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Europe et Union européenne - Page 888

  • Fraudes électorales en Pologne

    D'Olivier Bault dans Présent :

    "Que les deux principaux partis d’opposition, y compris celui probablement arrivé en tête, dénoncent les fraudes électorales et demandent l’annulation des élections, c’est une chose plutôt rare dans un pays de l’Union européenne. C’est pourtant ce qui arrive en Pologne après les élections de dimanche, où les électeurs étaient appelés à choisir leurs conseillers municipaux, leurs maires et leurs conseillers régionaux pour les quatre années à venir.

    Si, d’après les sondages de sortie des urnes, le parti conservateurDroit et Justice (PiS) de Jaroslaw Kaczynski serait arrivé en tête avec 31,5 % des voix contre 27,3 % à la droite libérale (et de plus en plus libertaire) Plateforme civique (PO) de l’ex-premier ministre Donald Tusk, et 17 % au parti paysan (PSL), allié plutôt conservateur de la PO au sein du gouvernement, on ne connaissait toujours pas les résultats définitifs jeudi matin.

    Entre, d’une part, les petites fraudes électorales locales (des électeurs s’étonnent que le candidat pour lequel ils ont voté n’ait officiellement obtenu que… 0 voix) et des sacs de bulletins de vote laissés sans surveillance et, d’autre part, les graves lacunes du système informatique censé accélérer le compte des votes, les reproches adressés à la commission électorale sont nombreux. [...]"

    Michel Janva

  • Marine Le Pen et Nigel Farage s’allient contre Juncker

    Le groupe eurosceptique de Nigel Farage s’est allié au Front national pour déposer une motion de censure contre Jean-Claude Juncker. Un projet sans avenir, mais qui signe la première collaboration des forces eurosceptiques au Parlement européen.

    Le scandale des LuxLeaks, le système d’évitement fiscal du Luxembourg qui déstabilise le président Juncker, a poussé les forces antieuropéennes du Parlement européen dans les bras l’une de l’autre.

    Le 18 novembre, le groupe parlementaire de Nigel Farage a annoncé avoir rassemblé les 76 signatures d’eurodéputés nécessaires au dépôt d’une motion de censure contre le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.

    Source

    http://www.fdesouche.com/539193-marine-pen-nigel-farage-sallient-contre-juncker

  • Suède : les secours réclament un équipement militaire pour aller dans certains quartiers

    Les secours suédois ont affirmé récemment qu’ils avaient besoin de matériel pour aller dans des quartiers musulmans dans lesquels la population n’attaque plus seulement la police mais également les secours…

    Le directeur de Ambulansförbundet, un centre de secours paramédical, Henrik Johansson confiait à un journal suédois : « ils (les secours) sont visés avec tout et n’importe quoi, des armes à feu aux machettes… Nous ne sommes plus protégés comme nous l’étions avant ».

    Avant de poursuivre : « Certains secours sont prêts à aller dans ces quartiers sensibles, avec des casques anti-émeutes, des gilets pare-balle, des protège-tibia et bien sûr des masques à gaz. Ils devraient avoir un équipement adapté au travail dans ce genre d’environnement ».

    Alors que le journaliste lui demandait s’ils désiraient donc plus ou moins le même équipement la police anti-émeutes, il a répondu : « Non, comme les militaires ».

    Toute ressemblance avec des situations en France…

    http://www.contre-info.com/

  • Selon le droit européen, l’abrogation de la loi Taubira est possible

    Outre l'argument spécieux du Conseil constitutionnel qui annulerait une abrogation de la loi Taubira, ses partisans estiment que cette annulation serait retoquée par les instances supranationales. Faux, selon Grégor Puppinck :

    "[...] c’est essentiellement une question de volonté politique de la part du Gouvernement français. S’il le souhaite, il le peut. Il aura des soutiens d’autres pays européens, et fera naturellement face à l’opposition d’un certain nombre  de gouvernements, mais la France pourrait y parvenir et même rassembler autour d’elle d’autres gouvernements européens qui lui seraient très favorables. [...]

