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immigration - Page 1137

  • Charlie Hebdo : la Une de la honte

    4841109_6_46b0_2016-01-04-8854d6f-6317-13nvr84_5cfd5e2af079f75ed9149c0a863b50f4-aaa03.jpgLa rédaction de l’hebdomadaire a identifié l’assassin de janvier. Son portrait-robot est passionnant.

    C’est un « wanted » tiré à un million d’exemplaires. Le montant de la prime – « mort ou vif » – n’est pas précisé, ce qui est dommage. L’assassin, donc, court toujours. Mais les journalistes de Charlie Hebdo savent sur lui des choses que nous ignorons. Il a plutôt une bonne tête. Une sorte de pâtre grec sur le retour. Une barbe fleurie, plus jupitérienne que mahométane.

    D’ailleurs, détail vestimentaire de première importance, il porte des sandales, pas des babouches. En outre, pour ajouter à la complexité du personnage, au-dessus de sa tête, il y a quelque chose qui fait penser à un triangle maçonnique.

    C’est intéressant. C’est riche. Et ça ouvre de nouveaux horizons à une pensée dont les rédacteurs de Charlie Hebdo ne veulent pas qu’elle se résume à montrer du doigt les djihadistes.

    Car ça, c’est d’un commun. C’est convenu, banal. Et un journal se doit de surprendre. La une de Charlie Hebdo est à cet égard d’une réussite exemplaire. Vous auriez dépensé 3 euros, vous, pour voir la tête des frères Kouachi ? Vous auriez mis la main à la poche pour regarder une caricature de djihadiste alors qu’on nous en abreuve tous les jours ? Bien sûr que non. Tandis que là, vous en avez pour votre argent.

    Un Dieu gréco-judéo-chrétien : c’est lui l’assassin de janvier ! Si vous voyez quelqu’un qui lui ressemble, signalez-le à Cazeneuve, à Hollande, à Valls, au premier flic venu. Et arrêtez immédiatement de vous polariser sur les djellabas, les burqas et de scruter à la jumelle les cités de Roubaix, de Saint-Denis, de Stains, de Trappes. Le portrait-robot de Charlie Hebdo nous incite à voir plus haut, plus loin. Du côté de l’Olympe. Vers le mont des Oliviers. Et – pourquoi pas – à Saint-Pierre de Rome… [...]

    La suite sur Atlantico

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Charlie-Hebdo-la-Une-de-la-honte

  • Alain Juppé et l’immigration : le double langage dans une France droitisée

    Alain Juppé, candidat idéal des mondialistes aux élections présidentielles de 2017 selon plusieurs observateurs politiques, doit tirer quelques leçons des élections régionales de décembre 2015. De toute évidence, la France s’est droitisée et les électeurs digèrent de moins en moins l’immigration malgré la propagande quotidienne pour le multiculturalisme. Pour s’imposer aux primaires des Républicains, Alain Juppé est donc contraint à quelques menus accommodements de langage.

    Ainsi, dans un nouveau livre à paraître le 6 janvier et intitulé « Pour un Etat Fort« , le maire de Bordeaux, prétend afficher sa « fermeté ». Tous les médias sont appelés à signaler son prétendu virage à droite parfaitement calculé pour concurrencer Nicolas Sarkozy sur ce terrain.

    Alain Juppé dit souhaiter la création d' »une police pénitentiaire » et la construction de 10.000 places de prison. Il veut aussi criminaliser la consultation de sites jihadistes. Il demande la possibilité de « rétention administrative » pour les personnes qui rentrent de Syrie. Il promet la suppression des réductions de peines automatiques pour les condamnations supérieures à un an de prison et la redéfinition des conditions de la légitime défense.

    C’est au sujet de l’immigration que les propos d’Alain Juppé sont les plus risibles. Le voilà qui prétend vouloir durcir les conditions du regroupement familial et instaurer le vote chaque année d’un « plafond d’immigration légale ». Exactement le contraire de ce qu’il déclarait précédemment !

