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Europe et Union européenne - Page 959

  • Succès de la Marche pour la vie en Espagne

    Lu ici :

    "La IV Marche pour la Vie a rassemblé plusieurs dizaines de milliers personnes dans les principale rues de Madrid (Espagne), demandant au gouvernement du Parti populaire en Espagne pour accomplir la promesse de campagne et d'abroger la loi sur l'avortement toujours en cours dans le pays. Malgré le froid et la pluie à Madrid, des milliers de personnes se sont jointes à l'appel de Derecho a Vivir et Hazte Oir, ils ont commencé Place de la Puerta del Sol pour finir dans la Place de Neptuno formant une grande marée rouge en faveur de la vie.

    En même temps des rassemblements pro vies ont été organisées dans près de 50 villes de toute l’Espagne en demandant au gouvernement de Mariano Rajoy d’abroger la loi de l’avortement. En Tête du cortège une grande bannière avec le slogan de la Marche « Espagne est pour zéro avortement » Pour une Vie entière sans interruption avec la protection de la vie de la conception. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Des sénateurs américains appellent l’UE à lever les barrières à la malbouffe chimique

    Les principaux membres de la Commission des finances du Sénat ont placé la barre très haut pour les négociations commerciales en cours entre les États-Unis et l’Union européenne, en insistant sur la nécessité de résoudre les conflits anciens et pleins d’âpreté, relatifs aux méthodes de transformation de viande de bœuf et de volaille et au blocage, par l’UE, de certaines méthodes américaines de production de viande de bœuf.

    Lors d’une audience de la Commission des finances du Sénat, le 30 octobre, le Président Max Baucus (Démocrate) a déclaré que, pour que le Traité transatlantique (TTIP) soit à la hauteur de son potentiel, les deux parties doivent résoudre ce qu’il a appelé, de la part de l’UE, « les obstacles non scientifiques et injustifiés aux exportations agricoles des États-Unis, y compris le bœuf et la volaille ».

    Selon Baucus, l’Organisation mondiale pour la santé animale (OIE) et la Commission internationale de normalisation dite du codex Alimentarius ont déclaré que les « méthodes de production de bœuf américain sont parfaitement sûres ». Il n’est pas entré dans les détails, mais un collaborateur du Sénat a déclaré après l’audience que Baucus faisait allusion à une interdiction de l’UE portant sur le bœuf et le porc élevés en utilisant un médicament vétérinaire favorisant la croissance, appelé ractopamine, qui a été approuvé par le Codex l’an dernier, malgré les objections de l’UE.

    « Je suis convaincu que nous pouvons surmonter l’obstacle » des questions sanitaires et phytosanitaires (SPS), a déclaré Baucus dans son allocution d’ouverture. Plus tard, durant l’audience, il a noté que l’UE avait abandonné son interdiction d’utiliser autre chose que de l’eau chaude et de la vapeur comme traitement anti-microbien dans la production de viande, lorsqu’elle a autorisé l’utilisation de l’acide lactique sous la pression américaine l’an dernier.

    Baucus a déclaré que le succès était dû au fait que les États-Unis avaient été « clairs et précis » dans leurs demandes, et que faire de même pour d’autres questions sanitaires rendrait le succès des négociations plus probable.

    Il n’a pas mentionné qu’il voulait que l’UE lève son embargo sur le boeuf élevé aux hormones de croissance artificielles. Cette interdiction a été contestée avec succès par les États-Unis devant l’Organisation mondiale du commerce. Au lieu d’un retrait par l’UE de la mesure incriminée, les deux parties sont tombées d’accord sur une transaction qui a ouvert aux États-Unis et à d’autres fournisseurs un certain accès au marché du bœuf sans hormones.

    Dans leurs observations séparées, les sénateurs Tom Carper et Ben Cardin – tous deux originaires de grands Etats producteurs de volailles – ont fait valoir que l’Union européenne doit enfin céder sur ses restrictions envers certains traitements des agents pathogènes (PRT) utilisés par les transformateurs américains de volailles. Ces restrictions ont essentiellement bloqué l’accès des volailles américaines au marché de l’UE.

    Cardin a insisté sur l’importance de résoudre le conflit sur les PRT dans le contexte du commerce. « Ceci est un sujet sur laquelle nous devrons vraiment nous concentrer quand nous en arriverons au côté réglementaire » des négociations du TTIP, a-t-il dit.

    Mais persévérer sur cette question rendrait presque certain de provoquer un autre conflit avec l’UE, qui n’autorise actuellement que l’eau chaude comme traitement anti-microbien pour la volaille. Une proposition précédente de la Commission européenne, visant à autoriser les PRT utilisés aux États-Unis – y compris l’eau chlorée –, a été rejetée par les ministres de l’UE en 2008.

