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Europe et Union européenne - Page 933

  • « Les familles ont besoin de courage, pas d’une loi sur l’euthanasie »

     

    Un signe du Printemps Belge devant le Parlement…

    Une cinquantaine de citoyens ont déposé des fleurs samedi après-midi devant le Parlement fédéral, à Bruxelles, pour protester contre l’élargissement de la loi sur l’euthanasie aux mineurs. Ils se sont ensuite rendus en fin d’après-midi à Evere pour fleurir la villa Indigo, une institution qui accueille des enfants malades nécessitant une prise en charge.
    parlement

    La Chambre a approuvé jeudi le projet de loi qui étend aux mineurs la loi de 2002 sur l’euthanasie. « Nous sommes extrêmement tristes que cette solution ait été retenue, alors qu’il n’y a pas de demande », exprime Bernard, l’un des participants à l’action. « Les jeunes enfants n’ont pas la capacité de décider. »
    ni fleurs ni couronnes

    Après avoir fleuri le Parlement en signe de deuil, les manifestants se sont rendus à Evere pour féliciter le travail d’accompagnement qui est réalisé à la villa Indigo. « Nous voulons mettre en avant les solutions alternatives », poursuit Bernard. « Les familles n’ont pas besoin d’une loi pour pouvoir euthanasier leurs enfants. Elles ont besoin de courage. Il faut leur montrer notre solidarité, développer les solutions d’accompagnement, et éliminer la douleur en soignant le malade, et non euthanasier le malade pour se débarrasser de la douleur. »

    garde à vue pour les couronnes

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/les-familles-ont-besoin-de-courage-pas-dune-loi-sur-leuthanasie_100142.html#more-100142

  • En prison pour avoir refusé de polluer !

    Témoignage poignant : Emmanuel Giboulot, le viticulteur bio qui passera la semaine prochaine au tribunal correctionnel pour avoir refusé d’utiliser un pesticide parle. Merci de le soutenir en signant sur ipsn.eu/petition/viticulteur/

  • Ces craquements qui annoncent l'effondrement de l'UE

    Lu dans Le Bulletin d'André Noël :

    "Pour une fois, nous sommes d’accord avec le député écolo-européiste et agitateur politico-médiatique Daniel Cohn-Bendit, à propos du referendum helvète : « Si on avait organisé en France un référendum comme celui qui s’est déroulé en Suisse, ça aurait été pire, 60% pour le oui. » Mais, voilà ! On ne laisse pas la parole aux citoyens français pour leur demander s’ils veulent redevenir maîtres chez eux. C’est à mettre, certes, au débit de nos dirigeants successifs mais aussi à celui de Bruxelles qui pose une chape de plomb sur les velléités d’émancipation des peuples, en exerçant un chantage à la subvention. Mais cela n’empêchera pas le couvercle de sauter ; la colère monte de partout…

    C’est ainsi que « le début de la fin » de l’empire soviétique s’est enclenché: par des craquements de plus en plus sonores dans les pays satellites qui aspiraient chaque année davantage à l’indépendance et à la liberté. Et puis, un jour, tout a craqué ; l’empire s’est effondré comme un château de cartes. Loin de nous l’intention d’assimiler Bruxelles à Moscou et l’Union européenne à l’URSS ! Mais, par-delà les régimes et les époques, il y a toujours une volonté des peuples de se libérer d’une tutelle étrangère, même si on tente de leur expliquer qu’elle n’est là que pour leur bien !

