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immigration - Page 1064

  • L'islam raconté avec complaisance à nos enfants à l'école : "De telles erreurs dans des manuels d'histoire laissent perplexe"

    Oui à l'éducation familiale! Parents, premiers éducateurs de vos enfants et responsables de leur éducation, lisez cette analyse et posez-vous les vraies questions : 

    "En outre, les objectifs de la conquête ne sont jamais exposés aux élèves, or la conquête territoriale est consubstantielle à la naissance de l'islam et les propos de Mohamed dans le Coran et la Sunna sont sans ambiguïté: l'islam est prosélyte, a vocation à éclairer l'humanité, la conquête territoriale en est le principal instrument. Cette fusion du politique et du religieux doit être soulignée si l'on veut éclairer certains discours fondamentalistes actuels pour les déconstruire. Ici la notion de jihad devrait être abordée, elle sert dès le début de l'islam à une justification religieuse de la conquête de type impérialiste - tout à fait banale à l'époque - constituée de pillages, de massacres et de colonisation. L'ouvrage de Sabrina Mervin est utilisé à plusieurs reprises pour présenter les conquêtes, mais cet ouvrage n'est pas un livre d'histoire factuelle, il a un objet d'étude singulier à savoir l'histoire des doctrines de l'islam et leurs représentations. Elle insiste dans sa préface sur le fait que son livre ne retrace «pas l'histoire politique ou sociale du monde musulman» or c'est exactement ainsi que des extraits sont utilisés dans les manuels, pervertissant le travail de l'historienne. Les citations de l'ouvrage montrent un projet théocratique parfait, réalisé sans entrave, là où l'historienne décrit une représentation sociale de ce projet par les doctrinaires musulmans. La partie leçon d'un manuel [Hachette] va plus loin dans l'approximation: «Les califes musulmans prennent le contrôle d'un très vaste territoire peuplé de populations nomades. Pour contrôler cet ensemble ils développent les villes où s'installent les émirs». En quoi les peuples d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient préislamique [judaïsme, christianisme, empires perse ou romain], sédentaires depuis des siècles, ayant développé des civilisations urbaines prestigieuses furent-ils des «nomades» à l'instar des tribus bédouines d'Arabie islamisées par Mohamed? Alexandrie, Jérusalem, Damas, Yarmouk, Le Caire, Mossoul et tant d'autres ne sont pas des villes fondées par les conquérants arabes à ma connaissance. Ils ont redessiné le paysage urbain pour l'islamiser mais n'ont pas fondé ces villes qui ont gardé de nombreuses traces, notamment archéologiques, d'un glorieux passé préislamique. De telles erreurs dans des manuels d'histoire laissent perplexe.

    Il y aurait beaucoup à dire sur la façon dont le contact belliqueux entre Chrétienté et Islam est décrit autour de l'épisode des croisades. On retiendra notamment dans un manuel [Hatier] que dans la leçon titrée «La violence des guerres saintes», les auteurs ne rendent compte que de la Reconquista espagnole et des croisades, à travers par exemple les crimes des Croisés comme le sac de Constantinople en 1204. Le jihad n'est pas du tout évoqué dans cette leçon inscrite pourtant dans le chapitre sur l'islam (...)

    "Il est déconcertant de voir que les manuels utilisent la source musulmane sans appareil critique pour offrir une vision idyllique des relations entre Musulmans et non Musulmans. On trouve des textes de différents auteurs arabes médiévaux que l'élève est amené à accepter de facto. Par exemple, cette citation d'Al-Baladhuri datant du 9è siècle est utilisée dans plusieurs manuels et dépeint juifs et chrétiens acceptant l'invasion musulmane de la Syrie comme une bénédiction: «Les habitants ouvrirent les portes de leur ville sortir avec les chanteurs et les musiciens qui commencèrent à jouer et payèrent la capitation».La seule question posée à l'élève est «Comment les musulmans sont-ils accueillis?». L'élève doit paraphraser l'auteur, prenant ses dires pour une vérité, objet d'une généralisation plus loin dans la leçon du manuel. C'est comme si on apprenait la vie de Charlemagne uniquement à travers la chronique d'Eginhard! D'autres textes arabes sont exploités présentant la conquête de Jérusalem par Omar puis Saladin comme une libération des oppresseurs byzantins ou un acte de pacification.

    On passe sous silence que pour les chrétiens, majoritaires dans ces régions au haut Moyen Âge, la conquête islamique signifiait la perte de souveraineté, et pour les nombreuses communautés juives il s'agissait de passer d'un oppresseur à un autre. Donc quand on lit: «dans les territoires dominés par les Arabes, les populations se convertissent peu à peu à l'islam» [Belin ; Hatier], on a le sentiment que rien n'est fait pour éclairer les conditions de cette islamisation qui, à l'instar d'autres conquêtes antiques ou médiévales, signifiait la dépossession des autochtones de leur souveraineté, de leur droit de propriété, leur soumission sociale et culturelle. En Espagne, par exemple, les Chrétiens ont résisté comme à Tolède en 713, et les représailles furent féroces avec mutilations et crucifixions publiques. La façon dont les manuels évoquent la «coexistence» entre les trois religions sous domination musulmane est sinon fausse du moins partiale car elle n'éclaire pas les conditions de la soumission en parlant de «coexistence» (...)

