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immigration - Page 1163

  • État d’urgence, c’est le bon mot…et le bon remède ?

    Spécialiste es extrême droite, Valérie Igounet a pondu un article, mis en ligne hier sur son blogue  «derrière le front », hébergé sur le site de France TV info, qui ne s’embarrasse pas de subtilités. Intitulé «Gollnisch-Soral même combat?», sa lecture révèle une  analyse pauvrette, biaisée, partiale et réchauffée de cette  historienne-militante. Pour résumer son propos,  elle explique  l’invitation faite à Bruno par une antenne d’E&R à Reims à tenir une  conférence le 21 janvier, comme la conséquence d’un même tropisme négationniste et/ou antisémite. Ben voyons, mais c’est bien sûr!  Faute d’arguments sérieux et  crédibles, on entend interdire tout débat, on  lâche les mots qui tuent, on atteint directement le point Godwin  à l’appui d’une thèse inique qui vise à semer la zizanie entre frontistes: le FN abriterait encore en son sein des «vipères lubriques » dont Marine devrait urgemment se débarrasser pour prouver sa sincérité républicaine. La ficelle est un peu grosse Mme Igounet !  

    Tout aussi absurde, odieux et déplacé, l’antenne CGT  de Bourgogne et Franche-Comté est montée au créneau pour s’indigner de la nomination de  Conseillers régionaux  FN au sein des Conseils d’administration de 28 lycées. Dans un communiqué,  le syndicat cornaqué par les  communistes a affirmé  «que le FN n’est pas un parti comme les autres (heureusement !, NDLR) et qu’il constitue une grave menace pour la démocratie et le monde du travail ». « (Les idées du FN) n’ont rien à faire dans des établissements de l’Education nationale où les personnels s’efforcent de faire vivre les valeurs d’égalité, de solidarité et de fraternité et le vivre-ensemble » (sic). C’est d’ailleurs au nom du vivre-ensemble que la CGT défend, comme le Medef ,  la régularisation des  clandestins, et la poursuite de l’immigration, armée de réserve  du capital…

    On rappellera aussi  que cette fraternelle  vigilance cégétiste ne s’est jamais manifestée pour dénoncer publiquement la pénétration dans les entreprises, notamment celles du service public, de revendications  communautaristes, ethnico-religieuses, principalement islamistes…au nom du vivre-ensemble là aussi ?

    Avec un parti communiste relégué aux oubliettes par les électeurs, des employés Français qui sont les moins syndiqués du monde occidental  et une CGT qui garde sa capacité de nuisance mais au nombre d’adhérents historiquement bas,  le communiqué de la centrale s’apparente à un petit coup de com qui ne coûte pas cher.  Poudre aux yeux, encore et  toujours, que  Florian Philippot a perçu dans la volonté de prolonger l’état d’urgence –« jusqu’à ce qu’on puisse se débarrasser  de l’Etat islamique »  a confié Manuel Valls à la BBC !- au moins pendant trois mois comme l’envisageFrançois Hollande. « L’état d’urgence, c’est une mesure ponctuelle par définition. Sinon c’est de la com», a estimé le vice-président du Front National sur Radio Classique.

    François Hollande «fait de la com, il ne fait plus que de la com. Aucune mesure de fond n’est prise: ni rétablissement des frontières nationales, ni fermeture des mosquées radicales, ni renvoi des imams étrangers radicaux, ni lutte contre le communautarisme qui est le terreau de tout cela» a-t-il ajouté.

    Il est vrai que la France a surtout  besoin dans sa lutte contre la menace  islamo-fondamentaliste d’un gouvernement prenant des mesures politiques fortes, concrètes, et  doté d’outils efficaces, avec les  moyens financiers afférents, dans sa lutte contre les menées subversives et terroristes.

