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immigration - Page 1162

  • Autriche : des officiers entrent publiquement en dissidence

    Coup de théâtre dans les débats sur la sécurité ! Des officiers de haut rang lancent un avertissement : « La sécurité de notre pays et de sa population est gravement menacée »

    Personne ne s’y attendait pas. Pourtant, aujourd’hui, ils se font entendre. Les officiers de l’Armée autrichienne ont décidé de ne plus se taire ! Sur une plate-forme nouvellement créée, « L’Autriche défendue », ils alertent sur les dangers d’une politique de sécurité qui a complètement failli. En résumé : la sécurité serait « gravement » menacée, les milieux politiques fermeraient les yeux et l’armée seraient instrumentalisée politiquement, condamnée à l’inactivité et brisée économiquement.

    Dans un spot publicitaire publié le 20 janvier 2016, les officiers parlent clairement. Aux côtés du colonel Siegfried Abel et du chef de la Société des officiers autrichienne, le colonel Erich Cibulka, s’exprime également le général Günther Greindl. Ce dernier a participé activement à l’évolution de l’armée fédérale, a été représentant de l’Armée autrichienne auprès d’institutions internationales, est le fondateur et le président de l’Association des Peacekeepers [Casques bleus] autrichiens et chevalier de l’Ordre du Mérite pour les services rendus à la République autrichienne. Les activités des officiers devraient soumettre à une certaine pression le ministère de la Défense et le gouvernement fédéral.

    Dans leur vidéo, les officiers justifient leur action de façon exhaustive. « En tant que soldats de l’armée autrichienne, nous servons notre pays. Nous accomplissons notre devoir depuis des décennies avec fierté et conviction. » Pourtant, les dangers croissent de jour en jour. Le conflit Est-Ouest entre la Russie et l’Otan, le terrorisme en Europe pratiqué par « l’Etat islamique » et une immigration massive incontrôlée de millions d’êtres humains sur le sol européen caractérisent la situation actuelle. Il semblerait qu’une grande partie de la sphère politique ne prenne pas ces menaces en considération par ignorance ou clientélisme. Non seulement la destruction de l’armée a été planifiée, mais la « volonté de défense de la population » serait aussi systématiquement détruite et ridiculisée. En conséquence, les soldats auraient aujourd’hui l’obligation de parler et d’agir. En raison « d’une capacité de défense dégénérée » (textuellement), la « sécurité de notre pays et de sa population est gravement menacée ».

    Outre un renforcement de l’armée fédérale et de sa capacité de défense, ils demandent une sécurisation des frontières efficace. Les soldats ne se tairont plus longtemps. Et ils sont tous d’accord : « Nous voulons une Autriche souveraine et ayant les moyens d’agir. Nous voulons assurer l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants. »

    Source : Médias-Presse-Info

    http://la-dissidence.org/2016/01/24/autriche-des-officiers-entrent-publiquement-en-dissidence/

  • Remigration !

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    La Suède, l’un des pays à la politique migratoire la plus attractive d’Europe, est soumise à une telle submersion qu’elle est en train de revoir précipitamment ses positions. Question de survie. Le gouvernement parle aujourd’hui d’affréter des charters pour renvoyer 80 000 migrants !
    La pompe aspirante a fonctionné à fond dans la Suède multiculturaliste où une politique radicale de remplacement de la population est mise en œuvre depuis des années. (Le pays verse 2 300 euros à chaque demandeur d’asile, et procure des cours intensifs de suédois aux nouveaux arrivants). Selon l’OCDE, la Suède a le nombre de demandeurs d’asile par habitant le plus élevé du monde.

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  • Pourquoi risquons-nous de perdre la guerre de races et de religions ?

    Dr Bernard Plouvier

    Il est évident que l’Europe occidentale, riche et de haute technicité, devrait pouvoir briller dans la guerre, encore larvée pour l’instant, lancée par les peuples du Sud et du Sud-Est contre elle. La supériorité en armes et en télécommunications n’est que trop évidente.

    Mais, ce n’est nullement ce qui permet à coup sûr de gagner une guerre. Après tout, en 1940, l’armée française avait davantage de chars et de meilleure qualité que ceux de la Wehrmacht. Il lui manquait autre chose. Certes, il lui manquait de bons avions de combat en quantité suffisante. Certes, l’état-major français, majoritairement peuplé de généraux trop vieux ou nommés par l’effet du favoritisme politique, avait oublié la méthode Pétain sur l’emploi combiné du char d’assaut et de l’avion de combat, exposée dans la Directive N°5 du 12 juillet 1918.

