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Europe et Union européenne - Page 884

  • Succès de la manifestation italienne pour défendre la famille

    La Manif Pour Tous se réjouit et se félicite de l’immense succès de la mobilisation populaire à Rome où une marée humaine arborant les célèbre drapeaux bleu, blanc et rose a défilé dans le calme et la détermination. Les familles sont venues de toute l’Italie pour dire non au projet de Matteo Renzi d’une union entre personnes de même sexe permettant l’adoption d’enfant.  Ludovine de La Rochère explique :

     « Il s’agit d’un mariage qui ne dit pas son nom et qui ouvre la porte à l’adoption pour les couples de même sexe. Il est urgent de bloquer ce projet pour l’intérêt des enfants qui ne doivent pas pouvoir être privés d’un père ou d’une mère ». « Bravo aux Italiens qui ont réussi une mobilisation historique que personne n’avait vu venir ! C’est un peu comme en 2012 en France lors du lancement du mouvement social contre la loi Taubira. Le succès italien d’aujourd’hui marque une étape importante dans la mobilisation pour bloquer la déconstruction de la société et le bouleversement de civilisation souhaité par un lobby LGBT aussi extrémiste et radical que minoritaire, y compris parmi les personnes homosexuelles ».

    Fort du succès de la manifestation, Jacopo Coghe, le Président de La Manif Pour Tous Italia, va venir en France dans les prochaines semaines pour rencontrer les élus pour évoquer avec eux la contestation qui monte en Europe contre l'idéologie du genre et déconstruction de la famille. Avec la France, et l’Italie, La Manif Pour Tous est aussi en cours de déploiement en Allemagne, en Finlande et dans d’autres pays de l’Union Européenne.

    Rome1

    Michel Janva

  • Ukraine : l’aveu d’impuissance de la diplomatie occidentale

    Ce refus d'engager le dialogue avec Moscou ne saurait être perçu autrement que comme un aveu d'impuissance de notre appareil diplomatique.

    Vladimir et François ne sont pas amis mais se parlent. Non, il ne s’agit pas de François Hollande mais du pape François, celui-là même que tous les ayatollahs de la laïcité exècrent du haut de leur toute-puissance républicaine bon teint. Les deux chefs d’État échangent, alors que le tapis rouge n’est plus de sortie depuis longtemps en Occident pour Poutine. Plus qu’une erreur, ce refus de dialoguer de l’Union européenne représente une faute politique grave.

    Reçu au Vatican (et en Italie) le 11 juin dernier, Vladimir Poutine n’a pas boudé son plaisir. Poser le pied sur le sol européen, après les dernières joutes qui ont vu les chancelleries occidentales désarçonnées par l’annonce d’une liste de personnalités non gratae en Russie, constituait un formidable pied de nez. Un scandale, diront certains, une nouvelle preuve du caractère sans gêne de la Russie… Tout est bon pour accuser l’autre et faire oublier que les listes sont également une pratique occidentale effective depuis plus d’un an. Mais passons…

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  • Le triste feuilleton grec, révélateur des blocages de la zone euro ?

    Le feuilleton grec continue : depuis plus de cinq ans, c’est « un jour sans fin », éternellement recommencé et une dette qui, elle, s’accroît autant que les misères des Grecs eux-mêmes. Mais qui s’en soucie vraiment en cette Union européenne qui, depuis si longtemps, ne s’adresse qu’au portefeuille des consommateurs et néglige le suffrage des électeurs ? Quant au Fonds Monétaire International, il poursuit son œuvre de destruction des services publics et de tous les obstacles qui peuvent entraver le globalitarisme libéral, quitte à enfermer les peuples dans des pièges d’endettement et à les empêcher de se relever tant que les Etats n’ont pas « réformé », verbe devenu synonyme malheureux de « privatiser »…

    Bien sûr, les Grecs, ou du moins leurs dirigeants démocratiques du moment, ont triché pour entrer dans la zone euro, mais c’est oublier un peu vite qui les ont acceptés dans celle-ci, et pourquoi ! Sans négliger le rôle malsain de certains employés de haut rang de banques comme Goldman Sachs… Et puis, ne disait-on pas à Bruxelles et à Francfort, que la Grèce pesait trop léger pour menacer l’équilibre de la nouvelle zone monétaire en cours de construction ? Aujourd’hui, les regrets que l’on entend émanent souvent de gens qui, au début des années 2000, promettaient à toute l’Union que la monnaie unique permettrait d’écarter toute crise durable et qu’elle était la marque d’une solidarité interne entre les peuples d’un continent riche et développé. Ces mêmes gens qui prédisaient que l’euro protégerait du chômage de masse ! En 2014, l’Union comptait plus de 26 millions de chômeurs et encore plus de travailleurs précaires… Beau résultat !

