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géopolitique - Page 420

  • Venezuela : Poutine oblige les USA à lâcher Guaidó

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    En pleine tempête sanitaire, les annonces américaines concernant le  se succèdent de manière contradictoire, du moins en apparence. Le 26 mars, tout d’abord, dans une intervention digne du far west, le procureur général des États-Unis, William Barr, a mis à prix, avec une récompense de quinze millions de dollars, la tête du président vénézuélien Nicolás Maduro ainsi qu’un certain nombre de dignitaires du régime accusés de narcotrafic. Mais cinq jours plus tard, mardi 31 mars, Washington effectue une nouvelle annonce, tonitruante mais d’une tout autre nature : Mike Pompeo, le chef de la diplomatie américaine, demande de manière très officielle à Nicolás Maduro et Juan Guaidó, de se retirer « tous les deux » en vue de la nomination d’un « Conseil d’État » qui serait composé de cinq membres, choisis par les deux camps au sein de l’Assemblée nationale pour gouverner provisoirement le Venezuela.

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  • Antonio Guterres présente le rapport de l’ONU qui réclame des solutions « globales » contre le coronavirus en vue du « rebirthing » de la société

    coronavirus ONU solutions globales Antonio Guterres rapport
    De Jeanne Smits :

    « On entend et on lit ces jours-ci de bons chrétiens qui espèrent voir surgir, à la faveur de la sortie de la crise du coronavirus, une organisation plus juste d’une société qui, excédée par le mondialisme dont on constaterait les limites, reviendrait à un modèle plus humain, voire plus respectueux de la loi naturelle. Dieu les entende… Cela signifierait l’échec inespéré d’une poussée on ne peut plus visible vers davantage de globalisme. Et même vers ce « nouveau paradigme » mondial fait d’» empathie » et de « solidarité » par lequel le monde s’unifierait dans la lutte contre l’ennemi commun. Ces objectifs sont parfaitement manifestes dans le dernier rapport de l’ONU, présenté au monde le 31 mars par Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations unies. Il y appelle le monde à consacrer 10 % de son PIB à la crise et à ses conséquences, à travers « une réponse massive, coordonnée, englobante et multilatérale ».

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  • D. Desgouilles/JM. Salgon : Pourquoi les souverainistes perdent-ils leurs guerres ? 2/2 - Questions

  • L’alerte de l’ONU sur un monde menacé de pénurie alimentaire. Bruno le Maire vous avertira… ou pas !

    Alors que notre Bruno le Maire national nous disait, avec la certitude de celui qui distribue les masques pendant les pandémies, qu’il n’y avait pas de pénurie et que bien évidemment s’il y en avait une, il nous le dirait… un peu comme les masques en fait, vous savez ces masques qui sont tellement livrés chaque jour à tout le monde, qui sont tellement destockés que tous ceux qui en ont le plus besoin croulent sous les colis et les paquets…
    Bref, pas de pénurie pour Bruno.
    Quant à l’ONU, pas de pénurie non plus, mais un risque de pénurie alimentaire.
    Mon petit doigt et mon système ultra sophistiqué utlisant pour moitié un appareil de la plus haute technicité et appelé louchomètre, ainsi qu’un pifomètre pour l’autre moitié m’indique sans hésiter, que la seule pénurie qui n’aura pas lieu est celle du pétrole car avec l’effondrement de la croissance il y a effondrement de la demande d’énergie et donc les prix du pétrole baissent et le pétrole est très abondant.
    La pénurie de pétrole est la seule pénurie dont personne ne vous parle.
    C’est un véritable signal faible.

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  • Attali et l'Amérique ont promut l'euro qui nous ruine - Asselineau

  • Les Nouveaux talents – Théo : Colombie, CIA, Escobar, le trafic se poursuit !

    Ils se veulent indépendants et libérés du politiquement correct. Ils font un tabac sur les plateformes vidéos. Ils représentent un ton nouveau. Avec sa rubrique « Les nouveaux talents », TV Libertés donne « carte blanche » aux nouvelles générations et tout particulièrement au jeune « youtubeur » Théo.
    Après la fin de la « French Connection », le gros du trafic de drogues s’exporte en Colombie. Là-bas, c’est de la cocaïne qui est fabriquée et devinez par qui ?
    Par nos chimistes français issus de l’ancien trafic défait. Rapidement, ils s’allient à Pablo Escobar et parviennent à recréer un marché mondial autour d’une petite ville : Medellín.
    Souvent pointés du doigt comme des malfaiteurs indépendants, se jouant des lois et des États, capables de corrompre des gouvernements entiers, les cartels, à l’image de celui de Medellín, sont parfois les outils d’organisations encore plus puissantes. A qui profite le crime ?
    C’est ce que nous allons tenter de découvrir dans cette courte vidéo écrite et réalisée par Théo .

