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immigration - Page 1139

  • Mosquée de Valence : des militaires tirent sur une voiture qui refuse d’obtempérer

    Selon des témoins qui relatent les faits sur les réseaux sociaux, une fusillade aurait éclaté à Valence. Des militaires postés devant la mosquée auraient tiré sur un homme qui refusait de s’arrêter en voiture. Le drame se serait produit cet après-midi dans le quartier de Fontbarlettes.

    Un ou plusieurs militaires du dispositif « Sentinelle » mis en place dans le cadre de Vigipirate auraient ouvert le feu sur un homme qui circulait en voiture et qui aurait refusé d’obtempérer. Le conducteur aurait été gravement blessé. Un retraité aurait été touché par une balle perdue. La préfecture de région n’a pour l’heure pas donné de précisions, ni confirmé les faits.

    http://www.contre-info.com/

  • Gilles Kepel : des municipalités délèguent aux salafistes « un certain nombre de fonctions pour gérer la paix sociale »

    Gilles Kepel pointe du doigt une rupture de certaines personnes avec le reste de la société. Certains adoptent ainsi « une conception du religieux qui s’inscrit dans une logique qu’on appelle salafiste, explique le politologue. C’est-à-dire qu’au départ on n’est pas nécessairement violent, mais on fait une sorte de rupture culturelle avec l’environnement. »

    « Dans un certain nombre de cas, ces salafistes sont bien considérés, y compris par les autorités municipales, parce qu’ils sont contre la drogue, contre la violence, poursuit le chercheur. Et donc on leur délègue un certain nombre de fonctions pour gérer la paix sociale. Mais lorsqu’un imam radical arrive, ou que l’un d’entre eux bascule parce qu’il a lu des choses sur internet, cette rupture qui a été faite va permettre le basculement dans la violence. »

    Source via FDS

    http://www.contre-info.com/

  • Derrière la bataille de la déchéance de la nationalité se cache la radicalisation de l’extrême gauche internationaliste et hors-sol contre le pays réel

    Comment une démocratie peut-elle survivre avec des citoyens de deux ou trois pays ?
    Ils sont tous – politiciens, militants, associatifs, syndicalistes dits de gauche, enfin, entendez de la gauche marxiste et communiste – vent debout contre le projet de déchéance de la nationalité. Pourtant, s’il est une mesure minimale qui devrait, aurait dû recueillir l’assentiment de tous, c’est bien cette sanction contre les djihadistes ayant commis des crimes sur notre sol. D’autres démocraties, et non des moindres tels les États-Unis et l’Australie, prennent moins de gants avec leurs terroristes. Mesure symbolique, mesure ne concernant qu’une poignée de terroristes et binationaux de surcroît. Eh bien, non : une fois de plus, l’unité nationale est impossible. C’est inexplicable ou, plutôt, cela mérite décryptage.

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  • Double crime de Rouen : si l’on avait respecté la décision du jury populaire…

    Le jury populaire avait prononcé une interdiction définitive du territoire français, mais cette décision n’a pas été exécutée.
    Nous connaissons l’assassin mais qui sont les complices de ce double meurtre ?
    Élise Fauvel, 24 ans, assistante de direction en recherche d’emploi, et Julien Tesquet, 31 ans, infirmier au CHU de Rouen, ont été assassinés dans la nuit du samedi 19 au dimanche 20 décembre 2015.
    Élise a été violée avant d’être tuée.
    L’auteur de ce double meurtre, et du viol, vient d’être arrêté. L’ADN retrouvé sur les lieux du double crime (l’appartement d’Élise Fauvel, à deux pas de la place du Vieux-Marché à Rouen) prouve sa culpabilité sans le moindre doute.
    Les deux corps dénudés étaient allongés côte à côte sur le sol.
    Le « tueur présumé » : il s’agit d’un Rwandais de 34 ans, Jean-Claude Nsengumukiza, en situation irrégulière en France depuis 2001.
    Condamné en 2011 à 8 ans de prison par la cour d’assises de la Seine-Maritime pour avoir (déjà) violé une jeune Rouennaise dans la nuit du 4 au 5 août 2009.

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  • Nouvelle preuve de l’incurie des médias

    Dimanche soir, France 3 a invité un certain Rachid Birbach, présenté comme le président de l’Assemblée des musulmans de Corse, pour évoquer les tensions à Ajaccio. Seulement voilà, l’homme est un mythomane avéré qui ne représente personne à l’exception de lui-même. En 2014,  Rachid Birbach avait déjà trompé son monde en intervenant comme imam d’Auxerre où il prônait « l’amitié judéo-musulmane ». L’association Avicenne qui gère une mosquée d’Auxerre  répliqua pour dénoncer l’imposture : « Monsieur Birbach n’est pas notre imam, ni l’imam d’aucune mosquée à Auxerre ».

