Selon Charlie Hebdo :
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Des personnes âgées miséreuses privées de nourriture à cause des migrants
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Plus que jamais, faire front
En plein concert de fulminations hypocrites suite aux révélations de wikileaks sur les écoutes de dirigeants français opérées par la NSA–voir notre article publié mercredi- Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard sont au nombre des 106 députés (LR-Verts-UDI-MoDem) qui ont décidé de saisir le conseil constitutionnel sur la loi sur le renseignement. Celle-ci a été adoptée définitivement avant-hier soir par le Parlement. Comme l’a affirmé Laure de La Raudière (LR) qui s’est chargée de rassembler les signatures « on ne peut pas d’un côté s’indigner de ce que font les Etats-Unis et voter ce qui est un peu l’équivalent du Patriot Act américain dans la loi française »; « un texte attentatoire à nos libertés » a précisé Me Collard. Cette mise en lumière des pratiques de l’Oncle Sam à l’égard de son ami et allié français a déclenché quelques mâles réactions comme celle de l’avocat (socialiste) du site Mediapart et très proche de François Hollande, Jean-Pierre Mignard. Invité hier matin de Thomas Sotto sur Europe 1, Me Mignard a repris à son compte le vœu formulé voici plus de deux ans par Bruno Gollnisch dans l’hémicycle du parlement européen, par Marine et même d’ailleurs par Jean-Luc Mélenchon, d’accorder l’asile politique au fondateur de Wikileaks Julian Assange (réfugié à l’ambassade d’Equateur à Londres), et à celui qui a révélé lesdistes écoutes massives, Edward Snowden (réfugié en Russie).
« La loi française autorise la République à donner asile à tout étranger persécuté en raison de son action en faveur de la liberté » a rappelé Jean-Pierre Mignard pour appuyer son souhait. Avec une naïveté ( ?) toute aussi touchante quand on connaît la réalité de la soumission de nos « élites » européistes à l’imperium yankee, il a même été plus loin : « Pourquoi est-ce que l’Europe ne demanderait pas l’insertion dans (le traité (le traité transatlantique, TAFTA, NDLR) d’une clause disant notamment que l’espionnage n’est pas autorisé ? C’est à l’Europe de taper du poing sur la table et peut-être à la France de prendre la direction du mouvement. » Pour cela il faudrait à la tête de notre pays une figure d’une épaisseur, d’un courage et d’un patriotisme dont ne peuvent se prévaloir, au vu de leur bilan, un Hollande, un Juppé, un Valls ou un Sarkozy.
Et puisque l’on parle de liberté et de souveraineté, soulignons que le procureur de la République, Anne Coquet, a requis mercredi 5000 euros d’amende contre Eric Zemmour -et 3000 euros avec sursis contre le directeur de la rédaction de RTL. Il comparaissait devant tribunal correctionnel de Paris, jugé pour incitation à la haine raciale. L’essayiste était poursuivi, suite à l’action intentée par les habituelles officines dites antiracistes après sa chronique du 6 mai 2014 sur RTL. Il y expliquait que « les grandes invasions d’après la chute de Rome sont désormais remplacées par des bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d’Africains qui dévalisent, violentent ou dépouillent ».
Mme Coquet, rappelant que M. Zemmour avait été condamné il y a quatre ans pour les mêmes chefs, a dénoncé les propos «sans nuances» qui seraient ceux du chroniqueur de RTL, «stigmatisant ces populations immigrées ou issues de l’immigration». L’auteur du suicide français a fait valoir qu’il appuyait ses observations sur «les documents que lui transmettent les services de police et de gendarmerie», ses «lectures», les témoignages «d’agriculteurs dépouillés par des bandes de roms» ou de «touristes chinois dévalisés à Paris.» «Je ne dis pas que tous les Roms ou tous les Maghrébins qui habitent en France sont des délinquants. Mais ils se regroupent selon les critères ethniques». Il a eu beau jeu d’en appeler à la liberté d’expression, et de fustiger un «procès profondément politique» dont l’intention première était de le «faire taire».
