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immigration - Page 1271

  • Le dhimmi du jour est… Gérald Darmanin, maire de Tourcoing

    Gérald Darmanin est le député maire des Républicains de Tourcoing. C’est aussi un des proches conseillers de Nicolas Sarkozy. Le même Nicolas Sarkozy qui a engagé des réunions avec les représentants musulmans de France pour construire le fameux « Islam de France ».
    L’hebdomadaire Valeurs Actuelles nous apprend que la ville de M. Darmanin financera d’un montant de 200 000 € le déménagement de l’antenne de l’Institut du monde arabe dans sa ville.
    La ville de Tourcoing est d’ores et déjà en bonne partie islamisée sur le plan démographique. Le maire de la ville semble vouloir donner un coup de pouce supplémentaire à l’islam, pour que Tourcoing soit également islamisée sur le plan culturel.

    http://fr.novopress.info/

  • Libye : l'État islamique dissimule-t-il des combattants parmi les clandestins ?

    L'annonce du conseiller gouvernemental libyen est fracassante. Dans une interview à la BBC, Abdul Basit Haroun affirme que le groupe État islamique (EI) envoie en Europe des djihadistes qu'elle fait passer pour des migrants illégaux.Des propos qui font écho à l'avertissement de Frontex, l'agence européenne pour la sécurité et les frontières extérieures de l'Union européenne, qui estimait en mars "possible" que des djihadistes s'infiltrent sur le vieux continent par le biais d'embarcations clandestines.
    Présente officiellement en Libye depuis le 31 octobre 2014, la branche libyenne de l'EI s'est fait connaître du monde entier en décapitant sur une plage 21 Égyptiens. Sur les images de l'exécution, l'un des djihadistes masqués, couteau à la main, s'en prend alors à l'Europe. "Aujourd'hui, nous sommes au sud de Rome, sur la terre musulmane de la Libye". Une menace à peine voilée qui a résonné jusqu'à la capitale italienne, où le chef de la diplomatie, Paolo Gentiloni, a jugé"considérable" le risque de "terroristes infiltrant les flux migratoires".
    "Pure propagande"
    "Il s'agit de pure propagande !" estime pour sa part le journaliste Wassim Nasr, expert des questions djihadistes à France 24. "L'EI n'a aucun intérêt à investir dans l'envoi de combattants clandestins depuis la Libye. Il lui est beaucoup plus intéressant de faire appel à des sympathisants déjà en Europe ou d'y envoyer des djihadistes titulaires de passeports européens." "L'EI n'a jamais communiqué ni donné d'ordre sur l'envoi de djihadistes en Europe", renchérit Romain Caillet, chercheur et consultant sur les questions islamistes, qui rappelle que la position officielle de l'organisation est d'appeler au contraire les musulmans d'Europe à quitter le continent pour rejoindre son califat. "Néanmoins, ajoute-t-il, il paraît évident que l'organisation État islamique profite de l'appel d'air sur la question des migrants pour implanter des cellules dormantes à l'intérieur du territoire européen, afin de punir l'Occident des raids qu'il mène sur son territoire en Irak et en Syrie".
    Chaos post-Kadhafi
    Pour l'heure, la branche libyenne de l'EI s'emploie à étendre ses conquêtes sur le modèle de son "califat" autoproclamé à cheval sur la Syrie et l'Irak. En Libye, l'organisation contrôle également de véritables territoires, à travers trois régions, notamment les villes de Syrte, située à 500 kilomètres à l'est de Tripoli, et de Derna, à 1 300 kilomètres à l'est de la capitale. De l'avis des experts, le nombre important de départs de migrants autour de ces régions laisse à penser que les djihadistes prélèvent leur dîme sur chaque embarcation.
    Délaissée par la communauté internationale au lendemain de la chute de Muammar Kadhafi en 2011, la Libye est de nouveau l'objet de toutes les préoccupations depuis l'apparition de l'organisation État islamique à quelque 300 kilomètres de l'Europe, mais aussi la multiplication de drames de migrants en mer. Fuyant un pays en proie au chaos, au moins 34 500 clandestins ont réussi à gagner l'Italie depuis le début de l'année 2015, mais quelque 1 770 ont trouvé la mort, selon les chiffres de l'Organisation internationale pour les migrations.
    Faveurs de l'Occident
    Conscient du brusque regain d'intérêt occidental pour leur pays, les dirigeants libyens enchaînent depuis les déclarations alarmistes, tant sur la menace de l'EI que sur le risque de nouvelles catastrophes en mer Méditerranée, n'hésitant pas à lier les deux fléaux. "La question migratoire a toujours été instrumentalisée par le pouvoir libyen dans ses relations avec l'Europe, y compris sous Kadhafi", rappelle Saïd Haddad*, chercheur associé à l'Iremam/CNRS. "Quant au recours à la lutte contre le terrorisme, il vise ici à s'attirer les faveurs de la communauté internationale, mais aussi à gagner du poids à l'intérieur du pays dans la lutte que se livrent les deux gouvernements rivaux", ajoute ce spécialiste de la Libye. En effet, le "lanceur d'alerte" Abdul Basit Haroun conseille uniquement le gouvernement de Tobrouk. Seul exécutif reconnu par la communauté internationale, celui-ci est dominé par des forces libérales et a été désigné par la Chambre des représentants, assemblée issue des élections du 25 juin 2014. Il repose sur les forces du général Haftar, qui s'appuie sur d'anciens éléments de l'armée de Muammar Kadhafi, ainsi que sur les brigades prolibérales de Zintan (sud-ouest de Tripoli).
    Milices islamistes
    Face à lui se dressent les milices islamistes qui forment la coalition Fajr Libya (Aube de la Libye). Surfant au contraire sur la légitimité révolutionnaire, elles sont alliés aux puissantes milices de Misrata (est de Tripoli), et se sont emparées en août 2014 de la capitale où elles ont installé leur propre gouvernement et réhabilité l'ancien Parlement. Le "gouvernement de Tripoli" contrôle désormais les plus grandes villes du pays (Tripoli, Benghazi, Misrata). Pour reprendre le dessus, le gouvernement de Tobrouk, le seul reconnu par la communauté internationale, réclame la levée de l'embargo de l'ONU sur la livraison d'armes à la Libye afin de lutter contre les "terroristes", terme dans lequel il englobe les miliciens de Fajr Libya, pourtant eux aussi opposés à l'organisation État islamique en Libye. Rien d'étonnant, dès lors, à ce que le gouvernement de Tripoli insiste désormais à son tour sur la nécessité d'être aidé par l'Union européenne dans sa lutte contre l'immigration clandestine.

