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immigration - Page 1306

  • Kofi Yamgnane, modèle d’intégration, mis en examen pour corruption

    C’est un important symbole de la Gauche qui est foudroyé aujourd’hui…

    Kofi Yamgnane est un Togolais venu en France dans les années 60.

    Il s’impliqua dans la vie politique, du côté du PS, et devint le premier « maire noir » de Bretagne, en 1989.
    La gauche mit en avant cet élection à l’occasion du bicentenaire de la Révolution, célébrant une intégration réussie (sensée éclipser l’enfer que fait vivre l’immigration de masse aux Français ?) et l’« ouverture » des électeurs blancs ayant élu un Noir, le seul de la commune.

    Conseiller régional, conseiller général, député, cet apparatchik du PS – que les médias prenaient un malin plaisir à qualifier de « breton » – avait été nommé « Secrétaire d’État chargé de l’Intégration auprès du ministre des Affaires sociales et de l’Intégration » en 1991.

    Bien que « parfaitement intégré », Yamgnane (« bi-national ») s’est présenté en 2005 et 2010 aux élections présidentielles… togolaises.

    On apprend maintenant que cet homme admirable a été placé en garde-à-vue hier et est mis en examen pour « trafic d’influence », dans le cadre de l’affaire de corruption impliquant Christophe Rocancourt, surnommé « l’escroc des stars ».
    Il est soupçonné d’avoir trempé dans un trafic de cartes de séjour…

    Placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de rencontrer les autres protagonistes de ce dossier, il devra s’acquitter d’un cautionnement de 3 000 euros.

    Bref : cet individu est effectivement bien intégré à la République et au monde politique français.
    Pour ce qui est de l’intégration à la France, c’est bien sûr une autre histoire…

    Source T. de Chassey

    http://www.contre-info.com/

  • Ils participent aux Assises de la Remigration (2) : Renaud Camus

    Le 15 novembre prochain, le Bloc identitaire organise les Assises de la Remigration. Plusieurs personnalités interviendront lors de ces assises. Novopress diffuse régulièrement leur portrait. Deuxième d’entre eux : Renaud Camus (photo).

    Renaud Camus est écrivain. Célèbre notamment pour ses journaux et la série d’ouvrages « Demeures de l’Esprit », il a aussi forgé le concept de Grand Remplacement (concept et pas théorie, car il décrit malheureusement une ralité bien palpable pour de très nombreux Français) qu’il définit ainsi : « Oh, c’est très simple : vous avez un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, vous avez à sa place un ou plusieurs autres peuples. »

    Récent partenaire du Bloc Identitaire dans le cadre de l’Observatoire du Grand Remplacement, Renaud Camus interviendra le 15 novembre 2014 à Paris dans le cadre des Assises de la Remigration.

    http://fr.novopress.info/177473/participent-aux-assises-remigration-2-renaud-camus/

  • Ils participent aux Assises de la Remigration (2) : Renaud Camus

    Le 15 novembre prochain, le Bloc identitaire organise les Assises de la Remigration. Plusieurs personnalités interviendront lors de ces assises. Novopress diffuse régulièrement leur portrait. Deuxième d’entre eux : Renaud Camus (photo).

    Renaud Camus est écrivain. Célèbre notamment pour ses journaux et la série d’ouvrages « Demeures de l’Esprit », il a aussi forgé le concept de Grand Remplacement (concept et pas théorie, car il décrit malheureusement une ralité bien palpable pour de très nombreux Français) qu’il définit ainsi : « Oh, c’est très simple : vous avez un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, vous avez à sa place un ou plusieurs autres peuples. »

    Récent partenaire du Bloc Identitaire dans le cadre de l’Observatoire du Grand Remplacement, Renaud Camus interviendra le 15 novembre 2014 à Paris dans le cadre des Assises de la Remigration.

    http://fr.novopress.info/177473/participent-aux-assises-remigration-2-renaud-camus/

  • De l’engagement de volontaires français et musulmans dans les rangs de l’Etat islamique

