche. Le fondamentalisme n´est pas le bienvenue chez nous. Au contraire les témoignages en faveur de la vie et de l´amour sont les bienvenus, Ceux là donnent une chance, une vraie!

    Nous plaidons pour une véritable culture de l´accueil. Partout. Pour les réfugiés, qui fuient la violence et l´oppression et recherchent la sécurité dans leur vie. Pour les personnes âgées, qui souhaitent vivre dignement leur vieillesse et mourir dans la dignité. Et pour les hommes qui ne sont pas nés, qui sont là et veulent simplement vivre. L´homme n´est pas une chose.

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  • Les USA en Ukraine pour apprendre à "combattre la Russie"

    Le président ukrainien a annoncé l'arrivée en novembre prochain d'instructeurs américains afin de coopérer avec les forces spéciales ukrainiennes et d'apprendre à combattre la Russie.

    Doctrine militaire: Kiev désigne la Russie comme son principal ennemi

    En visite à New York pour participer à la 70e session de l'Assemblée générale de l'Onu, Piotr Porochenko a qualifié "d'échange mutuellement avantageux" la présence en Ukraine des instructeurs américains qui entraînent les soldats de la Garde nationale ukrainienne.

    "Non seulement les Ukrainiens sont-ils intéressés à apprendre la façon dont on se bat chez les partenaires américains, mais il est tout aussi intéressant pour les Américains d'apprendre à combattre la Russie ", a déclaré M.Porochenko lors de sa rencontre avec les représentants de la diaspora ukrainienne aux Etats-Unis.

    Outre les Etats-Unis, la Pologne, le Canada et le Royaume-Uni ont aussi pris la décision d'envoyer des instructeurs militaires en Ukraine. Les instructeurs américains y sont depuis avril dernier.

    Kiev a adopté jeudi dernier une nouvelle doctrine militaire où la Russie est considérée comme un "ennemi militaire" de l'Ukraine. La nouvelle doctrine militaire exprime également la nécessité de préparer l'Ukraine à sa défense et de restaurer la souveraineté et l'intégrité territoriale du pays.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150927/1018423390/porochenko-usa-instructeurs.html#ixzz3myMXqxZx

  • Onfray, Sapir : le retour en force de la gauche du non

    Entretien avec Thomas Guénolé

    Ex: http://patriotismesocial.fr

    Thomas Guénolé décrypte comment la gauche du non, ignorée en 2005, est en train de revenir sur le devant de la scène, accusée de «faire le jeu du FN».

    Thomas Guénolé est politologue et maître de conférence à Sciences Po, docteur en sciences politiques (Sciences Po – CEVIPOF). Il est l’auteur du Petit guide du mensonge en politique paru aux éditions First en mars 2014.

    LE FIGARO. – Jacques Sapir et maintenant Michel Onfray, deux personnalités issues de la gauche, ont été récemment accusés de faire le jeu du FN. Selon vous, ces polémiques s’inscrivent dans la continuité du «Non» français au traité constitutionnel européen en 2005. En quoi ?

    Thomas GUÉNOLÉ. – Après la victoire du «Non» au référendum de 2005 sur la Constitution européenne, il y avait eu alliance objective entre le «Oui de droite» et le «Oui de gauche», entre l’UMP de Nicolas Sarkozy et le PS de François Hollande, pour adopter au Parlement quasiment le même texte, rebaptisé «traité de Lisbonne».

    Depuis lors, le «Non de gauche» a été repoussé en France dans les limbes du débat public, du paysage politique, et du paysage audiovisuel. Voici dix ans en effet qu’en France, les intellectuels, éditorialistes et économistes qui défendent les idées du «Non de gauche», et qui obtiennent d’être significativement médiatisés, se comptent au total à peine sur les doigts des deux mains. Pourtant, lors du référendum de 2005, selon un sondage de TNS Sofres et de Gallup, le «Non» à la Constitution européenne, en particulier à son programme économique, avait fait 70% des voix chez le «peuple de gauche».

