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immigration - Page 1302

  • A Rome, le ras-le-bol de l’immigration clandestine se fait entendre

    Rome – Voilà plusieurs jours que les habitants de quartiers livrés à l’insécurité (liée à une forte présence d’immigrés clandestins) sortent de leurs maisons pour faire entendre leur ras-le-bol !

    « Vendredi 14 novembre, je serai à Rome pour montrer ma proximité directe avec les citoyens italiens qui se sentent assiégés dans leurs quartiers, harcelés par la dégradation, l’immigration illégale, la saleté et le manque total de sécurité », a communiqué Mario Borghezio, député européen de la Ligue du Nord.

    « Je vais visiter deux quartiers pauvres de la capitale placés sous le feu des projecteurs ces jours-ci. Le matin, je vais aller à Tor Sapienza, où je vais rencontrer les résidents locaux qui défendent leur droit sacré à vivre dans la sécurité et la paix. Dans l’après-midi, j’assisterai à une veillée dans la région de Fidene Serpentara où les citoyens se plaignent de la négligence totale et de l’abandon par les institutions. »

    Un déplacement à suivre !

    http://www.medias-presse.info/a-rome-le-ras-le-bol-de-limmigration-clandestine-se-fait-entendre/18098

  • Guillaume Faye participera aux Assises de la Remigration le 15 novembre 2014 à Paris

    Après Jean-Yves Le Gallou, Renaud Camus, Damien Rieu, Philippe Conrad et Jacques Bompard, la liste des intervenants aux Assises de la Remigration, organisées par le Bloc identitaire, s’allonge avec la présence annoncée de Guillaume Faye.

    Guillaume Faye est journaliste et écrivain. Il a notamment travaillé au « Figaro Magazine », à « VSD », « Paris-Match », « l’Écho des Savanes » ou encore sur la radio « Skyrock ». Dans les années 70 et 80 il a été l’une des principales figures intellectuelles de la Nouvelle-Droite avant de s’éloigner pour un temps de la politique. Revenant à la fin des années 90, il a depuis publié plusieurs essais ayant fait date.

    Dénonçant sans relâche la colonisation de l’Europe pour réveiller ses compatriotes, Guillaume Faye interviendra le 15 novembre 2014 à Paris dans le cadre des Assises de la Remigration.

    Guillaume Faye participera aux Assises de la Remigration le 15 novembre 2014 à Paris

  • Halte au « tourisme social » !

    Contre toute attente, la Cour européenne a statué que les États membres n’étaient pas « tenus d’octroyer des prestations sociales » à des citoyens « d’autres États membres » se rendant sur le territoire dans le seul but de les obtenir.   

    « Le tourisme social est un mythe ! » affirmait, il y a quelques mois, László Andor, commissaire chargé des Affaires sociales auprès de Barroso. Las, il en va des « mythes » comme des « rumeurs », il y a toujours des benêts, n’est-ce pas, pour les croire. Et s’inquiéter inutilement. Et voter de travers. Et faire trembler d’un coup, malgré la moquette épaisse et la semelle confortable des souliers Berluti, le sol sous les pieds des hauts fonctionnaires et des gouvernants. C’est contrariant.

    C’est donc de mythologie que la Cour de justice européenne s’est occupée, mardi dernier, statuant sur le cas d’une jeune mère roumaine venue, avec sa fille, chez sa sœur à Leipzig (Allemagne) dans le seul but d’y bénéficier d’aides sociales, qui lui ont été refusées par l’agence pour l’emploi locale.

    Les dernières élections européennes l’ont peut-être rendue toute chose. Légèrement flagada. Car contre toute attente, la Cour européenne a statué que les États membres n’étaient pas « tenus d’octroyer des prestations sociales » à des citoyens « d’autres États membres » se rendant sur le territoire dans le seul but de les obtenir.

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  • La Cour de Justice européenne favorable à la suppression de l'Aide Médicale d'Etat ?