    Outre le cas de la Suisse que nous venons d’évoquer et qui ne fait pas partie de l’Union, lorsqu’on met bout à bout tous les signaux qui se manifestent, force est de constater que l’Union entre dans les convulsions de l’agonie et l’euro avec elle. Ainsi, la Finlande préfère se préparer à sortir de l’euro plutôt qu’à payer les dettes des autres pays de la zone, a déclaré la ministre des Finances Jutta Urpilainen, ajoutant : « La Finlande ne s’accrochera pas à l’euro à n’importe quel prix et nous sommes prêts à tous les scénarios, y compris à abandonner la monnaie unique européenne. »

    En Grande-Bretagne, le parti du Premier ministre David Cameron a déposé une proposition de loi qui garantit la tenue d'un référendum d’ici 2017, pour ou contre l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union. Selon un premier sondage réalisé depuis cette annonce, 40% des personnes interrogées voteraient en faveur d'une sortie et 37% accepteraient d'y rester. Extrapolant le vote des 23% d'indécis, le sondage réalisé par l’institut Populus pour le Times estime que 53% des Britanniques sont favorables à une sortie de l'U.E., contre 47% qui veulent rester en son sein.

    Partout, en Europe, l’euroscepticisme croît. Les peuples n’ont plus confiance : on leur avait promis la prospérité, la croissance et l’emploi ; ils constatent une hausse de la misère, du chômage et de la récession. Même les pays nouvellement adhérents n’y croient déjà plus ! La Lettonie a adopté l’euro au 1er janvier dernier ; or, selon l’institut SKS, 25 % des Lettons approuvent le passage à l’euro et 50 % sont contre. C’est leur gouvernement qui les y a conduits à marche forcée, sous la férule de Bruxelles. En Pologne, l’euro devait faire son apparition en 2015 ; face à la crise de la zone euro, son gouvernement a demandé à Bruxelles l’autorisation de différer son adoption.

    La fin de l’Union et celle de l’euro sont inscrites en filigrane dans ces faits. On le constatera également dans le résultat du scrutin européen qui ne permettra plus aux fédéralistes de faire ce qu’ils veulent face à une importante minorité de blocage. La seule question est de savoir si nous allons subir cet effondrement dans le désordre et les convulsions ou si nous allons l’accompagner dans l’ordre, selon un calendrier maîtrisé. Bruxelles, hélas! par son aveuglement semble avoir choisi la politique du pire."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/ces-craquements-qui-annoncent-leffondrement-de-lue.html

  • Garde à vue - Veillée des sentinelles au jour du vote contre l'euthanasie des mineurs !