    Mais, il manquait par-dessus tout l’ardeur combative de la majorité des soldats français, qui n’avaient pas de défaite à venger (contrairement aux hommes de 1914), qui voulaient jouir des congés payés et d’un confort de vie qu’ignoraient leurs pères, qui considéraient enfin (et ils n’avaient pas tort) qu’aucune motivation d’ordre national n’avait commandé l’entrée en guerre.

    De nos jours, nos armes ultra-modernes doivent être approvisionnées en munitions coûteuses et l’on s’est aperçu à la fin de l’année 2015, au bout d’un mois d’utilisation d’une quarantaine d’avions ayant lancé moins de 700 bombes, que les arsenaux étaient presque vides, car d’autres dépenses avaient paru plus urgentes que l’accumulation de munitions, puisque les stratèges répétaient aux politiciens qu’il n’y avait plus de « péril aux frontières ». Ces choix, grotesques dans le contexte des années 1980 à nos jours qui était et demeure celui d’une immigration-invasion musulmane, furent politiques et les « maîtres » furent à l’image de leurs électeurs.

    Quand bien même nous disposons d’armes extraordinairement puissantes - l’arme atomique et son avatar, la bombe à neutrons -, quel homme politique oserait les utiliser en cas d’extrême besoin ? C’est une question de volonté politique, qu’aucun de nos « chefs » ne semble avoir.

    Nous risquons de perdre la guerre qui s’annonce, parce que la majorité de la population est aveulie, affaiblie physiquement et moralement. À quoi peuvent servir les beaux raisonnements sur l’effective grande qualité raciale des Barbares qui détruisirent la Rome corrompue au Ve siècle, quand l’on s’aperçoit que la propagande tiers-mondiste, l’hédonisme, la déspiritualisation, les sophismes distinguant l’islam de l’islamisme (en contradiction totale de la lecture du Coran), exercent leurs ravages sur les Nations d’Europe occidentale et scandinave ? En outre, la régénération physique et morale des Européens de l’Ouest, qui fut effectivement constatée grâce à l’apport génétique des Germano-Scandinaves, ne peut en aucun cas être comparée aux effets prévisibles de l’immigration actuelle.

    De bonnes armes bien approvisionnées en munitions, une logistique et des transmissions impeccables, des renseignements de qualité et rapidement utilisables, notamment ceux qui sont fournis par les satellites et les moyens de géolocalisation, tout cela est très utile… mais pas suffisant pour « gagner » une guerre. Pour vaincre, il faut une mentalité de combattant, rude, discipliné, frugal et impitoyable. Où voit-on de telles qualités en notre Europe occidentale et scandinave, dans laquelle des cuistres parlent de guerre à pertes humaines nulles : le « risque zéro », une curiosité guerrière inédite, made in USA ? Face à des capons et à des femelles, des hommes sous-doués, mais assurés de mener « le bon combat » et de gagner ainsi leur place « au paradis d’Allah », ne peuvent que l’emporter. À la force matérielle, il faut obligatoirement ajouter la force morale et l’esprit de sacrifice. 

    Il semble que les qualités morales qui définissent le véritable combattant existent en Europe de l’Est. Après les Germains, régénérateurs d’une Europe romanisée amollie, on pourrait espérer que des Slaves bien dirigés viennent régénérer la jeunesse autochtone d’une Europe occidentale qui ne demanderait que cela. Mais ceci est une histoire qui ne s’écrit pour l’instant qu’au futur et au conditionnel.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/01/23/pourquoi-risquons-nous-de-perdre-la-guerre-de-races-et-de-re-5749006.html

  • Les services de renseignements se préparent à une attaque à la voiture piégée

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    "D’après les informations de Valeurs actuelles, la menace terroriste est montée d’un cran ces derniers jours en France. Les services de renseignements se préparent à plusieurs scénarios d’attaques. L’État islamique, qui dispose de plusieurs camps d’entraînement en Europe (notamment dans les Balkans) est en train de former des commandos qui pourraient mener des attentats suicide avec un nouveau mode opératoire provoquant un maximum de dégâts. En utilisant des outils numériques à la pointe de la technologie, l’organisation terroriste est aujourd’hui prête à envoyer des convois de véhicules en opération suicide : une première voiture, au blindage renforcé, conduite à distance et chargée d’explosifs aurait pour objectif de faire un maximum de dégâts, suivie d’un second véhicule transportant des djihadistes chargés de tuer le plus grand nombre de civils. Et enfin, un troisième véhicule dont la mission est de “terminer le travail” et de récupérer les commandos.