    Or, selon de nombreux spécialistes, la création de la DCRI (direction centrale du renseignement intérieur) entérinée par  Sarkozy sous son quinquennat en 2008,  et à laquelle s’est substituée  en 2014  la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), aurait profondément  entravé la collecte (vitale) d’informations.  Pour parler clairement,  la disparition-fusion  de la direction de la Surveillance du territoire (DST) et de la direction centrale des Renseignements généraux (RG), dans le but avoué d’une meilleure synergie, d’éviter «la guerre des services»,  n’aurait pas été bénéfique pour la sécurité de nos compatriotes.

    D’une polémique l’autre, François Margolin et Lemine Ould Salem se sont émus, rapporteL’express,  du souhait d’un «fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, siégeant à la commission de classification du centre national du cinéma (CNC) », d’entraver la diffusion de leur  documentaire, Salafistes. «Entre images inédites et interviews de prédicateurs extrémistes, ce film démonte les rouages de la machine de mort djihadiste.»

    Ce fonctionnaire  «y a vu une apologie du terrorisme. Il a réclamé l’interdiction totale du documentaire -impossible car illégale-, éventuellement une interdiction aux spectateurs de moins de 18 ans.»  « Nous nous attendions à tout sauf à cela», « que l’on nous accuse de faire le jeu du terrorisme me paraît invraisemblable…» affirmait  M. Margolin . Fleur Pellerin a finalement  annoncé en début d’après-midi  que  Salafistes  serait bien interdit  aux mineurs.

    «Cette controverse est bien dans l’air du temps: confuse » jugeait encore cet article. « Le 9 janvier  Manuel Valls, affirme : Il ne peut y avoir aucune explication qui vaille. Car expliquer (le terrorisme), c’est déjà vouloir un peu excuser. Plus récemment, les autorités ont envisagé d’interdire toute conférence ou débat consacré à l’islamisme radical, au salafisme et au djihadisme. Comme si le fait d’évoquer ces sujets contribuait à les renforcer… Comme si le silence et l’ignorance pouvaient faire office de rempart, de protection. » En effet !

    Dans Le Monde, le réalisateur de Shoah, Claude Lanzmann,  qui « prépare un film sur la Corée du Nord co-produit entre autres par François Margolin», a fait part de son indignation devant cette censure. Avant même que le ministre de la Culture prenne sa décision, il espérait que Mme Pellerin  «tranche pour la liberté»… et  effectuait un parallèle (bien hasardeux) avec « la dernière interdiction d’un film (datant)  de 1962, pendant la guerre d’Algérie, quand la police parisienne jetait dans la Seine les manifestants du FLN ».

    «De fait, notait encore l’Express,  la polémique pollue la sortie de Salafistes: si la menace de censure lui offre un écho international, plusieurs salles ont choisi de renoncer à le projeter. De fait, le documentaire ne va être diffusé, pour le moment, que dans cinq salles: deux à Paris, une en banlieue et deux en province. »

    Il est aussi assez simple de comprendre que c’est bien l’incapacité  de l’Etat  de  protéger d’éventuelles menaces toutes  les salles de cinéma de France, de Navarre (et de banlieues)  qui auraient été susceptibles  de diffuser ce documentaire, qui a incité à cette mesure de censure.  Et ce, au-delà même du degré de violences des images  ou des propos  qu’il contient… et du maintien ou non  de l’état d’urgence dans une France  désarmée par ceux qui avaient en charge de veiller à sa sécurité. Cela aussi devrait faire réfléchir les Français.  

    http://gollnisch.com/2016/01/27/etat-durgence-cest-le-bon-motet-le-bon-remede/

  • Suisse : « les migrants qui arrivent avec une épouse mineure créent un précédent »

    Et en France ? Mystère…

    « Les migrants qui arrivent en Suisse avec une épouse mineure créent un précédent. Il ne s’agit pas forcément de mariage forcé.