    L’homme avait berné les médias une fois, le voilà qu’il recommence quelques mois plus tard en se faisant passer pour le président de l’Assemblée des musulmans de Corse. Et France 3 de l’interroger, le 27 décembre, au sujet des tensions raciales dans le quartier colonisé des Jardins de l’Empereur à Ajaccio. (voir la vidéo ci-dessous)

    L’imposteur avait été coopté à FR3 par Hassen Chalgoumi, imam de Drancy et grand admirateur d’Israël. Pour Pascal Boniface, le directeur de l’IRIS, tous deux font partie de « ces figures qui occupent la parole d’une communauté dont ils n’ont pas le soutien, mais qui tirent leur légitimité des médias et des milieux politiques dominants ».

    Même la chaîne France 3 a été obligée de publier un communiqué de presse cinglant à l’égard de Birbach :

    « Rachid Birbach, pseudo imam… Vous êtes nombreux a avoir réagi à la présence de Rachid Birbach sur le plateau du Soir 3. Le titre dont il se revendique « Président de l’Assemblée des Musulmans de Corse » est en effet une invention. Ses propos à l’encontre du CFCM n’engagent que lui, comme l’a souligné la journaliste Catherine Gonier-Cléon. »

    http://www.contre-info.com/nouvelle-preuve-de-lincurie-des-medias

  • Selon un sondage, 85 % des Français sont favorables à la déchéance de nationalité

    Un sondage OpinionWay pour Le Figaro laisse entrevoir un soutien massif des Français à la mesure, controversée à gauche, de déchéance de nationalité pour les binationaux nés en France et condamnés pour acte de terrorisme – une mesure intégrée au projet de réforme constitutionnelle en vue de lutter contre le terrorisme. 

    Mise en berne des drapeaux au palais de l’Elysée après les attentats du 13 novembre à Paris et à Saint-Denis. Jean-Claude Coutausse

    Selon ce sondage, réalisé les 28 et 29 décembre sur un échantillon de 1 172 personnes représentatif de la population française majeure, 85 % des personnes interrogées se disent favorables à cette mesure, dont 62 % « tout à fait favorables ». Plus en détail, ce sont 80 % des sympathisants socialistes qui se disent pour, 64 % des sympathisants de la « gauche radicale », et également 64 % des sympathisants d’Europe Ecologie-Les Verts. Du côté des personnes se disant proches du parti Les Républicains, 93 % y sont favorables tandis que 96 % des sympathisants FN sont pour. Seules 5 % des personnes interrogées y sont « tout à fait opposées » – et 1 % seulement des 18-24 ans, qui se prononcent massivement en faveur de cette mesure.

    Pétition contre une réforme « imposée sans débat »

    Dans le même temps, une cinquantaine d’associations et de syndicats ont lancé mercredi une pétition contre ce projet de réforme constitutionnelle et de déchéance de la nationalité française.

    « Pour nous, c’est définitivement non ! Non au projet de déchéance de la nationalité, non à une démocratie sous état d’urgence, non à une réforme constitutionnelle imposée sans débat, en exploitant l’effroi légitime suscité par les attentats », écrivent les organisations, parmi lesquelles la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH), le Syndicat de la magistrature, la CGT, le Syndicat national des journalistes et de multiples associations tunisiennes ou marocaines. [....]

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Selon-un-sondage-85-des-Francais

  • Allahicité : la République protège les lieux de culte clandestins

    Où sont les laïcistes hystériques ?

    "Le ministre de l’Intérieur de la République islamique de France, Bernard Dhimmi Cazeneuve, s’est rendu aujourd’hui à la « salle de prière » musulmane qui avait été « saccagée » par des Corses après les émeutes arabes d’Ajaccio. Il a déclaré que « la République laïque continuera à protéger l’exercice de tous les cultes ». Rappelons qu’il s’agit d’une salle de prière clandestine, enregistrée comme siège social de l’Association marocaine, sportive et culturelle des musulmans de Corse. Autrement dit elle contrevient à plusieurs lois de la République, et d’abord à la loi de 1905. La République protège les lieux de culte clandestins, s'ils sont musulmans."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/12/allahicit%C3%A9-la-r%C3%A9publique-prot%C3%A8ge-les-lieux-de-culte-clandestins.html

  • L’arrivée de migrants une « invasion organisée » ?