    Le fait que le Conseil de l’Europe soit aujourd’hui divisé sur cette question signifie que les États ont encore une grande marge de liberté, mais que chaque action, chaque décision s’inscrit dans ce rapport de force et a une influence importante sur les débats.

    D’un point de vue plus juridique, il me semble que l’évolution des positions dominantes tend vers un statut quo, vers un terrain d’entente, qui consisterait d’une part pour les institutions européennes à renoncer d’imposer la légalisation du mariage entre personnes de même sexe au nom des droits de l’homme(parce qu’il apparaît bien au vue des référendums et des modifications constitutionnelles que c’est impossible), mais d’autre part, ces institutions ou les gouvernements semblent s’accorder pour généraliser le modèle des contrats d’unions civiles.

    Cela veut dire que d’un côté on renoncerait au mariage homosexuel pour toute l’Europe mais on obligerait les États à adopter des contrats d’union civile qui viseraient à donner des droits pratiques et concrets pour que les couples de même sexe puissent organiser leur vie, dans la légalité avec une certaine reconnaissance sociale. Cette tendance est maintenant confirmée dans la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme, qui en juillet dernier, dans une importante affaire (Hämäläinen contre la Finlande) a affirmé très clairement que la Convention européenne des droits de l’homme ne contient pas de droit au mariage pour les couples de même sexe. La Cour a tranché le débat : il n’y a pas de droit au mariage pour les personnes de même sexe au titre de la Convention.

    Mais en même temps, elle a développé une autre jurisprudence selon laquelle il y aurait une forme de droit à la reconnaissance sociale de la relation qu’entretiennent des personnes de même sexe. L’idée que les couples de même sexe auraient « des droits à des droits », « des droits à un statut ouvrant des droits », permettant à ces personnes d’organiser leur vie ensemble.

    Cette approche est confirmée dans deux documents récents. Un document du Comité des Ministres du Conseil de l’Europe, qui regroupe les 47 Gouvernements du Conseil de l’Europe, qui, s’agissant de la Croatie a accepté que celle-ci constitutionalise le mariage hétérosexuel, tout en notant l’intention du Gouvernement de l’époque d’ouvrir le contrat d’union civile (décision du 12 mars 2014)

    De même s’agissant de la Hongrie, la Commission de Venise a adopté la même approche, en estimant qu’on pouvait avoir cette interdiction du mariage pour les personnes de même sexe d’un côté dans la Constitution tout en ayant à côté un contrat d’union civile (avis n° 621 de juin 2011).

    Voilà la situation. Si un prochain gouvernement devait revenir sur la loi Taubira, il y aurait toujours cette possibilité pour la France de proposer un contrat d’union civile : le Pacs.

    Finalement, une évolution de la loi Taubira dans ce sens, une abrogation, une modification, ou un remplacement de la loi Taubira resituerait la France sur le terrain médian ; la solution la plus consensuelle en Europe, qui serait un terrain solide et assez aisé à défendre. D’autant plus que le droit européen et la Cour européenne reconnaissent que les droits et obligations liés au mariage peuvent être parfaitement différents de ceux liés aux contrats d’union civile. Notamment en matière de filiation et c’est là le plus important. Cela veut dire que la Cour n’exigera pas qu’un contrat d’union civile englobe également les mêmes droits en matière de filiation que le mariage. Précisément parce que le droit au mariage garanti par la Convention européenne des droits de l’homme est un droit garanti en vue de la fondation d’une famille. Et la Cour reconnaît l’intérêt des États à vouloir préserver le mariage et la famille. [...]"

    Michel Janva

  • Michel Onfray et la mort de l'occident

  • Immense manifestation nationaliste en Pologne, avec participations de Français,

    notamment de l’organisation Renouveau français, qui nous donne un compte rendu :

    Chaque année, le 11 novembre, se tient à Varsovie une « Marche de l’indépendance », organisée par la coalition patriotique « Ruch Narodowy » (« Mouvement national »).

    Cette fois encore, à l’invitation des organisateurs, le Renouveau français a envoyé une délégation.

    La manifestation a connu un vif succès, avec environ 80 000 participants affichant un patriotisme décomplexé, dont une large part de jeunes.