  • CONTRE L’IMMIGRATION : SUCCÈS DE LA CONTRE-MANIFESTATION DE SAUVONS CALAIS

    Ce samedi était placé par l’extrême gauche sous le signe de l’aide à l’invasion de l’Europe, pour une prétendue « journée mondiale des réfugiés ». Plusieurs manifestations étaient organisées à travers le monde mêlant colons et extrémistes, unis dans un même désir de satisfaire aux ordres du mondialisme destructeur des nations et des identités.

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    À Calais, le collectif citoyen Sauvons Calais a appelé les Calaisiens à contre-manifester, alors que plusieurs groupes d’extrême gauche et antifrançais organisaient une marche. Or, une manifestation de Sauvons Calais a été scandaleusement interdite il y a quelques jours sans raison par le gouvernement d’occupation.

    Malgré la présence d’environ 5 000 colons africains dans le secteur, l’extrême gauche n’a réussi à mobiliser qu’environ 500 d’entre eux, formant la quasi-totalité du cortège. Les Blancs y étaient très minoritaires, et les Calaisiens quasi inexistants.

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    La contre-manifestation, organisée en hâte, a, elle, été un succès : une centaine de patriotes se sont rassemblés devant la mairie de la ville.

    « Pour une action prévue seulement quelques jours avant la date butoir et sans réelle organisation digne d’une manifestation, nous pouvons être satisfaits de la mobilisation »,

    s’est réjoui Sauvons Calais.

    « Bien avant notre arrivée, la place était déjà surveillée de très près par les forces de l’ordre. Le cortège de pro-clandestins et clandestins s’est dérouté, pour “esquiver” notre contre-manifestation, sous les ordres de la sous-préfecture de Calais. Tout s’est déroulé dans la bonne humeur, avec la présence de nombreux médias tels que TF1, Radio6, La Voix du Nord, France Télévision et bien d’autres. Nous avons également eu la fierté d’essuyer quelques insultes d’extrémistes de gauche, rapidement contrées par nos slogans très… pointus. Notre message est passé »,

    précise Sauvons Calais dans un communiqué.

