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Europe et Union européenne - Page 842

  • Angela Merkel en burqa : scandale en Allemagne

     

    Source : OJIM
    Pour avoir diffusé une image représentant Angela Merkel, portant une burqa devant un Reichstag entouré de minarets, la chaîne de télévision allemande ARD est sous le feu des critiques.

    Souhaitant lancer un débat sur « l’avenir des valeurs allemandes » à l’heure des grandes vagues migratoires encouragées par la Chancelière, le présentateur Rainald Becker ne pensait pas susciter une telle levée de bouclier. « Choqués », de nombreux téléspectateurs ont accusé, sur les réseaux sociaux, la chaîne de « propager l’islamophobie ».

    Sur sa page Facebook, l’émission s’est défendue en expliquant que « l’image corrélait bien avec l’annonce de Rainald Becker accompagnant le reportage portant sur les valeurs de notre société. Le présentateur parlait des progrès de la société occidentale — de la liberté de parole et de l’égalité. Ces valeurs étaient reflétées dans le photomontage. La chaîne voulait souligner des contradictions en lançant ainsi une discussion. L’usage d’images polémiques n’est pas interdit par la loi. Nous réfutons fermement toute accusation d’incitation à l’islamophobie. »

    Alors que les clandestins sont de plus en plus nombreux à affluer en Allemagne (on estime à présent leur nombre à 1,8 million pour la seule année 2015 !) et qu’une majorité d’Allemands commence à craindre cette invasion (sondage Infratest Dimap), il semble tout aussi difficile d’exprimer une opinion transgressive dans les médias allemands que dans ceux de l’autre côté du Rhin.

    http://fr.novopress.info/

  • 7% pour le parti anti-immigration en Allemagne

    A propos des « réfugiés », une chronique de Dpa – kekn (Knitter Scheidt).

    ♦ S’il y avait dimanche une élection au Bundestag, l’AfD (*) franchirait allégrement la barre des 5%. Avec son positionnement hostile aux réfugiés, le parti marque des points. Un politicien de l’Union [CDU/CSU] contribue [involontairement] à cette poussée.

    Hambourg – Le parti de droite populiste AfD progresse de manière significative dans les enquêtes d’opinion. Dans l’actuelle « Wahltrend » [tendance électorale ; sondage hebdomadaire] de l’institut de sondage Forsa pour le magazine Stern et RTL, le parti grimpe à 7% avec son positionnement hostile aux réfugiés, soit deux points de pourcentage de plus que la semaine précédente.

    Les parties de l’Union CDU/CSU perdent un point à 39% – environ 2,5% de moins qu’à l’élection générale il y a deux ans. Les Verts et Die Linke cèdent également un point dans cette enquête et tombent tous les deux à 9%. Le SPD gagne un point, à 25%, tandis que le FDP reste encore enlisé à 5%. Les autres petits partis représentent ensemble 6%.

    Ce qui augmente massivement, c’est aussi la proportion de non-votants et d’indécis : avec près de 33%, cette proportion est beaucoup plus grande qu’à l’élection générale de 2013, où seuls 28,5% de l’électorat s’étaient abstenus.

    L’AfD connaît sa plus forte adhésion en Allemagne de l’Est. Ici, elle obtiendrait 12%, tandis que la CDU, avec 3,5 points de pourcentage en moins dans les nouveaux Länder, perd plus de deux fois plus que dans l’ex-Allemagne de l’Ouest (-1,6%).

    Plus grandes encore sont les pertes accusées par la CSU, qui cède 5,3 points de pourcentage. Le patron de Forsa, Manfred Güllner, propose l’explication suivante : « Les attaques du premier ministre Horst Seehofer contre la chancelière ont, dans une large mesure, poussé les électeurs les plus à droite de la CSU vers l’AfD ».

    En référence à la situation des réfugiés en Bavière, Seehofer vient de déclarer, contrairement aux assurances de Merkel : « Plus, ce n’est plus possible ».

    Cependant, Seehofer ne se nuit visiblement pas seulement à lui-même, avec son attitude rebelle, mais il nuit également à la tête du parti frère : à la question de savoir quel serait le chancelier favori des Allemands si l’hôte de la chancellerie pouvait être élu directement, Angela Merkel perd deux points par rapport à la semaine dernière, à 47%.

    Elle doit cette plus faible valeur de l’année avant tout au défaut de soutien de la part des partisans de la CSU : seulement 63% des chrétiens-sociaux choisiraient Merkel comme chancelière.

    Dpa – kekn (Knitter Scheidt) 7/10/2015

    Sources : Handelsblatt (7/10/2015) et Frankfurter Allgemeine/ Flüchtlingskrise

    Traduction : F.S.