    Un communiqué de l’AFP en provenance de Prague annonce : « Czech leader calls migrant wave in Europe an “organised invasion” » (Pour le dirigeant tchèque la vague d’immigrés arrivant en Europe est une « invasion organisée »).

    Pour le président tchèque Milos Zeman l’arrivée de migrants sur l’Europe est « une invasion organisée » ; il a estimé que les jeunes hommes de Syrie et d’Irak feraient mieux de rester dans leur pays et de « prendre les armes » contre l’Etat Islamique :

    « Je suis profondément convaincu que nous avons affaire à une invasion organisée et non pas à un mouvement spontané de réfugiés », a affirmé Zeman dans son message de Noël adressé samedi à la République tchèque.

    Il a ajouté que la compassion était une chose « possible » pour ce qui concernait les réfugiés âgés ou malades et pour les enfants, mais non pour les jeunes hommes qui, pour lui, feraient mieux de retourner chez eux pour combattre les djihadistes :

    « Une grande majorité de ces migrants illégaux sont de jeunes hommes en bonne santé, et célibataires. Je me demande pourquoi ces hommes ne prennent pas les armes pour aller se battre pour la liberté de leur pays contre l’Etat islamique », a déclaré Zeman, élu président de la Tchéquie au début de l’année 2013, ajoutant qu’en s’enfuyant de leurs pays déchirés par la guerre ils ne faisaient que renforcer l’EI. Et le septuagénaire de faire ensuite la comparaison avec l’époque où des Tchèques avaient quitté leur pays au moment de l’occupation nazie de 1939 à 1945.

    Ce n’est pas la première fois que Zeman affiche une position controversée à propos de la pire crise de migrants que connaisse l’Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale. En novembre, le président, bien que de gauche, assistait à un rassemblement anti-islam à Prague en compagnie d’hommes politiques d’extrême droite et d’une unité paramilitaire.

    Le premier ministre tchèque, Bohuslav Sobotka, qui avait déjà critiqué les propos du chef de l’Etat, a déclaré que le message de Noël de Zeman était fondé « sur des préjugés et son habituelle façon de simplifier les choses ».

    Les migrants ne sont pas la seule cible des remarques caustiques de Zeman: la semaine dernière il voulait que son pays introduise l’euro aussitôt que la Grèce endettée abandonnerait la monnaie commune, ce qui avait amené Athènes à rappeler son ambassadeur. Il avait également déclaré qu’il avait été « très déçu » que les pourparlers de l’été visant à faire sortir la Grèce de l’euro n’avaient pas abouti.

    Tant la République tchèque que la Slovaquie, deux pays anciennement communistes qui ont rejoint l’Union européenne en 2004, ont refusé le système des quotas instauré par l’UE pour la distribution des réfugiés provenant de la vague actuelle de migrants.

    Plus d’un million de migrants et de réfugiés ont rejoint l’Europe cette année, la plupart pour échapper à la violence en Afghanistan, en Irak et en Syrie.

    La crise a mis à rude épreuve les liens au sein de l’Union européenne, avec, d’une part, la plupart des membres les plus récents fermement opposés aux migrants, et, d’autre part, certains pays du Nord, comme l’Allemagne, qui accueillent ces gens qui fuient la guerre.

    Peu de demandeurs d’asile choisissent de rester en République tchèque, pays membre de l’OTAN abritant 10,5 millions de personnes.

    Quoi qu’il en soit, une enquête récente a montré que près de 70% des Tchèques s’opposent à l’arrivée de migrants et de réfugiés dans leur pays.

    AFP, 26/12/2015

    Source : news.yahoo.com

    http://www.polemia.com/larrivee-de-migrants-une-invasion-organisee/

  • Déchéance de nationalité: le "baiser de la mort" du FN à Hollande

    Depuis que François Hollande a décidé d'étendre la déchéance de nationalité aux binationaux français, le FN se réjouit ouvertement de la mesure. De quoi gêner un PS déjà très divisé sur la question.

  • Zemmour condamné ou la tentation autoritaire du multiculturalisme

    Éric Zemmour vient de se faire condamner pour incitation à la haine raciale et religieuse. Immédiatement, ses nombreux ennemis ont célébré: enfin, le vilain essayiste sera reconnu à la manière d’un délinquant dangereux par les Français. Ce sera à nouveau l’occasion de chercher à le congédier de l’espace public, en accusant ses employeurs d’avoir à leur service un propagateur de haine, un polémiste ignoble qui ne devrait pas avoir accès à de grandes tribunes. Ce ne sera pas la première fois, ni la dernière. L’occasion est belle pour tenter d’en finir avec celui qui est devenu le diable de la gauche multiculturaliste française.