    Cette année, le Département américain de l’Agriculture (USDA) a discrètement donné un autre coup de poignard, en demandant à obtenir l’approbation de l’UE pour le peroxyacide, un autre PRT utilisé par l’industrie américaine.

    Bill Roenigk, vice-président du Conseil national de l’industrie de la volaille, qui a témoigné lors de l’audience, a annoncé cette demande d’autorisation. Après l’audience, il a déclaré ignorer si l’USDA avait déposé la demande d’approbation du peroxyacide en coopération avec la Commission européenne, ou si elle avait pris la décision de le faire unilatéralement, dans le but de rouvrir le marché européen à la viande de volaille américaine.

    Les observateurs avisés disent que cette substance peut avoir une meilleure chance d’être autorisée par les responsables européens car elle ne contient pas de chlore, lequel est utilisé dans les piscines d’eau potable et de baignade pour tuer les bactéries nocives, mais a aussi des propriétés toxiques. Le peroxyacide est l’un des quatre traitements anti-microbiens permis aux États-Unis pour le traitement de la volaille après abattage, mais ce n’est pas le cas dans l’UE. Les autres sont le dioxyde de chlore, le chlorite de sodium acidifié et le phosphate trisodique.

    Les États-Unis ont commencé à contester l’interdiction de ces PRT par l’UE, à l’Organisation mondiale du commerce en 2009, avec un groupe formé en novembre 2009 mais jamais réuni. A cause de l’interdiction posée par l’UE, aucune volaille américaine n’a pu être exportée vers le marché européen depuis 1997, selon Roenigk.

    Ce dernier a estimé que le marché de l’UE constituerait aujourd’hui un marché de 600 millions de dollars pour les produits à base de poulet américain, si l’UE appliquait « des normes fondées sur la science ».

    Cardin et Carper, dans leurs remarques, ont fait valoir que les producteurs américains de poulet et autres produits agricoles doivent être francs avec les membres du Congrès, quant à savoir si le TTIP va vraiment changer suffisamment les pratiques de l’UE pour fournir aux exportations agricoles américaines un accès significatif aux marchés. Cardin a vivement recommandé à Roenigk de fournir une évaluation permettant de déterminer si le TTIP sera profitable, et de ne pas simplement céder sous la pression pour obtenir un accord.

    Dans leurs observations soumises au Bureau du Représentant américain au Commerce plus tôt cette année, l’Institut américain de la viande et l’Association nationale des éleveurs de bovins citent l’interdiction par l’UE de la viande produite avec ractopamine, comme un obstacle réglementaire auquel ils souhaitent que le TTIP s’attaque.

    Ils ont aussi généralement critiqué l’approche réglementaire de l’UE, fondée sur le « principe de précaution » et les préférences culturelles, contre l’utilisation de produits chimiques et d’hormones dans la production de viande bovine et porcine.

    Ils ont exigé que l’UE mette ses pratiques réglementaires en conformité avec les normes du Codex ou de l’OIE, mais n’ont pas demandé que l’UE lève son embargo sur le boeuf élevé aux hormones de croissance artificielles.

    Comme solution provisoire au différend relatif à l’interdiction des hormones, les Etats-Unis et l’UE ont convenu d’une restriction actuellement fixée à 45.000 tonnes de viande de bœuf sans hormone provenant des États-Unis et d’autres pays. Le quota est ouvert aux exportations de bœuf des États-Unis, d’Australie, d’Uruguay, de la Nouvelle-Zélande et du Canada, mais l’Institut américain de la viande a déclaré au Représentant américain au Commerce, plus tôt cette année, que l’administration de ce contingent tarifaire (Tariff-Rate Quota – TRQ) doit être modifiée, afin de garantir aux exportateurs américains « un accès durable » au marché européen.

    De juillet 2012 à juin 2013, les exportations américaines se sont élevées à 16.750 tonnes de viande de bœuf, soit environ 50% du taux de remplissage, selon la Fédération américaine des exportateurs de viande. Ces exportations se sont élevées à 212 millions de dollars, selon le Représentant américain au Commerce.

    Sur les traitements de réduction des agents pathogènes, l’Institut américain de la viande a indiqué dans ses observations que le problème a été en grande partie résolu par l’acceptation de l’acide lactique pour la viande bovine de l’UE, bien que l’interdiction des autres PRT soit maintenue. Le groupe a également fait valoir que la position de l’UE montre son inflexibilité envers l’approbation de nouvelles technologies.

    L’audience n’a pas abordé le point de savoir dans quelle mesure les exigences de l’UE quant à la protection des animaux constitueraient un obstacle aux exportations de poulets américains, même si les problèmes liés aux PRT étaient résolus. Roenigk a seulement fait allusion au point de discorde potentiel, en indiquant que l’UE élève du poulet parmi « le plus cher » au monde.