    https://www.tvlibertes.com/les-nouveaux-talents-theo-colombie-cia-escobar-le-trafic-se-poursuit

  • Ce sera 1929, puis l’hyperinflation et l’effondrement du Système

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    Marc Rousset

    La remontée passagère des Bourses est due uniquement à l’intervention immédiate, et beaucoup plus rapide qu’en 2008, des banques centrales et des gouvernements, celle de la Fed pour les achats de bons du Trésor et les titres hypothécaires n’ayant plus de limites, avec des innovations telle que le rachat de créances privées (obligations gagées sur des prêts à la consommation). La Fed ouvre les vannes monétaires et fait tapis face à la crise du coronavirus. C’est ce que fait, également, la BCE lorsqu’elle rachète les dettes publiques irremboursables de la France et de l’Italie. La BCE, avec son nouveau bazooka de 750 milliards d’euros, porte son effort de rachat de titres, pour 2020, à 1.000 milliards d’euros. Quant aux règles comptables pour les banques, elles disparaissent ou sont assouplies.

    L’ensemble des mesures gouvernementales des pays du G20 représente 5.000 milliards de dollars. Les mesures du gouvernement américain s’élèveront à 2.000 milliards de dollars et, si l’on additionne l’ensemble des mesures des États européens, dont 1.100 milliards d’euros pour l’Allemagne, un plan sans précédent depuis la Deuxième Guerre mondiale, on se rapproche du chiffre américain. Les États-Unis, qui n’ont pas les lois sociales du chômage partiel, ont décidé de se rallier à la politique de « l’argent par hélicoptère, » avec un chèque du gouvernement fédéral d’environ 3.000 dollars pour une famille avec deux enfants.

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  • Ça n'arrive qu'aux autres

    6a00d8341c715453ef025d9b404357200c-320wiDifficile, entendant le discours de Mulhouse de ce 25 mars, de demeurer stoïque, figé au garde à vous, le petit doigt sur la couture du pantalon, un moment interminable. On restera sans doute civique, le temps de la crise. On accepte la discipline car, dans une pareille période, on doit suivre les consignes des autorités. Cela fonctionnera pour peut-être 90 % d'entre nous, car au moins 10 % des habitants de l'Hexagone s'y refusent déjà. Les princes qui nous gouvernent craignent, ou plutôt savent, que notre obéissance ne durera pas bien longtemps.

    Si l'on en croit le quotidien Le Monde "le sommet de l’État redoute de devoir rendre des comptes".[1]

    À Beyrouth, ce 19 mars dans un pays déchiré à la fois par un affrontement culturel séculaire et par une crise financière majeure, le pouvoir était "accusé de tirer profit du coronavirus pour intimider les protestataires".[2]

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  • La Syrie et Erdogan : « Grâce à Soros, les mensonges vont bon train »

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    Le financier George Soros a récemment publié une tribune dans le Financial Times qui critique le rôle de la Russie en Syrie et défend le Président turc Erdogan.

    Comment s’inscrit-elle dans la communication occidentale sur ce conflit ?

    Décryptage du colonel Alain Corvez, ancien conseiller auprès des Nations unies, sur Sputnik France.

    https://fr.novopress.info/

  • L’effondrement d’un monde, par Charlotte d’Ornellas

    Les frontières se ferment, les nations devancent l’Union européenne, la souveraineté est louée, les services publics sont encensés, la libre circulation des personnes est contestée, la famille plébiscitée… Le coronavirus impose une remise en cause.

    «Hormis un conflit planétaire majeur, que nous jugeons improbable, une pandémie serait l’autre évènement de grande échelle qui, selon nous, pourrait stopper ce processus». En 2005, l’expert en politique internationale Alexandre Adler signait un livre à partir d’un rapport de la CIA. Un paragraphe intitulé « Qu’est-ce qui pourrait faire dérailler la mondialisation ? » donnait cette réponse. Nous y sommes. Quinze ans plus tard, Emmanuel Macron donne raison à la prévision alors que frappe le coronavirus : « Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie au fond, à d’autres est une folie. Nous devons en reprendre le contrôle. » Finie la mondialisation heureuse, place à l’éloge de la souveraineté et du protectionnisme ! La remise en cause est brutale.

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