    La Suisse affronte une nouvelle situation juridique avec l’arrivée de migrants et de leur épouse, parfois mineure. Le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) a confirmé à 20 Minuten qu’il était désormais confronté à cette problématique, sans pouvoir dire le nombre de cas en l’absence de statistiques.
    Au début décembre 2015, la Cour européenne des droits de l’homme avait reconnu que la Suisse n’avait aucune obligation de reconnaître le mariage avec un enfant. Elle tranchait le cas d’un couple de jeunes Afghans domiciliés à Genève, dont le mari est frappé d’une décision de renvoi en Italie. Son épouse était âgée de 14 ans.

    Il n’existe pas de jurisprudence en Suisse, les autorités jugeant au cas par cas. La loi a été durcie en 2012 et un couple marié à l’étranger peut désormais voir son union non-reconnue en Suisse si un des mariés est mineur.
    Ces dossiers sont jugés extraordinairement complexes par les autorités, car une jeune épouse de 17 ans arrivant en Suisse n’est pas forcément consciente que son union n’est pas conforme à la loi en Suisse. Raison pour laquelle ces couples sont souvent suivis de près et les services de protection prêts à agir.
    (…) »

    Source tdg.ch via FDS

    http://www.contre-info.com/suisse-les-migrants-qui-arrivent-avec-une-epouse-mineure-creent-un-precedent#more-40728

  • « Salafistes » : le gouvernement veut censurer un documentaire dénonçant l’islamisme radical

    Trois ans de tournage pour approcher au plus près la vérité du djihadisme. C’est ce que propose « Salafistes », un documentaire qui risque bien d’être censuré par le gouvernement… pour apologie du terrorisme.

     

    C’est un documentaire dépouillé, sans voix off pour expliquer où est le bien et où est le mal. Le sujet ? Le djihadisme et la charia au Mali, à Tombouctou au printemps 2012, avant l’intervention française, puis en Mauritanie, près des idéologues du salafisme, en Tunisie au cœur du discours des extrémistes du groupe Ansar al Charia.

    Prenant des risques énormes, les reporters se sont plongés dans cet univers dangereux et en rapportent les propos des thuriféraires de l’islam radical, sans voile.

    De l’avis de ceux qui ont assisté à sa projection en festival, aucune ambiguïté sur le propos : la cruauté des intervenants et des pratiques, l’obscurantisme des djihadistes, tout cela est montré sans fard et sans qu’il soit besoin de sous-titres à l’usage des c… et des mal-comprenants.

    Pourtant, un obscur fonctionnaire du ministère de l’intérieur, range « Salafistes » dans la catégorie « apologie du terrorisme ». Il a failli être complètement censuré, puis, devant le tollé suscité, serait « seulement » interdit aux moins de 18 ans. Cela reviendrait à tuer le film dont les distributeurs ne se presseraient pas au portillon pour le présenter. Il ne pourrait plus être diffusé par la télévision alors qu’il a été réalisé en collaboration avec France 3 et Canal +.

    Bref, il semble qu’une fois de plus la vérité dérange. Seule Fleur Pellerin, ministre de la Culture, pourrait trancher en faveur du film, avant sa sortie prévue demain. Autant dire, au vu du discernement de la dame, que ce n’est pas gagné.

    C.D.

  • Merkel, Facebook et l’épuration numérique

    Le Léviathan Facebook a accouché d’un nouveau monstre dans un grand silence. Baptisé OCCI (Online Civil Courage Initiative/Initiative de courage civil en ligne). Entendez par là : encouragement de la délation des propos xénophobes sur le réseau social. Il a vu le jour à Berlin le 18 janvier dernier lors d’une conférence de presse où Sheryl Sandberg, directrice opérationnelle du groupe, a fermement rappelé que « Facebook n’est pas un lieu pour la diffusion de propos racistes ou d’appels à la violence ». Dans le viseur, non pas seulement les « discours de haine » mais toute forme de dissidence avec la politique migratoire allemande.
    En septembre 2015, alors que l’Allemagne procédait à l’accueil anarchique de plus d’un million de clandestins, la chancelière avait lancé une croisade antiraciste sur Internet, activement soutenue par le ministre de la Justice Heiko Maas pour qui les réseaux sociaux ne devaient pas « devenir une fête foraine pour l’extrême droite ». Les procureurs de Hambourg avaient accentué la pression en novembre en ouvrant une enquête contre plusieurs dirigeants de Facebook pour avoir facilité l’incitation à la haine en ne supprimant que trop rarement (ou trop tardivement) les messages hostiles à la politique migratoire.

