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Europe et Union européenne - Page 955

  • Victoire de la famille en Croatie

    Les Croates ont voté aujourd'hui en faveur d'une révision de la Constitution pour empêcher la dénaturation du mariage, lors d'un référendum réclamé par des ONG pro-famille.

    Selon les premiers résultats officiels partiels portant sur les bulletins dépouillés dans 33% de bureaux de vote, 64,84% des Croates ont voté oui à la question de savoir si le mariage devait être défini par la Constitution comme "l'union entre un homme et une femme".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Comment l’Union Européenne prépare la destruction de notre mémoire au nom du droit à l’oubli

    Communiqué de l’AAF (Association des archivistes français)

    Au nom du droit à l’oubli, quel patri­moine pour l’Europe de demain ?

    Pour éviter que de grands opé­ra­teurs pri­vés du web (Google, Facebook etc.) puis­sent conser­ver et uti­li­ser des don­nées per­son­nel­les, la Commission euro­péenne et le Parlement euro­péen se pré­pa­rent à adop­ter, pour le prin­temps 2013, une solu­tion radi­cale : un règle­ment qui obli­gera tous les orga­nis­mes publics et pri­vés à détruire ou à ano­ny­mi­ser ces don­nées une fois que le trai­te­ment pour lequel elles auront été col­lec­tées sera achevé, ou passé un court délai. La com­mis­sion veut ainsi assu­rer aux Européens un droit à l’oubli qui garan­ti­rait le res­pect de leur vie pri­vée.

    Ce règle­ment por­tera sur les don­nées per­son­nel­les sur tou­tes leurs for­mes, infor­ma­ti­ques ou papier. Il s’appli­quera immé­dia­te­ment et s’impo­sera aux légis­la­tions natio­na­les déjà en place.

    Vous avez fini vos études ? L’école ou l’uni­ver­sité éliminera votre dos­sier. Vous avez vendu un bien immo­bi­lier ? Les ser­vi­ces du cadas­tre détrui­ront les tra­ces de votre pro­priété. Vous n’êtes plus employé par votre entre­prise ? Celle-ci sup­pri­mera les infor­ma­tions vous concer­nant. A cha­cun de veiller sur ses pro­pres don­nées, ne comp­tez plus sur les ser­vi­ces publics ou sur votre employeur ! [...]

    Collecter et conser­ver des don­nées indi­vi­duel­les à des fins patri­mo­nia­les ou juri­di­ques au delà des stricts besoins qui ont pré­sidé à leur créa­tion, assu­rer aux citoyens l’accès à l’infor­ma­tion tout en pro­té­geant les éléments essen­tiels de leur vie pri­vée est l’apa­nage des démo­cra­ties, qui dis­po­sent depuis long­temps de légis­la­tions stric­tes dans ce domaine.
    Il est aber­rant d’impo­ser les mêmes obli­ga­tions dras­ti­ques aux orga­nis­mes à visées com­mer­cia­les qui conser­vent des don­nées per­son­nel­les à seule fin de les mon­nayer, aux orga­ni­sa­tions pri­vées dont la cons­ti­tu­tion d’un patri­moine his­to­ri­que est déjà par­tie inté­grante de leur culture, et aux struc­tu­res en charge de mis­sions de ser­vice public. [...]

    L’opi­nion s’est émue récem­ment du sort des manus­crits de Tombouctou ? De la même façon, elle doit réa­gir à la dis­pa­ri­tion pro­gram­mée de sa pro­pre mémoire, réponse trop rapide des légis­la­teurs euro­péens pour contrer les visées, scan­da­leu­ses, de quel­ques socié­tés.

    Association des archivistes français

    http://histoire.fdesouche.com/1407-avec-le-droit-a-loubli-quelle-memoire-restera-t-il-demain

  • Campagne choc contre l'avortement en Espagne

    A l'initiative du Centre pour la réforme bioétique et du site Internet AbortoNo.org (âmes sensibles, s'abstenir de cliquer), un bus recouvert d'images géantes de bébés avortés à 10, 11 et 24 semaines de gestation circule dans les rues de Madrid pour montrer la réalité de l'"IVG" et réveiller les consciences (photo du bus). Le secrétaire général adjoint du PSOE (parti socialiste) dénonce le "terrorisme" d'une telle campagne de publicité, délaissant, comme à l'acoutumée, la question de fond pour celle de la forme.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 26/11/13 - Euthanasie - sentinelles (veilleurs debout) devant le sénat à Bruxelles

  • Les scenarii de dissolution de l’euro

    Note introductive de la Fondation Res Publica :

    La Fondation Res Publica conduit, depuis 2008, un programme de recherche exigeant sur la crise économique et financière internationale, et plus particulièrement sur la crise de la zone Euro. Plusieurs colloques et séminaires ont été organisés par la Fondation, et de nombreuses notes publiées sur ce thème.