    Les deux attaques menées au Canada à la fin de ce mois d’octobre 2014, par ce qu’il est convenu d’appeler des loups solitaires (« Lone Wolf »), rappellent aux Français celles de Toulouse (2012) et de Bruxelles (2014). Les hasards du calendrier font que la commission mixte paritaire du Parlement vient de déposer ce 21 octobre les derniers points relatifs à un nouveau texte législatif, lequel offre à l’Etat les armes nécessaires face à cette menace.
    Justifié sur le fond par son intitulé – « Projet de loi renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme » (1), le caractère potentiellement liberticide de ce texte ne sera pas ici abordé sur la forme, puisqu’il s’agit du prix à payer pour renforcer la sécurité. En outre, même si les propos qui suivent considèrent les risques liés au Djihadisme, il faut garder à l’esprit le fait que ce projet de loi concerne le terrorisme dans sa globalité ; il ne contient aucunement les mots « islamiste » ou « fondamentaliste ». Cette prudence est doublement justifiée si on se souvient, d’une part que la tactique du loup solitaire aurait été forgée par un extrémiste américain, Joseph Tommasi (1951-1975, à ne pas confondre avec son homonyme français), d’autre part que le dernier massacre d’importance en Europe (77 morts) est le fait d’un autre extrémiste norvégien, Anders Behring Breivik (2011), deux individus plutôt opposés à l’Islam…
    Les terroristes sont loin d’être des militants d’une même valeur…
    Comme à l’accoutumée, l’émotion l’emporte sur la réflexion, et une seule approche est proposée pour apporter une même solution à un problème complexe. Les attaques improvisées d’un loup solitaire sont fondamentalement différentes des attentats coordonnés et soigneusement planifiés à Madrid (2004, 191 morts) et à Londres (2005, 56 morts). Le choix des cibles est une autre différence essentielle ; anonymes dans le cadre des attentats de Madrid et de Londres, elles sont des militaires ou des Juifs lors des attaques individuelles. Cette particularité montre bien que les auteurs se considèrent déjà comme des combattants qui se sont donnés un ennemi. Quand Al-Qaïda ou l’Etat islamique lancent un appel aux attaques individuelles, leur démarche est d’abord politique, considérant que chaque Croisé est un ennemi des Musulmans. Mais on ne souligne pas assez les raisons psychologiques, voire psychiatriques, et sociales, présentes chez les individus souvent isolés qui répondent à cet appel, raisons masquées par ce qu’on croit être une unique cause idéologique ou religieuse. C’est confondre les facteurs structurels et conjoncturels, car leur engagement vise aussi un faire-valoir envers eux-mêmes et envers les autres. 
    Les attentats commis dans le contexte du Groupe islamique armé [GIA] par Khaled Kelkal (1995), passé de la délinquance à l’Islam à l’occasion de ses incarcérations, n’ont rien de commun avec le meurtre d’un soldat britannique en pleine rue à Londres (2013) par Michael Adebowale et Michael Adebolajo, deux étudiants convertis et militants, sans antécédents judiciaires. Si les quatre loups solitaires cités en préambule sont certes différents (Mohammed Merah, Mehdi Nemmouche, Martin Couture-Rouleau, Michael Zehaf-Bibeau), ils semblent avoir au moins deux points communs : d’abord un casier judiciaire pour des faits de délinquance, ensuite avoir été identifiés comme des individus à risque par les services de renseignement. Par contre, l’habituelle défaillance des gouvernements à séparer le symptôme (l’acte terroriste) de sa cause (la revendication politique) est commune aux deux modes d’attaque. Se limiter à un traitement de surface sans aller en profondeur ôter les racines du mal ne peut être qu’un palliatif…
    Quelque part, cet acte volontaire qu’est l’engagement tire pourtant l’individu hors de sa servitude, quelle qu’en soit la nature. L’engagement est un risque personnel, non seulement physique quand il s’agit d’aller combattre, mais aussi moral, en acceptant d’être jugé, notamment par ses proches. Pour certains volontaires, il pourrait même s’agir d’une démarche analogue à une rédemption, ce que devraient pouvoir comprendre des Chrétiens.