    Présents pour beaucoup longtemps avant le rendez-vous officiel, les patriotes ont empli une immense place au cœur de la capitale, avant d’entendre quelques discours, dont celui de notre directeur.

    Pologne-discours-Thibaut

    Thibaut de Chassey a notamment assuré les manifestants de la sympathie et du soutien des nationalistes français, avant de les féliciter pour leur vive opposition à la déferlante des mœurs contre-nature dans l’espace public.

    Pendant des heures, un très long cortège a traversé la capitale dans une atmosphère sereine et convaincue, au slogan de « Dieu, honneur et patrie ! » avant d’aboutir près du stade national, où des heurts ont éclaté avec les forces « de l’ordre », tandis que les responsables nationalistes polonais haranguaient la foule.

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    http://www.contre-info.com/

  • Allemagne : Cette maman risque la prison parce qu’elle refuse qu’on enseigne la théorie du genre et l’homosexualité à ses enfants

    maman-risquant-prison-allemagne

    Médias-Presse.Info a déjà évoqué la situation de ces parents allemands qui risquent la prison parce qu’ils refusent que leurs enfants assistent à des cours d’éducation sexuelle qui enseignent notamment la théorie du genre et l’homosexualité.

    L’association Besorgte Eltern organise régulièrement des manifestations pour soutenir ces parents poursuivis devant les tribunaux parce qu’ils veulent simplement préserver l’âme de leurs enfants des souillures de la propagande de la révolution sexuelle. Farida Belghoul (JRE), Béatrice Bourges (Printemps Français) et Alain Escada (Civitas) avaient d’ailleurs pris la parole à une telle manifestation organisée à Cologne. La prochaine manifestation se tiendra ce 15 novembre à Dresde.

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  • A Rome, le ras-le-bol de l’immigration clandestine se fait entendre

    Rome – Voilà plusieurs jours que les habitants de quartiers livrés à l’insécurité (liée à une forte présence d’immigrés clandestins) sortent de leurs maisons pour faire entendre leur ras-le-bol !

    « Vendredi 14 novembre, je serai à Rome pour montrer ma proximité directe avec les citoyens italiens qui se sentent assiégés dans leurs quartiers, harcelés par la dégradation, l’immigration illégale, la saleté et le manque total de sécurité », a communiqué Mario Borghezio, député européen de la Ligue du Nord.

    « Je vais visiter deux quartiers pauvres de la capitale placés sous le feu des projecteurs ces jours-ci. Le matin, je vais aller à Tor Sapienza, où je vais rencontrer les résidents locaux qui défendent leur droit sacré à vivre dans la sécurité et la paix. Dans l’après-midi, j’assisterai à une veillée dans la région de Fidene Serpentara où les citoyens se plaignent de la négligence totale et de l’abandon par les institutions. »

    Un déplacement à suivre !

    http://www.medias-presse.info/a-rome-le-ras-le-bol-de-limmigration-clandestine-se-fait-entendre/18098

  • Un anniversaire à Berlin

    Le 25e anniversaire de l'événement emblématique que nous appelons seulement "chute du mur de Berlin" appelle bien des précisions et bien des questions.

    Faut-il d'ailleurs s'étonner que les médias parisiens s'en préoccupent si peu ? Les dirigeants hexagonaux ne mesuraient absolument pas alors la portée historique de ce qui se déroulait outre-Rhin comme dans l'ensemble des pays de l'autre côté du rideau de fer. Leurs continuateurs semblent ainsi voués à l'indifférence vis-à-vis de cet aspect du devoir de mémoire.

    Le 9 novembre 1989, en effet, la dictature communiste est-allemande était donc entrée dans sa crise finale. Abandonnée par Moscou, elle se trouva contrainte de capituler après un mois de manifestations. Celles-ci avaient commencé à Dresde le 9 octobre où s'était imposé le slogan d'origine romantique "wir sind das Volk". (1)⇓Elles étaient devenues de plus en plus déterminées. Sous la pression du peuple, ce régime appelé abusivement "RDA", D comme démocratique, dut accepter de laisser les Berlinois qui le désiraient, circuler librement à l'ouest.