    Les groupements agricoles des États-Unis ont fait valoir leur opposition à l’augmentation des normes de protection des animaux dans le TTIP, de peur que l’UE essayer d’y intégrer ses règles plus strictes.

    Dans l’élevage de poulets, par exemple, les agriculteurs de l’UE doivent observer les règles sur la taille des cages qui ne sont pas imposées dans les normes agricoles des États-Unis. Les groupements agricoles européens ont dit qu’ils seraient placés en désavantage concurrentiel si les Etats-Unis exportaient de la volaille, à partir du moment où les producteurs américains ne sont pas confrontés aux mêmes exigences coûteuses que les européens.

    L’agriculture n’était pas le seul sujet à l’ordre du jour de l’audience. Cardin a aussi incité Michael Ducker, vice-président exécutif et directeur des opérations de FedEx, à prendre une position plus ambitieuse en faveur de la suppression par l’UE de toute taxe sur la valeur ajoutée pour les exportations américaines, au lieu de se contenter de relever le seuil en dessous duquel les consommateurs américains et européens ne paient pas de taxes sur les expéditions. Ducker était parmi les témoins à l’audience.

    Cardin a déclaré que se contenter de relever ce seuil n’avantagerait pas les exportations américaines confrontées à la taxe sur la valeur ajoutée, et a insisté sur le fait que la concurrence n’est pas loyale entre les Etats-Unis et l’UE en matière de fiscalité des entreprises.

    Selon Ducker, le seuil de taxation pour un envoi en provenance de pays étrangers vers les États-Unis est maintenant de 200 dollars et ce même seuil figure dans les accords de libre-échange négociés entre les Etats-Unis, la Corée du Sud, le Panama, la Colombie et le Pérou.

    Il a également noté qu’un projet de loi est en instance devant le Congrès américain pour porter ce niveau à 800 dollars et que le TTIP devrait adopter ce même niveau d’exemption de taxe des deux côtés de l’Atlantique. Il a déclaré que le seuil est de 30 dollars dans certains États membres de l’UE, voire de 13 dollars dans certains des nouveaux États membres.

    - Article original en américain : InsideTrade (NB : pour accéder à cet article, vous devez vous abonner ou au moins vous inscrire pour profiter d’un essai gratuit d’un mois de cette publication)

    - Traduction (corrigée et complétée par Fortune) : ContreLaCour

    http://fortune.fdesouche.com/333597-des-senateurs-americains-appellent-lue-lever-les-barrieres-la-malbouffe-chimique#more-333597

  • La diablerie de Maëstricht

    Le traité de Maëstricht est entrée en vigueur il y a vingt ans, le 1er novembre 1993. Instituant l’Union européenne, il annonçait la création d’une monnaie unique, aujourd’hui menacée par la crise. Pierre Pujo disait et écrivait "Maëstricht", l’orthographe néerlandaise de Maastricht, pour mieux disqualifier le traité européen soumis à référendum en France le 20 septembre 1992.

    L’Action française comme quelques compagnons de route venus d’horizons divers, Philippe Seguin, Jean-Pierre Chevènement, Philippe de Villiers ou encore Alain Griotteray, ferraillèrent alors dans un esprit de compromis nationaliste pour tâcher de faire obstacle au funeste projet. « Maëstricht au panier, Mitterrand à Latché ! » titrait le journal de l’AF à la une de son numéro d’août de cette année-là.

    Supranationalité

    Peine perdue, ou mal récompensée  : les chambres réunies en congrès ayant auparavant modifié en conséquence la constitution française, la ratification du traité de Maastricht fut acceptée avec une majorité de 51,04 % des voix au référendum du 20 septembre. Une faible majorité qui en disait long sur la répugnance de nombreux Français à sacrifier la souveraineté du pays. Une fois achevée la procédure de ratification dans les différents États membres de ce qui était encore la Communauté européenne, le traité de Maastricht entra en vigueur le 1er novembre 1993, il y a donc vingt ans. Coïncidence ou malédiction, c’est au siège de Maastricht, en 1673, que perdit la vie notre valeureux d’Artagnan...

    La "construction européenne" représente une longue suite de déconvenues pour les patriotes et nationalistes. Sans en refaire l’historique, rappelons que le traité de Maastricht avait été précédé de l’Acte unique européen visant à réaliser un grand marché intérieur (européen), puis d’un accord sur la libération des mouvements de capitaux et, en 1990, de la signature de la convention de Schengen sur la libre circulation des personnes.

    Monnaie unique

    Il y a incontestablement une cohérence dans cette progression vers la supranationalité et le libéralisme économique. Cependant, le traité de Maastricht en constitue l’expression la plus explicite. Dans son préambule, il est précisé que le traité « marque une nouvelle étape dans le processus créant une union sans cesse plus étroite entre les peuples de l’Europe ». Cette formulation a été préférée à la référence à une « vocation fédérale » vivement combattue par les Britanniques. Ceux-ci exigeront d’ailleurs, et obtiendront, plusieurs clauses d’exception avant de ratifier le traité, la plus importante de ces "exemptions" étant le maintien de la livre sterling.