D’immigration il était encore question cette nuit avec la réunion, dans une ambiance tendue, des Etats membres de l’Union européenne qui, relate une dépêche de l’agence Reuters, ont «décidé d’organiser la répartition de l’accueil des réfugiés arrivés en Grèce et en Italie sur la base du volontariat, la Commission n’ayant pas réussi à imposer une logique de quotas obligatoires (…)». «Le chef du gouvernement italien (Mattéo Renzi) a tancé ses collègues sur leur peu d’entrain à soutenir un plan censé répondre à l’urgence de la tragédie des migrants en Méditerranée (…)». C’était un débat très intense, a déclaré Angela Merkel à la presse, qualifiant la crise des migrants de plus grand défi que j’ai connu dans les affaires européennes en tant que chancelière (…). La question d’instaurer des clés de répartition obligatoire pour faire face à l’afflux des demandeurs d’asile, fuyant la guerre en Syrie ou la dictature en Erythrée, a déclenché une forte opposition, notamment de la part de la Slovaquie, la Hongrie, la République tchèque ou encore la Pologne.»
«Afin d’aider (l’Italie et la Grèce) à faire face à cette crise, les dirigeants de l’UE ont décidé de leur accorder des moyens financiers pour mettre en œuvre des centres pour distinguer les réfugiés politiques des réfugiés économiques et rapatrier ces derniers vers leur pays d’origine» précise encore Reuters. Une Grèce qui, au-delà de la question de l’afflux de clandestins à laquelle elle doit faire face, est aujourd’hui l’otage de la troïka BCE-Commission européennee-FMI. Un trio qui doit «cesser d’entretenir un psychodrame» et «d’imposer l‘eurostérité» affirme Bernard Monot, député européen du FN et membre de la commission ECON (Affaires économiques et monétaires) au parlement européen, dont les propos sont rapportés sur le site du Figaro.
Le stratégiste économique du FN souligne que «la sortie de la Grèce de l’euro avec passage à la drachme, est souhaitable et permettra d’éviter l’augmentation de la facture du sauvetage de l’euro monnaie unique. Un sauvetage dont le frontiste évalue le coût pour la France à 70 milliards d’euros. À ceci, il ajoute 455 milliards d’euros de garanties financières de l’État accordées aux différents plans de soutien de la zone euro et aux pays (Grèce, Portugal, Espagne, Italie, Irlande…). L’enveloppe globale atteindrait alors 525 milliards d’euros. Quand on nous dit que garder l’euro ne coûte rien, c’est totalement faux et la catastrophe financière est déjà là. La prochaine étape sera la banqueroute! (…). «Si le problème grec inquiète tant au sein de la zone euro, c’est précisément parce que tout le monde redoute que la Grèce soit le premier domino de cette fin programmée de l’euro. Mais la Grèce survivra à l’euro, pas l’inverse!»,
Si le FN, comme d’autres partis en Europe, catalogués comme populistes, de droite comme de gauche, campe sur une position clivante par son rejet de la doxa eurobruxelloise, c’est bien cependant la défense de notre identité nationale, dans toute l’acception du terme , qui fonde sa spécificité première, sa raison d’être, son ADN.
D’une lecture toujours stimulante, Jean-Yves Le Gallou a publié cette semaine sur son site Polemia la conférence prononcée le 11 juin dernier au Club de l’Horloge –Le Front National au risque de l’histoire, entre dédiabolisation et neutralisation. Bien sûr, libre à chacun d’en contester éventuellement tel ou tel énoncé, d’en nuancer les analyses.
Pour autant, comment ne pas souscrire à ce qu’affirme M. Le Gallou lorsqu’il note que «de toute manière, il faut être conscient qu’au-delà des sujets historiques ou périphériques dont il faut éviter l’évocation, le cœur sur lequel repose la diabolisation est l’immigration. Si des formations politiques comme Syriza ou Podemos ne font pas l’objet du même rejet que d’autres partis en opposition avec le Système dominant, c’est qu’ils sont favorables à l’immigration (…). Le Front National ne sera donc pas réellement dédiabolisé tant qu’il ne renoncera pas à sa critique de l’immigration (…)».