    Au bout de dix ans de purgatoire, depuis quelques mois nous assistons au contraire à la brutale réhabilitation du «Non de gauche» dans le débat public. La présence beaucoup plus prégnante d’intellectuels comme Emmanuel Todd, Jacques Sapir, Michel Onfray, tous trois partisans de cette ligne politique, constitue un symptôme évident de ce retour de balancier.

    Dans ce contexte, il est parfaitement cohérent que Laurent Joffrin en particulier soit monté au créneau contre Michel Onfray: c’est la riposte du «Oui de gauche» au «Non de gauche». On avait assisté à la même chose, lors de la controverse sur le livre «Qui est Charlie?», entre le «Non de gauche» d’Emmanuel Todd et le «Oui de gauche» de Manuel Valls.

    La crise politique euro-grecque de 2015 a-t-elle contribué à cette transformation du débat public français ?

    Je pense même que c’est le facteur principal qui a provoqué cette transformation du paysage intellectuel. L’affrontement entre les dirigeants de l’Union européenne et le gouvernement grec a atteint un degré de violence politique proprement ahurissant: songez qu’en plein référendum grec sur les mesures d’austérité exigées par la «Troïka», la Banque centrale européenne a coupé l’arrivée de liquidités au système bancaire grec tout entier. Sauf erreur de ma part, c’est du niveau d’un acte de guerre économique pure et simple.

    Obtenue avec ces méthodes et avec ces exigences en termes d’austérité radicalisée, la capitulation d’Athènes le couteau sous la gorge a sans doute agi comme révélateur sur tout un pan de l’opinion publique de gauche en France. Le révélateur de cette vérité simple: non, quand on est dans la zone euro, et quand on a signé le Pacte budgétaire européen dit «traité Merkozy», on ne peut pas faire une autre politique que celle de l’austérité. Et donc: non, quand on est dans la zone euro et quand on a signé le Pacte budgétaire européen, on ne peut pas faire une politique de gauche au sens où l’entend le «Non de gauche».

    Tout au plus peut-on, comme actuellement François Hollande, être de gauche au sens très limité d’une politique socio-économique identique à celle de la droite, mais accompagnée d’une lutte rigoureuse contre les discriminations dans la société française ; discriminations qui du reste sont bien réelles, en particulier contre les femmes, les jeunes, et les Français ayant des origines arabes ou subsahariennes. Du reste, c’est toute la logique de la stratégie Terra Nova conceptualisée par feu Olivier Ferrand pour le candidat du PS à la présidentielle de 2012.

    Par conséquent, la crise euro-grecque de 2015 ayant brutalement dévoilé qu’une alternative à l’austérité est interdite quand vous êtes membre de l’euro et du Pacte budgétaire européen, il est parfaitement logique qu’elle accouche de la résurrection du «Non de gauche» dans le débat public français.

    Ce «Non» de gauche peut-il, non pas faire le jeu du FN, mais le concurrencer ?

    Etre de gauche et dire que la France doit sortir de Schengen, pour combattre la concurrence déloyale de la main d’œuvre d’Europe centrale, ce n’est pas faire le jeu du FN. Etre de gauche et dire qu’il faut copier le modèle canadien d’immigration par quotas de métiers, pour empêcher l’écrasement des salaires du personnel non qualifié et le dumping sur celui du personnel qualifié, ce n’est pas faire le jeu du FN. Etre de gauche et dire qu’il faut sortir de l’euro pour ne plus se voir interdire les relances monétaires keynésiennes, ce n’est pas faire le jeu du FN. C’est, au contraire, enrayer la dynamique du FN, en faisant que la gauche se réapproprie ses propres fondamentaux socio-économiques.

    C’est la grande contradiction dans le raisonnement d’une partie des éditorialistes, intellectuels et économistes qui défendent le «Oui de gauche»: accuser leurs homologues du «Non de gauche» de «faire-le-jeu-du-FN» en ayant un discours souverainiste de gauche. Or, au contraire, ce sont la marginalisation et l’étouffement du «Non de gauche» dans le débat public français depuis dix ans qui favorisent la montée du FN, en le mettant en monopole sur le message anti-politiques européennes d’austérité. Car, tout bien pesé, si le «Non de gauche» existait solidement dans le paysage intellectuel et politique français, alors, du jour au lendemain, la stratégie Philippot du FN, consistant à cibler les électeurs du «Non de gauche», n’aurait plus aucune chance de fonctionner.