    Immédiatement, commença la destruction de ce rempart odieux, considéré en occident comme le "mur de la Honte".

    Celui-ci avait été édifié en 1961 sous le nom de "mur de protection antifasciste". Retenons bien l'appellation. Car depuis 1935, c'est sous cette rhétorique "antifasciste", qu'a fonctionné de manière imperturbable la ligne adoptée par le VIIe congrès du Komintern.  (2)⇓ C'est de ce manteau que le stalinisme recouvra et prétendit justifier ses propres crimes. (3)⇓

    La contestation des peuples de l'est avait débuté beaucoup plus tôt. En fait leur refus du communisme commença avec ce régime lui-même. Rappelons et saluons à cet égard la révolte de 1921 des marins de Cronstadt contre le pouvoir bolchevique, dont ils avaient auparavant servi la cause. (4)⇓

    Dans l'Europe de l'est, livrée à Staline au moment de Yalta (5)⇓ la révolte de juin 1953 à Berlin représente le premier mouvement du type de ceux qui allaient triompher, presque 40 ans plus tard, entre 1989 et 1991. D'autres mouvements avaient été durement réprimés, dans la Pologne de 1956 par le parti lui-même, en Hongrie la même année par les chars soviétiques de Khrouchtchev, dans la Tchécoslovaquie de 1968 par ceux de Brejnev, balayant les espoirs du "printemps de Prague".

    Dans ce dernier pays, l'héroïque témoignage de l'étudiant patriote Jan Palach en 1969 démontrait que ce peuple ne capitulerait pas. Et, un peu plus tard allait naître une dissidence d'inspiration plus sociale-démocrate, la Charte 1977, issue elle-même d'un manifeste qu'osèrent signer 242 intellectuels, plus courageux certes que les nôtres, se revendiquant crânement de la Constitution officielle du pays et des Droits de l'Homme. C'est de ce courant que sera issue la "révolution de velours" qui liquida le régime en novembre et décembre 1989.

    C'est en Pologne, qu'éclata la grève des chantiers navals et que naquit le syndicatSolidarnosc en 1980, fondé par Lech Walesa, encouragé par l'élection en 1978 du premier pape polonais de l'histoire, qui leur rappellera le message, chrétien par excellence : "n'ayez pas peur".

    C'est dans les pays baltes deux fois annexés, en 1940 et 1945, par l'ours soviétique, contre leur volonté, que le feu patriotique ne cessa de couver après la seconde guerre mondiale et sut tirer parti de la relative libéralisation de Gorbatchev à partir de 1985. Une immense chaîne humaine, plus de 1,5 million de personnes se tenant la main sur 560 km, allant de la Lituanie à l'Estonie, en passant par la Lettonie, demanderont leur indépendance dès août 1989. Ceci allait mener à un durcissement provisoire de l'attitude de Moscou.

    Mais le courage de l'opposition, au sein des prétendues "démocraties populaires", les liquida toutes. Ces régimes n'étaient apparus dans l'immédiat après-guerre que dans les territoires conquis par l'Armée Rouge.

    Au lendemain du retour à la liberté dans toute l'Europe de l'est, on assista à la naissance d'une Nouvelle Europe, composée de pays qui purent se joindre à l'Europe occidentale à partir de 2004.

    L'Allemagne joua donc, tout simplement, en 1989, son rôle central dans une Europe, désormais réconciliée à l'est de ce que Winston Churchill avait appelé dès 1946 le rideau de fer. Et elle conquit, par la lutte de son peuple la liberté d'exercer son droit à l'autodétermination et à l'unification. Il faut aussi rendre hommage à la ténacité de quelques dirigeants ouest-allemands, comme Helmut Kohl ou Hans-Dietrich Genscher en fonction à l'époque, et sans qui l'unification aurait sans doute attendu beaucoup plus longtemps.