A charge pour le FN, dans sa marche vers le pouvoir dit-il, de ne pas se couper du « mouvement qui émerge des profondeurs de la société et qui est en complète dissonance avec la pensée dominante». Une Réaction populaire mais que l’on voit aussi à l’oeuvre chez un nombre croissant d‘intellectuels, qui exprime «une volonté de rupture avec l’esprit né de Mai 1968 et un réveil identitaire» et «le rejet du Grand Remplacement» ou, pour utiliser un terme moins polémique (?), d’une immigration de peuplement engendrée dans les flancs du mondialisme...
http://gollnisch.com/2015/06/26/plus-que-jamais-faire-front/
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Clandestins : L’UE abandonne les quotas obligatoires
Au terme de négociations marathon, les Etats membres ont abandonné les quotas obligatoires pour les remplacer par des quotas volontaires.
Demi-victoire des anti-immigrationnistes : c’est sur la base du volontariat et non de quotas obligatoires que se fera la répartition des clandestins au sein des États membres de l’Union européenne.
Le sommet de Bruxelles consacré à l’accueil de 40.000 demandeurs d’asile actuellement en Grèce et en Italie et de 20.000 autres clandestins réfugiées hors des frontières de l’UE s’est clos ce matin après sept heures de négociation très tendues. La Hongrie, qui avait qualifié le plan d’absurde, la Bulgarie, l’un des États membres les plus pauvres, sont d’ores et déjà exemptés de ce dispositif. Pour les autres, les clefs de répartition volontaire en fonction de l’économie ou de la population de chaque État seront finalisées d’ici juillet.Un dispositif volontaire ne peut pas être une excuse pour ne rien faire a averti le président du Conseil européen Donald Tusk.
Le camp des immigrationnistes affiche sa déception, à l’instar du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, qui a regretté un plan à « l’ambition modeste » ou du chef du gouvernement italien Matteo Renzi qui a tancé ses collègues : Ou vous êtes solidaires, ou vous ne nous faites pas perdre notre temps
Bien sûr, il n’a guère été question de traiter le problème à la source, hormis par le lancement d’une opération navale destinée à combattre les réseaux de passeurs en mer Méditerranée, qui se limitera pour le moment à une mission d’observation. On prédit déjà qu’elle servira d’appel d’air aux candidats à l’immigration clandestine, le surcroît de forces navales au large de la Libye forcée de secourir les naufragés ne pouvant qu’inciter les passeurs à leur jeter dans les bras plus d’embarcations.
Pour autant, nous ne boudons pas notre satisfaction de voir qu’à l’occasion de cette crise, les sacro-saints principes de Schengen ont pris du plomb dans l’aile. La Slovaquie, la Hongrie, la République tchèque ou encore la Pologne ont été particulièrement virulentes dans leur opposition aux propositions immigrationnistes de la Commission. « C’était un débat très intense », a déclaré Angela Merkel à la presse, qualifiant la crise des migrants de : Plus grand défi que j’ai connu dans les affaires européennes en tant que chancelièreEn effet, jamais l’Europe « portes et fenêtres ouvertes » n’a été aussi contestée. L’Autriche a menacé cette semaine d’imposer des contrôles aux frontières de la Hongrie, qui avait cessé d’accueillir des demandeurs d’asile en provenance d’autres États membres, ce qui constitue une infraction aux règles communautaires, avant de faire machine arrière. Hongrie qui a par ailleurs décidé d’ériger une clôture le long de sa frontière avec la Serbie et qui a enregistré depuis le début de l’année un tiers des demandes d’asile, soit plus que l’Italie a souligné Donald Tusk.
Même la France, dont le gouvernement affiche son adhésion aux thèses « d’ouverture », tente de réguler l’arrivée de clandestins à sa frontière avec l’Italie : le refoulement de quelques « migrants » côté italien a été source d’échanges musclés avec Rome.
Afin d’aider cette dernière et Athènes à faire face à la crise, les dirigeants de l’UE ont décidé de leur accorder des moyens financiers pour mettre en œuvre des centres pour distinguer les réfugiés politiques des réfugiés économiques et rapatrier ces derniers vers leur pays d’origine.
Il ne reste plus qu’à espérer qu’il ne s’agisse pas d’un nième vœu pieux.http://fr.novopress.info/189803/clandestins-lue-abandonne-les-quotas-obligatoires/#more-189803
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Immigration : après la Hongrie, la Bavière et la Suède
La Bavière annonce qu’elle va réintroduire des contrôles à sa frontière avec l’Autriche, ce qui est contraire aux accords de Schengen. Seuls sont acceptés des contrôles ponctuels pour une raison précise. Mais, justement, la Bavière avait pu établir un contrôle de ce type pour protéger le G7 qui se réunissait chez elle le 7 juin. Et à cette occasion la police a constaté près de 6000 infractions aux droits de séjour, et des dizaines de criminels, parmi lesquels des trafiquants de drogues et de personnes humaines, ont été arrêtés.