    Les gauches françaises, dans les années 30, dénonçaient, non sans quelques bonnes raisons (qui n’empêchaient pas, aussi, les mauvaises…), « le mur de l’argent » : depuis, ce mur semble avoir bien grandi et, surtout, s’être bien consolidé, et les inégalités entre les plus hauts revenus du capital et les plus faibles du travail sont devenues démesurées, donc injustes. Pourtant, les mouvements contestataires de ce règne de l’Argent sont peu audibles et presque invisibles, et les voix fortes de quelques polémistes sur ce sujet sont recouvertes par les invectives de ceux qui les dénoncent dans, parfois, de bien mauvais procès et sous l’accusation méprisante et horrifiée de « populisme »… Et l’Argent semble toujours le plus fort, désiré par tous (ou presque…) et, donc, validé jusque dans ses pires aspects, y compris par ceux qui en manquent cruellement mais espèrent, par quelque miracle de jeu, respirer quelques unes de ses effluves, pourtant censées être inodores…

    Ainsi, les Grecs, endettés et révoltés, sont-ils mal considérés par les autres Européens qui s’imaginent passer à travers les mailles d’un filet qui se resserre, que cela soit en France ou en d’autres pays méditerranéens : dans les rues de Paris, la « solidarité avec le peuple grec » se limite à quelques maigres manifestations rituelles d’une extrême-gauche en manque de crédibilité et à quelques graffitis dans les couloirs du métro, parfois accompagnés de fleurs-de-lys stylisées. C’est bien peu, tout de même !

    Il serait plus simple, pour le royaliste que je suis, de reprendre le discours « raisonnable » des économistes et des socialistes, et de vilipender à mon tour ces « maudits Grecs qui menacent l’Europe » : mais, justement, je suis royaliste et je n’oublie pas que la justice sociale est « chose royale », au-delà même du fait historique que l’inventeur de cette formule n’est autre que le roi Louis XVI en personne, au temps où sa tête était encore bien assurée sur son tronc !

    Je n’oublie rien des fautes passées commises par les Grecs mais je n’exempte pas non plus de leurs responsabilités ceux qui les ont poussés au dilettantisme économique, et j’aspire à une plus grande sévérité à l’égard de ces derniers et une plus juste clémence à l’égard des premiers. Au-delà, je souhaite et prône une réflexion digne de ce nom (et des enjeux économiques et sociaux) pour sortir la Grèce de cette ornière fatale et établir un nouvel équilibre des forces économiques, politiques et sociales en Europe, en France bien sûr et au-dehors. Mais en Grèce comme ailleurs, il faudra en passer par la (re)construction d’Etats politiques forts et susceptibles, non seulement d’être écoutés et respectés par leurs citoyens mais aussi et surtout par les grands groupes financiers et industriels qui prônent la gouvernance pour mieux saboter ou contourner les gouvernements souverains…

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1229:le-triste-feuilleton-grec-revelateur-des-blocages-de-la-zone-euro-&catid=49:2015&Itemid=60

  • Christiane Taubira est favorable à l'esclavage

    Le garde des Sceaux, Christiane Taubira, a estimé que les enfants nés à l'étranger de gestation pour autrui (GPA) avaient le droit à leur inscription à l'état civil. A quelques heures de l'examen du sujet par la Cour de Cassation, le ministre de la Justice encourage donc la marchandisation des corps et l'esclavage moderne, à l'étranger pour commencer.

    Michel Janva

  • Législatives au Danemark : Victoire du Parti Populaire danois

    La première ministre danoise, la sociale-démocrate Helle Thorning-Schmidt, a reconnu sa défaite aux élections législatives qui avaient lieu hier et va présenter sa démission à la reine.