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    alain juppé immigration


    PLAIDOYER POUR L’IMMIGRATION : LA DROITE ET L… par ina

    http://www.medias-presse.info/alain-juppe-et-limmigration-le-double-langage-dans-une-france-droitisee/46724

  • Amazon veut contrer Pegida et verser les revenus de ses produits aux envahisseurs clandestins

    Pegida est le mouvement allemand, populaire et spontané, d’opposition à « l’islamisation de l’Europe ».
    Il organise depuis deux ans des rassemblements géants et très pacifiques, qui horrifient médias et politiciens…

    L’hymne (sans paroles) de Pegida été mis en vente sur Amazon Allemagne le 22 décembre, avec un message encourageant les abonnés du groupe à s’amuser d’une « célébration patriotique de Noël », et est très vite devenu numéro un des ventes de morceaux  de musique, détrônant les stars à la mode !

    Pegida avait auparavant déclaré que sa part des recettes de la vente de son hymne sans paroles irait à « une bonne cause ».

    Or Amazon, qui conserve pour sa part un tiers du produit des ventes sur son site, n’a pas supporté une telle offense au politiquement et commercialement correct…
    Le site de vente en ligne a annoncé ces jours-ci que « les revenus d’Amazon tirés de la vente de cette pièce musicale iront à une organisation de bienfaisance soutenant les réfugiés [sic] »…

    Selon le site d’actualité en ligne The Local, les visiteurs du site cherchant l’hymne Gemeinsam sind wir stark (« Ensemble, nous sommes forts ») se sont heurtés donc heurtés dès mercredi soir à un nouveau message concernant ce morceau de Pegida :

    amazon

    On savait déjà que cette multinationale, faisant une concurrence déloyale à de nombreux commerces traditionnels, finançait à coups de millions des associations homosexualistes, et produisait même sa propre série télévisuelle décadente

    http://www.contre-info.com/

  • Qui est en danger : Schengen ou les peuples d'Europe ?

    Le Danemark a pris la décision de contrôler sa frontière avec l'Allemagne et la Suède a fermé aux immigrés un pont la reliant au Danemark. Le royaume scandinave, qui compte 9,8 millions d'habitants, a reçu plus de 160 000 demandes d'asile cette année et en attend 170 000 l'an prochain. D'après The Guardian, le nombre de demandeurs d'asile a atteint 10 000 par semaine à l'automne. Les autorités entendent réduire ce nombre à 100 par semaines cette année.

    Le porte-parole du ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier, Martin Schäfer a déclaré :

    "La libre circulation est un bien précieux (...), Schengen est très important mais est en danger".

    De son côté, l'ancien président tchèque Vaclav Klaus a une autre vision du danger :

    "Nous sommes sur le seuil d'une nouvelle époque de mouvements migratoires. Certains (en Europe) pensent que la vague de migrations a déjà cessé. Mais elle ne fait que commencer, un véritable tsunami est sur le point d'arriver".

  • 2016, année de tous les dangers

    La France commémorera cette  semaine le premier anniversaire de  la tuerie de Charlie hebdo, puis de l’hyper cacher, jalon sur la route menant de la sanglante équipée  de Mohammed Merah et  aux massacres du 13 novembre.Charlie Hebdo, il n’est certes pas le seul, continue aujourd’hui de filer sans grande intelligence la comparaison  entre méchants barbus fous d’Allah et odieux cathos frontistes.Deux familles mises sur le même pied d’égalité qui seraient bien décidées à museler nos libertés  françaises. Charlie Hebdo est aussi le vecteur, là aussi un parmi d’autres, du concept  d’ islamofascisme. Or comme le notait récemment le politologue  Nicolas Lebourg, «ce mot est un non-sens historique et intellectuel, récusé par la totalité des historiens du fascisme. Vouloir assimiler les deux phénomènes ne sert à rien et témoigne d’une incapacité à penser la violence, la radicalité et les sociétés fermées hors des totalitarismes européens du XXe siècle. Ils ne se rapprochent guère que dans leur conception de la société comme un tout organique, autoritaire et hiérarchisé ». Même analyse de son collègue Jean-Yves Camus : «ce qui me frappe chez les essayistes qui utilisent ce terme, c’est leur incapacité à penser un objet qui est le principal totalitarisme contemporain, autrement que par référence à un objet antérieur (…). Je veux souligner deux différences fondamentales entre islam radical et fascisme. D’abord les régimes islamistes s’inscrivent dans la logique du libéralisme économique. Ensuite l’Etat islamique n’a pas pour objectif de forger un homme nouveau mais de revenir à l’homme musulman des origines ».