  • Des jeunes migrants seront pris en charge par la Ville de Paris

    « Nous sommes satisfaits ! Nous avons obtenu que la quinzaine de jeunes qui étaient à la rue soient pris en charge par la Mairie de Paris, qui leur proposera un hébergement dès demain », se félicite Abir Adan, secrétaire général de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL). 
    Mardi 21 octobre, on savoure la victoire, et l’humeur est à la fête dans les locaux de ce syndicat lycéen où ces jeunes, dont certains scolarisés dans des lycées professionnels, avaient, depuis huit jours, trouvé refuge. L’après-midi même, une trentaine de personnes, des jeunes migrants, entourés de militants du Réseau éducation sans frontière (RESF) et de l’Association accompagnement et défense des jeunes isolés étrangers (Adjié) avaient manifesté sur le parvis de l’Hôtel de ville. 
    La conseillère municipale (Front de gauche) Danièle Simonnet était venue les soutenir, dénonçant « la suspicion systématique envers ces jeunes, dès leur arrivée dans la capitale, sur leur âge, leur identité » et faisant remarquer que le Défenseur des droits, Jacques Toubon, avait sévèrement épinglé la Mairie de Paris sur cette question : « Force est de constater que les mineurs isolés étrangers en errance sur le territoire parisien peinent à être pris en charge et ne bénéficient pas des mesures de protection et d’accompagnement prévues par la convention internationale des droits de l’enfant », notait-il dans sa recommandation du 29 août. 
    Une délégation de quatre personnes a été reçue par Dominique Versini, maire adjointe chargée, entre autres, de la lutte contre l’exclusion : « On ne va pas les laisser tomber, on ne se défausse pas », a-t-elle confirmé, remarquant cependant que « ces jeunes ne sont pas mineurs, en tout cas ont-ils été déclarés majeurs à la suite d’une décision de justice et sur la foi d’une expertise médicale. Il y a, certes, des marges d’erreur, notamment entre 17 et 19 ans, mais les juges ne prennent en compte que la fourchette basse de l’estimation de leur âge. La Mairie ou, plus précisément, le département de Paris, n’a donc pas d’obligation à prendre en charge les majeurs, car cela incombe à l’État », a rappelé Mme Versini à propos de ce dossier qu’elle connaît bien, ayant été elle-même Défenseure des droits mais aussi directrice du Samu social de Paris et ancienne secrétaire d’État à l’exclusion dans le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. « C’est moi qui ai proposé ce dispositif de mise à l’abri des mineurs isolés étrangers, j’ai donc à cœur qu’il fonctionne bien et nous tenons le plus grand compte des recommandations du Défenseur des droits », a-t-elle tenu à préciser. 
    SANS UN SOU NI UN CONTACT 
    Cette solution, bienvenue pour la quinzaine de lycéens soutenus par la FIDL, n’épuise pourtant par le problème de l’afflux soudain de ces jeunes, accru depuis trois ou quatre ans. Venus du Sénégal, du Cameroun, du Mali, ils débarquent, après un incroyable périple, en Ile-de-France sans un sou ni un contact. 
    Ils vont frapper à la porte de la permanence d’accueil et d’orientation des mineurs isolés étrangers (Paomié), confiée à France terre d’asile, qui examine leurs papiers, écoute leur récit, juge s’il s’agit bien de « mineurs isolés » et, selon le Défenseur des droits, rejette l’aide sociale dans un cas sur deux : « C’est une véritable moulinette à exclure, alors que leur devoir serait d’abord de protéger ces jeunes qui, laissés à la rue, risquent de commettre des vols, de se prostituer… », plaide Sylvie Bord, de l’Adjié, qui évalue à entre six cents et sept cents le nombre de ces jeunes en errance. 
    La Mairie de Paris fait, elle, valoir ses efforts : 95 millions d’euros en 2014 (contre 35 millions d’euros en 2008) sont consacrés à la prise en charge de deux mille jeunes, dont sept cents sont majeurs et bénéficient d’un contrat « Jeune majeur », à condition qu’ils suivent avec sérieux leur scolarité.

  • Plus de cent personnes à Nantes pour écouter Renaud Camus

    “Pire que la guerre de Cent-Ans, cette crise ( le Grand Remplacement ) est la plus terrible que notre peuple ait eu à affronter.” Cent personnes s’étaient déplacées vendredi soir à Nantes pour entendre Renaud Camus, invité par le cercle Anne De Bretagne (structure du Bloc identitaire). Du grand remplacement à la Remigration était le thème de l’intervention et prélude aux assises sur la Remigration qui auront lieu le 15 novembre à Paris, organisées par le bloc identitaire. Du constat aux solutions, pour que notre pays demeure ce qu’il fut. “Peut-être une fois le peuple d’origine noyé parmi d’autres, la France s’appellera toujours la France, mais ce ne sera plus le même pays”. Comme ce que l’on appelle musique ou art désigne quelque chose ne correspondant plus à ce que cela a été.

    Condamné par la XVIIème chambre du tribunal correctionnel de Paris sur plainte du MRAP, Renaud Camus revient brièvement sur la déformation de ses propos aux assises sur l’islamisation de la France, notamment sur le fait d’avoir appelé les délinquants “soldats” de la conquête de notre pays ( et non “les musulmans”). Comparer des soldats à des voyous serait peut-être condamnable, mais l’inverse, n’est-ce pas leur faire plutôt honneur ?