  • POITOU-INFO - Rencontres-Charles-Martel 2015 : Hugues Bouchu

  • Immigration : 5 CRS en mission à Calais atteints de tuberculose

    Parmi les nombreux « bienfaits » de l’immigration massive, il y a le retour ou l’apparition de maladies graves, venues d’ailleurs…

    Ainsi, plusieurs cas de tuberculose se sont déclarés parmi les policiers de la CRS 20 de Limoges (Haute-Vienne). Selon un témoignage recueilli par France Bleu Limousin, un premier fonctionnaire s’est déclaré atteint de la maladie, puis bientôt trois, et enfin cinq, sans que la hiérarchie prenne de mesures pour endiguer l’épidémie.

    Selon France Bleu Limousin, la hiérarchie policière ne dément pas ces cas de tuberculose mais affirme qu’il s’agit d’un problème de santé personnel.
    Mais elle oublie de dire qu’actuellement, cette compagnie est ainsi en mission à Calais, ville confrontée à un afflux de clandestins venus d’Afrique et du Moyen-Orient qui tentent de s’introduire au Royaume-Uni.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le toujours plus du pouvoir socialiste au profit de l’islam

    Après avoir vanté "la vertu de la laïcité" et "la neutralité religieuse de l'Etat", le ministre de l'Intérieur a annoncé exactement l'inverse.

    Devant un parterre de représentants de l’islam, Bernard Cazeneuve a clôturé la journée d’instance de dialogue par un discours fleuve et dithyrambique. « L’islam est en France pour y rester  » a dit Valls. Le ministre de l’Intérieur – avec les projets annoncés – lui remet en quelque sorte, à terme, les clefs de la maison.

    Après avoir vanté « la vertu de la laïcité » et « la neutralité religieuse de l’Etat », le ministre de l’Intérieur a annoncé exactement l’inverse.

    D’abord, « l’Etat doit naturellement assurer la protection des mosquées » (…), raison pour laquelle, face au « fléau » des actes antimusulmans, s’il veille déjà sur 1000 mosquées, il a décidé de consacrer neuf millions d’euros sur les trois prochaines années au financement d’équipements de sécurité, en particulier des caméras de vidéo surveillance.

    Concernant leur financement « Vous n’ignorez pas que la loi de 1905 impose à l’Etat une abstention rigoureuse »(…) … mais les représentants des musulmans n’ont pas dû beaucoup s’inquiéter, « ce principe n’exclut pas, comme vous le savez également, que les collectivités locales puissent faciliter l’aboutissement de certains projets de construction » (…)

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  • Ambiance de guérilla urbaine à Meudon et Clamart

    La guerre des bandes vire à la fusillade dans les Hauts de Seine.

    Michel Janva

  • L’ONU derrière le « Grand Remplacement »

    Les envahisseurs, requalifiés migrants par les orfèvres de la Novlangue, assiègent l’Europe que son autorité suprême, la Commission de Bruxelles, a sommée de les accueillir selon un système de quotas – ce qui, au sommet de l’Etat, a donné lieu à une belle cacophonie. Qui faut-il croire, en effet, du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui, le 11 mai, estimait ce système « normal » et affirmait que « les propositions de Jean-Claude Juncker s’inspirent de celles faites par la France », ou de Manuel Valls qui, le 16 mai, dénonçait au contraire tout « système de quotas »? Mais dès le 19 mai, l’expert ès-synthèses qu’est François Hollande rectifiait le tir à Berlin.

    Qu’on se le dise : il est hostile à tout « système de quotas » mais favorable au « système de répartition »… qui revient exactement au même ! Peu importe à quelle sauce, aïoli ou harissa, nous serons mangés, mais nous le serons.

    L’ONU contre l’Europe

    Conformément aux oukases de l’ONU.

    En guise d’étrennes à la vieille Europe, la Division de la population de l’Assemblée new-yorkaise lui avait en effet offert le 1er janvier 2000 un rapport — auquel avait participé le démographe français Joseph-Alfred Grinblat — l’avisant que, compte tenu de sa démographie faiblarde, elle aurait « besoin de près de 160millions de travailleurs immigrés de plus d’ici à 2025 »! Et que la France par exemple, qui accueillait alors 100 000 immigrés environ par an (officiellement, du moins), devrait « multiplier ce quota par 7,6 dans le quart de siècle à venir ». Explication du sieur Grinblat : « À évolution constante, l’Union comptera 5 millions d’habitants de moins en 2025, 40 millions de moins en 2050, Le ratio entre actifs et inactifs, qui tourne actuellement entre 4 et 5 travailleurs pour un retraité, sera grosso modo divisé par deux dans les vingt-cinq ans à venir. Par simple projection mécanique, l’Europe, pour simplement maintenir sa population active à son niveau absolu de 1995, aurait besoin de 24 millions d’immigrés d’ici à 2025. Mais s’il s’agit de préserver l’équilibre actuel entre actifs et inactifs, les besoins de main-d’œuvre étrangère montent carrément à 159 millions de personnes, dont 23 millions pour la France, 26 millions pour l’Italie et même 44 millions pour l’Allemagne. »

    72 millions d’immigrés en plus entre 2000 et 2008 !

