
Après l’attaque terroriste du Hamas sur Israël, l’Europe mais aussi les États-Unis ou l’Australie sont pris de soubresauts islamistes. Car le réveil du conflit israélo-palestinien se répercute dans toutes les nations occidentales, dans toutes les banlieues islamisées. L’Occident sort très lentement de sa torpeur, et il a la gueule de bois : après avoir accueilli pendant des décennies une immigration majoritairement arabo-musulmane, après avoir fait prospérer en son sein, à coups d’aides sociales et de compromissions antinationales, une population à la croissance démographique exponentielle, il découvre, effaré, qu’il a importé sur son sol tous les conflits politico-religieux de la planète.