    Il est vrai que même François Hollande est aujourd’hui accusé, jusqu’au sein du PS mais aussi par une partie de la droite, de vouloir attenter au pacte républicain, de  s’éloigner de l’homme socialiste des origines, de  la doxa progressiste, libérale-libertaire sur la nationalité.   Le Chef de l’Etat a ainsi renouvelé lors de ses vœux aux Français, le 31 décembre, son souhait de déchoir de la nationalité française les binationaux coupables de terrorisme, emboitant le pas  sur ce thème  au FN.

    L’Obs a souligné sur son site que certains politiques, favorables à cette mesure,  appellent cependant «François Hollande et Manuel Valls à réformer la déchéance de nationalité, sans toucher à la constitution ». C’est le cas de  Paul Quilès, l’ancien ministre de François Mitterrand » qui «dans une pétition (…)  explique (que) ce projet de révision constitutionnelle ouvrirait la porte à des extensions dangereuses, déjà demandées par l’extrême-droite pour aller beaucoup plus loin».

    Le site du magazine  rappelle ainsi un tract diffusé lors de la campagne présidentielle de Marine en2012, intitulé Double nationalité : il faut en finir, qui « (proposait)  non seulement la suppression de la double nationalité mais aussi la déchéance de leur nationalité française pour les binationaux condamnés pour des faits délictuels ou criminels». Etaient visés ici, comme dans les programmes plus anciens du FN, les binationaux se rendant coupables de crimes particulièrement odieuxcontre les plus faibles  (femmes, enfants,  personnes âgées, handicapées…), mais aussi les gros  trafiquants de drogue.

    Plus largement, Bruno Gollnisch rappelle incidemment  pour sa part, dans un domaine connexe,  que  la possibilité même d’expulser dans son pays d’origine un criminel une fois sa peine achevée sur notre territoire fut supprimée par Nicolas Sarkozy lors de son quinquennat.Mais surtout que la question de la déchéance de  nationalité  envisagée aujourd’hui (a minima) par M. Hollande et une partie des élus de LRPS,  ne se poserait pas si l’on ne fabriquait pas à la chaine des Français de papier. Et ce,  au nom de l’inique droit  du sol,  d’un code de la nationalité qu’il s’agirait de réformer à la lumière des défis migratoires de ces dernières décennies…

    Autres défis, autres tensions lourdes de menaces, celles qui agitent ces dernières heures deux puissances rivales de longue date, l’Arabie saoudite wahhabite,  cet «Etat islamique (Daech)  qui aurait  réussi» selon la définition qu’en donne Eric Zemmour, et l’Iran chiite. Une hostilité réactivée  depuis que  le  cheikh Al-Nimr, 56 ans,  a été exécuté samedi, reconnu coupable de terrorisme, sédition, désobéissance au souverain et port d’armes  avec 46 autres personnes en Arabie saoudite.

    Le chiite Mohammed al-Nimr, qui avait étudié la théologie plus de dix ans en Iran,  était un opposant pacifique mais très critique  du régime saoudien. Il défendait avec un grand talent la cause de la minorité chiite vivant en Arabie saoudite allant même jusqu’à proposer son autonomie dans le cadre d’une scission territoriale.

    En septembre dernier, à Bruxelles, François Hollande s’était fendu d’une déclaration demandant  que l’Arabie saoudite renonce à la décapitation puis à la crucifixion d’un  neveu de Mohammed al-Nimr, à savoir  Ali al-Nimr, 21 ans,  condamné à mort le 27 mai 2014 pour avoir participé à des manifestations du Printemps arabe en 2012. Mais il était  resté muet, comme ses homologues européens et les Etats-Unis,  sur  la nomination de l’Arabie saoudite  à la tête d’une descommissions consultatives du   Conseil des droits de l’homme  de l’ONU !