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  • Bayern über alles ?

    Comment tenter de stopper le flux migratoire qui l’année 2015, a vu plus de 1 000 000 migrants pénétrer en Allemagne ? Le land de Bavière a des idées…

    La Bavière a haussé le ton ces dernières semaines. Face à l'incurie de l'Allemagne, incapable de gérer, selon elle, la crise migratoire, son ministre des Affaires intérieures, Joachim Herrmann, a déclaré que, si ce triste état de choses persistait, elle pourrait bien décider de reprendre à son compte le contrôle de ses frontières. En s'exprimant à la veille des fêtes de fin d'année, le ministre bavarois a sans doute tenu à marquer le coup. Et peut-être à rappeler à Berlin que son nom officiel est toujours « l’État libre de Bavière ».

    Quoi qu'il en soit, ses propos, donnés au Welt am Sonntag, l'édition dominicale de Die Welt, sont nets. Pour lui, les contrôles réalisés aux frontières par l'Allemagne sont inadéquats et représentent « un risque immense pour la sécurité » en Bavière. Cela tient notamment au fait que la police fédérale allemande n'est pas en mesure de remplir efficacement cette mission en raison d'un manque d'effectifs.

    La Bavière a proposé ses services aux forces de police allemandes, qui les a refusés .« Il s'agit d'une décision purement politique prise à Berlin », tempête Joachim Herrmann. « Le fait qu 'aucun contrôle approprié ne puisse être réalisé cinq semaines après les attentats de Paris, malgré le danger flagrant, est une preuve d'incompétence. »

    Le mot est lâché ! Et le ministre y ajoute un calcul rapide, et définitif. « Quelque 4 000 demandeurs d'asile traversent encore quotidiennement la frontière en Bavière. (...) Nous pourrons encore accueillir 350 000 réfugiés en 2016, mais pas une nouvelle fois plus d'un million »,déclare-t-il.

    Des frontières sur la route des Balkans

    Berlin aurait tort de voir dans ces propos un simple coup de sang. Plusieurs faits sont, en réalité, à prendre en considération. Tout d'abord, le fait que le ministre Joachim Herrmann est membre de la CSU, c'est-à-dire de l'Union chrétienne-sociale en Bavière, qui correspond à peu près à ce qu'est la CDU dans le reste de l'Allemagne, mais en en étant indépendant et, de ce fait sans doute, beaucoup plus conservateur.

    Autre point important, celui des frontières de la Bavière. Sise au sud-est de l'Allemagne, elle possède ainsi des frontières avec la Suisse, la République tchèque et l'Autriche, ce qui la place directement sous le flux migratoire arrivant de bien des pays par la route des Balkans. On ne saurait préjuger cependant que la Bavière, si elle mettait sa menace à exécution, et prenait effectivement la décision de contrôler elle-même

    ses frontières, ne déciderait pas de les contrôler toutes, c'est-à-dire d'interdire le passage à ceux des migrants arrivant d'autres länder allemands...

    Oh ! bien sûr, dans l’esprit de Joachim Herrmann, les critiques politiques ne sont pas limitées à Berlin. Elles se veulent la dénonciation d'une politique qui émane de Bruxelles, et qui, des institutions européennes, s'étend à tous les pays qui en dépendent.