    Note : pour les lecteurs qui ne seraient pas au fait de la politique allemande, voici une légende leur permettant d’identifier les formations postulant des sièges au Bundestag. (source : Wikipédia).

    –AfD : Alternative pour l’Allemagne ( Alternative für Deutschland, initiales AfD) est un parti politique eurosceptique allemand, créé le 6 février 2013 et lancé officiellement le 14 avril suivant à Berlin.

    –CDU/CSU : Le groupe CDU/CSU au Bundestag (CDU/CSU-Fraktion im Deutschen Bundestag ou CDU/CSU-Bundestagsfraktion) est le groupe parlementaire commun formé au Bundestag par les parlementaires membres de l’Union chrétienne-démocrate d’Allemagne (CDU), présente dans tous les Länder sauf en Bavière, et de l’Union chrétienne-sociale en Bavière (CSU), présente en Bavière seulement.

    –Die Linke (La Gauche) : parti politique allemand, né de la fusion le 16 juin 2007 du Parti du socialisme démocratique (PDS, ex-SED qui fut le parti officiel de la RDA) et de l’Alternative électorale travail et justice sociale (WASG).

    –SPD : Le Parti social-démocrate d’Allemagne (Sozialdemokratische Partei Deutschlands, SPD), qui a été fondé en 1875 (sous le nom de SAP, renommé SPD en 1890), est le plus vieux parti politique d’Allemagne

    –FDP : Le Parti libéral-démocrate (Freie Demokratische Partei, FDP) est un parti politique libéral allemand créé en 1948. Il défend des politiques combinant la défense des libertés fondamentales et du libre-échange avec certains éléments de l’État-providence allemand. Aujourd’hui, il n’est plus représenté au Bundestag à la suite de la perte de tous ses sièges lors des dernières élections fédérales.

    http://www.polemia.com/7-pour-le-parti-anti-immigration-en-allemagne/

  • Marine Le Pen attaque

    Merkel et Hollande, en se présentant ensemble au Parlement européen, voulaient sans doute entrer dans l’histoire comme Mitterrand et Kohl, en 1989, quelques semaines après la chute du mur de Berlin. Mais il y a un quart de siècle, il s’agissait de célébrer à Strasbourg la liberté recouvrée de nations captives, alors qu’aujourd’hui, au contraire, leurs successeurs veulent museler celles qui entendent se libérer de la tutelle allemande et qui refusent qu’on leur impose d’abandonner des pans de leur territoire à des « réfugiés », des clandestins et parmi eux nombre de terroristes.
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    Merkel et Hollande n’ont pas joué la difficulté, ils ont prêché devant un parterre majoritairement composé de convaincus, ils ont obtenu de faciles applaudissements. S’il n’y avait eu la présence de Marine Le Pen et ses quatre minutes d’une intervention aussi vigoureuse que pertinente, nul n’aurait porté la voix des millions d’Européens qui refusent cette Europe de l’austérité, des frontières ouvertes aux étrangers, une Europe de la contrainte pour ses ressortissants, de la punition pour les nations indociles.

    Le chef du gouvernement allemand et celui de l’État français ont en commun un manque certain d’imagination ! Pour porter remède à une crise, celle des « réfugiés », que tout le monde s’accorde à juger sans précédent, ils n’ont que leurs vieilles recettes, que dis-je, leur seule recette, ainsi rappelée par Angela Merkel : « Il nous faut plus d’Europe ».
    Depuis Maastricht, nous avons eu toujours plus d’Europe et toujours moins de liberté, moins de croissance, moins d’emplois et plus d’immigrés. Ça ne fait rien, continuons quand même, les lendemains chanteront un jour, foi de Merkel !
    Et Hollande, celui que Marine Le Pen appelle avec justesse « le vice-chancelier », de renchérir dans le style « je dirai même plus » : « Le débat, il n’est pas entre moins d’Europe et plus d’Europe, il est entre l’affirmation de l’Europe ou la fin de l’Europe. » Comme si l’Europe n’avait pas existé avant l’Union européenne !

    Que se passerait-il s’il n’y avait pas « plus d’Europe » ? Ce serait « le retour des frontières nationales, le démantèlement des politiques communautaires, l’abandon de l’euro », a dit le président français. Ce que François Hollande présente aux élus européens comme l’Apocalypse serait pour des millions d’Européens la libération à laquelle ils aspirent, ce dont témoignent les élections dans de nombreux pays, dont le nôtre.
    Si le débat est entre l’aggravation de leur Europe ou sa fin, il convient de le trancher et non point de le fermer. C’est aux peuples européens de se prononcer. Mais ni Hollande ni Merkel, ces grands démocrates, ne veulent leur poser la question. Ils savent ce qui est bon pour nous et que nous répondrions « mal ».