    Car la principale innovation du traité de Maastricht prévoit la création – au plus tard le 1er janvier 1999 – d’une Union économique et monétaire (UEM) dotée d’une monnaie unique, l’euro, qui se substituera aux monnaies nationales, en particulier au franc français. Ce sera chose faite dans les délais ; en même temps sera créée la Banque centrale européenne (BCE) avec siège à Francfort, satisfaction d’une exigence allemande en contrepartie de l’abandon du mark.

    Pour les pays de la zone euro, la mise en oeuvre de ce dispositif devait permettre une convergence en matière de dette et de déficits publics. Vingt ans après, ces objectifs paraissent à tout le moins problématiques et sont, pour certains États, de réels facteurs de récession – un risque d’ailleurs prévu dès 1993 par la Cnuced (Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement). Outre un substantiel volet économique et monétaire, le traité de Maastricht comprend des aspects politiques, sociaux, environnementaux et même militaires. Et en application de ce texte, une citoyenneté de l’Union est créée en 1993 ; depuis lors, nos passeports en portent l’empreinte.

    Référendum pour rien

    Pour couronner ce schéma ne manquait plus qu’une constitution européenne. En 2004-2005, l’UE compte vingt-cinq États membres. En France, la ratification du traité constitutionnel exige soit la sanction référendaire, soit l’approbation des chambres réunies en congrès. Sûr de son fait, Jacques Chirac, président de la République, opte pour le référendum. Et c’est la claque en mai 2005 : à la majorité confortable de 54,68 % des suffrages exprimés, les Français rejettent le traité constitutionnel. Qu’à cela ne tienne ! Nouveau président de la République et démocrate à géométrie variable, Nicolas Sarkozy décide de passer en force. Au premier trimestre 2008, il fait adopter par la Chambre et le Sénat le traité de Lisbonne (décembre 2007), un texte présenté comme une « version simplifiée » du projet retoqué de constitution européenne.

    Tous ces abandons et reniements depuis vingt ans pour aboutir au chaos actuel, une France plombée par une dette abyssale et un mécontentement social d’une rare ampleur. Le prix, finalement, de la diablerie de Maastricht.

    Guy C. Menusier - L’AF 2873

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-diablerie-de-Maestricht

  • Grandes villes et capitales de l’Europe vont bientôt tomber !

    Entretien avec Renaud Camus

    Avez-vous été choqué par les sifflets et les huées à l’encontre de François Hollande durant les commémorations du 11 Novembre sur les Champs-Élysées, mais aussi à Oyonnax ?

    Choqué n’est pas le mot. Ces huées étaient assez prévisibles. Mais je dirai, pour emprunter le ridicule sabir d’époque, qu’elles « ne sont pas dans ma culture ». Elles sont un signe parmi d’autres, et certes pas le plus grave, d’une société qui se délite, qui perd le sens de la convention, de l’abstraction, de la non-coïncidence avec soi-même dont la civilisation et l’État de droit ont pourtant le plus grand besoin. De mon point de vue, que vos lecteurs commencent à connaître, ni François Hollande, cela va sans dire, ni la haine de François Hollande ne sont à la hauteur de la tragédie qui se joue, le changement de peuple, le Grand Remplacement, la conquête coloniale de notre pays et du continent. On voit les grandes villes et bientôt les capitales de l’Europe tomber les unes après les autres. À Marseille, déjà, l’élection municipale se joue entièrement en termes ethniques. Il ne s’agit plus que de savoir si c’est bien cette fois que la seconde ville de France va officialiser sa soumission à nos conquérants et remplaçants, sous le couvert de la fiction républicaine, de moins en moins tenable, qu’il n’y a de part et d’autre que d’excellents Français, comme il n’y a à Bruxelles que d’excellents Belges, sans doute, et à Londres d’excellents Anglais. Bien entendu les socialistes, en bons apprentis sorciers, jouent avec cette fiction qui a la loi pour elle car ils en espèrent le pouvoir, gardé ou conquis contre toute espérance. Et ils seront emportés les premiers par cette vague qu’ils caressent, car nos remplaçants, une fois qu’ils nous auront remplacés, mépriseront plus encore les remplacistes, dont les socialistes sont la fine fleur, que les résistants comme nous.

    Pardonnez-moi. J’ai un peu dévié. C’était seulement pour rappeler, puisque ce semble être le rôle que le Sort m’a confié, que ni l’écotaxe, ni le mariage gay, ni la réforme pénitentiaire ne sont la question principale. Ce sont des leurres.