    Inventeur et ardent défenseur du syntagme “Grand Remplacement”, à qui il refuse lui-même le statut de concept, Renaud Camus en appelle à nos yeux pour refuser sa négation par les médias et les politiques :“Regarde ! Regarde ! Regarde ! Les rues et les photos de classes !”

    Cocasse comparaison de la propagande officielle avec le chaudron ramené percé de Freud, l’emprunteur indélicat se défendant ainsi :1/ il l’a rendu intact, 2/ le chaudron était déjà percé, 3/ il ne l’a même jamais emprunté. De même, les défenseurs de l’immigration de masse nous disent, 1/qu’il n’y a pas plus d’immigrés qu’au début du XXèmesiècle, 2/ que la France a toujours été une terre d’immigration et finalement 3/ que celle-ci est si importante qu’elle serait désormais irréversible.

     

    Ce pays qui a pourtant refusé d’être colonisé pendant près de 15 siècles !

    De même que cette continuelle contradiction, continue-t-il, s’est mise en place une véritable “industrie de l’hébétude”, basée sur“l’enseignement de l’oubli”, ou la fin de l’enseignement de l’histoire,“l’abêtissement de masse”, là encore totalement nié, comme si le niveau scolaire général avait progressé et enfin “l’économie parallèle”,joli nom de la diffusion massive de drogues, notamment par nos hôtes.

    Constats et preuves du Grand Remplacement, diffusés par la pensée et l’oeuvre de Renaud Camus et distillés lors de cette conférence, pour en venir à la solution, qui doit être notre “combat anti-colonial” pour que cesse cette immigration de masse mais aussi pour inverser la machine, avant que ne s’achève la colonisation de peuplement, de notre pays comme du reste de l’Europe.

    Comme les 26 propositions du Bloc identitaire, l’auteur recherche les solutions et lève les obstacles. Bien évidemment “le renversement des flux migratoires, devra être mené humainement par le changement des lois”, notamment le droit du sol.

    Aussi se pose pour certains la question de la sélection au départ, mais là encore l’essayiste en appelle à notre regard : “Ceux qui ne sont pas attachés à la France le manifestent suffisamment pour qu’il soit aisé de les reconnaître.”

    Là enfin, se dresse devant nous une vaste coalition de politiciens, dont le Parti socialiste, requalifié de “parti remplaciste, mais auquel le pendant de droite “n’a rien à envier “, avec des personnalités telles Alain Juppé, maire utile au Grand Remplacement et l’utilisant pour s’accrocher au pouvoir, au cœur de la ville qu’il administre.

    L’égalité ayant créé, entre autres problèmes dans la famille ou à l’école, celui majeur de la non distinction entre citoyen et non-citoyen :“S’il n’y a plus d’étrangers alors nous ne sommes plus chez nous nulle part.”

    Pire encore dans notre système, le poids démographique entraine ainsi le poids électoral. Ce qui crée la tentation de céder aux exigences de l’occupant, voire de chercher à le séduire.

    Ce sera là un des défis du Front National, rester l’espoir et le parti des français de souche et de cœur et ne point céder à la tentation du compromis ou de la collaboration avec les colons.

    http://fr.novopress.info/177451/cent-personnes-nantes-ecouter-renaud-camus/#more-177451

  • Le renseignement allemand préfère traquer les néonazis plutôt que les islamistes

    D'après le Frankfurter Allgemeine, qui a recueilli les confidences d'un agent du Verfassungsschutz (le bureau fédéral de protection de la Constitution), les services allemands de renseignement sous-estiment sensiblement le nombre de musulmans partis faire le djihad en Syrie et en Irak :

    "« Nous devrions multiplier par quatre le chiffre officiel pour obtenir un nombre réaliste ». Les services allemands de renseignement annonçaient 400 ressortissants musulmans partis au djihad, pour l’informateur leur nombre serait très proche de 1 800. Tout comme en France, cette sous-évaluation serait due au manque de personnel ou, plus exactement, à l’affectation des personnels disponibles à la traque des néo-nazis... Les déplacements de ces islamistes allemands vers les théâtres d’opérations de Syrie et d’Irak sont facilités et rendus impossible à contrôler du fait qu’il n’est pas nécessaire d’obtenir un visa pour se rendre d’Allemagne en Turquie. Selon Hans-Georg Maassen, patron du Verfassungsschutz, l’Allemagne pourrait compter, d’ici à la fin de l’année, près de 7 000 Salafistes, et elle héberge déjà quelque 950 membres actifs du Hezbollah..."

    Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html