    Parmi les cibles privilégiées par l’organisation terroriste pour faire ces “bains de sang”, des églises remplies de fidèles le dimanche, des écoles, des centres commerciaux et des lieux touristiques. Les services de police et de gendarmerie s’attendent à des attaques multiples, à plusieurs endroits du territoire français au même moment, dont le seul objectif est d’ « essayer de mettre la France à genoux », comme le confie un haut fonctionnaire de la Place Beauvau.

    Autre crainte des services : des opérations de type “cheval de Troie” avec des migrants qui pourraient se servir de leur présence dans des camps en France pour s’organiser, s’entraîner et passer à l’acte en un temps record, au nez et à la barbe de la police et de la gendarmerie. Pour cette raison, le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve a décidé en urgence la création d’antennes du GIGN dans plusieurs villes de province et a renforcé l’organisation et la décentralisation des unités du Raid. Les unités d’élite de la police et de la gendarmerie se préparent à faire face à tout type d’attaque et « s’attendent à l’inattendu », comme l’écrivait il y a quelques jours Europol dans un rapport. Déjà hier, de manière inédite, le Raid est intervenu dans le camp de migrants de Grande-Synthe, dans le Nord, où une fusillade a éclaté. Ce matin, ce sont six lycées parisiens qui ont été fermés après la réception d’appels anonymes faisant état d’une attaque d’un commando muni « de bombes et de fusils d’assaut kalachnikov pour faire un maximum de victimes. » La menace est prise en compte avec la plus grande gravité au plus haut sommet de l’État, qui s’attend au pire."

    Un homme avec deux armes et un Coran a été arrêté jeudi dans un hôtel du parc d'attractions Disneyland Paris (Seine-et-Marne).

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • A Calais comme à Quimper : le double fiasco de la gauche collaborationniste

    Cette fin de semaine, ce qu'il reste de la gauche et de l'extrême gauche a tenté de mobiliser pour soutenir l'arrivée massive de populations étrangères sur notre sol. En effet deux manifestations étaient organisées par l'ensemble des partis de gauche, une dizaine de collectifs grassement subventionnés, les associations anti-racistes et les quelques groupuscules d'extrême gauche encore existants.
    Erreur

    Autant le dire tout de suite, ces mascarades qui devaient prouver au monde entier que la France "accueillante et généreuse" était toujours là ont tourné au fiasco total.
    A Calais la manifestation, essentiellement composée de migrants surexcités et d'islamistes belliqueux qui n'hésitèrent pas à agresser de paisibles riverains, ressemblait plus à un mauvais carnaval tropical qu'à autre chose. Nos observateurs locaux n'ont d'ailleurs pratiquement pas repéré de Calaisiens ou d'habitants de la région parmi les quelques blancs que l'on distinguait à peine au milieu du cortège bigarré.
    A Quimper, il en allait a peu près de même. Sauf que les quelques dizaines de manifestants afro-arabo-gauchistes étaient concurrencés par un magnifique rassemblement organisé par les nationalistes bretons du mouvement ADSAV. Ceux-ci montrèrent ainsi qu'il en était terminé avec l'image de région soumise aux diktats du politiquement correct qui caractérisait jusqu'à maintenant la Bretagne. Ils étaient en effet près de deux cents dans les rues de la capitale de la Cornouaille pour relever l'honneur de leur terre et défendre l'identité de leur peuple.
    Les 6 et 7 février prochains, dans plusieurs villes de France, des nouvelles manifestations patriotiques auront lieux. Et par la suite ce mouvement qui s'amorce un peu partout prendra une ampleur que nous souhaitons importante. Nous entrons dans une période de reconquête. Celle-ci n'a qu'une issue possible : la victoire totale des forces nationalistes et identitaires ou bien il en sera définitivement terminé avec notre liberté et notre civilisation européenne.
    Synthèse nationale apporte son soutien à toutes les initiatives qui sont prises dans ce sens par les uns et par les autres, même si nous ne partageons pas forcément toutes les positions des organisateurs de chacune d'entre elles. Il en va de notre avenir. Mobilisation générale !

    Roland Hélie

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/01/24/a-calais-comme-a-quimper-le-double-fiasco-de-la-gauche-colla-5749666.html

  • Scandale en Île-de-France : Valérie Pécresse tient ses engagements de campagne !

    La région présidée par Valérie Pécresse a voté le 21 janvier, par 131 voix pour et 64 contre, la suppression de la réduction de 75 % dans les transports pour les étrangers en situation irrégulière et leur famille. « Une mesure sociale qui applique un principe républicain : une personne en situation irrégulière n’a pas lieu d’être mieux traitée que celui qui respecte la loi », peut-on lire sur son site. Scandale dans les rangs de la gauche, qui dénonce une « mesure injuste » visant à « stigmatiser »les étrangers ! Pire : elle a été soutenue par le groupe du Front national. N’est-ce pas la preuve que c’est une mauvaise mesure ?