    Mais la volonté bavaroise de protéger soi-même ses frontières va à l’encontre de ce qu'est l'Allemagne : une république fédérale, régie par la loi fondamentale adoptée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en 1949, par laquelle les länder ont remis certains pouvoirs, notamment en ce qui concerne la défense des frontières, à l'Allemagne ainsi constituée.

    Une volonté temporaire ?

    En dénonçant sinon l'union fédérale, du moins sa fragilité, et surtout en récupérant sur ce point frontalier sa souveraineté, la Bavière remet (ou remettrait) en cause l'existence même de l'Allemagne telle que nous la connaissons aujourd'hui.

    La question qui se pose dès lors serait de savoir si la volonté exprimée par Joachim Herrmann, et défendue, on peut le supposer, par un certain nombre de responsables politiques bavarois, n'aurait qu'une expression temporaire, auquel cas il s'agirait d'une simple suspension de la Loi fondamentale pour un temps donné.

    Ou si les Bavarois ne prendraient pas goût à la réalité, peut-être moins improbable en notre époque de mutations politiques qu'il n'y paraît, d'un réel « État libre de Bavière ».

    Olivier Figueras monde&vie 13 janvier 2016

  • Najat V. Belkacem VS Barakacity : mentalité arabo-maghrébine et radicalisme musulman

  • Calais : pour sauver l'honneur de la ville, un grand rassemblement est organisé samedi 6 février

    Ce rassemblement aura lieu simultanément avec plusieurs autres programmés à Bordeaux, Saint Brieuc, Montpellier et juste avant celui du dimanche 7 février à Rungis.


    Erreur

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/01/25/calais-pour-sauver-l-honneur-de-la-ville-un-grand-rassemblem-5750072.html

  • Stop ou encore ?

    On a connu  Najat Vallaud-Belkacem  très virulente contre les  «cathos» et autres défenseurs des valeurs traditionnelles, ne ménageant  pas ses paroles et ses actions pour défendre et/ou imposer ses vues aux adversaires du  mariage pour tous et de l’enseignement-propagande de  la théorie du genredans les écoles. Dimanche, cela lui est reproché ces dernières heures dans la presse, le ministre de l’Education était au contraire totalement amorphe sur le plateau de  l’émission de Canal +, «Le Supplément».  Elle n’a  réagi en effet que  très, très  mollement aux propos de son voisin, Idriss Sihamedi, qui préside l’association  mahométane baptisée Baraka City. Celui-ci a   affirmé qu’il ne «(serrait)  pas la main aux femmes» et surtout  s’est refusé  à condamner sans ambiguïtés les crimes de l’Etat islamique. Ce qui peut apparaître pour le moins curieux de la part d’un homme à la tête d’une structure qui se prétend à vocation «humanitaire». Devant le tollé,  un(e) membre du  cabinet du ministre a bâclé lundi  une petite bafouille signée Najat Vallaud-Belkacem,  reprenant les formules  d’usage sur les principes fondamentaux de notre République», «l’égalité homme-femme», «le terrorisme et l’obscurantisme»… Et ce sont ces socialistes là qui entendent donner au FN des leçons de professionnalisme… 

    Nicolas Sarkozy  s’est rallié aux vues de Najat Vallaud-Belkacem sur le mariage pour  touscomme il  le confesse dans son livre paru hier, «La France  pour la vie» -« un revirement »  qui pose « une question de crédibilité vis-à-vis des Français » a estimé le député LR  Nadine Morano. Il  est apparu  lui aussi frappé d’une étrange apathie, sans ressort,  lors de l’émission «Sept à huit»  diffusée dimanche soir  sur TF1. Un retour dans une émission populaire  qui n’a pas déclenché la curiosité des Français si l’on en juge  par les audiences, jugées  très « décevantes »,  de cette prestation.