    Lu dans Présent :

    "Un tantinet pressée par plusieurs pays membres croulant littéralement sous le poids croissant de l’immigration et du tourisme social, la Cour de justice européenne, prenant appui sur la directive 2004/38 relative à la libre circulation des biens et des personnes, a jugé mardi que les « Etats membres ne sont pas tenus d’octroyer des aides à des étrangers ne cherchant pas de travail ». Un arrêt qui constitue surtout un rappel à la loi et est largement insuffisant. Car c’est le principe même de la libre circulation qui doit être remis en cause. [...]

    En effet, la Commission européenne avait beau affirmer mardi qu’elle « a toujours estimé que le principe de libre circulation signifie le droit de se déplacer » et que ce dernier « n’est pas le droit d’avoir accès librement aux prestations sociales d’un pays membre », il n’en a pas toujours été ainsi. Alors que plusieurs Etats membres, tels que la Grande-Bretagne, mais aussi l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique ou encore l’Autriche, dénonçaient très justement en début d’année une situation devenue ingérable, Laszlo Andor, commissaire en charge des Affaires sociales, leur a répondu que « ce tourisme social est un mythe » et que « personne ne peut penser qu’il est aisé de s’installer dans un autre pays et d’y profiter sans délai des prestations sociales ». Sacré Laszlo ! Il devrait tenter l’expérience en France…"

    La France a prévu dans son budget 2015 environ 1 milliard d'euros pour subvenir aux besoins médicaux des immigrés clandestins. La Cour de justice valide-t-elle ainsi la suppression de l'AME ?

    Michel Janva

  • Immigration et délinquance

    Le rapport entre immigration et insécurité est un sujet des plus explosifs. Alors qu’il apparaît comme évident à de nombreux Français, qui constatent l’origine ethnique de bandes dealant dans les halls d’immeubles ou celle des personnes recherchées par la police1, ce lien est nié par un certain nombre de personnalités politiques, de médias nationaux et d’associations subventionnées.

    Pour celles-ci, la surreprésentation des personnes d’origine immigrée dans les prisons ne serait due qu’à la pauvreté : les pauvres sont plus délinquants que la population générale ; les immigrés sont plus pauvres que la population générale ; il est donc logique que les immigrés soient plus délinquants que la population générale.

    Cette question de la pauvreté, et de son lien supposé avec la délinquance, a pendant longtemps parasité l’étude du lien entre immigration et délinquance. Aujourd’hui encore, c’est un argument massue que l’on oppose à ceux qui font un lien entre les deux – quand on n’explique pas que cette sur-délinquance est causée par le soi-disant racisme institutionnel de l’appareil d’État.

    Or, deux universitaires réputés ont, depuis plusieurs années déjà, abordés la question de façon sérieuse.

     

    Le premier est le sociologue Sébastian Roché. Docteur en sciences-politiques, directeur de recherche au CNRS, ses travaux sur le sentiment d’insécurité et les incivilités ont révolutionné la criminologie française. Il a abordé le lien entre immigration et délinquance dans deux ouvrages.

    Dans Sociologie politique de l’insécurité, publié en 1998, Sébastian Roché a notamment cherché à expliquer les différences de criminalité entre les différents départements français, en prenant en compte de multiples variables. Et il a identifié « trois types de variables qui sont systématiquement (mais pas toujours dans le même sens) associées avec le taux de délits dans les départements : le taux de chômage (global, ou des jeunes), le taux d’étrangers et le taux d’urbanisation » (p. 61-62).

    En clair, d’après Sébastian Roché, la proportion d’étrangers dans un département est un facteur plus important pour expliquer son taux de délinquance que sa richesse ou la part des jeunes dans sa population. Le moins que l’on puisse dire est que c’est intéressant.

    Mais ce n’est pas terminé. A la fin des années 1990, Sébastian Roché a mené une enquête importante consistant à interroger une cohorte très large de jeunes âgés de 13 à 19 ans, leur demandant de raconter leurs délits, ceci afin de mieux connaître La Délinquance des jeunes, titre de l’ouvrage publié en 2001 présentant cette enquête. Au chapitre 9, Sébastian Roché s’est posé la question de la part des jeunes d’origine étrangère dans la délinquance. Et les résultats parlent d’eux-mêmes.