    On avait omis de nous préciser que le « oui » à Maastricht, prononcé du bout des lèvres il y a 25 ans, était irréversible et qu’il nous engageait pour toujours, le droit à la parole nous étant dès lors interdit, sauf pour acclamer le numéro de duettistes exténués de Merkel et Hollande.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen : « Je suis l’anti-Merkel ! J’en accepte l’augure ! »

    Alors que Hollande, quelques minutes plus tôt, avait comparé "le souverainisme au déclinisme", la présidente du FN lui a rappelé que l’article 1 d’une Constitution qu’il était censé servir s’intitulait "de la souveraineté"…

    Au milieu du ronron bien-pensant, d’une Europe à la pensée prémâchée, le réveil a sonné mercredi au Parlement européen, il a retenti pendant quatre longues minutes, vissant dans leur siège Angela Merkel et son escort boy François Hollande, qui se sont vu donner par Marine Le Pen une leçon de souverainisme, une leçon de démocratie – certains diront une leçon de courage politique.

    Ce 7 octobre, en assemblée plénière à Strasbourg, madame Merkel et monsieur Hollande sont venus vanter aux représentants européens tous les bienfaits de la crise migratoire actuelle, façon Oui-Oui, Plus belle la vie.

    Il s’agissait d’ancrer profondément dans les consciences anesthésiées la nécessité d’accueillir grand, d’ouvrir largement des frontières qui déjà n’existent plus, sous fond de pseudo-charité dégoulinante d’hypocrisie. Contre recherche de main-d’œuvre à bas prix.

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  • Marine Le Pen traite François Hollande de "vice-chancelier" d'Angela Merkel

  • Allemagne: nouvelle manifestation contre l'accueil des réfugiés

    Environ 8.000 personnes ont à nouveau manifesté mercredi soir à Erfurt en Allemagne (Est) contre la politique d'accueil de milliers de réfugiés d'Angela Merkel, a indiqué la police locale, dans un contexte de mécontentement croissant dans le pays.

    Environ 8.000 personnes ont à nouveau manifesté mercredi soir à Erfurt en Allemagne (Est) contre la politique d'accueil de milliers de réfugiés d'Angela Merkel, a indiqué la police locale, dans un contexte de mécontentement croissant dans le pays.

    Le rassemblement dans le centre de cette ville de Thuringe avait été organisé à l'appel du parti anti-immigrés et populiste AfD (Alternative pour l'Allemagne), qui grimpe dans les derniers sondages en surfant sur les craintes qu'engendrent dans l'opinion l'arrivée d'un nombre record de migrants dans le pays.

    Selon la dernière enquête publiée mercredi, ce mouvement convaincrait 7% des électeurs allemands en cas d'élections des députés.

    Lors de la manifestation d'Erfurt, des contre-manifestants ont jeté des pierres sur les partisans du parti populiste et des deux côté des pétards ont été allumés. Un manifestant a été légèrement blessé, selon des éléments donnés jeudi matin par la police.

    Des milliers de personnes s'étaient aussi rassemblées lundi soir à Dresde (est), à l'appel d'un autre mouvement anti-immigré et islamophobe, Pegida, pour dénoncer l'afflux massif et croissant de migrants en Allemagne.

    L'Allemagne s'attend à accueillir, selon des estimations officielles, entre 800.000 et un million de demandeurs d'asile en 2015, un record dans ce pays comme en Europe.

    source : Le Parisien lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_international/EuuukAEFklRZUxeaAk.shtml

  • Ils parlent d'intégration, mais qui en veut ?