  • GMT : comment les USA vont continuer de dépecer l’Europe…

    Entretien avec Alain de Benoist
    Alors que François Hollande vient tout juste d’annoncer, depuis les États-Unis, une accélération des négociations concernant le Grand marché transatlantique (GMT), Alain de Benoist revient pour Boulevard Voltaire sur les conséquences dramatiques d’un tel Traité…
    Le GMT, gigantesque zone de libre-échange entre l’Europe et les États-Unis, est le grand projet du moment. Mais les médias n’en parlent que fort peu. Pourquoi ?
    Parce que l’opinion est tenue à l’écart, et que les négociations se déroulent à huis-clos. C’est pourtant une affaire énorme. Il s’agit en effet de mettre en place, en procédant à une déréglementation généralisée, une immense zone de libre-échange, correspondant à un marché de plus de 800 millions de consommateurs, à la moitié du PIB mondial et à 40 % des échanges mondiaux. Le projet porte le nom de « Partenariat transatlantique de commerce et d’investissements ». S’ajoutant au « Partenariat transpacifique » également lancé en 2011 par les États-Unis, il vise à créer la plus grande zone de libre-échange du monde grâce à une vaste union économique et commerciale préludant à une « nouvelle gouvernance » commune aux deux continents.
    En créant une sorte d’OTAN économique, l’objectif des Américains est d’enlever aux autres nations la maîtrise de leurs échanges commerciaux au bénéfice de multinationales largement contrôlées par leurs élites financières. Parallèlement, ils veulent contenir la montée en puissance de la Chine, aujourd’hui devenue la première puissance exportatrice mondiale. La création d’un grand marché transatlantique leur offrirait un partenaire stratégique susceptible de faire tomber les dernières places fortes industrielles européennes. Elle permettrait de démanteler l’Union européenne au profit d’une union économique intercontinentale, c’est-à-dire d’arrimer définitivement l’Europe à un grand ensemble « océanique » la coupant de sa partie orientale et de tout lien avec la Russie.
    Ces négociations se font à haut niveau, sans que les gouvernements concernés aient leur mot à dire. Nouvelle défaite du personnel politique ?
    La « libéralisation » totale des échanges commerciaux est un vieil objectif des milieux financiers et libéraux. Le projet de grand marché transatlantique a discrètement mûri pendant plus de vingt ans dans les coulisses du pouvoir, tant à Washington qu’à Bruxelles. Les premières négociations officielles se sont ouvertes le 8 juillet 2013. Les deuxième et troisième rounds de discussion ont eu lieu en novembre et décembre derniers. Une nouvelle réunion est prévue à Bruxelles en mars prochain. Les partenaires espèrent parvenir à un accord d’ici 2015. Les gouvernements européens ne sont pas partie prenante aux discussions, qui sont exclusivement menées par les institutions européennes. Les multinationales y sont en revanche étroitement associées.
    Sachant qu’à l’heure actuelle, quelque 2,7 milliards de biens et de services s’échangent déjà tous les jours entre l’Europe et les États-Unis, la suppression des derniers droits de douane va-t-elle vraiment changer quelque chose ?
    La suppression des droits de douane n’aura pas d’effets macro-économiques sérieux, sauf dans le domaine du textile et le secteur agricole. Beaucoup plus importante est l’élimination programmée de ce qu’on appelle les « barrières non tarifaires » (BNT), c’est-à-dire l’ensemble des règles que les négociateurs veulent faire disparaître parce qu’elles constituent autant« d’entraves à la liberté du commerce » : normes de production sociales, salariales, environnementales, sanitaires, financières, économiques, politiques, etc. L’objectif étant de s’aligner sur le « plus haut niveau de libéralisation existant », « l’harmonisation » se fera par l’alignement des normes européennes sur les normes américaines.
    Dans le domaine agricole, par exemple, la suppression des BNT devrait entraîner l’arrivée massive sur le marché européen des produits à bas coûts de l’agrobusiness américain : bœuf aux hormones, carcasses de viande aspergées à l’acide lactique, volailles lavées à la chlorine, OGM (organismes génétiquement modifiés), animaux nourris avec des farines animales, produits comportant des pesticides dont l’utilisation est aujourd’hui interdite, additifs toxiques, etc. En matière environnementale, la réglementation encadrant l’industrie agro-alimentaire serait démantelée. En matière sociale, ce sont toutes les protections liées au droit du travail qui pourraient être remises en cause. Les marchés publics seront ouverts « à tous les niveaux », etc.
    Il y a plus grave encore. L’un des dossiers les plus explosifs de la négociation concerne la mise en place d’un mécanisme d’« arbitrage des différends » entre États et investisseurs privés. Ce mécanisme dit de« protection des investissements » doit permettre aux entreprises multinationales et aux sociétés privées de traîner devant un tribunal ad hoc les États ou les collectivités territoriales qui feraient évoluer leur législation dans un sens jugé nuisible à leurs intérêts ou de nature à restreindre leurs bénéfices, c’est-à-dire chaque fois que leurs politiques d’investissement seraient mises en causes par les politiques publiques, afin d’obtenir des dommages et intérêts. Le différend serait arbitré de façon discrétionnaire par des juges ou des experts privés, en dehors des juridictions publiques nationales ou régionales. Le montant des dommages et intérêts serait potentiellement illimité, et le jugement rendu ne serait susceptible d’aucun appel. Un mécanisme de ce type a déjà été intégré à l’accord commercial que l’Europe a récemment négocié avec le Canada.
    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier., Le 13 février 2014
    Source : Boulevard Voltaire
    http://www.polemia.com/gmt-comment-les-usa-vont-continuer-de-depecer-leurope/

  • Expulsion des délinquants étrangers : la Suisse aggrave son cas !

    Si on laisse la Suisse expulser les délinquants étrangers, l'UDC demandera un jour, qui sait, l'interdiction des kebabs sauce blanche.