    Sébastian Roché a tout d’abord isolé les jeunes d’origine française (dont les deux parents sont nés en France) et les jeunes d’origine maghrébine (dont les deux parents sont nés au Maghreb). Les autres catégories, d’un nombre trop faible pour constituer un échantillon suffisant, ont été écartées.

    Et que constate-t-on ? Que parmi les enfants de cadres et professions intermédiaires, les Maghrébins sont 43% à avoir réalisé au moins trois délits simples2 au cours des deux dernières années, contre 30% des Français ; que les jeunes d’origine maghrébine sont 21,5% à avoir réalisé dix délits simples ou plus, quand les jeunes d’origine française ne sont que 12% dans ce cas. Quant aux actes graves3, 21% des maghrébins en ont commis au moins un, contre 9% des français.

    Cette différence se retrouve également parmi les enfants d’ouvriers et d’employés. Dans ces familles, 43% des maghrébins ont réalisé au moins trois petits délits, contre 30% des français ; 24% des maghrébins en ont réalisé dix ou plus, quand les français ne sont que 15,5%. 18% des adolescents d’origine maghrébine ont commis au moins un acte grave, contre 11,5% des adolescents d’origine française. 10,5% des jeunes Maghrébins ont commis au moins trois actes graves, contre 5% des Français.

    En résumé, une fois pris en compte l’origine sociale des adolescents, l’on constate que les jeunes d’origine maghrébine sont, quel que soit le type de délit, plus délinquants que les jeunes d’origine française.

    Et ces chiffres ne peuvent être causés par un éventuel racisme policier, qui pousserait les forces de l’ordre à se concentrer sur les Maghrébins au détriment des délinquants français, dans la mesure où ce sont les jeunes eux-mêmes qui parlent des délits qu’ils ont commis (Sébastian Roché montre même que les délits commis par des jeunes d’origine maghrébine sont très légèrement moins surpris par la police que ceux commis par des jeunes d’origine française, mais la différence est trop faible pour être significative).

    Ce tableau ne serait pas complet sans parler des travaux, ayant fait la polémique, d’Hugues Lagrange. Sociologue, directeur de recherche au CNRS, c’est un homme de gauche, proche des Verts, défenseur de l’émancipation des femmes. En 2010, il a publié Le Déni des cultures, livre complexe et passionnant, traitant de l’influence des cultures d’origine dans la vie des immigrants de plusieurs quartiers.

    Au détour d’un chapitre, sans vraiment s’attarder sur la question, Hugues Lagrange présente le pourcentage d’auteurs de délits selon l’origine culturelle de la famille (française sans ascendance migratoire, européenne, maghrébine, Afrique noire hors Sahel, Afrique sahélienne, Turquie), tout en tenant compte de l’origine sociale de la famille (p.146).

    Que constate-t-on ? Déjà qu’Hugues Lagrange n’est vraiment pas à l’aise avec ces chiffres car, s’il les présente, c’est sous la forme d’un tableau assez illisible. Ensuite, que quelle que soit la catégorie sociale, la proportion d’auteurs de délits est beaucoup plus importante chez les jeunes d’origine sahélienne que chez les autres.

    Étudions cela plus en détail :

    Pour les familles d’ouvriers, employés ou artisans, les Français et Européens sont à peu près 6% à avoir commis un délit ; les Maghrébins 12% ; les Africains hors-Sahel et les Turcs plus ou moins 10% ; les Sahéliens 18%.

    Pour les familles de cadres ou intermédiaires, les jeunes français et européens ne sont pas plus de 2% à avoir commis un délit ; les Maghrébins 5% ; les Africains hors-Sahel 4% ; les Sahéliens 13% ; les Turcs 12%.

    Pour les familles de chômeurs, inactifs et retraités, les Français sont 13% à avoir commis un délit ; les Européens et les Turcs à peu près 10% ; les Maghrébins 20% ; les Africains hors-Sahel 14% ; les Sahéliens 28%.