    Ne perdons pas de vue qu'aujourd'hui, pourtant, dans cette même Allemagne, un parti, Die Linke, ose encore profiter de la liberté que son prédécesseur refusait aux autres. Son groupe parlementaire, heureusement réduit, est présidé par le dernier dirigeant de la SED, parti communiste est-allemand, le cynique Georg Gysi. Plus de la moitié de ses élus sont identifiés comme d'anciens agents de la sinistre police politique, la Stasi. C’est-à-dire les complices des Vopos communistes qui assassinèrent des centaines de leurs compatriotes, simplement coupables d'avoir voulu rejoindre leur famille ou leurs amis à l'ouest, morts que l'on prétend aujourd'hui oublier.

    En 1976, le chansonnier Wolf Biermann avait été déchu de sa citoyenneté est-allemande pour avoir dénoncé le régime et la société pourrie de la zone d'occupation soviétique. Ce 6 novembre, cet ancien "dissident", nullement un homme de droite faut-il le préciser ici, ce fils d'un ouvrier juif communiste assassiné à Auschwitz en 1943, était invité à chanter la liberté retrouvée et la chute du mur. Il fut applaudi, par le Bundestag, unanime, sauf "Die Linke" qu'il qualifie dès lors de "reliquat misérable".

    Johanna Wanka ministre de l'Éducation et de la Recherche CDU a grandi en Allemagne de l'est. Elle rappelle aujourd'hui que les choses étaient pires encore que ce qu'en dit Wolf Biermann, et les moyens français de désinformation n'en parlent pas plus. Numéro 2 du gouvernement, le vice-chancelier Sigmar Gabriel, en tant que chef des sociaux-démocrates est obligé de mettre en garde contre la tentation d'alliance locale du SPD en Thuringe avec les écolos et les néo [?] communistes, qui veulent gouverner ensemble le vieux Land, où précisément est née la sociale démocratie, tentation qu'il dénonce comme une "faute". Et bien sûr ses homologues et "alliés" parisiens de la rue de Solférino et de l'Élysée n'en pipent mot.

    Il est donc urgent, en France comme dans toute l'Europe, de redécouvrir ce qu'a toujours été le communisme et ce que, dans malheureusement dans pas mal de pays, il semble en passe de vouloir redevenir.

    JG Malliarakis
           Apostllles

      1.  Cette idée était apparue bien plus tôt. Pendant la révolution de 1848, le poète Ferdinand Freiligrath (1810-1876) l'utilise lui-même à partir d'un poème révolutionnaire écossais de Robert Burns (1759-1796), un des pionniers du romantisme. Elle est même reprise plus tard par Martin Heidegger, etc.

      1.  Le 7e Congrès du Komintern fut organisé à Moscou en juillet-août 1935. On peut voir les interventions de Marcel Cachin et Maurice Thorez. (28 minutes) Ce congrès consacra la mainmise nominale du dirigeant communiste bulgare Dimitrov sur l'Internationale communiste. Or cette soi-disant "IIIe Internationale" fondée de façon artificielle par Lénine, et qui avait toujours été financée par Moscou, allait, plus particulièrement à partir de cette date, passer complètement sous la coupe du pouvoir soviétique, au point de n'être plus qu'une succursale de ses services spéciaux. À lire à ce sujet deux petits livres essentiels : "Le Komintern" du colonel Rezanoff et "J'étais un agent de Staline" par le général Walter Krivitzki.

      1.  Tous les adversaires du communisme, ainsi, ont été, sont ou seront, un jour ou l'autre, qualifiés de "fascistes" avec la complicité de tous les perroquets que Lénine appelait "les utiles idiots".

      1.  cf. un très bon film à découvrir et faire connaître sur les marins de Cronstadt.

    1.  Les principes affichés alors étaient, de ce fait, en totale contradiction avec le texte co-signé à Yalta le 11 février 1945 par Roosevelt, Staline et Churchill sous le titre "Déclatration sur l'Europe libérée" : les territoires conquis ["libérés"] par l'Armée rouge allaient ainsi être soviétisés sans que les peuples aient leur mot à dire. Il faudra attendre Reagan pour que la remise en cause de ces conquêtes devienne un objectif de l'occident."Faites tomber ce mur" lancera-t-il à Gorbatchev.

      → Une petite  publicité de bon goût pour la page Communisme des Éditions du Trident. 

    http://www.insolent.fr/page/2/