    Où en est-on à dix ans de l’échéance fixée par les Nations-Unies ?

    Dans son n° 63 de février 2014, le bulletin Infos migrations édité par le DSED (Département français des Statistiques, des études et de la documentation) nous confirmait que « le phénomène migratoire mondial prend de l’ampleur », avec une augmentation entre 2000 et 2008 de 40 % en Asie et Europe, laquelle — contrairement à ce que prétendait France Inter le 24 mai — « reste néanmoins première destination (72 millions) devant l’Asie (71 millions) et l’Amérique du Nord (53 millions) », car « aujourd’hui, c’est davantage vers les pays développés que les migrants se dirigent (136 millions, soit + 65 % en 25 ans). »

    Selon l’ancien ministre villepiniste Azouz Begag, 15 millions d’immigrés sont déjà « chez eux chez nous ». 15 millions d’immigrés dont la moitié de naturalisés, soit 19,3 % de sa population, c’est aussi ce que compte l’Allemagne dont le ministre des Finances, le conservateur Wolfgang Schäuble, trouve pourtant que ce n’est pas assez : «  Nous avons aujourd’hui besoin de l’immigration. Nous devons évidemment vivre avec les immigrés. Cela va changer notre vie de tous les jours, concède-t-il, non pas pour le pire, mais pour le meilleur. »

    Or, lors de sa conférence de presse commune avec François Hollande le 19 mai, la chancelière Merkel avait indiqué à propos des quotas : « Je suis sûre que là-dessus, nous aurons une position franco-allemande d’ici peu. » Position dont les propos irénistes de son ministre Schaüble donnent une idée.

    Le mondialisme fossoyeur des peuples

    Comme on le voit, les désirs de l’ONU sont des ordres, tant pour nos gouvernements successifs que pour l’Exécutif européen, tous asservis au Nouvel Ordre mondial. Et ce n’est bien sûr pas un hasard si le site www.nouvelordremondial.cc/, à forte connotation maçonnique, citait justement avec faveur à la mi-mai une étude de l’Institut Bertelsmann soulignant que la chute du nombre de travailleurs en Allemagne étant « susceptible de devenir chronique » et donc de provoquer une récession économique, « un demi-million d’immigrants seront nécessaires chaque année pendant 35 ans ». Tandis qu’autre bidule mondialiste, Amnesty International préférait, lui, tirer sur la corde compassionnelle. Ainsi son directeur pour la France, Jean-François Dubost, déclarait-il le 24 avril au Figaro : « Il faut considérer qu’une fois que ces personnes sont en mer, nous sommes obligés de leur porter secours, et qu’une fois arrivées en Europe, elles sont bien reconnues comme des réfugiés » car « les vingt-huit États-membres sont tout à fait capables de gérer ces arrivées. Ce n’est pas simplement Amnesty qui le dit, mais un rapport de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) qui estimait que l’Europe est en capacité d’absorber ces arrivées ».

    La machination est bien rôdée, les lobbies immigrationnistes s’appuyant les uns sur les autres pour imposer une submersion provoquant à court terme la ruine de notre petit cap occidental et un inéluctable chaos.

    Dans une longue étude intitulée « The Nature of Conflict » et publiée aux Etats-Unis en avril par le National Bureau of Economic Research, trois économistes reconnus, Cemzal Eren Arbatli, Quamrul Ashraf et Oded Galor, ont démontré que, « de 1960 à 2008, la probabilité d’éclatement d’une guerre civile a été cinq fois plus élevée dans des pays très diversifiés génétiquement (au premier décile de la répartition, là où se situe la République démocratique du Congo) que dans des pays peu diversifiés (au neuvième décile, comme la Corée du sud) » même quand les migrations à l’origine de ces différences génétiques remontent à plusieurs millénaires. On imagine l’acuité et la violences des conflits quand ces migrations sont toutes récentes et concernent des peuples que tout oppose — race, religion, culture — aux habitants des pays d’accueil. Des pays auxquels ils ne peuvent d’ailleurs rien apporter, contrairement aux illusions de M. Schaüble. Le ministre imagine-t-il sérieusement des bergers maliens, des bédouins irakiens, des pêcheurs érythréens compensant les départs à la retraite chez Volkswagen, chez Airbus ou chez Baccarat ?