    Décidément, l’opposition de gauche au conseil régional réagit par réflexe conditionné : ce n’est pas aujourd’hui qu’elle changera. Car, enfin, est-il scandaleux que Valérie Pécresse tienne un engagement de sa campagne ? C’est le contraire qui eût été scandaleux ! Et ce n’est pas parce que le Front national avait fait la même proposition que cette mesure est entachée d’illégitimité. Si le FN dit qu’il fait soleil, faut-il systématiquement prétendre qu’il pleut pour s’en différencier ?

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  • Calais – Interview exclusive : Ils veulent nos maisons !

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    (Présent 8532)
    La vidéo tourne depuis samedi après-midi sur les réseaux sociaux : une famille de Calaisiens aux prises avec une bande de migrants et d’activistes de l’extrême-gauche, devant chez elle, presque dans son jardin. David R., le courageux père de famille, nous raconte cet incident violent pour lequel son fils et lui se sont retrouvés en garde à vue !

    — Comment en êtes-vous venu aux mains avec les manifestants, une bande de migrants et de sympathisants « No Borders » ?
    — Je n’en sais rien, en fait. J’étais chez moi, j’avais vu qu’il y avait encore une manifestation. Mon fils de 21 ans me dit : « Ils arrivent. » Je lui réponds que je le sais. Il me dit : « Non, ils arrivent sur nous. » Je sors. Là, je n’ai pas appelé la police, car elle était en face. J’ai voulu discuter avec les migrants, mais ça a dégénéré. Avec ma femme, on a fait rentrer mon fils qui s’énervait et qui était sorti avec un fusil. Les jets de pierre ont commencé. J’en ai reçu une au menton, puis on m’a cassé un bâton sur le bras, j’en ai pris un bout et leur ai lancé dessus. Après j’ai reçu un pneu, que je leur ai renvoyé aussi vite. C’était chaud, mais la police n’est pas venue tout de suite. Elle est venue après, pour me mettre en garde à vue, mais sur quelles bases ? Ce fusil n’était pas chargé, c’était juste pour faire peur : ils allaient entrer dans ma cour. Mon fils, lui, a été emmené lundi en garde à vue, pendant quelques heures. Je suis très en colère, j’ai vu ma femme et ma fille très choquées.

    8532P1.jpg— Vous sentez-vous en sécurité ?
    — Non, pas du tout. Depuis samedi, des gens passent devant chez moi en rigolant, en se moquant. Où est-on ? Je suis né à Calais, mais je ne me sens plus chez moi. Douze ans que j’habite cette maison. À Calais, honnêtement, c’est tout du bren ! Les migrants nous dévisagent avec mépris, comme si on était de la m…, en se foutant bien de notre gueule. Pourtant ils n’ont pas à se plaindre, ils ont tout ce qu’ils veulent ici : ils sont nourris, logés, l’État leur donne de l’argent. On me dit qu’ils sont malheureux, mais pas du tout. En fait, ils veulent juste qu’on leur laisse nos maisons… Et c’est nous qui devons dégager ? C’est ce qui s’est passé aux abords du camp Jules Ferry [un des centres d’accueil de la ville, NDLR] : les Calaisiens en ont eu tellement marre qu’ils sont partis vivre ailleurs. Ils avaient acheté une maison, ils étaient contents, et les voilà emm… par les migrants et forcés de s’en aller : c’est honteux.

    — Pensez-vous déménager ?
    — Oui, pas forcément loin, mais partir d’ici. Il faut vivre à Calais pour comprendre ce qui s’y passe, avant de raconter je ne sais pas quoi sur Facebook. Lundi matin j’ai rencontré un photographe, journaliste. Il ne croyait pas du tout ce que je lui racontais. Je lui ai proposé qu’on échange de maison : qu’il me prête la sienne à Lille, et qu’il s’installe dans la mienne quelque temps à Calais. Il n’a pas voulu…

    — Comment voyez-vous les choses évoluer ?
    — Le gouvernement ne fait rien. Cela va se terminer par la révolution, ici.