    En somme, et avec un peu de recul, on peut dire que la votation du 29 novembre sur les minarets a été extrêmement utile, au-delà même de son objet: elle a permis de soulever le couvercle d’une marmite qui, en Europe, aurait tôt ou tard explosé.
    Le plus remarquable, en effet, ne s’est pas produit en Suisse – où en gros il ne s’est rien passé. Certains médias, et pas mal de politiciens, en ont été profondément frustrés : malgré leurs honteux appels du pied, on n’a pas vu de jeunes excités brûler des drapeaux suisses, aucun attentat n’a eu lieu, et les appels au retrait de fonds des banques suisses ont fait un flop. Les investisseurs sont plus intelligents et plus sages que les agitateurs
    Expression d’un peuple moins trouillard, ou moins résigné, que ses dirigeants.
    C’est en Europe que le vote des Suisses a eu les effets les plus spectaculaires. Et, comme on pouvait s’y attendre, la Suisse n’a pas été mise au ban des nations civilisées, mais elle a tout au contraire été admirée, félicitée, enviée. Du moins par les peuples, et de manière éclatante, moins par les élites, et on comprend tout de suite pourquoi : la Suisse, cette tache énervante sur le drapeau de l’Empire, a montré qu’elle pratiquait, même au 21e siècle, une démocratie vivante et forte, expression d’un peuple moins trouillard, ou moins résigné, que ses dirigeants. De quoi faire venir le rouge au front desdites élites européennes, dans les pays de laquelle la démocratie a été réduite à sa plus misérable expression : l’élection, tous les quatre ou cinq ans, d’une majorité qui passera la législature à défaire ce qu’a fait la précédente. Cela, souvent au moyen de systèmes électoraux particulièrement inégalitaires, voyez la France.
    L’effet le plus spectaculaire du vote suisse a été de faire émerger en Europe, jusqu’à la prise de conscience, un problème bien réel, mais obstinément censuré par les gouvernements. L’Europe, on ose enfin le reconnaître, a un problème avec l’islam, ou plus précisément avec l’image qu’elle s’en fait, certes déformée, à travers une actualité quotidienne terrifiante, à cause aussi de l’ambiguïté des musulmans d’Europe à l’égard de la violence islamiste. Ce n’est pas attenter à la paix civile que de le dire et de le reconnaître. Au contraire : pour apaiser des tensions connues de tous, il est préférable d’en débattre plutôt que de les cacher sous le tapis et d’en interdire la discussion.
    La votation du 29 novembre a fait émerger et discuter quantités de problèmes et de malentendus
    Dans de nombreux pays européens, la votation du 29 novembre a fait émerger et discuter quantités de problèmes et de malentendus. Cela ne signifie pas qu’on les a résolus, évidemment. En France, les médias osent exposer «ce qui ne va pas», au niveau du quotidien vécu par les Français. Le Figaro (*) a publié le 15 décembre un article révélateur sur les exigences croissantes des musulmans dans l’entreprise, dans les écoles, dans les hôpitaux. Ainsi, dans les cantines, où le porc est interdit, le fait qu’il y ait de la viande halal à côté de la viande «normale» ne suffit plus : ce voisinage n’est plus accepté, il faut des cantines séparées; de même il est exigé que le personnel de service féminin porte des manches longues. On réclame encore des lieux de culte dans les entreprises, et la reconnaissance des jours fériés musulmans. A l’hôpital, les incidents sont quotidiens, notamment dans les services d’obstétrique, où les médecins hommes sont régulièrement agressés par des maris ou des frères
    On nous dira que d’autres communautés religieuses ont, elles aussi, des exigences particulières, pas forcément conformes aux us et coutumes locaux. C’est parfaitement exact mais, dans la plupart des cas, ces communautés ne commencent pas par exiger et menacer; se sachant minoritaires, elles préfèrent la négociation, voire l’adaptation contre son gré, à l’arrogance et au bras de fer. Faire profil bas, s’il le faut, est encore le meilleur moyen de vivre en paix lorsqu’on veut préserver des valeurs qui ne sont pas celles de la majorité.
    L’intégration fraîche et joyeuse prônée par nos pasteurs, curés et politiciens bien-pensants est une vue de l’esprit
    Ces difficultés, qui vont aller croissant pour de simples raisons démographiques, montrent que l’intégration fraîche et joyeuse prônée par nos pasteurs, curés et politiciens bien-pensants est une vue de l’esprit, qui n’intéresse pas grand monde, en tout cas pas les musulmans. Pour des raisons qui leurs sont propres, il sont attachés, dans la vie en société, au communautarisme et non à l’intégration. Ce n’est ni un crime ni une vertu, juste une réalité. Pour beaucoup, l’intégration signifierait s’adapter à un mode de vie impur, et ce serait bien la pire des trahisons à l’égard de leur religion. D’une certaine manière, l’intégration est la négation même de la manière dont ils veulent vivre leur foi, eux et leur famille, là où ils sont établis. Il faut en prendre acte, car il est inutile de culpabiliser sans cesse les Suisses, les Français ou les Hollandais pour qu’eux seuls cultivent l’intégration. Pour faire une bonne intégration, c’est comme dans le mariage: il faut être deux.
    Philippe Barraud : Commentaires.com 16/12/2009
    http://www.commentaires.com/suisse/ils-parlent-d%e2%80%99integration-mais-qui-en-veut

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2594

  • Affaire Morano, audition Bernard Cazeneuve, Erdogan à Strasbourg… l'actu vue par Bruno Gollnisch

  • Berlin : un centre d’enregistrement des réfugiés sous très haute tension

    Reportage d’Itélé sur un « hotspot » d’enregistrement des clandestins  en Allemagne. 

     

    http://www.contre-info.com/