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  • Merci à Jean Quatremer de nous prouver, une fois de plus, que l’ "Europe", ça n’existe pas !

    La Commission rappelle l’Allemagne à la solidarité

    Trop forte, l’Allemagne ? Au risque d’indisposer Berlin, la Commission européenne a osé hier déclencher un « examen approfondi » des déséquilibres de l’économie allemande, coupable d’une balance trop opulente de ses comptes courants - commerce extérieur, mais également flux de capitaux qui rentrent plus qu’ils ne sortent du pays.

    Cette procédure pour excédent excessif est du jamais vu à Bruxelles, qui n’épinglait jusqu’ici que des déficits. Marchant sur des œufs, le président de la Commission, José Manuel Barroso, a expliqué qu’il s’agissait de « voir si l’Allemagne peut faire plus pour aider à rééquilibrer l’économie européenne ». Accusé de jouer trop perso, le bon élève de la zone euro a très mal accueilli la critique.

    Dès hier, Markus Ferber, député de la CSU (conservateurs bavarois), a dénoncé un « affront incroyable ». Outre-Rhin, le monde politique et les médias devraient être, aujourd’hui, à l’unisson : « il n’y a aucun déséquilibre en Allemagne qui nécessiterait une correction de notre politique économique », avait déjà rétorqué le ministère des Finances allemand, fin octobre, à la suite des critiques équivalentes du Trésor américain et du Fonds monétaire international (FMI). [...]

    La suite sur Coulisses de Bruxelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Merci-a-Jean-Quatremer-de-nous

  • Marche pour la vie en Espagne

    Malgré la pluie, les défenseurs de la vie et de l'enfant à naître sont venus en nombre dans les rues de Madrid pour réclamer l'abrogation de la loi légalisant l'avortement.

    Madrid :

    0

    Valladolid :

    V

    Michel Janva

  • Bulgarie : “Chers amis de Londres et de Paris, les réfugiés syriens sont à vous”

    Depuis cet été, la Bulgarie a vu arriver un nombre sans précédent de clandestins, essentiellement fuyant la guerre en Syrie. Leur présence provoque des craintes, parfois à la limite de la psychose, mais aussi un vif débat sur le rôle de l’Europe dans cette crise humanitaire.

    Par Rossen Petrov, 24 Tchassa.

    Il y a quelques semaines, les habitants de plusieurs localités pressenties par les autorités pour accueillir des réfugiés syriens [dans des casernes désaffectées, notamment à Telish, dans le nord, Harmanli, dans le sud, et Kazanlak, au centre du pays) ont violemment protesté, certains n'hésitant pas à bloquer les routes d'accès à leur ville.

    Cela a beaucoup fait jaser dans les médias : sont-ils si racistes, si nationalistes ?

    Débattons, nous aussi un peu.

    Nous, les Bulgares, sommes un peuple hospitalier. Nous n'avons jamais fait la guerre pour nous approprier les richesses d'autrui. En revanche, nous avons toujours bataillé pour conserver ce qui nous appartient. On nous serine sans arrêt que nous devrions nous comporter comme la Grande-Bretagne, la France, l'Italie et la Belgique, et accueillir les immigrés illégaux. Que nous aussi, nous avons une dette morale envers ces pauvres gens

    Engagement moral

    Et puisque c'est l'Histoire qui guide les peuples et qu'elle est, somme toute, l'éternel indicateur de la morale, je voudrais souligner que ceux qui ont un engagement moral envers les peuples d'Afrique, du Moyen-Orient et d'Asie, sont justement ces pseudo-libéraux, ces europhiles gnangnan, qu'ils soient de gauche ou de droite, qui nous accusent aujourd'hui d'être xénophobes.

    Avez-vous déjà entendu parler d'un empire colonial bulgare ? Non, n'est-ce pas ? Parce qu'un tel empire n'a jamais existé. En revanche, la France, l'Angleterre, la Belgique, les Pays-Bas, l'Italie, l'Espagne, le Portugal et l'Allemagne ont bien dirigé de tels empires. Prenons ne serait-ce que la France : elle a régné sur près de la moitié de l'Afrique, jusqu'à Madagascar. Soit dit en passant, la Syrie et le Liban sont également d'anciennes colonies françaises.

    Ou encore l'Angleterre, un autre pays qui nous sermonne souvent sur la question des droits de l'homme. Sans parler de l'Inde, du Pakistan, de la Birmanie, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande, Londres a régné sur toute l'Afrique de l'Est : l'Egypte, le Soudan, le Kenya, la Tanzanie... jusqu'à l'Afrique du Sud. Et comment Londres et Paris se sont-ils imposés dans tous ces pays ? La réponse est simple : par la force. Les navires accostent, les repris de justice descendent, plantent le drapeau français ou celui de l'Union Jack et disent : "A partir de maintenant, tout ça, c'est à nous."