    Propos recueillis par Samuel Martin

    http://fr.novopress.info/197474/calais-interview-exclusive-veulent-maisons/

  • De la submersion de toute digue aux vanités souverainistes

    Ce billet a paru à la rubrique Les Libres Propos de Catoneo dans le Lien légitimiste n°66 tombé dans les boîtes à la Noël (p.3 et 4), en même temps que se discutait à Bruxelles la création de gardes frontières sur le périmètre de l'Union européenne avec préemption de souveraineté de tout Etat défaillant. Le projet communautaire n'était pas suffisamment détaillé voire engagé au moment pour qu'on en fasse une critique sérieuse. Le titre fut raccourci pour ne pas nuire à l'audience, mais le texte est intégralement celui-ci. L'iconographie est spéciale à la version bloguée sur Royal-Artillerie. Il entre en archives RA sous le mot-clé LLL.
    L'organisation SCHENGEN n'avait été validée qu'avec le dispositif de contrôle du limes de l'Union. S'il ne joue pas son rôle (euphémisme), le bon sens voudrait que l'organisation Schengen soit invalidée, et qu'une douane complète soit déployée à nouveau sur les frontières nationales le temps de construire autre chose. Hélas, ces vieilles frontières handicaperont les échanges au sein d'une Union qui tourne déjà au ralenti et qui cherche par tous moyens à accroître l'emploi en dynamisant la production. Remettre les octrois dans le marché commun est une bêtise au moment où émergent les vieux empires du monde ancien qui défient les nouveaux. Les géants économiques, même s'ils surveillent les mouvements de leurs travailleurs comme la Chine, ne sont pas bloqués tous les deux cents kilomètres par des postes de douane, ni handicapés par des formulaires d'import-export-transit-libre-pratique ou phytosanitaires... Ces géants tiennent leur périmètre qui est leur membrane osmotique avec le reste du monde, et c'est tout ! Du malheur naît le rêve qui emportera la résignation. On peut même cultiver le malheur dans ce but : dans les années vingt, une vieille institutrice un peu folle vivait avec ses deux enfants près de la ville de Sa Dec dans le delta du Mékong. Pour survivre, elle avait acheté une concession que les crues emportaient chaque année, anéantissant sa rizière et cultivant son malheur. La lutte était tant inégale qu'elle appelait cette crue annuelle, le Pacifique. Un barrage contre le Pacifique est un roman autobiographique de Marguerite Duras : prête à fuir, son héroïne, Suzanne, attend sur le pont le beau jeune homme dans une longue auto à qui elle plaira ; son frère, une fille fardée fumant des State Express. A quoi rêve-t-on de si loin quand on pense à nous-autres Français ? Faire les planches à Deauville en complet de lin blanc ? une blonde alanguie belle comme un soleil ? des souliers toile et cuir beige à semelle de crêpe ? une boîte en métal de cigarillos Café Crème ? un cabriolet Peugeot jaune pétard ? Pour beaucoup de gens c'est possible... là-bas... en Europe, le rêve d'un quart au moins des habitants de la planète.
    En réponse aux malheureux rêveurs, l'Europe amasse des barrages contre le Pacifique, barrages qui ne tiennent pas plus longtemps que celui de Marie Donnadieu, l'institutrice coloniale. L'eau affouille les fondations des meilleurs obstacles et passe. Il n'empêche que plusieurs partis appellent à « rétablir les frontières » comme la panacée aux désordres allogènes du temps. Sauf à construire une ligne Challe¹ tout autour du pays, ligne qu'on peut moderniser en recopiant le modèle est-allemand, il est peu probable que l'on obtienne l'étanchéité en frontière garantie par les ténors de l'entre-soi, le mode opératoire des "passeurs" devenant juste plus compliqué, leur service plus cher* autant que sera augmenté le danger pour les clients ! Le commerce interdit, y compris celui des hommes, refleurira sur les sentiers séculaires de la contrebande et il y aura toujours la mer, ce sol inexistant qui ne se plante d'aucun poteau !
    C'est justement là que le doute s'installe quant à la pertinence de développer l'Afrique de force comme y tendent les grandes organisations internationales : l'Amérique du Nord a joué la carte d'un enrichissement économique des bases de départ au Mexique en établissant une zone de libre-échange continentale. Mais l'Alena³ ne créa pas suffisamment de maquiladoras (manufactures mexicaines en zone franche) pour retenir la démographie surnuméraire du pays et rien ne dit que nous y parvenions mieux sur le continent noir : le Mexique, c'est 120 millions d'habitants, l'Afrique a passé le milliard. Certes le cynisme du business plan libéral botte en touche la contrainte démographique puisque les gens ne sont pas inclus dans le concept, sauf comme consommateurs dociles ! De fait, la mondialisation heureuse du capitalisme vainqueur vise à abaisser les barrières tarifaires et normatives mais conserve les frontières statistiques pour mesurer les flux et noter les progrès de la dérégulation. Ces frontières qui comptent les camions servent aussi à contrôler les humains. Les conséquences migratoires ne sont pas de son fait. Mondialisation & frontières vont paradoxalement ensemble. Sans céder d'avance au découragement – rien n'est jamais parfait en ce monde - préparons-nous à accroître sensiblement le développement de l'Afrique pour faire décroître la pression migratoire, mais nous conserverons les sas d'accès pour la pression résiduelle. Où mettre alors le Mur ? Dans sa marche à la fédération, l'Union européenne calque l'organisation de son espace sur celui des Etats-Unis d'Amérique : ils ont donc aboli les frontières intérieures pour accélérer le passage des biens et laissé circuler les ressortissants pour celui des services. En contrepartie de quoi ils ont renforcé le périmètre communautaire avec FRONTEX. Quand nous en aurons fini avec la crue orientale, quand un jour le Proche et Moyen Orient seront devenus simplement vivables, il restera à canaliser la crue de l'Afrique rêveuse, celle de la Peugeot jaune. La différence de niveau de vie, à l'heure où tout se sait des conditions d'existence qui prévalent ailleurs, est telle que l'Afrique versera longtemps son trop-plein démographique en Europe et la vidange africaine ne cessera que lorsque l'écart entre eux et nous ne sera plus assez grand pour motiver l'arrachement à sa famille, sa patrie, sans parler des risques pris. Dans les enceintes internationales, on convient que la seule réponse à l'émigration sauvage est un développement économique décisif des pays d'origine ; on attend donc que l'Europe cesse de se lamenter sur l'indolence des autorités de départ et déclare cette guerre à la misère - facile - mais surtout qu'elle la gagne. D'accord ! Mais il faut prendre la chose à bras le corps. Gagner convoque bien des principes à piétiner dont celui de non-ingérence, celui d'abondement permanent au tonneau des corrompus dont les fuites finiront bien par irriguer les pauvres, celui de libre copulation irresponsable - n'en déplaise au Vatican – et bien d'autres. L'affaire appelle aussi de gros moyens humains et matériels, du nerf - l'argent - beaucoup de nerf ; mais d'excellentes idées sont déjà au travail comme l'électrification continentale portée par Jean-Louis Borloo² !
    En attendant l'étincelle d'un improbable consensus sur cet axe de développement si peu désintéressé, la Commission de Bruxelles renforce son dispositif FRONTEX. Les peuples d'Europe se demandent bien pourquoi avoir attendu l'invasion des Balkans par les Arabes pour aller au rempart alors que l'Italie méridionale est envahie par l'Afrique noire et appelle à l'aide depuis déjà longtemps ; à moins que Frontex ne soit pas aussi performant que vendu ! Comment tenir les intervalles entre les postes-frontières sans obstacles matériels ? Et voilà que les pays de l'Est tirent entre eux des centaines de kilomètres de barbelé concertinacomme des portes d'écluses brisant le mascaret migratoire. On sait d'expérience que les dispositifs contraignants bloquent d'abord les gens bien ou insignifiants, les criminels s'en accommodent et passent ailleurs, dessus, dessous. S'il est besoin de donner un exemple de frontière blindée et poreuse à la fois, il suffit d'observer le flux intarissable remontant du Mexique vers les Etats-Unis. Les pauvres qui ne franchissent pas le Rio Grande passent plus à l'ouest ou creusent des tunnels comme à Gaza !