    Déjà mise au ban de l’humanité depuis l’immonde votation du 9 février, la sinistre Confédération helvétique vient une nouvelle fois de faire honte à tous les démocrates de la « communauté internationale ». Cette fois-ci, la Suisse s’attaque à une des populations les plus fragiles et les plus discriminées : les « délinquants » étrangers sont désormais menacés d’expulsion !

    Unies dans une course contre la montre, les lumineuses forces démocratiques – du moins celles qui survivent dans ce quatrième Reich parfumé à la raclette – avaient pourtant tout fait pour ne pas appliquer un texte voté par ce peuple dégénéré en … 2010.

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  • Les mondialistes menacent la Suisse

    Conséquence du vote, le 9 février, en faveur d'une limitation de l'immigration en Suisse, l'agence de notation Moody's estime que cette consultation est négative tant pour la note de crédit du pays, l'un des derniers à bénéficier du triple A, que pour les banques helvétiques. La Suisse, selon Moody's, a bénéficié de l'afflux de travailleurs étrangers qui ont contribué à compenser les effets du vieillissement de la population et de pénurie de main-d'œuvre qualifiée, contribuant ainsi à sa croissance économique et à l'emploi.

    La semaine dernière, l'agence de notation Fitch Ratings avait également pointé que le choix des électeurs suisses allait accroître l'incertitude pour l'économie du pays.

    Michel Janva

  • L’UE veut payer des «trolls» pour contrer les eurosceptiques sur les réseaux sociaux

    Deux millions et demi d’euros. C’est la somme que le Parlement européen prévoirait de débourser pour financer des patrouilles de « trolls » (personne pourrissant une discussion sur internet, sur les forums ou dans les commentaires par exemple) .
    D’après le Daily Telegraph, relayé cette semaine par le site français AgoraVox, des équipes de cyber-communicants financées par l’UE seront mises en place d’ici la fin du mois de février pour lutter contre les eurosceptiques qui s’expriment sur les réseaux sociaux. Une traque méthodique des conversations qui devra prouver son efficacité avant les élections européennes de juin 2014.

    «Contrôle de l’opinion»

    Le Daily Telegraph aurait eu accès à des propositions de dépenses confidentielles. D’après le journal anglo-saxon, le document évoque la mise en place d’«outils de contrôle de l’opinion publique». Objectif: «Identifier rapidement les débats à caractères politiques (…) dans les médias sociaux et les blogs, qui ont le potentiel d’attirer les médias et l’intérêt des citoyens.»

    Une fois les lieux des conversations repérés, les «trolls» de l’Europe auront pour mission de les «surveiller», afin de décrypter les sujets les plus commentés, puis de les «influencer», «par exemple en fournissant des faits et des chiffres pour déconstruire les mythes».

    Source et suite

    http://www.contre-info.com/

  • Traité transatlantique : une affaire aussi de géopolitique

    C’est en Septembre dernier que la fondation Respublica organisait un colloque sur le projet de marché transatlantique, colloque auquel participaient autour de Jean-Pierre Chevènement, maître de cérémonie, Hubert Védrine, Xavier Bertrand, le journaliste Jean-Michel Quatrepoint et l’économiste Jean-Luc Gréau.

    Le traité transatlantique ? Une vraie question de géopolitqiue dont il faudrait sans doute parler.

    ***

    S’il aboutit, le traité de libre-échange en cours de négociation depuis Juin dernier entre les Etats-Unis et l’Union Européenne aura des conséquences géopolitiques considérables. Raison de plus de ne pas en parler, apparemment !

    « La classe politique ne s’exprime pas sur ce sujet ! La classe médiatique non plus ! », s’exclamait Xavier Bertrand (UMP), invité le 16 Septembre dernier par le Président de la Fondation Res Publica, Jean-Pierre Chevènement, à s’exprimer sur ce projet de traité aux côtés d’Hubert Védrine, ancien Ministre des Affaires Etrangères. [...]