    Ceux qui ne sont pas d'accord ont le choix entre la soumission, l'esclavage ou la mort. Toute tentative de rébellion a été violemment matée ; toute aspiration à la liberté a été étouffée dans l'œuf. Les pays soumis ont fait l'objet d'un "pillage économique systématique", ce n'est pas moi qui le dis, mais des historiens bien plus érudits : or, diamants, épices, minéraux rares... Comment croyez-vous qu'ont été bâties des villes comme Paris, Londres, Versailles, Bruxelles et Amsterdam. Grâce à ce pillage. On pourrait ajouter encore beaucoup de griefs à cette liste. Vous voulez que je vous rafraîchisse la mémoire sur les exactions des paras français en Algérie ou sur celles des mercenaires belges au Congo ?

    Valeurs européennes

    Nous, chers frères européens, nous n'avons pas une dette morale envers les pays que vous vous êtes employés à coloniser puis à piller. C'est à vous d'en prendre soin maintenant, et non pas de laisser leurs ressortissants se noyer dans la Méditerranée. Nous n'avons rien à nous reprocher, notre conscience est tranquille ; la vôtre, non. La première fois que nous avons vu des gens de couleur différente, c'est lorsque vous les avez envoyés combattre en Macédoine, qui faisait encore partie de la Bulgarie [pendant la Première Guerre mondiale, Sofia était alors alliée de l'Allemagne]. Il s’agissait du 175e régiment de tirailleurs sénégalais. Et savez-vous à qui ils ont eu affaire ? Et bien, au 23e de Kazanlak, justement.

    Après les avoir défaits et constitués prisonniers, les soldats de Kazanlak ont d’ailleurs traité les Sénégalais comme des frères. En clair, lorsque vous, vous vous êtes gavés de richesses et d’esclaves, nous faisions encore paître nos moutons dans les confins de l’Empire ottoman. Ainsi, lorsqu’on me parle aujourd’hui de valeurs européennes, je suis mille fois plus fier de Telish que de Versailles.

    courrierinternational.com

    http://fortune.fdesouche.com/333461-bulgarie-chers-amis-de-londres-et-de-paris-les-refugies-syriens-sont-a-vous

  • Matteo Salvini (eurodéputé Ligue du Nord) pour un groupe au Parlement Européen avec le FN

    PARIS (NOVOpress) – Le grand quotidien italien La Stampa a publié une interview de Matteo Salvini (photo), député italien au Parlement Européen pour la Ligue du Nord, dans laquelle il envisage de faire un groupe au Parlement Européen avec le Front National mais aussi avec les Autrichiens, les Hollandais, les Basques et les Flamands.

    A la question, est-ce que Marine Le Pen, le leader du FN pense aussi à vous pour faire un groupe, il répond Nous nous sommes déjà parlés. Mais aussi avec les Autrichiens et les Hollandais et avec tous les groupes hostiles à l’immigration et à l’euro. Il y a un terrain commun à cultiver absolument, de même qu’avec les Basques et les Flamands.”

    L’interviewer lui demande alors si c’est suffisant pour former un groupe. Pour Matteo Salvini : Pourquoi pas ? MLP est étatiste, ce n’est pas ma “sœur politique” mais il y a de nombreux points communs.”

    Le premier point est-il l’adieu à l’euro ? “Nous voulons la révision de tous les traités, de Maastricht à Schengen, et la redéfinition de l’euro qui favorise uniquement l’Allemagne.” indique le député.

    Le journaliste s’inquiète alors de savoir si la Lega ne risque pas un isolement ultérieur “en s’alliant avec le FN d’extrême-droite ? La Lega ne court-elle pas le risque de renforcer son image de parti de droite, radical et xénophobe ?”. La réponse est : “Cette Europe est une vraie dictature. Les médias ont déjà leurs préjugés contre nous : nous sommes dépeints comme xénophobes, racistes et populistes. Mais si en Autriche le parti fondé par Haider représente 22% des votes, pensons-nous sérieusement qu’ils sont tous racistes ?”

    Matteo Salvini conclut en répondant à une question sur Lampedusa : “Nous voulons qu’il y ait une nouvelle politique de défense face à de nouvelles entrées.”

    http://fr.novopress.info/145127/matteo-salvini-eurodepute-ligue-du-nord-pour-un-groupe-au-parlement-europeen-avec-le-fn/#more-145127

  • Zone euro : Croissance, qui s’en sort et qui sombre ?

    Globalement, dans la zone euro, il n’y a toujours pas de franche reprise économique . Sortie de la plus longue récession de son histoire au deuxième trimestre, la zone euro reste pénalisée par un taux de chômage record et une consommation timide.

