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immigration - Page 1297

  • Vos impôts et les mosquées

    La bande annonce de Joachim Véliocas pour l'édition augmentée de son livre "Ces maires qui courtisent l'islamisme", parution en janvier 2015. 320 pages, 20 euros, frais de port offerts. Cliquez ici.


    Trailer : Vos impôts et les mosquées, Ces... par joachimv 

    Marie Bethanie

  • Manuels Valls a-t-il honte de son islamolâtrie obséquieuse ?

    Le califat islamique en Irak vient d’édicter son règlement relatif aux esclaves de sexe féminin, son butin de guerre djihadiste vendu aux enchères. A Mossoul, des enfants chrétiens ont été égorgés après avoir refusé de devenir musulmans. Les immigrés musulmans en Europe prient pour que le Califat vainque. Etc. Ainsi va l’Islam réel. Mais surtout, il ne faut pas faire d’amalgame avec l’Islam fantasmé.

    Rappelez-vous. C’était le 26 juin 2014 et Manuel Valls était venu à l’Institut du Monde Arabe voir son pote Jack Lang, bienheureux directeur à plus de 10 000 Euros par mois, pour y faire un discours dégoulinant de dhimmitude et d’islamolâtrie obséquieuse. Etait-il vraiment nécessaire d’en dire autant ? Un paragraphe avait particulièrement retenu notre attention. Il disait :

    MPI - 14 - 02 - extrait complet -

    Vous avez bien lu : « L’Islam est la seconde religion de France ! Mais, au-delà des musulmans de France, c’est toute une Nation qui reconnait ici la grandeur, la finesse et la diversité de l’Islam ; c’est toute une Nation qui dit aussi que l’Islam a toute sa place en France, parce que l’Islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieux de ceux qui en détournent et en salissent le message. » Euh, sauf que ce discours, c’est l’Islam fantasmé.

    Le passage est disponible ici sur le site du gouvernement « français » :

    Les gens attentifs, dont je suis, auront noté que le paragraphe ci-dessus est toujours présent dans le pdf joint, mais qu’il a disparu de la version en ligne :

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  • Jean-Paul Gourevitch vs AFP

    Le 11 septembre 2014, l’Agence France Presse s’est penchée sur le dernier livre de Jean-Paul Gourevitch,« Les Migrations pour les nuls » aux éditions First. Étonné que la célèbre collection « Pour les nuls » confie la rédaction de cet opus à un auteur indépendant, l’AFP a publié une dépêche totalement à charge. La journaliste militante, Charlotte Plantive, catalogue M. Gourévitch comme « un auteur très marqué à droite »L'OJIM a analysé ce lynchage médiatique, toute la presse ne faisant que du recopiage de l'AFP.

    Pourquoi ce procès en règle ? Parce que ce livre sort de la doctrine officielle sur l'immigration et ne fait qu’alimenter « un discours anti-immigrés et anti-élites qui profite à l’extrême droite ». La dépêche cite ainsi le directeur de recherche à l’Institut national des études démographies (Ined) François Héran :

    « Le fait qu’un auteur comme celui-là soit chargé d’un livre d’initiation dans une collection aussi populaire est un signe révélateur de la lepénisation des esprits. »

    Ce dont se plaint l'AFP, c'est qu'un chercheur hors du système puisse s'exprimer dans un média grand public.

    Me Gilles-William Goldnadel, son avocat dénonce un article « totalement à charge » contre l’ouvrage, précisant que son client

    « s’étonne que la dépêche stigmatise sa participation sous forme d’entretiens ou d’interventions à des manifestations organisées par les uns en oubliant celles organisées par les autres ou en niant qu’elles aient eu lieu ».

    L’avocat reproche également à la journaliste de « soumettre de façon tendancieuse des éléments de langage extraits du livre uniquement à des personnalités de gauche ou d’extrême-gauche ».

    Suite à cette polémique, le peu d’effort des éditions First pour promouvoir l’ouvrage fut visible. Pas sûr qu’une autre maison d’édition « généraliste » ne fasse appel à M. Gourévitch. Et l'OJIM interroge :

    "Dans une société démocratique qui se respecte, un organe de presse fournissant près de 80 % de l’information des médias nationaux ne devrait-il pas souffrir d’un contrôle plus strict et d’obligations déontologiques accrues ? En soi, cet état de quasi-monopole est-il tolérable ?"

    Michel Janva

  • Ebola : l'Afrique ne manque pas de médecins

    Bernard Lugan, en fin connaisseur de l'Afrique, livre comme d'habitude une analyse au vitriol :

    Blog"Les médias nous disent que si l'Afrique ne parvient pas à combattre Ebola c'est parce qu'elle manque de médecins. Faux ! L'Afrique a des médecins, mais ils ont émigré en Europe ou aux Amériques. Ceux qui furent formés en Afrique sont partis vers des cieux meilleurs et ceux qui le furent en Europe y sont restés... La vérité est que l’Afrique exporte ses personnels médicaux alors qu’en moyenne, elle compte moins de 15 médecins pour 100 000 habitants contre 380 en France.