    C’est toujours dans la perspective d’irriguer le débat et d’éclairer les politiques publiques à partir d’une pensée républicaine moderne que s’inscrit la publication de cette nouvelle étude réalisée par les économistes Jacques Sapir et Philippe Murer. La situation économique et sociale et les défis qui se dressent face à la France et face à l’Europe nécessitent en effet une réflexion prospective pluraliste.

    La monnaie unique rassemble dans un même cadre des économies de structures très différentes, de niveau de développement inégal, dont les langues, les cultures et les options politiques diffèrent. Dès le départ, la zone Euro était loin d’être une zone monétaire « optimale », selon l’expression de l’économiste canadien Robert Mundell. De plus, il est douteux qu’une monnaie unique sans gouvernement économique, interdisant par construction les ajustements monétaires, puisse se maintenir durablement en s’en remettant uniquement aux évolutions du marché pour éviter les distorsions de salaires, de prix, de compétitivité, d’endettement, etc.

    Certes, à son début, le système de l’Euro a semblé fonctionner, mais l’excédent commercial allemand créait une illusion d’optique en absorbant les déficits des autres pays. Des déficits commerciaux qui, dans le cas de la France, de l’Espagne, de l’Italie et de bien d’autres pays, traduisaient un mouvement profond de désindustrialisation et une perte considérable de compétitivité par rapport à l’industrie allemande, et que la surévaluation de l’Euro a encore accélérée.

    Loin de converger comme les pères de l’Euro en avaient l’ambition, les économies de la zone ont massivement divergé. La construction même de l’Euro s’est révélée mortifère pour les pays du sud de la zone, et par extension la France, dont les systèmes productifs sont organisés sur un modèle différent du célèbre « modèle allemand », avec des exportations très sensibles aux taux de change.

    La part de la France dans le marché mondial a ainsi régressé de 5,1% en 2002 à 3,8% aujourd’hui, et la zone Euro dans son ensemble et sur la dernière décennie a subi une croissance bien plus lente que celle des Etats-Unis ou de pays européens n’ayant pas adopté la monnaie unique comme le Royaume-Uni ou la Suède. De sommet de la dernière chance en sommet de la dernière chance, la monnaie unique semble vouée à l’éclatement, et de nombreux économistes ou acteurs financiers l’envisagent ouvertement.

    Pour éviter une dissolution sauvage, il y aurait potentiellement une perspective : la transformation de l’Euro de monnaie unique en monnaie commune. Ce scénario serait à priori préférable à un éclatement sauvage de la zone Euro et à un retour chaotique aux monnaies nationales. Mais est-il possible ?

    L’étude qui suit détaille l’impact sur l’économie de la France – et celle des principaux pays de la zone Euro – de différents scénarios de dissolution de la zone Euro – procédant de différentes hypothèses de coopération monétaires – et de différentes options de politique économique pour la France. Elle envisage également l’impact de cette dissolution de l’Euro sur le système monétaire international et examine la possibilité d’une construction d’une monnaie commune après une phase préalable de retour aux monnaies nationales. Enfin, les auteurs analysent les conséquences de cette dissolution sur l’industrie européene, sur les institutions monétaires et de coordination macro-économiques européennes, sur le système bancaire et financier, et son impact général sur l’économie française.

    Sans nécessairement reprendre à son compte l’ensemble des analyses des auteurs, la Fondation Res Publica remplit sa mission en versant au débat public un tel document. La Fondation est consciente des fragilités de ce type d’études mais elles contribuent à éclairer le débat nécessaire sur des questions déterminantes pour l’avenir de la France et de l’Europe.

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    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-scenarii-de-dissolution-de-l-euro-21592.html
  • Les Bonnets Rouges gagnent la Belgique

    Les Bonnets Rouges semblent avoir gagné nos voisins belges. Attention si même nos amis belges s’y mettent, c’est que cela ne rigole plus ! En effet une page Facebook « Bonnet Rouge Belgique » a été créée le 10 novembre. Dix neuf jours après sa création, la page revendique 1.603 « j’aime ». Elle s’inspire directement de nos Bonnets Rouges bretons . La page s’élève clairement contre la pression fiscale et les abus des politiques. Elle a son propre manifeste:

    Bien sûr, elle incite tous ses fans à acheter le fameux bonnet rouge mais belge sur le site Belgoshop.com (1):

    Lire la suite http://medias-presse.info/les-bonnets-rouges-gagnent-la-belgique/3109

    1) http://fr.belgoshop.com/Bonnet-Belgique-p-11-c-2.html#fp

  • Zone euro : en sortir pour s’en sortir.

    par Pierre Marchand

    Une étude concluant aux effets positifs d’une sortie de l’euro a été récemment publiée. Peu médiatisée, elle offre pourtant un contenu solide et des postulats cohérents pour conclure à la nécessaire sortie de l’euro. Nécessaire mais insuffisante.