Trois ministres du gouvernement suédois (Justice, ministre des enfants, des vieux et de l’égalité de genre (sic) et le ministre de la culture et de la démocratie) ont présenté des mesures qui permettront de faciliter l’expulsion de migrants originaires d’autres pays de l’UE.
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Au Lavandou, la messe est interdite pour ne pas attiser les tensions confessionnelles
Dans la lignée des accommodements raisonnables et autres capitulations devant l’islam dit de France, le maire UMP du Lavandou, Gil Bernardi, vient d’interdire dans sa ville la célébration de la messe estivale « en plein air » qui s’y tenait depuis plus de 20 ans. Les raisons louables invoquées étant,« dans un contexte de tensions confessionnelles » et à la suite des événements du 7 janvier 2015, « de ne pas attiser les critiques des adeptes de la laïcité, comme à ne pas exposer les paroissiens au geste d’un déséquilibré ou d’un fanatique ».
Et si j’étais moi-même ce déséquilibré ? Alors, oui, je l’avoue, je fais mon coming out : je suis un déséquilibré car j’ai peur de l’islam.
Heureusement, je suis aussi Charlie et je marche main dans la main pour la « liberté d’expression » et celle, encore permise, de penser. Ai-je donc le droit, en République Charlie, de lire le Coran, les hadiths, d’étudier l’histoire de l’idéologie islamique depuis son avènement et d’apprécier, ainsi, sa véritable nature ? Ai-je le droit de critiquer l’islam, de le désapprouver, de contredire ses préceptes, de mettre en évidence ses mensonges, de condamner la violence immanente qui suppure de ses dogmes, les affabulations de son prophète et la vérité sur celui-ci, ses meurtres, ses massacres, ses pillages, ses persécutions des femmes et des mécréants ?
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Bressuire : des riverains s'opposent à l'implantation d'une mosquée
A Bressuire, dans les Deux-Sèvres, des riverains tentent de s'opposer à la vente d'un local inutilisé par la mairie et qu'une association musulmane veut acheter pour y implanter une mosquée.
Le prix de ce local est en cours d'évaluation par les domaines...
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Raffarin propose d’accueillir des clandestins dans les villages français…
A l’heure où Nicolas Sarkozy vient de conclure un accord électoral et donc politique avec l’UDI pour les régionales, il n’est pas inutile de s’intéresser aux récentes déclarations de Jean-Pierre Raffarin (LR, ex-UMP) et Yves Jego (UDI)… A entendre les propositions de ce dernier concernant les immigrés clandestins appellés désormais pudiquement « migrants », il n’y a pas grande différence d’approche :
« Je propose qu’on nomme très rapidement un secrétaire d’Etat aux migrants. Que ce secrétaire d’Etat aurait deux tâches. Une première d’organiser les choses dans notre pays.Je ne serais pas choqué qu’on dise que chaque commune doit accueillir 0,10 ou 0,20% de sa population à travers des gens qui sont demandeurs d’asile »
Pour mémoire, la proposition de Jean-Pierre Raffarin (LR, ex-UMP) :
« Nous avons dans notre monde rural un déficit démographique important. Très souvent, on ferme des écoles. On pourrait très bien en sauver un grand nombre en faisant en sorte qu’une, deux ou trois familles puissent venir dans un certain nombre de villages. On ferait en sorte que l’étranger, au lieu de venir déranger, vienne sauver un territoire, participe à une dynamique. Si c’est à doses humainement acceptables par les uns et par les autres, l’intégration est globalement réussie ».
Source: Le Salon Beige
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Sarkozy et les migrants : et si le problème, c’était lui ?
L'homme qui parle, de son petit déhanchement du cou caractéristique, est en vérité l'artisan plombier qui installa la tuyauterie défectueuse avec son équipe, du côté de la Libye, il y a quelques années.