    Un énième come back sur le thème  j’ai changé, je m’excuse, je me suis trompé, j’ai fait des fautes,  mode utilisé pareillement par  un Jean-François Copé, mais qui ne passe pas. Pourquoi ? Et bien parce qu’ils n’ont rien compris  à ce qu’attendent nos compatriotes,  à l’esprit même de la Res publica, de la chose publique, du rôle, de la perception qu’ont les Français  d’un dirigeant politique qui n’est pas là pour étaler ses erreurs et ses faiblesses comme un chanteur de variétés , mais pour indiquer un cap.   

    Les  confessions publiques, les  mea culpa grotesques et qui sonnent faux, rabaissent  le politique au  niveau du pipole,  une chute de niveau qui révèle une nouvelle fois l’américanisation  de nos mœurs. Un  écueil qu’Alain Juppé, reconnaissons lui au moins ce mérite, à su éviter dans ces dernières livraisons en librairie…

    Selon le dernier baromètre politique Odoxa, qui enregistre un nouvel écroulement  de la cote de confiance de  François Hollande (22% , -5 points)  et Manuel Valls (35%, -5 points), celle d’Alain Juppé  candidat des médias,  grimpe à  45% (+1) d’opinions positives. Il serait  loin devant Nicolas Sarkozy (21%)  et  auprès des seuls sympathisants de droite  M.  Juppé (69%, +5) pulvérise le président de LR ( 49%, -9 points).

    Nicolas Sarkozy se sent pourtant surtout menacé par l’opposition nationale, sentiment de peur du FN  et de Marine qu’il  étale dans son livre-confession  au style assez navrant.  Béatrice Houchard le relève dans l’Opinion,  « dés le prologue du livre, 38e ligne : première citation de «la présidente du Front National» (…) les citations continuent, comme un torrent : page 10, page 11, page 12, page 15… Le Front National comme un coup d’obsession permanente .»

    Ensuite «Il faut aller pages 66 et suivantes pour lire un long développement. Avec un souci évident : bien faire la distinction entre le FN et les électeurs du FN (…) Puis, s’en prenant frontalement àMarine Le Pen : Je n’ai rien de commun avec les dirigeants du Front National, dont nombre de discours font frémir à leur inconséquence, leur incompétence, leur décalage complet avec le monde d’aujourd’hui. Mme Marine Le Pen m’honore de ses injures et de ses propos approximatifs depuis des années. Elle n’est ni plus ni moins qu’une héritière qui a mis beaucoup de temps avant de s’apercevoir que son père était « infréquentable. Elle a attendu qu’il soit vieux et faible pour l’affronter et l’exclure. On voit comment ils sont capables de s’occuper d’eux-mêmes. Cela ne donne nulle envie qu’un jour ils s’occupent de la France. »

    « Mais » affirme Mme Houchard, «l’essentiel du message (sur l’opposition nationale) , figurait dès la page 10  : « Il faudra que l’alternance ait lieu. Et si ce n’est pas nous, ce sera, hélas, la présidente du Front National. »

    Il est toujours assez sidérant note Bruno Gollnisch, au regard du bilan proprement catastrophique qui est celui de la droite et  de la  gauche euromondialistes depuis des décennies, de voir un  des responsables  du marasme actuel promettre l’enfer aux Français s’ils avaient  l’idée de s’émanciper  et de voter enfin pour leurs idées. Comme ils l’ont  fait en mars 2014  dans les villes conquises par le FN.  Les électeurs ne n’en plaignent pas, bien  au contraire, alors  même qu’un maire ne dispose  pas de toutes les manettes pour agir sur  le quotidien  de ses administrés.