    Il y a bientôt deux ans, alors que la Grèce était sur le point de sombrer dans le chaos et que la sortie de l’euro devenait de moins en moins taboue, l’institut Montaigne publiait une étude catastrophiste sur le coût supposé d’une telle hypothèse pour la France. Abondamment relayée par les media – le journal Les Echos en fit sa une et les journaux généralistes en firent, plus que des recensions, de bons résumés approbateurs – cette étude fut donc accueillie comme la vérité incontestable que tous les politiques ou presque attendaient. Il est vrai que l’idée selon laquelle sortir de l’euro serait économiquement pénalisant pour la France fait consensus dans le paysage politique. Alors que Nicolas Sarkozy la qualifiait de « folie » et François Bayrou de « drame », les jeunes socialistes ne prenaient même pas la peine d’employer le conditionnel en annonçant purement et simplement que la sortie de l’euro « entraînera une dévaluation du Franc de 30 à 60% », aboutira à « faire exploser le prix de l’essence », « plomber la consommation », « progresser le chômage », « ruiner les comptes publics » et nous en passons. Même Mélenchon joue les mijaurées (« Il y a des partisans de la sortie de l’euro à gauche, ce n’est pas mon cas »). Mais revenons à la sacro-sainte étude de l’Institut Montaigne, pour en rappeler les principales conclusions : destruction de plus d’un million d’emplois, appauvrissement de 9000 euros par salarié, destruction de 6 à 19% du PIB, et l’effondrement de l’agriculture française. Enfin, la dette publique gonflerait « automatiquement » jusqu’à plus de 100%. Rappelons encore que l’Institut Montaigne estimait à 1 sur 5 la fiabilité de ces prévisions : plus c’est gros plus ça passe ! Surtout quand des conclusions similaires émanent de deux grandes banques (UBS et Crédit Suisse), ainsi que d’économistes connus faute d’être unanimement reconnus (Patrick Artus chez Natixis pour ne citer que le plus médiatique).

    C’est donc une étude salutaire que la Fondation Res Publica (mouvance chevènementiste) vient de publier sous la plume de Philippe Murer et Jacques Sapir. Les scenarii de dissolution de l’euro étudient en effet l’impact de la fin de la monnaie unique pour les différents pays européens à partir de calculs macroéconomiques que leurs auteurs prennent la peine d’expliquer en détail, contrairement à leurs confrères de Montaigne. Outre la qualité de ses auteurs, c’est tout l’intérêt de cette étude, qui explore plusieurs cas de figure en fonction d’hypothèses raisonnables et clairement posées, sans exclure par exemple le coût qui devrait être supporté par le secteur bancaire. Trois scenarii sont ainsi analysés : dissolution contrôlée décidée d’un commun accord, scission de la zone euro en deux zones (une zone Nord sous influence allemande et une zone Sud, essentiellement méditerranéenne, sous influence française), et dissolution non contrôlée. Dans le prolongement de chacune de ces hypothèses, l’étude teste trois grandes orientations économiques : une option pro-consommation, une option pro-investissement et une option pro-réduction des déficits. L’étude débutait sur un diagnostic opportun : l’impossible solution fédéraliste et l’illusion des plans de sauvetages et autres bricolages obligataires, qui ne font que reporter et donc accroître les problèmes ; elle termine par une conclusion sans appel : quel que soit le scénario retenu, et moyennant certains effets négatifs à court terme (valeur du patrimoine des ménages par exemple), la dissolution de l’euro aurait des effets économiques très positifs pour la France (croissance, emploi et même dette publique !)

    On pourra reprocher aux auteurs de ne pas évoquer le cas de l’agriculture par exemple ou de ne pas tester de stress scenario (scénario du pire). Ce serait leur faire un mauvais procès : l’économie n’est pas une science exacte et les auteurs ne prétendent pas répondre à toutes les questions posées par la chute de l’euro. Quant au scénario du pire, nous estimons que c’est celui que nous vivrons si une telle décision n’est pas prise. La sortie de l’euro ne résoudra pas tout, mais elle apparaît comme un préalable indispensable. Car ce qui est à craindre, c’est que la fin de l’euro ne soit pas choisie mais subie, par explosion pure et simple ou par décision de l’Allemagne dès lors qu’elle n’en aura plus un besoin vital. Il importe donc de prendre au plus tôt cette décision politique certes difficile. C’est ainsi que Sapir, dans l’un de ses récents articles, cite l’exemple historique du Grand Condé, qui « sacrifia sa gloire immédiate au salut de son armée », si bien qu’après l’avoir dénigré on « on finit par le louer pour le courage moral dont il avait fait preuve ». En appelant nos gouvernants à un tel courage politique, Jacques Sapir formule peut-être un vœu pieu. Mais c’est aussi une autre manière de dire, comme l’Action française, que sortir de l’euro, c’est entrer dans l’histoire.