    Aussi, plutôt que d'annuler Schengen et ses avantages indéniables procurés aux échanges intra-européens, serions-nous mieux inspirés de blinder notre frontière commune extérieure en y portant les ressources de tous les pays de l'Union, puisque les intervalles à tenir appartiennent à tous... sachant bien sûr que la barrière ne sera jamais hermétique, du moins jusqu'au moment où nous ne nous revendiquerons plus des valeurs chrétiennes qui nous privaient de tirer sur autrui pour défaut de papiers.
    1. Nom de son concepteur qui fut donné à la barrière infranchissable édifiée pendant la guerre d'Algérie à la frontière tunisienne

    Sortons nos idées pour développer l'Afrique autant que nous pourrons l'y forcer afin de gérer les flux résiduels avec humanité ; déployons partout où c'est nécessaire une diplomatie de stabilité qui nous évitera les contre-chocs du désordre comme nous les subissons par la désintégration des dictatures arabes ; et sortons à la fin nos drapeaux. Les solutions ne sont jamais si simples qu'elles puissent se décider entre deux tournées au comptoir des partis populistes. Espérons que l'intelligence reconnue d'une nation menacée comme la France lui permettra d'inventer le paradigme salvateur au cœur d'une Europe plus ou moins défendue, se battant dans le camp des gagnants de la mondialisation. Nos princes ne sont pas que les héritiers d'un glorieux passé national mais citoyens du monde avec l'ouverture d'esprit qu'offrent leur éducation particulière, leurs alliances et leur position. Est-ce trop demander qu'ils nous inspirent !