    C'est maintenant à Lars Lokke Rasmussen (chef du bloc de droite) d'essayer de former un gouvernement. Le Parti populaire danois (DF), anti-immigration, gagne 15 sièges et Lars Lokke Rasmussen va devoir composer avec lui pour gouverner.

    Le Parti populaire danois avait remporté les élections européennes de 2014 au Danemark avec 26,7 % des voix.

    Avec 21,1% des suffrages, cette formation, désormais premier parti de droite au Danemark, a même dépassé le parti Venstre (19,5%), qui en tant que traditionnel leader du bloc de droite, devrait prendre la tête du gouvernement. A l'issue du dépouillement, le bloc de droite (Venstre, Parti populaire danois -DF-, Alliance libérale et conservateurs) obtenait 90 sièges contre 85 au bloc de gauche, actuellement au pouvoir. Le DF remportait 37 sièges, soit trois de plus que Venstre et 15 de plus qu'il y a quatre ans. 

    L'union des droites, ça paye.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Migrants : la Hongrie érige un mur, l’Union européenne lambine

    Deux chiffres suffisent à résumer le problème : en 2012, environ 2.000 clandestins étaient entrés en Hongrie. En 2015, ils sont 54.000, rien que depuis janvier. Elle est, après la Suède, le deuxième pays de l’Union européenne qui accueille le plus de migrants proportionnellement à sa population. 95 % d’entre eux pénètrent via la Serbie ; 75 % sont originaires de Syrie, d’Irak et d’Afghanistan. Quelques milliers de Kosovars fuient également la crise économique. Pour endiguer au plus vite ce déferlement, le Premier ministre Viktor Orbán a choisi un traitement de choc : la construction d’un mur de 4 m de haut sur 175 km à la frontière serbe. « Une réponse commune de l’Union européenne à ce défi prend trop de temps et la Hongrie ne peut plus attendre. Elle doit agir », explique son ministre des Affaires étrangères, Péter Szijjártó. Les travaux préparatoires, d’ores et déjà lancés, seront bouclés le 24 juin.

    Stupeur du Premier ministre serbe, Aleksandar Vučić, qui se déclare « surpris et choqué » par l’annonce de Budapest : « La solution n’est pas de dresser des murs. La Serbie ne peut pas être responsable de la situation créée par les migrants, nous ne sommes qu’un pays de transit […]. Nous leur fournissons de l’aide, de la nourriture, mais ces gens ne veulent pas rester en Serbie, ils sont de passage », ajoute-t-il, visiblement guère enthousiaste à l’idée de récupérer la patate chaude. « Cette décision ne contrevient à aucun traité international, d’autres pays ont opté pour la même solution », rétorque Péter Szijjártó. La Bulgarie prévoit d’ailleurs de prolonger de 82 km la clôture de barbelés qu’elle a installée fin 2013 à la frontière turque.

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  • KOSOVO : C’EST UN IMAM QUI LE DIT

    Quand à propos des origines ethniques du Kosovo la vérité sort de la bouche d’un imam ça vaut le coup de le faire savoir.

    Irfan Salihu, L’imam de la ville de Prizren au Kosovo s’est attiré les foudres de sa communauté pour avoir déclaré que les albanais pouvaient remercier l’Empire Ottoman d’être à l’origine de leur présence au Kosovo. D’après ses recherches, les albanais n’y représentaient en 1445 qu’1% de la population face à l’écrasante majorité de la population serbe.

    irfan-salihu

    Ce sont bien les turcs qui ont introduit les albanais au Kosovo pour leur distribuer des terres a-t-il tenu à préciser. Les responsables de la principale organisation des musulmans du Kosovo, la BIK, ont aussitôt réagi en suspendant l’imam de ses fonctions. Celui-ci aurait pu ajouter que le processus d’épuration ethnique subi au cours des siècles par les chrétiens orthodoxes du Kosovo depuis 1389, a franchi grâce à l’intervention six siècles plus tard de l’OTAN en faveur des albanais une dernière étape qui s’est traduite par l’expulsion de 250000 serbes du Kosovo.