    En 2008, le Center for Global Development chiffrait à 135 000 les personnels médicaux africains (médecins, infirmiers et autres) exerçant hors d'Afrique, dont 28 000 médecins originaires d'Afrique sud-saharienne. S'il n'y a pas de médecins au Liberia, en Sierra Leone, en Guinée et au Mali c'est parce que ces déserteurs ont abandonné leur continent pour aller s'employer dans les pays du Nord.
     
    Les conséquences de ce scandale sont clairement apparues le 26 novembre 2014, quand, pour tenter d'enrayer la propagation d'Ebola, la Commission européenne proposa de mobiliser 5000 (!!!) médecins européens. Le Commissaire à l'Aide humanitaire, M. Andriukaitis déclara ainsi qu'il avait « (...) appelé les ministres de 14 Etats membres pour les exhorter à envoyer plus de personnel médical dans les pays frappés par Ebola ».
    Avant de faire appel aux médecins européens, pourquoi M. Andriukaitis n'a t-il pas songé à exiger des milliers de médecins africains exerçant au sein de l'UE, de se porter volontaires pour aller soigner leurs frères dans le malheur ?
     
    L'exemple d'Ebola n'est pas isolé. Impuissantes, les autorités de Madagascar qui font actuellement face à une épidémie de peste viennent de lancer un appel à l'aide à l'Europe alors que des centaines de médecins malgaches exercent dans les limites de l'UE. Rien qu'en France, ils sont 770 (...)
     
    Cette question des médecins africains dans l'UE est révélatrice de ce « grand remplacement » qui se fait à tous les niveaux de la société et que certains considèrent comme un « fantasme »(...) Disons le clairement, cette nouvelle forme de la traite des Noirs, porte sur les plus précieux des Africains, ses diplômés, et elle se fait avec l’habituelle complicité des « gentils » de l’anti-ségrégation et des requins du capitalisme associés pour la circonstance. Au nom du paradigme de la culpabilité qui les hante, les premiers s’interdisent de voir qu’en les accueillant, ils saignent l’Afrique. Les seconds les encouragent à venir au nom des lois du marché, du travail global et de la mobilité de la main d’œuvre.
    Madame Taubira et le Cran sont étrangement silencieux sur cette question. Pourquoi ?"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La préférence nationale se confond avec la République

    Rien ne justifie, dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, que des étrangers puissent bénéficier du minimum vieillesse, après 10 ans sur le territoire, de la même façon que des Français.

    Trop souvent, les mots sont malmenés, falsifiés, truqués par la novlangue. Il en va ainsi du terme « République » ; ce mot issu du latin « res publica », soit la « chose publique », désigne un régime politique où les fonctions du chef de l’État ne sont pas héréditaires mais découlent d’une élection. En outre, un tel régime a pour objectifs l’intérêt général et le « bien commun » des citoyens de la nation dont les institutions sont républicaines.

    Les nationaux bénéficient des droits attachés à la citoyenneté et doivent se soumettre aux lois de l’État. Par essence, une nation républicaine pratique donc la « préférence nationale ». C’est d’ailleurs bien de la sorte que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 fut rédigée, contrairement aux abusives interprétations récentes du Conseil constitutionnel. L’esprit du texte consiste en l’affirmation de l’État de droit et de la souveraineté de la nation. Des droits universels sont attribués aux hommes, mais ils ne sauraient être confondus avec les avantages spécifiques que peut procurer la nationalité.

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  • Qu’est-ce qu’une infraction à la laïcité : une crèche de Noël dans un lieu public ou une subvention à une mosquée ?

     

    Interviewée sur BFMTV, au sujet de l’installation d’une modeste crèche dans le hall de la mairie de Béziers, Martine Cerf, secrétaire générale de l’association Egale-Egalité Laïcité Europe, a déclaré : “Ce n’est pas une tradition. Ce n’est absolument pas conforme à la loi. C’est en infraction avec l’article 28 de la loi de 1905. Sur les édifices publics, on n’a pas à afficher des symboles religieux”.

    Les journalistes lui demandent alors si c’est grave une crèche (qui plus est pour 3 semaines) quand on voit que des villes subventionnent des mosquées en opposition à la loi de 1905. Mme Cerf répond : “Je m’élèverai contre toute mesure qui tend à contourner les principes de 1905.” Que ne l’a-t-elle fait avant pour les subventions aux mosquées alors que cela fait des années que des municipalités subventionnent des mosquées ? Et tiendra-t-elle sa promesse ?

    http://fr.novopress.info/179488/quest-ce-quune-infraction-a-la-laicite-une-creche-de-noel-dans-un-lieu-public-ou-une-subvention-a-une-mosquee/

  • Philippe de Villiers : “On est en train de vivre un changement de peuplement”

     

    Philippe de Villiers est intervenu hier 4 novembre sur RMC dans l’émission d’Eric Brunet, face à David Gozlan, secrétaire général de la Fédération Nationale de la Libre Pensée. A la suite d’un recours de La Libre Pensée, le tribunal administratif de Nantes, a fait démonter la traditionnelle Crèche de Noël installée tous les ans dans le hall d’accueil du Conseil général de Vendée. Le Conseil général a démonté mais a indiqué qu’il ferait appel.