    Dans un des manuels [Hachette], on cite un chroniqueur arabe du 11e siècle, Saïd al-Andalusi, sans distance critique pour l'élève qui ainsi apprendra qu'avant l'arrivée des Arabes «ce pays ne savait pas ce qu'était la science et ceux qui l'habitait ne connaissaient personne qui se fut rendu illustre par son amour pour le savoir». Puis vient un passage sur l'apport des Arabes aux sciences anciennes et modernes par la traduction des savants grecs. Cette lecture apologique est corroborée par une consigne d'activité: «Montrer que la présence des musulmans d'Andalousie permet de développer les sciences et la philosophie grecque en Occident» et par la leçon qui répète que «les textes des auteurs antiques sont redécouverts en Occident par l'intermédiaire de leur traduction en arabe». On passe sous silence un fait majeur: nombre de ces traducteurs étaient de langue arabe mais n'étaient ni des Arabes, ni musulmans. Ce furent des Juifs comme Maïmonide, ibn Tibbon ou Yossef Kimhi et surtout des Chrétiens principalement syriaques qui réalisèrent cette translation des savoirs antiques vers l'Occident. On sait de différentes sources, que des califes, comme al-Mahdi ou al-Rashid, commandaient aux chrétiens syriaques des traductions d'Aristote par exemple".

    Lahire

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  • Accueillir les migrants, oui, mais en Libye

    L'idée n'est pas venue de nos droitsdelhommistes qui ne portent aucun intérêt aux Français et aux Européens : 

    "Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a évoqué l'éventualité que l'UE mette en place une «ville géante destinée aux réfugiés» sur les côtes libyennes, afin de traiter les demandes d'asile des réfugiés hors d'Europe. 

    S'exprimant devant la presse à Vienne à l'issue du Sommet des pays des Balkans européens consacré à la crise des réfugiés, Viktor Orban a déclaré que les frontières extérieures de l'Union européenne devraient être sous «contrôle total».

    Lahire

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  • Drépanocytose : la carte du grand remplacement mise à jour – Chiffres 2015

    La drépanocytose est une maladie héréditaire grave dont le dépistage à la naissance, en France, est obligatoire pour les enfants dont les parents ont des origines africaines ou orientales.

    Les chiffres 2015 viennent d’être rendus publics. C’est le moyen d’avoir une approche statistique du bouleversement racial à l’œuvre en France.

    Ci-dessous la carte avec les chiffres de ces dernières années, jusqu’à 2015, par région.

    On voit qu’en 2015, 38,85% minimum des naissances eurent lieu chez des couples d’origine africaine ou orientale.

    Un chiffre énorme qui monte à 73,40% pour l’Ile-de-France, et 52,39% en PACA. Dans cette région, la bascule a donc déjà officiellement eu lieu : bravo aux mondialistes !

    carte-drepanocytose_hd_chiffres_2015-1réalisation fdesouche

    chiffres-drepanocytose

    http://www.contre-info.com/

  • Thierry Bouzard : La révolte de la France rurale contre l'invasion migratoire.

  • Plus d'un millier de manifestants cet après-midi à Versailles contre l'installation du camp pour migrants aux portes de la ville

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    Après le rassemblement organisé par Riposte laïque vendredi soir au Trocadéro cliquez ici, plus d'un millier de personnes ont manifesté samedi après-midi à Versailles contre le projet d'installations de centres d'accueil de migrants dans le département des Yvelines, notamment sur les communes de Louveciennes et Rocquencourt.

    Les manifestants, au nombre de 800 selon la police, étaient appelés à "se mobiliser contre l'implantation maintenant confirmée de migrants à Louveciennes, Rocquencourt et on nous dit maintenant partout dans les Yvelines" par le conseiller municipal versaillais (DVD) François Bouglé.

    Derrière une banderole "Camp de migrants = État irresponsable" et aux cris de "Résistance", "Nous sommes le peuple" et "La France en colère", ils ont gagné la préfecture, où une délégation a été reçue peu après 16 heures.

    Vendredi soir et samedi après-midi, des centaines de tracts appelant à participer à la Xe journée nationale et identitaire organisée par Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis ont été distribués aux manifestants.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Carl Lang : Pour une vraie garde nationale, avec 100.000 hommes armés.

  • Sarkozy : faites ce que je dis, pas ce que je fais !

    Les ancêtres gaulois, c’est une référence à une communauté en mal d’union nationale qui arrive à se réunir autour d’un héros pour se battre.

    Il y a des coïncidences qui ne trompent pas : entre Foncia qui veut empêcher de braves gens d’afficher le drapeau tricolore à la fenêtre de leur logement et la classe politique qui s’ébranle à l’évocation des « ancêtres gaulois » de Nicolas Sarkozy, c’est un sale temps pour l’Histoire de France.

    Car c’est bien de cela qu’il s’agit : regarder dans le rétroviseur, trouver ce qui nous unit à nos voisins de palier et à cette terre que l’on appelle France. Bien que biaisé et d’une profondeur historique très peu rigoureuse, Nicolas Sarkozy n’a pas tout à fait tort : il s’agit bien de trouver une image pour rassembler et fédérer. Quel dommage que cette pensée ne lui reste que le temps d’une campagne…

    Cependant, même si la substance historique est fausse, l’idée est juste : pour être français, il faut reconnaître que nous faisons partie d’un passé spécifique avec une histoire et une culture spécifiques.

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  • "Nos ancêtres les Gaulois" : Du mémoricide au grand remplacement