    Source : serbianna.com

    Source Article from http://www.national-hebdo.net/KOSOVO-C-EST-UN-IMAM-QUI-LE-DIT

    http://www.altermedia.info/france-belgique/national-hebdo/kosovo-cest-un-imam-qui-le-dit_137004.html#more-137004

  • L’autre coalition européenne de mouvements nationalistes a tenu une conférence de presse au Parlement européen sur la situation en Syrie

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    Si, ces jours-ci, les médias parlent beaucoup de la création d’un groupe européen autour de Marine Le Pen, il faut savoir qu’une autre série de mouvements européens nationalistes se sont réunis de leur côté autour de l’eurodéputé allemand Udo Voigt au sein d’une alliance pan-européenne intitulée « Alliance pour la Paix et la Liberté ».

    On y retrouve le NPD allemand, le mouvement italien Forza Nuova (avec l’ancien député européen Roberto Fiore), Democracia Nacional (Espagne), le Danskernes Parti (Danemark), l’ex-eurodéputé anglais Nick Griffin, le mouvement belge Nation ainsi que des députés européens d’Aube Dorée.

    Cette alliance, sans nul doute plus politiquement incorrecte (le mot est faible) que celle de Marine Le Pen, n’en est pas moins très active. Son dernier « fait d’armes » est une visite en Syrie suite à laquelle certains de ses membres ont tenu une conférence de presse au sein du Parlement Européen de Bruxelles ce 17 juin.

    Ils y ont dénoncé le « complot international visant à détruire l’état séculaire, patriotique et social syrien« . Cette conférence de presse a notamment décrit l’action de soutien aux djihadistes de la part de la Turquie, du Qatar et de l’Arabie Saoudite. Une campagne pour réclamer des sanctions contre ce qu’ils appellent « le parrain du terrorisme », à savoir l’Arabie Saoudite, a été annoncée.

    pe-conf-2Fait marquant, des membres de l’ambassade syrienne à Bruxelles étaient présents à cette conférence de presse.

     

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    http://www.medias-presse.info/lautre-coalition-europeenne-de-mouvements-nationalistes-a-tenu-une-conference-de-presse-au-parlement-europeen-sur-la-situation-en-syrie/33521

     

     

     

  • TVL : Hervé Juvin :"Nous sommes un continent vieux, riche, vide et menacé."

  • La faillite de Schengen

    Ou comment l'idéologie de la libre circulation des personnes au sein de l'Union européenne percute le mur de la réalité dans un contexte où la pression de l'immigration illégale n'a jamais été aussi forte :

    "La Hongrie a annoncé hier la fermeture de sa frontière avec la Serbie, un nouveau signe de la crise migratoire au lendemain de l'échec des Européens à décider d'une répartition solidaire des réfugiés sur leur territoire (...) Budapest a lancé des "travaux préparatoires" pour la construction d'une clôture de quatre mètres de haut sur les 175 km de sa frontière avec la Serbie.

    Réunis mardi à Luxembourg, les 28 ne sont pas parvenus à se mettre d'accord sur un dispositif solidaire d'accueil destiné à soulager les pays les plus exposés, alors que 100.000 personnes sont clandestinement entrées dans l'UE depuis le début de l'année, selon l'agence Frontex. Opposée à une gestion européenne du dossier, la Hongrie revendique pour sa part de pouvoir traiter à sa manière les flux migratoires. Le nombre de réfugiés entrant en Hongrie, qui était de 2.000 pour toute l'année 2012, a bondi s'élevant à 54.000 depuis janvier et faisant de ce pays d'Europe centrale celui de l'UE, après la Suède, qui accueille le plus de réfugiés relativement à sa population.

    Vendredi 12 juin, M. Orban avait accusé Belgrade d'"envoyer" les migrants en Hongrie, soulignant que ceux-ci "doivent être stoppés en territoire serbe". La question doit être abordée entre les dirigeants des deux pays lors d'une rencontre le 1er juillet. Selon le gouvernement hongrois, 95% des migrants entrant en Hongrie le font par la frontière serbe. Quelque 75% d'entre eux arrivent de Syrie, d'Irak et d'Afghanistan, dont ils fuient les combats. En janvier et en février de cette année, la Hongrie a également vu arriver des milliers de Kosovars, poussés à l'exode par la situation économique (...)"

    Philippe Carhon