    Ces résultats confirment les travaux de Sébastian Roché, en démontrant une nouvelle fois que les populations immigrées sont proportionnellement plus délinquantes. Ils démontrent également que la sur-délinquance des jeunes d’origine immigrée n’est pas causée par un éventuel racisme institutionnel de la part de l’État Français : si c’était le cas, comment expliquer des différences aussi importantes entre Sahéliens et Africains hors-Sahel ?

    Il ne s’agit pas ici de prétendre que les immigrés et leurs descendants sont tous, ni même majoritairement, des délinquants, cela serait bien évidemment faux. Mais tout simplement de montrer que, d’après des chercheurs en sciences sociales réputés, que les populations d’origine immigrée sont statistiquement plus délinquantes que les populations d’origine européenne. Quant à ceux qui prétendent le contraire, ce sont au mieux des ignorants, au pire des menteurs.

    Bibliographie

    • LAGRANGE Hugues (2010), Le déni des cultures, Paris, Seuil.
    • ROCHE Sébastian (1998), Sociologie politique de l’insécurité, Paris, Presses Universitaires de France, 1ère édition « Quadrige », 2004.
    • ROCHE Sébastian (2001), La délinquance des jeunes : les 13-19 ans racontent leurs délits, Paris, Seuil.

    Notes

    1. http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/personnes1.asp?T=R
    2. Les délits simples comprennent les dégradations simples, les vols sans violence et les bagarres sans blessure.
    3. Les actes graves comprennent le racket, les vols avec violence, les vols de voiture, les cambriolages, les caillassage, les coups et blessures.

    http://fr.novopress.info/178215/immigration-delinquance/

  • Comment l’élite du FN trahit sa base électorale

    Le responsable du FNJ, Guillaume Desaussaye, avec sa tête de minet giscardien sorti d’un casting d’Hélène et les garçons, confesse qu’il n’y a pas de "grand remplacement" porte de Clignancourt.   

    Marine Le Pen accuse Renaud Camus de théorie du complot ; le responsable du FNJ, Guillaume Dussausaye, avec sa tête de minet giscardien sorti d’un casting d’Hélène et les garçons, confesse qu’il n’y a pas de « grand remplacement » porte de Clignancourt. Il y a ceux qui croient voir beaucoup d’immigrés, dit-il, beaucoup d’Africains, d’islamistes ou de ce qu’on voudra ! C’est simplement un problème culturel, plus important que le problème racial – qu’il accuse d’autres (son électorat, en fait) de fomenter.

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  • Londres: tirs d’artifices sur la police par de jeunes musulmans

    De jeunes musulmans ont été filmés entrain de tirer des fusées d’artifices sur la police dans un quartier est de Londres…

    La vidéo a été mise en ligne sur Facebook par des citoyens visiblement inquiets que les grands médias ne relaient pas l’information…

    Londres aussi a donc ses « chances pour l’Angleterre », et ses médias complices, au moins par leur aveuglement…

     

    http://www.contre-info.com/

  • De jeunes enfants français armés, djihadistes en Syrie

    La scène se passe dans la ville de Racca (Syrie) qui est aux mains de l’Etat Islamique.

    Un homme parlant français s’adresse à deux enfants. L’un répond en français qu’il vient de “Strasbourg 6-7″. L’autre enfant déclare, avec un accent de la Ville Rose, venir “de Toulouse, de la Reynerie”, un quartier sensible ; à la question “tu représentes Mohamed Merah ?  Allah Ou-akbar !” il répond “oui”.

    Plus tard le “Strasbourgeois” déclare “Vaux mieux venir ici car là où vous êtes [en France] vous avez pas de chance. Parce que là-bas, vous êtes dans un pays de «koufars» (infidèles). Ici on est des «moudjahidines», on est en Syrie, on est à Racca ici, c’est la guerre ici !”

    Par le droit du sol ils sont français “comvouzémoi”.

    La vidéo est hébergée par Daily Military Defense & War Archive dont le but est de présenter des documents sur la guerre vue des deux cotés. L’organisme indique que la vidéo a probablement été filmée entre octobre et novembre 2014.

    http://fr.novopress.info/178213/jeunes-enfants-francais-armes-djihadistes-en-syrie/