    Pierre Marchand - L’AF 2874

    Les scenarii de dissolution de l’euro – Fondation Res Publica, septembre 2013.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Zone-euro-en-sortir-pour-s-en

  • Négociations sur le Marché transatlantique: « nous avons été abusés »

    Explication de vote de Bruno Gollnisch sur le Rapport Scholz (A7-0339/2013) sur le Protocole portant amendement de l’accord sur les marchés publics

    Vous nous présentez comme une avancée remarquable cette modification de l’accord sur les marchés publics conclu dans le cadre de l‘OMC, mais qui ne concerne que 15 signataires.

    J’espère que ce n’est pas la mesure de ce que vous êtes capable de faire dans le cadre des négociations transatlantiques. Car en échange de nouvelles concessions européennes, l’ouverture à la concurrence des marchés publics américains d’agences ou d’entités infranationales, par exemple, semble dérisoire.

    En effet, plus de 90 % des marchés publics de l’Union sont aujourd’hui dans les faits sinon en droit, ouverts unilatéralement à la concurrence des opérateurs des pays tiers, contre 32 % seulement aux Etats-Unis, 28 % au Japon, 16 % au Canada. Et le protocole ne modifie qu’à la marge ces proportions.

    Un règlement qui permettrait d’imposer la réciprocité dans ces domaines est, semble-t-il, en cours d’examen. Le commissaire De Gucht prétend même qu’il est nécessaire, pour que l’on puisse négocier sur un pied d’égalité avec nos principaux partenaires. Mais alors, pourquoi avoir approuvé ce protocole ou signé l’accord avec le Canada, puisque cela signifie a contrario qu’au moins dans ces deux cas, nous avons été abusés, faute d’être sur ce fameux pied d’égalité ?

    http://www.gollnisch.com/2013/11/29/negociations-sur-le-marche-transtalantique-nous-avons-ete-abuses/

  • Fonds régionaux: « une mécanique dispendieuse, au service de la propagande européenne »

    Explication de vote de Bruno Gollnisch sur le Rapport van Nistelrooij, Krehl (A7-0274/2013) portant sur les Dispositions commune et générales pour les fonds régionaux

    Je n’ai voté aucun des rapports sur les fonds européens destinés à financer la politique régionale de l’Union européenne.

    La nouvelle politique régionale est supposée être plus efficace et rationnelle que la précédente. On y trouve même parfois de bonnes choses. Mais elle reste fondamentalement une politique de saupoudrage et de clientélisme, visant à créer des liens de dépendance politique et financière entre bureaucratie bruxelloise et entités infranationales, tout en occultant les Etats.

    Elle a un autre défaut rédhibitoire : elle vise à mettre en œuvre la stratégie EU 2020 qui consiste, entre autre et pas seulement, à « flexibiliser » le marché du travail, donc précariser les travailleurs, et finir de livrer à la concurrence ce qui reste des services publics.

    Elle a enfin un effet pervers : son cofinancement obligatoire est une incitation à la dépense publique, comme l’avouent à demi-mots les rapports concernant les pays en difficulté : Grèce, Espagne, etc. Et le choix des programmes financés relève plus souvent de leur possibilité de bénéficier du financement européen que de leur réelle utilité économique et sociale. Bref, une mécanique dispendieuse, au service de la propagande européenne.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/29/fonds-regionaux-une-mecanique-dispendieuse-au-service-de-la-propagande-europeenne/

  • Espagne : un projet de loi pour brimer encore plus les manifestations

    « Déclaration d’autorité », titre El Periodico à la suite du projet de loi du gouvernement qui « restreint, entre autres, le droit à manifester ».
    Dénommé « loi citoyenne de sécurité », il prévoit des amendes allant de 1 000 à 30 000 euros pour les « infractions graves » (sic) comme « menacer ou insulter un policier » ou « disposer des éléments qui empêchent la libre circulation des véhicules et des personnes ».

    Le projet de loi prévoit aussi des amendes allant jusqu’à 600 000 euros pour les infractions « très graves » (sic) comme « filmer ou diffuser des images de policiers qui puissent menacer leur sécurité » ou « manifester sans préavis devant des institutions de l’Etat comme le Congrès, le Sénat ou les hauts tribunaux ». L’actuel ministre de l’Intérieur à l’origine du projet de loi, Jorge Fernandez Díaz, est fortement critiqué par les associations et les syndicats du pays à cause de sa fermeté, rappelle le journal.

    Les autorités espagnoles savent que la crise va s’aggraver, et de même la colère populaire. Elles anticipent avec ces mesures délirantes.

    Source : Courrier International

    http://www.contre-info.com/