    Dans un communiqué paru dimanche et émanant du  ministère des Affaires étrangères, la France  a «(déploré) profondément » les « exécutions » commises en Arabie saoudite…Bref, le service minimum tant est grande la volonté de ne pas froisser outre mesure «notre» «allié» saoudien  qui joue  le rôle trouble que l’on sait en Syrie (et dans nos banlieues). Arabie saoudite  de qui on attend  toujoursle gros chèque qui doit  régler le montant  des frégates Mistral que nous avons refusé, au mépris de nos engagements de livrer à la Russie, et  achetées finalement  officiellement par l’Egypte…

    La réaction de l’Iran à ces exécutions  a été autrement plus  vive.  L’Arabie « paiera un prix élevé pour ces politiques » a déclaré le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, Hossein Jaber Ansari. Téhéran a affirmé que «le gouvernement saoudien soutient d’un côté les mouvements terroristes et extrémistes et dans le même temps utilise le langage de la répression et la peine de mort contre ses opposants intérieurs ».

    La  manifestation organisée  dimanche après-midi devant l’ambassade d’Arabie saoudite à Téhéran à l’appel de la branche estudiantine de la milice bassidji, qui dépend des Gardiens de la révolution,l’unité d’élite des forces armées iraniennes, a dégénéré.  L’ambassade saoudienne a été saccagée, le consulat saoudien dans la ville de Machhad (nord-est de l’Iran) a été lui aussi attaqué.

    Une quarantaine de personnes ont été arrêtées mais Ryad a aussitôt annoncé,  la rupture unilatérale de ses relations diplomatiques avec Téhéran. Le régime saoudien a « donné 48 heures aux membres de la représentation diplomatique iranienne pour quitter le pays». De quoi éloigner encore un peu plus, ce qui n’est pas pour déplaire  à beaucoup, la perspective, déjà bien hypothétique d’une coalition internationale regroupant notamment tous les pays de la région, pour lutter contre l’Etat islamique. 2016, année de tous les dangers…

    http://gollnisch.com/2016/01/04/2016-annee-de-tous-les-dangers/

  • Alain Juppé : « Il faut imaginer un pacte avec les musulmans »

    Renseignement, prison, immigration, identité, islam… Alain Juppé détaille dans le JDD ses positions exprimées dans son nouveau livre-programme, Pour un Etat fort.

    (…)

    Vous avez toujours été hostile au thème de l’immigration zéro mais vous dites que la France n’a plus aujourd’hui « ni les moyens ni la volonté » d’accueillir toute l’immigration « qui se presse à ses frontières ». Tout cela n’est-il pas théorique quand ceux qui sont en situation irrégulière ne sont quasiment jamais expulsés?
    L’immigration zéro, ça n’a aucun sens. Même Charles Pasqua était contre! Ça veut dire quoi? Qu’on n’accueille plus aucun étudiant? Sur les 200.000 nouveaux arrivants chaque année, 30% sont des étudiants. En revanche, il faut avoir une politique de contrôle des flux migratoires. On ne peut pas se laisser déborder par des phénomènes non maîtrisés. Il faut lutter avec beaucoup de vigueur contre l’immigration illégale, ce qui pose en grande partie le problème de la coopération européenne et de Frontex. Je propose notamment de remplacer Frontex par une véritable police européenne des frontières dotée de réels pouvoirs. Comment voulez-vous que Frontex contrôle les frontières alors qu’ils n’ont même pas accès aux fichiers nationaux d’immatriculation des véhicules? Concernant l’immigration légale, je propose un système qui existe au Canada : un vote annuel par le Parlement de quotas d’immigration et un système par points permettant de qualifier les entrants. Sur le plan économique, nous avons parfois besoin de nouveaux arrivants dans certains secteurs où il y a pénurie de travailleurs français. L’immigration au Canada, ce sont souvent des jeunes diplômés, ce qui n’est pas le cas chez nous. Je veux inverser la tendance. Quant à l’immigration familiale, je propose d’en durcir les conditions : pour accueillir sa famille, il faudra avoir les revenus nécessaires, mais des revenus du travail et non une allocation chômage. Par ailleurs, le Contrat d’accueil et d’intégration prévoit déjà qu’il faut acquérir un certain nombre de connaissances, sur la République ou la maîtrise de la langue, mais personne ne vérifie que les tests ont été passés. Il faut que ce soit le cas.

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