    Sur le site du quotidien Les Echos, Vassili Joannidès de Lautour,  relaye les inquiétudes dumicrocosme à l’approche de l’élection présidentielle : «Depuis que la gauche a inauguré en 2007 et pérennisé en 2012 le principe d’une primaire, Les Républicains s’y sont également convertis. Alors que la vertu affichée de la primaire est un renforcement de la légitimité militante, voire populaire, des candidats à l’élection présidentielle, elle risque fort de les affaiblir au profit du Front National. »

    «En 2017, quel que soit le favori du premier tour, une candidature de Nicolas Sarkozy et de François Hollande se traduirait nécessairement par l’accession de Marine Le Pen au second tour (…). Quelle que soit l’identité des candidats présents au premier tour de la présidentielle, ceux de droite et de gauche incarneront la politique tant décriée par les Français et dénoncée par le Front National depuis près de 40 ans. Ils représenteront également les échecs de la gauche et de la droite à relever les grands défis auxquels est confronté notre pays ». Certes, mais toute la question  dans la perspective de ce second tour est  de savoirquelle sera la réaction des 44 millions d’électeurs potentiels :  stop ou encore ?  

    http://gollnisch.com/2016/01/26/stop-ou-encore-6/

  • Le PS allemand paye des marginaux violents pour empêcher les manifestations d’opposants à l’immigration de masse

    Source journalistenwatch ;TAZ

    https://www.taz.de/!5020381/#sthash.cRIQV2NC.dpuf

    Des documents du dernier congrès des « Jusos », les jeunesses socialistes du SPD, le parti socialiste allemand, font état de dépenses au profit de diverses associations Antifa.
    On peut voir en particulier sur la ligne 6 des dépenses horaires de 45 € par heure pour participer aux manifestations ainsi que des locations de 48 bus pour acheminer ces miliciens.
    On pourra constater ainsi que les Antifas qui se présentent comme des anarchistes ont monté une multitude de sociétés comme Antifa Reisen en charge des déplacements, Antifa Gmbh pour tout ce qui est publication et Antifa Catering pour tout ce qui est nourriture. Le document du congrès indique d’ailleurs que des sandwichs étaient prévus dans les dépenses.

    antifas-allemands.png


    Ces opérations correspondent en particulier aux violentes contre-manifestations qui avaient eu lieu contre PEGIDA à Dresde et Legida à Liepzig le 9 février 2015. Le gouvernement en avait fait porter la faute sur les « extrémistes » anti-immigration et aucune arrestation d’Antifa n’avait eu lieu.
    Il y avait déjà eu des rumeurs sur ces attaques si bien organisées et l’on pouvait voir un début d’organigramme sur le net où des associations de Demokratie-Vereine « pro-démocratie » financées directement par les autorités publiques redistribuaient ces fonds à diverses sociétés commerciales montées par les Antifas.
    Les « cartels » politiques SPD/CDU/Verts achetaient eux aussi des prestations auprès de ces entreprises estampillées Antifa.
    Ces accusations avaient été qualifiées de pure propagande et l’arrivée massive d’immigrées avait commencé à ce moment-là.

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  • Après le chômage, la délinquance et la démographie, voici les mauvais chiffres de l’immigration

    À la surprise de tous les observateurs, la France expulse de moins en moins de clandestins !
    Janvier est le mois des bilans de l’année écoulée et, après les mauvais chiffres du chômage, de la délinquance et de la démographie, ceux de l’immigration viennent de tomber. Mauvais, eux aussi. Certes, il n’y a rien d’étonnant, vu la crise migratoire que l’Union européenne, Mme Merkel et M. Hollande ont, par leur imprévoyance et leur inconséquence, amplifiée, créant les situations de chaos multiformes dont les symboles, désormais historiques, ont pour nom Calais et Cologne.
    On aurait pu espérer que notre gouvernement, contraint d’ouvrir les yeux sur l’ampleur du désastre et d’abandonner la politique des « frontières ouvertes », ait enfin pris le taureau par les cornes. Le grand aggiornamento idéologique des socialistes au pouvoir, qui piochent désormais sans retenue dans le langage et les préconisations de la droite ou du Front national, pouvait le laisser croire. Et M. Cazeneuve, nous dit la presse, comptait hier, lors d’une réunion à Amsterdam avec ses homologues, « taper du poing sur la table » pour exiger que l’Union en finisse avec l’Europe passoire de Schengen.

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