    Pour l’heure, le «Non de gauche» ne trouve pas de traduction politique…

    C’est plutôt un problème d’unification qu’un problème de vide. EELV tendance Duflot, Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon, Nouvelle Donne de Pierre Larrouturou, aile gauche du PS presque en rupture de ban, réseaux d’Arnaud Montebourg: sur le fond, ces courants du paysage politique incarnent tous à des degrés divers le «Non de gauche», et ils ne divergent que sur une poignée d’enjeux, secondaires face au programme européen d’austérité.

    Néanmoins, aussi longtemps que cette offre politique du «Non de gauche» sera atomisée, fragmentée, balkanisée, elle n’aura aucune chance de percer. Et ce, alors que l’écroulement progressif dans les urnes du «Oui de gauche» lui donne une fenêtre de tir.

    Face aux divisions de la gauche du «Non», la candidature d’une personnalité de la société civile peut-elle émerger pour la présidentielle de 2017 ?

    Peut-être Michel Onfray lui-même compte-t-il, comme José Bové en son temps, concourir à l’élection présidentielle ; et après tout, l’aventure d’un candidat venu de la société civile est dans l’air du temps. Cependant, une autre possibilité m’apparaît plus solide pour porter un «Non de gauche» unifié sur les fonds baptismaux: une primaire ouverte de toute la gauche du «Non», pour ne présenter qu’un candidat au premier tour de 2017 ; et d’ici là, l’unité de liste systématique du «Non de gauche» au premier tour des élections régionales de décembre.

    SourceLe Figaro

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2015/09/25/onfray-sapir-le-retour-en-force-de-la-gauche-du-non-5690014.html

  • Allemagne : immigration de masse et explosion du nombre de viols

     EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Totalement occultée en Europe, une étude américaine relève le lien entre explosion des viols et d’immigration de masse en Allemagne

    L’information a fait la une, hier de notre excellent confrère Présent. Dans une étude très détaillée publiée le 18 septembre dernier, le Gatestone Institute, un organisme américain qui se consacre aux questions stratégiques, relève la parfaite corrélation entre la croissance exponentielle du nombre de viols que connaît actuellement l’Allemagne, d’une part, et l’ouverture des frontières de nos voisins d’outre Rhin à une immigration massive, de l’autre.

    Gatestone n’hésite pas à incriminer les demandeurs d’asile

    Foin du politiquement correct… Dans son étude, Gatestone décrit en effet : « Un nombre croissant de femmes et de jeunes filles hébergées dans des abris pour réfugiés en Allemagne, violées, agressées sexuellement et même forcées à se prostituer par les demandeurs d’asile ». Et l’Institut américain de continuer

    Les conditions de vie dans ces centres d’hébergement sont si dangereuses pour les femmes et les jeunes filles que ces dernières sont décrites par les prédateurs mâles musulmans comme du “gibier sauvage” à leur disposition

    L’étude recense précisément plusieurs dizaines de cas

    Avec la description des agresseurs, les dates, les lieux, les âges des victimes : femmes, adolescentes et même enfants.

    Un nombre croissant d’Allemandes à travers le pays sont violées par des demandeurs d’asile en provenance d’Afrique, d’Asie et du Moyen Orient

    précise Gatestone. Dans plusieurs villes de Bavière entre autres, à la suite de nombreux viols de jeunes filles, la police a demandé aux parents de ne pas laisser leurs enfants non accompagnés, aux femmes de ne pas sortir seules, ou encore aux lycéennes de ne pas porter de vêtements « révélateurs » afin d’éviter les « malentendus » (sic) avec les réfugiés musulmans.

    Et en France ?

    Silence radio sur les médias de l’oligarchie. À part quelques cas de viols qui ont fait l’objet d’un encart dans les pages faits divers de Nice Matin ou de La Voix du Nord. Naturellement, pas un mot sur l’origine des violeurs…

    http://fr.novopress.info/192807/allemagne-immigration-masse-explosion-du-nombre-viols/