    La doxa nous assure certes que ce sont les réfugiés les plus diplômés qui affluent chez nous. Outre que cela reste à vérifier (et qu’un sociologue ne fait pas automatiquement un bon soudeur à l’arc), il faut savoir aussi que, comme l’a établi l’ethnographe néerlandaise Marion van San, ce sont les jeunes allogènes musulmans « les plus diplômés et les mieux intégrés qui se radicalisent ».

    Que l’on continue à se soumettre au Diktat onusien et, en effet, cela « changera notre vie de tous les jours ». Mais pas « pour le meilleur ». Pour le pire.

    Camille Galic 5/06/2015

    Source : Présent

    http://www.polemia.com/lonu-derriere-le-grand-remplacement/

  • Véronique Lévy : "Une église n'est pas un objet de consommation qu'on peut recycler"

    Véronique Lévy, convertie au catholicisme, nous livre un beau texte dans Famille chrétienne, en réaction aux propos de Dalil Boubakeur et de Mgr Dubost :

    "Simple coïncidence ? J’apprends les propos de Mgr Dubost le 16 juin, fête de la dédicace de la cathédrale Notre-Dame de Paris. S’élevant dans le ciel de la cité, fruit miraculeux de la foi des pauvres, des chastes et des martyrs, elle illumine la ville, sentinelle fidèle de cet Amour qui a vaincu la mort. Peut-on séparer la forme de son fond ou la lettre de son cœur ? Les pierres de nos églises et le message de salut qu’elles respirent ? Non… au risque de glisser vers le déni, d’effacer une parole vive, se couper d’une source où l’homme peut se désaltérer.(...) L’église est l’hôpital des âmes blessées. Tout est ordonné autour de ce Cœur battant au fond du tabernacle.

    N’est-elle pas un signe visible de cet Amour qui se dit encore par elle et en elle à travers des gestes simples et maternels, dans l’eucharistie, une main qui bénit et pardonne, ou les chants berçant nos cœurs et nos corps. L’élancement des voûtes en croisées d’ogives, la lumière diffuse des vitraux aux bleus vibrants, aux pourpres incandescents ; le sourire tendre d’une Vierge de pierre transperçant nos impasses, nos prisons, nos abandons. La Croix traversant nos croix…

    Toute cette beauté n’est-elle pas un avant-goût de la liturgie céleste, un prélude au Royaume où l’homme « s’assoit parmi les princes » ? Non plus le pion interchangeable, le xx ou le xy anonyme d’une enquête statistique, mais un être unique rendu à l’image et à la ressemblance de Dieu.

    Une église n’est pas un objet de consommation courante qu’on peut recycler en parking, restaurant ou même en un autre lieu de culte. Elle a été consacrée à Dieu : Un, indivisible et pourtant trine.

    Que diraient les adeptes de la tolérance, du dialogue interreligieux soumis à la pensée unique et tiède d’une dictature invisible, économique et aveugle si, à contre-courant du politiquement correct, on transformait une synagogue en fast-food ou une mosquée en temple évangélique ? On crierait au scandale et on aurait raison.

    Mais il est facile d’incriminer l’État, les mairies… Les églises construites après 1905 sont à la charge des diocèses. Les mots de Bernanos résonnent, tragiques, prophétiques, dans Français si vous saviez : « Je le dis, je le répète, je ne me lasserai jamais de proclamer que l’état du monde est une honte pour les chrétiens. Nous répétons sans cesse avec des larmes d’impuissance, de paresse et d’orgueil que le monde se déchristianise. Mais le monde n’a pas reçu le Christ, c’est nous qui L’avons reçu pour lui, c’est de nos cœurs que Dieu se retire, c’est nous qui nous déchristianisons, misérables ! »

    C’est aux évêques, à nous tous baptisés, cellules vives du Corps du Christ, de réintégrer notre cœur, Son Cœur, battant dans le secret du tabernacle, là où Il attend, démuni comme dans la crèche, donné jusqu’à l’extrême, libre en son éternité offerte à tous.

    Dans la petite église de Saint-Damien, par trois fois le Christ s’anima et dit à saint François d’Assise : « Va François, et répare mon église en ruine ! ». Cette demande du Seigneur est brûlante d’actualité. Elle appelle au réveil, à exprimer sans peur, dans l’émerveillement d’une naissance, la joie de l’Évangile.(...)"

    Louise Tudy