    Revenons sur les propos sanctionnés de Zemmour. Ils se résument aisément: il craint que la France ne bascule, tôt ou tard, dans la guerre civile. Cette dernière est peut-être même déjà commencée, sans qu’on n’ose la nommer. On se contente de traiter comme des faits divers ou comme des événements isolés les tensions intercommunautaires qui témoignent d’une implosion du pays. L’immigration massive a créé un nouveau peuple et qu’on le veuille ou non, le continent européen sera probablement témoin d’affrontements significatifs dans les années à venir. En fait, l’immigration massive aura représenté un suicide identitaire pour l’Europe.

    Posons les choses simplement: on peut être en accord avec Zemmour et le voir comme un homme éclairé et courageux, tout comme on peut être en désaccord avec lui et l’accuser de catastrophisme et dans ce cas, on lui répondra vertement. Mais en quoi ses propos devraient-ils tomber sous le coup de la loi? En quoi devrait-il être interdit d’être pessimiste quant à l’avenir des sociétés occidentales? Le pessimisme devrait-il tomber juridiquement interdit? Redouter un péril et l’annoncer, est-ce le souhaiter? À moins qu’il ne faille prophétiser un avenir radieux pour être le bienvenu dans l’espace public et mériter le titre d’interlocuteur respectable?

    Bizarrement, c’est peut-être de cela dont il s’agit. L’idéologie multiculturaliste au pouvoir dans toutes les sociétés occidentales a quelque chose d’une religion politique qui suscite un fanatisme idéologique inquiétant chez ses promoteurs: elle distingue le monde d’avant la révélation diversitaire et celui d’après. Avant, le monde était marqué par des discriminations nombreuses et des exclusions détestables. C’était l’époque de la grande noirceur identitaire, où l’identité nationale justifiait une homogénéité autoritaire au service exclusif de l’homme blanc hétérosexuel. La conscience collective officielle en Occident est traversée par ce fantasme, d’autant qu’il est souvent au cœur des programmes historiques scolaires.

    Le monde d’après la révélation diversitaire serait tout autre. Elle prophétise une société nouvelle, fondée sur la reconnaissance mutuelle des différences sous le signe d’un vivre-ensemble harmonieux. La condition pour que ce monde advienne, toutefois, c’est que les nations occidentales renoncent à se placer chacune au cœur de leur propre pays, et à se proposer comme norme identitaire et culturelle. Il ne doit plus y avoir de distinction entre le citoyen et l’étranger, ce qui du coup, aboli la nécessité pour le second de s’assimiler au premier. C’est l’idée d’un monde enraciné qui doit périr. L’homme nouveau, sans préjugés, verra son règne arriver.

    Évidemment, les choses ne se passent pas comme le voudrait la prophétie multiculturelle. Les sociétés européennes éclatent. Une crise majeure se laisse deviner. La contagion islamiste de certaines cités n’en est qu’une facette. L’idéologie multiculturaliste doit traduire ces oppositions dans son logiciel sociologique. On y verra en général une crispation des populations «de souche» qui tarderaient à se convertir à la révélation diversitaire. En un mot, la France serait coupable de ses malheurs. Son crime? Ne pas se considérer comme une page blanche et vouloir conserver son héritage historique et sa culture. Cette crispation engendrerait différentes phobies qu’il faudrait combattre politiquement et peut-être même pénaliser juridiquement.

    La formule revient souvent: la liberté d’expression ne devrait pas être celle de prêcher la haine, de stigmatiser certaines communautés ou de critiquer certaines religions. Mais la définition de la haine et des phobies est aussi imprécise qu’étendue. D’ailleurs, on assiste à une extension du domaine de l’interdit. C’est peut-être inévitable: au rythme où le nouveau monde s’installe, il tolère de moins en moins ce qui lui rappelle le monde ancien et ceux qui persistent à s’y vouloir fidèles. C’est le paradoxe progressiste: plus il suscite des résistances dans la population, plus il croit devoir se radicaliser. Plus la dissidence idéologique sera forte, et plus il faudra la réprimer.

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    http://la-dissidence.org/2015/12/22/zemmour-condamne-ou-la-tentation-autoritaire-du-multiculturalisme/