    *. Assertion provenant du reportage d'Adéa Guillot paru dans Le Monde du 17.12.2015 (note ajoutée)

    2. « Énergies pour l'Afrique » vise à électrifier tout le continent noir, 70% des habitants n'ont pas le courant. Les soutiens sont attendus sur « le site »

    3. ALENA : Accord de libre-échange nord-américain - Marché commun entre le Canada, les Etats-Unis et le Mexique limité aux biens et services marchands. Voir la Hopperie qui suit dans le numéro 66 du Lien légitimiste
    Clic !

    Le Lien Légitimiste
    2 Le Petit-Prix
    37240 La Chapelle Blanche Saint Martin

    (bimestriel exclusivement sur abonnement 30€, service électronique à 10€)
    Pour liconographie voir ici 
  • Les médias suédois commencent aussi à dire la vérité sur les crimes des immigrés illégaux :

    La police suédoise avertit que la gare Centrale de Stockholm était devenue dangereuse depuis son occupation par des dizaines d’enfants — SDF marocains.

    Des gangs d’adolescents immigrés répandent la terreur dans le centre de la capitale suédoise, volent, molestent les filles et s’en prennent aux agents de sécurité, toujours selon la police de Stockholm. Ces immigrants illégaux, dont certains n’ont que neuf ans, errent dans le centre de Stockholm nuit et jour et refusent l’aide fournie par les autorités suédoises.
    La Suède a connu une augmentation dramatique d’arrivée de mineurs marocains seuls qui demandent l’asile dont beaucoup fuguent des logements sociaux pour vivre dans les rues de la capitale. La police de Stockholm estime qu’au moins 200 enfants SDF marocains gravitent dans les environs de la gare principale : « Ces jeunes sont un énorme problème pour nous. Ils volent des trucs partout et se moquent des gardes de sécurité », a déclaré un policier au quotidien SVT.

    Ils agressent sexuellement les filles en les touchant entre leurs jambes et les giflent si elles protestent. Tous les policiers le savent. Je ne laisserais jamais mes enfants aller à la gare Centrale. Aucun policier ne le ferait.

    Ces gangs sont constitués d’orphelins qui ont grandi dans les rues de Casablanca et Tanger au Maroc, où les autorités estiment qu’il y a environ 800 000 enfants sans-abri. Ils ont tous demandé l’asile en Suède comme mineurs non accompagnés, mais leurs jeunesses troublées les rendent méfiants vis-à-vis des adultes et ils sont difficilement contrôlables.
    Le gouvernement suédois a annoncé hier la tenue de réunions avec les autorités marocaines pour reconnaître que les gangs d’enfants SDF sont un « problème commun ». Le ministre de l’Intérieur Anders Ygeman a déclaré hier que la Suède travaille pour renvoyer ces enfants dans leur pays d’origine.
    « Nous sommes d’accord pour admettre qu’il s’agit d’un problème commun à résoudre, et que nous avons tous besoin de trouver des moyens d’identifier ces jeunes et d’organiser leur rapatriement dans de bonnes conditions », a déclaré M. Ygeman suite à une réunion avec les représentants du Maroc.

    Au même moment, une jeune fille bénévole a été mortellement poignardée par un immigré de quinze ans dans un centre d’accueil. Alexandra Mezher, une jeune chrétienne d’origine libanaise de 22 ans, a été attaquée par un adolescent à son lieu de travail, un centre de logement pour enfants réfugiés non accompagnés dans Mölndal, près de Göteborg et est décédée plus tard à l’hôpital.
    Les premières constatations signalent qu’Alexandra travaillait seule cette nuit quand elle a été attaquée alors que d’après le règlement interne le personnel doit intervenir par paires. Mlle Mezher, diplômée en psychologie du Blekinge Institute of Technology à Karlskrona, aurait été avait l’intention de retourner à l’Université pour faire une maîtrise en sciences sociales.

    Sur le compte Facebook de Miss Mezher, un message sur sa foi : « les super héros portent une cape, mais le mien porte une croix ».

    La cousine de Mlle Mezher a déclaré aux médias suédois : « c’est horrible, elle était une personne qui voulait faire le bien, qui voulait être bonne. Et puis elle est tuée alors qu’elle faisait son travail. Nous avons beaucoup pleuré. C’était une personne agréable, chaleureuse et heureuse. »
    Elle a ajouté :

    C’est faute des politiciens suédois si elle est morte.