Une responsable politique, évoquant dernièrement (18 juin) les « migrants » et les solutions préconisées par l’Europe pour résoudre ce problème, parlait en ces termes : […] « C’est un peu, si vous voulez, comme une maison dans laquelle vous habiteriez, il y a une canalisation qui explose, elle se déverse dans la cuisine. Le réparateur arrive et vous dit j’ai une solution : on va garder la moitié pour la cuisine, on va en mettre un quart dans le salon, l’autre quart dans la chambre des enfants, et si ça suffit pas on a en réserve la chambre des parents » […]
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La république islamique de France est déjà née
De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :
"[...] L’islam n’est pas uniquement une communauté religieuse, contrairement à ce que prétendent les perroquets demi-savants de la caste politico-médiatique, mais bel et bien une communauté politique qui, par définition, n’est pas nationale. Il n’y aurait qu’une seule méthode pour créer un « islam de France », ce serait de transformer la France en régime islamique. Il y aurait alors des imams et des oulémas officiels qui diraient ce qui est légal et ce qui ne l’est pas et pourraient faire appliquer leurs fatwas avec la force de la loi. Ça n’empêcherait pas les musulmans turcs, saoudiens ou algériens présents sur notre sol d’être en désaccord avec telle fatwa (et, éventuellement, de fomenter des attentats pour le faire savoir), mais on s’approcherait de ce dont parle M. Valls. J’ose espérer que ce dernier ne souhaite pas ce type d’islam de France. Mais, en attendant de savoir ce qu’il a en tête, nous pouvons constater qu’il n’a pas renoncé à quémander les voix musulmanes en se lançant dans un grand concours pré-électoral de lèche-babouches.
Lors de cette réunion d’installation de la fameuse instance de dialogue, il a prononcé un certain nombre de dogmes, avec l’autorité magistérielle que chacun lui connaît : « La France et l’islam sont pleinement compatibles » ; « le dijihadisme et l’extrémisme ne sont pas l’islam »… Tout ceci serait simplement grotesque si l’individu n’était pas chargé de la politique de la nation. Mais, dans la bouche du Premier ministre, c’est franchement inquiétant. Car, dans cette bouche, le discours du 15 juin n’était rien d’autre que l’installation d’une religion officielle. Oh, certes, pas encore une religion unique, ne tolérant aucune « concurrence » dans le domaine spirituel ou législatif. Mais bel et bien une religion officielle – ce que M. Sarkozy avait d’ailleurs déjà installé avec le CFCM. M. Valls travaille, en effet, à organiser le financement de mosquées sur fonds publics et même à co-organiser avec les musulmans l’abattage rituel – prérogative étatique, comme chacun sait. En d’autres termes, sous l’autorité du Premier ministre, l’État va travailler à détourner ses propres lois (la loi de 1905 sera détournée pour financer les mosquées ; les règles sanitaires seront détournées pour l’abattage rituel). Qu’on ne s’y trompe pas : j’ai l’air de plaisanter et il est vrai que les contorsions pseudo-théologiques de ces clowns qui nous gouvernent me font souvent sourire. Mais la réalité est très grave. La réalité, c’est que la république islamique de France a, d’ores et déjà, commencé. Les pouvoirs publics sont, d’ores et déjà, au service de cette fameuse « deuxième religion de France », universellement reconnue comme « religion d’amour, de tolérance et de paix ». [...]"
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Ni Lampedusa, ni Bruxelles, être européen !
Institut Iliade : un premier anniversaire.
Fort de ses premiers succès, l’Institut Iliade a décidé de célébrer son premier anniversaire par l’action, en produisant et en diffusant une vidéo originale : « Ni Lampedusa, ni Bruxelles : être européen ». Court, didactique, facile de compréhension et d’accès via notre chaîne YouTube, ce film propose une définition de l’identité européenne et illustre la réalité historique, culturelle, charnelle, de notre « récit civilisationnel ».
L’Europe est trahie par la novlangue. Le mot est souvent utilisé bien à tort pour qualifier l’Union européenne, c’est-à-dire l’organisation mondialiste et immigrationniste de Bruxelles. Dans cette vidéo dont nos lecteurs trouveront le texte ci-après, l’institut ILIADE rappelle que l’Europe c’est d’abord le continent des Européens et une identité : la civilisation européenne et chrétienne.
Polémia.