     

    Résultat, de juillet à septembre, l’Euroland a affiché une maigre croissance de 0,1% par rapport au trimestre précédent, selon les chiffres publiés jeudi par Eurostat. Revue de détail pays par pays*.

     

    Les pays qui tirent leur épingle du jeu

     

    . Allemagne : +0,3%

     

    Comparée aux économies voisines, l’économie allemande a affiché des performances très honorables. Pourtant, ce rythme de 0,3% marque un vrai ralentissement après le 0,7% de croissance affiché au deuxième trimestre. L’activité a été essentiellement tirée par la demande intérieure et moins par le commerce extérieur.

    Une vraie rupture avec le passé qui répond, ironiquement, aux récentes critiques adressées à Berlin. La Commission vient en effet de lancer un examen approfondi des excédents commerciaux de l’Allemagne pour mesurer s’ils représentent un « déséquilibre » macroéconomique, qui pourrait nuire à la croissance de la zone euro.

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    . Autriche : +0,2%

     

    Après une croissance nulle au deuxième trimestre, l’Autriche a vu son produit intérieur brut progresser de 0,2%. Une performance résultant d’une légère amélioration de la demande intérieure et du commerce extérieur.

     

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    . Belgique : +0,3%

     

    La croissance de l’économie belge s’est renforcée au troisième trimestre après une hausse de 0,2% au trimestre précédent. Sur un an, le produit intérieur brut a augmenté de 0,4%, contre une hausse annuelle de 0,1% au deuxième trimestre.

     

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    . Estonie : +0,4%

     

    L’Estonie est sortie d’une courte récession au troisième trimestre avec une croissance de 0,4% de son produit intérieur brut (PIB) par rapport au trimestre précédent.

     

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    . Finlande : +0,4%

     

    Il s’agit du deuxième trimestre de croissance consécutif. Le PIB avait augmenté entre juin et août de 0,2%, après quatre trimestres de baisse. En 2012, le PIB finlandais avait baissé de 0,8%, et pour 2013 le gouvernement prévoit encore une contraction, de 0,5%.

     

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    . Portugal : +0,2%

     

    Le Portugal, sous assistance financière, a confirmé au troisième trimestre sa sortie de récession, en enregistrant une timide croissance de 0,2 %, mais la reprise est encore fragile et la crise loin d’être terminée. La croissance au troisième trimestre a en effet nettement ralenti par rapport à la hausse de 1,1% enregistrée au deuxième. Et le pronostic pour l’ensemble de l’année reste négatif, le gouvernement tablant sur une baisse de 1,8% du PIB, avant une reprise de 0,8% en 2014.

     

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    . Slovaquie : +0,2%

     

    Le Produit intérieur brut (PIB) de la Slovaquie a progressé de 0,2% au troisième trimestre 2013 comparé au trimestre précédent où il avait augmenté de 0,3%, en données corrigées de variations saisonnières. Ce léger ralentissement de la croissance en Slovaquie est dû à des performances moins élevées que prévu de ses partenaires clefs et à une baisse de consommation des ménages. L’économie de la Slovaquie repose largement sur la production automobile et électronique.

     

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    Les pays qui affichent une croissance nulle ou quasi nulle

     

    . Espagne : +0,1%

     

    L’Espagne a annoncé le mois dernier être sortie de récession au troisième trimestre, avec une croissance de 0,1% par rapport aux trois mois précédents, la première depuis début 2011. Pour autant, le chemin pour un retour solide de la croissance est encore long. En variation annuelle, l’économie espagnole affiche toujours une contraction de 1,2%. Le gouvernement espagnol prévoit une reprise de l’économie « lente et progressive ». D’après son gouvernement, la croissance du PIB ne sera que de 0,7 % en 2014.

     

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    . Pays-Bas : +0,1%

     

    L’économie néerlandaise est timidement sortie de la récession. Cette hausse de 0,1% du PIB par rapport au deuxième trimestre met fin à une série de quatre trimestres de contraction. En rythme annuel, néanmoins, le PIB a baissé de 0,6%, affecté à des degrés divers par un marché du travail difficile, une consommation hésitante et des investissements insuffisants.

     

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    Les pays dans le rouge

     

    . Chypre : -0,8%

     

    La forte récession se poursuit avec, en rythme annuel, un PIB en repli de 5,7% au troisième trimestre 2013. Il s’agit du huitième trimestre successif de recul pour l’économie de l’île en pleine tourmente. Chypre a passé la semaine dernière sa seconde évaluation par la troïka des bailleurs de fonds, en vue du versement de la deuxième tranche d’un prêt international de 10 milliards d’euros que l’île a dû solliciter auprès d’eux pour éviter la faillite et venir à la rescousse de son secteur banquier surdimensionné et sous capitalisé.