    Pascale Fournier - La suite sur Mediapart

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Traite-transatlantique-une-affaire

  • Les Grands Entretiens de Novopress – Nikola Mirkovic “Mourir debout plutôt que vivre à genoux”1/3

    Français d’origine serbe, Nikola Mirkovic est l’un des fondateurs de l’ONG Solidarité Kosovo qui vient en aide depuis 2004 aux populations serbes des enclaves du Kosovo. Dans Le Martyre du Kosovo (Editions Jean Picollec), il rappelle l’histoire de cette antique province, cœur culturel et spirituel de la Serbie. Il fait également la démonstration implacable de la substitution de population dont ont été victimes les Serbes du fait des Ottomans, des communistes de Tito puis de l’empire du Bien américain. Il répond aux questions de Novopress.

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    Le premier intérêt de votre livre est de briser un lieu-commun solidement établi qui voudrait que le Kosovo ne soit nullement une terre serbe mais le pays de « kosovars »…

    Toute une partie de la rhétorique guerrière de l’OTAN, relayée par les grands médias, consiste en effet à essayer de nous faire croire que le Kosovo est habité de gentils Kosovars martyrisés pas de méchants Serbes venus coloniser le pays. On ne peut être plus éloigné de la réalité. Le Kosovo, à l’origine, n’est même pas une province mais une plaine à qui les Serbes ont donné le nom de Kosovo Polje (ce qui signifie, en serbe, le champ des merles). La grande majorité des noms des villages, des villes, des montagnes, des rivières, etc .ont tous des noms d’origine serbe. La plupart des anciens monuments, qui sont le trésor du Kosovo et de la Métochie, sont serbes. Il n’y a pas de peuple kosovar, cela n’existe pas ; ceux qu’on appelle communément kosovars aujourd’hui sont en fait des Albanais. Quant aux frontières du Kosovo actuel, elles ont été dessinées par Tito à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. C’est vous dire si les racines «kosovardes » sont lointaines…

    Il n’y a pas de peuple kosovar, cela n’existe pas ; ceux qu’on appelle communément kosovars aujourd’hui sont en fait des Albanais.

    La bataille du Champ des Merles est un évènement fondateur de l’identité serbe, pouvez-vous y revenir ?

    Cet événement est historique par la grandeur de l’armée serbe qui a osé affronter, seule, l’immense empire ottoman avec une armée deux fois plus importante sur le champ de bataille. Cet événement est également historique par sa profondeur spirituelle, le roi serbe et ses chevaliers sont tous partis à la guerre pour se battre pour leur foi chrétienne. Ils ont préféré mourir debout plutôt que vivre à genoux. Pendant les siècles d’occupation ottomane, le courage, la bravoure et la foi de ces guerriers ont nourri l’espérance serbe et donné les modèles à suivre pour devenir des hommes libres.

    Le prince Lazare est comparé à certains à saint Louis. Quels éléments permettent de rapprocher les deux souverains ?

    Saint Lazare comme saint Louis ont été des rois hors du commun, des chefs que très peu de pays ont eu l’honneur d’avoir. Tout d’abord les deux sont très pieux et très chrétiens. C’est leur foi dans le Christ qui les guide dans leurs choix quotidiens que ça soit pour guider le royaume, rendre la justice, partager avec les plus pauvres ou gérer les affaires quotidiennes. Les deux rois prient et savent que leur passage sur terre est éphémère et que c’est le Royaume éternel qui est l’objectif suprême. Aussi, ces deux rois n’ont pas peur de mettre leurs épées et leurs vies derrière leur foi. Ce sont des guerriers qui sont tous les deux descendus dans l’arène pour affronter l’islam conquérant qui convoitait les terres chrétiennes. C’est aussi à la guerre que les deux vont trouver la mort et devenir des héros, des saints qu’on respecte et qu’on vénère encore de nos jours.

    Fin de la première partie, deuxième partie jeudi 20 février.

    http://fr.novopress.info/156768/les-grands-entretiens-de-novopress-nikola-mirkovic-mourir-debout-plutot-que-vivre-a-genoux/#more-156768