    Les policiers ont découvert un couteau sur les lieux et un adolescent a depuis été arrêté sous l’inculpation de meurtre. La police suédoise a aussi salué aujourd’hui l’intervention des autres enfants vivant dans le refuge, après qu’ils aient maîtrisé le tueur.
    « Deux garçons l’ont retenu. C’est une très courageuse intervention. Il aurait pu blesser quelqu’un d’autre, ils l’en ont empêché », a déclaré le porte-parole de la police Peter Adlersson à l’Expressen.
    L’incident vient s’ajouter à de nombreuses tensions liées à l’immigration en Suède, avec un certain nombre de jeunes filles révélant qu’elles ont été agressées sexuellement par de jeunes demandeurs d’asile à une piscine à Stockholm. Ce centre d’asile pour jeunes immigrés avait déjà provoqué des troubles à Molndal, sur la côte ouest de la Suède.

    Des groupes surveillance de quartier se sont formés pour empêcher les adolescentes d’être harcelées sexuellement sur leur chemin depuis les trains de banlieue de Göteborg. Des parents ont également refusé d’avoir leurs enfants dans les mêmes classes que les immigrants et la police a exigé davantage de ressources pour faire face à la montée des violences apparemment liées à la crise de migrants.
    Le porte-parole de la police Thomas Fuxborg a déclaré que l’agresseur était un jeune homme qui vivait au centre et a confirmé son arrestation sous l’inculpation de meurtre. Il n’a pas donné de détails sur la nationalité du suspect et a ajouté que le motif n’était pas encore clair. Mölndal est dans le voisinage de Göteborg et avec 63 000 habitants a accueilli plus de 4 000 enfants réfugiés non accompagnés en 2015.

    En 2014, le conseil municipal a reçu 276 millions de SEK (30 Millions d’Euros) d’argent public pour offrir des logements à ces mineurs non accompagnés. L’accroissement brutal du nombre de ces immigrés mineurs a conduit à une escalade des tensions dans la région, certains résidents affirmant que les jeunes femmes ne se sentent plus en sûreté en prenant le train le soir.

    Selon l’Agence suédoise des Migrations, le nombre de menaces et d’incidents violents dans des centres de réfugiés a plus que doublé entre 2014 et 2015. En 2014, il y a eu 148 incidents et en 2015 ce nombre a grimpé à 322. Pendant ce temps, les incendies criminels ciblant les abris ont également augmenté, au moins une vingtaine de centres furent réduits en cendres ou endommagés l’an dernier.
    M. Fuxborg a déclaré : « ces problèmes deviennent de plus en plus fréquents. Nous avons affaire à des incidents comme ceux-ci depuis l’arrivée de tant de réfugiés de l’étranger. Nous sommes obligés de faire face à de nombreuses perturbations dans les centres d’asile et cela bloque d’importantes ressources policières. Ce n’était pas le cas il y a six mois et cela veut dire que nous ne serons pas en mesure de répondre aussi efficacement dans d’autres domaines. »

    Les contrôles aux frontières depuis le 4 janvier sont aussi renforcés après les attaques terroristes en novembre à Paris. L’ancienne représentante syndicale de la police Lena Nitz a déclaré à TT :

    il est évident que la situation des migrants est une rude épreuve. Il est aussi devenu clair que la situation est complètement insoutenable.

    Ces demandes d’effectifs supplémentaires se voient aussi dans toute l’Europe dont certains pays expriment leurs doutes quant à leur capacité à intégrer dans la société ces nouveaux immigrés. Comme le reste de l’Europe, la Suède se débat dans la plus grande crise de migration du continent depuis la Seconde Guerre mondiale. Ce pays de 9,8 millions d’habitants a reçu plus de 160 000 demandeurs d’asile en 2015.

    La presse commence aussi à signaler qu’un certain nombre de jeunes filles ont apparemment été agressées sexuellement par de jeunes hommes demandeurs d’asile dans une piscine publique au centre de Stockholm.
    Là encore, les auteurs présumés de ces faits sont tous des « mineurs non accompagnés » — arrivés en Suède sans un parent ou un tuteur.
    Quatre cas impliquent des filles de moins de 18 ans et toutes les agressions ont eu lieu dans les piscines ou dans les vestiaires, à Eriksdalsbadet dans Stockholm, ces trois dernières semaines.

    Sources : Mail on line/Expressen

    http://fr.novopress.info/197485/les-medias-suedois-commencent-dire-verite-les-crimes-immigres-illegaux/#more-197485