L’Europe, ce n’est pas Lampedusa, c’est notre civilisation.
L’Europe ce n’est pas l’organisation de Bruxelles, pas davantage une monnaie ou une banque centrale.
L’Europe, ce n’est pas un espace mondialisé et sans frontières.
L’Europe, ce n’est pas le monde africain, ce n’est pas non plus une terre d’Islam.
L’Europe ce n’est ni la laideur ni le non-art.
L’Europe, c’est le continent des Européens.
L’Europe, ce sont des millénaires d’histoire, 700 millions d’Européens.
L’Europe c’est une identité : la civilisation européenne et chrétienne.
L’Europe, ce sont les temples grecs, les aqueducs et les théâtres romains, les chapelles romanes, les cathédrales gothiques, les palais Renaissance, les grandes places, les béguinages, les églises baroques, les châteaux classiques, les édifices Art nouveau.
L’Europe ce sont des rivages sauvages, des montagnes majestueuses, des fleuves paisibles. L’Europe, c’est le sentiment de la nature. L’Europe, ce sont des paysages jardinés par l’homme : des bocages aux polders, des prairies aux cultures en terrasses. L’Europe c’est le terroir du pommier et de l’olivier, de la vigne et du houblon.
L’Europe, ce n’est pas l’univers de la bouffe industrielle, c’est la gastronomie de l’huile et du beurre, du vin et de la bière, du pain et du fromage, du saucisson et du jambon.
L’Europe, ce n’est pas le monde de l’abstraction, c’est l’art de la représentation, de Praxitèle à Rodin, des fresques de Pompéi à la Sécession de Vienne. L’Europe, c’est l’imaginaire celte et le mystère chrétien. L’Europe, c’est la civilisation qui change la pierre en dentelle.
L’Europe, c’est le refus de l’ahurissement, c’est la culture qui a inventé le chant polyphonique et l’orchestre symphonique.
L’Europe, ce n’est pas le monde de Belphégor, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère ou guerrière. L’Europe, c’est la culture de la chevalerie et de l’amour courtois.
L’Europe, ce n’est pas le monde de la surveillance, c’est la patrie de la liberté : la citoyenneté grecque, le forum romain, la Grande Charte anglaise de 1215, les villes et les universités libres du Moyen Age, le réveil des peuples au XIXe siècle.
L’Europe, c’est un patrimoine littéraire et mythologique : Homère, Virgile, Hésiode, les Eddas, le chant des Nibelungen et le cycle arthurien. C’est aussi Shakespeare, Perrault et Grimm.
L’Europe, c’est l’esprit d’invention et de conquête : c’est Léonard de Vinci et Gutenberg ; ce sont les caravelles, les montgolfières, les débuts de l’aviation et Ariane, ce sont les ponts jetés sur les mers.
L’Europe, ce sont les héros qui l’ont défendue au cours des siècles : c’est Léonidas et ses 300 Spartiates sauvant la Grèce de l’Asie ; c’est Scipion l’Africain préservant Rome de Carthage, c’est Charles Martel repoussant l’invasion arabe, c’est Godefroy de Bouillon délivrant les lieux saints et fondant le royaume franc de Jérusalem, c’est Ferdinand d’Aragon et Isabelle la Catholique libérant Grenade, c’est Ivan le Terrible éloignant les Mongols de la sainte Russie, c’est don Juan d’Autriche victorieux des Turcs à Lépante.
L’Europe, ce sont des hauts lieux : c’est le Parthénon, la Place Saint-Marc, Saint-Pierre de Rome, la Tour de Belém, Saint-Jacques de Compostelle, le Mont Saint-Michel, la Tour de Londres, la Porte de Brandebourg, les tours du Kremlin.
Tel est notre récit civilisationnel !
Aujourd’hui, l’Europe est l’homme malade du monde. Elle est culpabilisée, colonisée, affaiblie. Ce n’est ni fatal, ni durable. Arrêtons la repentance ! Retrouvons le fil de la longue mémoire. Ecoutons le message d’espoir de Dominique Venner :
« Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. Le réveil viendra. Quand ? Je l’ignore mais de ce réveil je ne doute pas. »
ILIADE
Institut pour la longue mémoire européenne, Juin 2015http://www.polemia.com/ni-lampedusa-ni-bruxelles-etre-europeen/