    Quelques extraits en texte des paroles de Philippe de Villiers (audio complet en bas de cet article) :

    “Personne ne le dit à votre antenne, moi je vais le dire. Je n’ai pas peur des francs-mac’, moi. Ca ne m’a jamais fait peur. Et d’ailleurs l’œuvre du Puy du Fou est une œuvre de Chrétienté qui fait rayonner l’âme de la France.

    Ce qui est en train de se passer, là, c’est l’islamisation progressive de la France. Partout. Partout les digues lâchent. La vague continue. On est en train de vivre un changement de peuplement. Je pèse mes mots. On est en train d’accepter en France pour l’islam ce que l’on se met à refuser à la chrétienté. (…) Nous allons devenir une république islamique, dans 30 ans, ce sont les démographes qui parlent.

    Il y a des millions de Français qui en ont ras le bol que l’on détruise l’identité de la France. Et bien moi, je suis le porte-parole de cette France-là. (…) Puisque c’est le moment des vérités (…) On est en train de vivre un chassé-croisé extraordinaire en Europe. D’un côté l’avortement de race et de l’autre côté l’immigration de masse avec la complicité de beaucoup de politiciens. (…) Quand on se réveillera, il sera peut-être trop tard. Il faut se réveiller, et je suis là pour ça.”


    http://fr.novopress.info/179409/philippe-villiers-chasse-croise-en-europe-dun-cote-lavortement-race-lautre-cote-limmigration-masse/

  • Nicolas Bay : « On est chez nous, cri du cœur du peuple français » (Maj : Nicolas Bay répond à Désintox – Libération)

    Nicolas Bay répond aux « facts checkers » - 05/12/2014

    Allocation aux personnes âgées : une préférence étrangère bien réelle Invité de Léa Salamé sur France Inter lundi, j’ai été amené à évoquer l’ASPA (allocation de solidarité aux personnes âgées, ex-minimum vieillesse) et la manière dont en bénéficient des milliers d’étrangers sans jamais avoir cotisé. Quiconque a dans son entourage l’un de ces retraités pauvres, souvent anciens agriculteurs ou commerçants, qui vit avec quelques centaines d’euros par mois comprendra immédiatement le caractère scandaleux du sujet. Comme la fameuse aide médicale d’État, ce gouffre financier sans fond – 744 millions d’euros en 2013 – qui permet aux clandestins d’être soignés gratuitement dans notre pays, il s’agit d’une forme de « discrimination positive » (positive pour les immigrés, et donc négative pour les nationaux) ou de préférence étrangère. Cela m’a valu les honneurs de la rubrique « Désintox » de Libération. Ces journalistes appartiennent à cette nouvelle caste dans la caste qui se piquent de – pardonnez l’anglicisme – « fact checking » et s’en vont ainsi vérifier les affirmations de tel ou tel. Tel ou tel étant, étrangement, souvent un patriote, et le sujet sur lequel ils s’efforcent de démontrer « l’intox » étant, bizarrement, souvent l’immigration. Ainsi, pour rester avec la « Désintox » de Libération (mais les « Décodeurs » du Monde sont dans la même veine), je note avec intérêt qu’entre 2011 et aujourd’hui, ce ne sont pas moins de quatre articles qui ont été consacrés au sujet des étrangers bénéficiaires de l’ASPA (toujours pour expliquer que ceux qui le dénoncent se trompent évidemment), ou encore que, sur leurs quatre dernières chroniques en partenariat avec la chaîne Arte, deux ont été consacrées à contrer des propos de Marine Le Pen.

     Ce sont ainsi 30 % des bénéficiaires du seuil maximal de l’ASPA (800 euros par mois) qui ne sont pas français. Après être devenu un hôpital pour les clandestins via l’AME, la France peut ainsi devenir aussi une généreuse maison de retraite.

    Mais puisque je suis donc attaqué et que manifestement Libération n’a pas jugé utile de revenir vers moi, voici ma réponse, très factuelle elle aussi. L’ASPA est, un peu à la manière du RSA, un complément de revenus dont peuvent bénéficier les personnes âgées de plus de 65 ans (ou moins dans le cas d’une incapacité de travail ou d’un handicap). Dans un rapport à l’Assemblée nationale d’avril 2013, la députée Isabelle Le Callennec faisait remarquer que de très nombreux agriculteurs, particulièrement concernés par les petites retraites et donc ce dispositif, renonçaient à l’ASPA. Il en va de même pour beaucoup d’autres retraités pauvres, ayant pourtant cotisé. Dans le même temps, les étrangers résidant en France depuis plus de dix ans peuvent y prétendre par une simple déclaration sur l’honneur, sans jamais avoir travaillé ni cotisé dans notre pays ! Ce sont ainsi 30 % des bénéficiaires du seuil maximal de l’ASPA (800 euros par mois) qui ne sont pas français. Après être devenu un hôpital pour les clandestins via l’AME, la France peut ainsi devenir aussi une généreuse maison de retraite.

    Boulevard Voltaire

    Suite de l'article de FdeSouche