     

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    . France : -0,1%

     

    Mauvaise surprise … alors que l’on attendait une stabilisation de l’activité au troisième trimestre, selon les premières estimations de l’Insee, le PIB est revenu dans le rouge. Il aurait baissé de 0,1 % après avoir rebondi de 0,5 % au précédent selon les chiffres publiés ce jeudi.

     

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    . Italie : -0,1%

     

    L’Italie est demeurée en récession au 3è trimestre avec un neuvième trimestre consécutif de contraction de son PIB. Sur un an, le PIB est en recul de 1,9%. La variation acquise pour l’année est de -1,9%, précise Istat. « Le retour à la croissance sur une base trimestrielle devrait être renvoyé au dernier trimestre de l’année », estiment dans une note les économistes de la banque Intesa Sanpaolo, qui tablent sur une contraction de 1,8% du PIB en 2013, suivie d’un rebond de +0,5% en 2014.

     

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    (*) Les chiffres de croissance s’entendent d’un trimestre à l’autre. Les données sont provisoires, il s’agit d’une première estimation.

     

    NB : La zone euro comprend la Belgique, l’Allemagne, l’Estonie, l’Irlande, la Grèce, l’Espagne, la France, l’Italie, Chypre, le Luxembourg, Malte, les Pays-Bas, l’Autriche, le Portugal, la Slovénie, la Slovaquie et la Finlande. Irlande, Luxembourg, Slovénie et Malte n’ont pas encore communiqué leurs données du troisième trimestre.

     

    Les Échos

    http://fortune.fdesouche.com/333321-zone-euro-croissance-qui-sen-sort-et-qui-sombre#more-333321

  • La désindustrialisation continue

    On achève bien le quaternaire…
    Qu’arrive-t-il quand on ne fait plus que compter ses sous, qu’on n’a pas de stratégie politique et qu’on raisonne avec des œillères idéologiques ? On s’enfonce chaque jour un peu plus dans le marasme et là, le marasme c’est la désindustrialisation à coupes sévères du pays. Les réductions  dans le budget Défense inquiètent, par exemple,  fortement les industriels.
    Le ministre du Budget préparerait en effet des coupes nouvelles et brutales dans le budget de la défense que le président François Hollande s’était engagé pourtant à préserver. Bercy et le gouvernement le feraient, faute de vouloir toucher là où cela fait mal : la couverture maladie universelle, le RSA, le mille-feuille administratif, l’abaissement de la dépense publique trop importante, elle-même générée par l’absence de réforme des structures territoriales (suppression du département) ou de l’éducation nationale. « On parlerait d’annuler 600 millions d’euros de crédits supplémentaires sur le budget de la défense », a déclaré à l’AFP Marwan Lahoud, président du Gifas, qui regroupe les sociétés spécialisées du secteur de l’industrie aéronautique, spatiale et militaire, et qui est aussi le chef de la stratégie du groupe d’aéronautique et de défense EADS.
    Les nouvelles annulations vont porter cette fois-ci sur des dépenses d’équipement et l’impact de ces réductions en sera terrible dans la société civile. Pourquoi ? Une fois de plus, nos dirigeants oublient le quaternaire, ce concept économique de Gaston Bouthoul qui ne fut d’ailleurs nulle part enseigné alors qu’il était novateur en son temps car il stipulait et soulignait bien que la clef de voûte d’une économie moderne, d’une économie de puissance était son industrie militaire.
    Les grands groupes industriels seront touchés par les coupes brutales prévues mais ce n’est pas le pire. Le pire, c’est l’atteinte à la recherche développement et ce qui suivra, les deux tiers des annulations qui affecteront les laboratoires de recherche et les équipementiers avec qui les grands groupes sous-traitent la plupart du temps. Tout le tissu de la sous-traitance militaire, un savoir-faire et un dynamisme exceptionnel, par exemple dans la robotique ou les nanotechnologies va être attaqué. Or,  il représente à lui seul des milliers d’emplois mais surtout l’usine de l’avenir. L’industrie de la défense se prépare donc à accepter contrainte et forcée la réduction des crédits militaires dans son industrie, ce qui va entraîner des réductions et des étalements de programme dans les années à venir.
    En touchant aux programmes militaires industriels, le gouvernement poursuit la désindustrialisation accélérée du pays et accélère le processus de fuite des cerveaux. Que restera-t-il alors en France ?  On n’entend plus le verbe haut d’Arnaud Montebourg devenu le commissaire à la désindustrialisation. On nous dira qu’il n’y a pas d’autre politique possible mais oh que si !… Il faut réduire les dépenses sociales, les subventions aux associations, supprimer une grande partie des niches fiscales, s’attaquer au nombre d’élus, bref s’attaquer au parasitisme français mais surtout pas aux forces vives de l’industrie du futur.
    Michel Lhomme
    le 12/11/2013
    Source : Metamag.fr
    http://www.polemia.com/la-desindustrialisation-continue/