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Renaud Camus: "Je me bats comme un beau diable pour défendre cette civilisation européenne menacée"
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290 djihadistes ont touché des prestations sociales en 2014
Nos impôts. Lors de la séance questions d’actualité au Gouvernement, le député UMP Alain Marsaud a interpellé le ministre de l’Intérieur sur le versement des prestations sociales aux djihadistes partis combattre en Syrie ou en Irak.
« Impuissance à contrôler et à stopper le versement de ces prestations »
Le Député a jeté un pavé dans la marre de Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur : « comment expliquer que un ou deux milliers de Français (…) quittent la France pour aller combattre à l’étranger ou y vivre (…) A maintes reprises, j’ai eu l’occasion d’interpeller le ministre de l’intérieur sur l’utilisation supposée des allocations familiales ou prestation de toute nature que continuent à percevoir lesdites familles dans ces zones ». Le député poursuit en relatant des échanges qu’il a eus avec des directeurs de caisses d’allocations familiales, « qui [lui] ont fait part de leur impuissance à contrôler et à stopper le versement de ces prestations au profit de ces personnes ». L’ancien magistrat antiterroriste a « constaté hélas que ces versements se poursuivaient aujourd’hui et que certains Français faisaient usage de leur carte de crédit (…) pour débiter leur compte crédité en France par nos organismes sociaux ». Le député UMP a ajouté : « Il est temps que nos services de renseignement croisent leurs fichiers avec les caisses d’allocations familiales ». [....]
La suite sur Valeurs Actuelles
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Salafistes, Pegida et antifas en viennent aux mains à Wuppertal
La situation est de plus en plus tendue en Allemagne. Samedi dernier, dans la ville de Wuppertal, se tenaient simultanément un meeting salafiste en plein air, une manifestation de Pegida et une manifestation de l’extrême gauche et des antifas. La police a eu bien du mal à séparer les différents groupes.
http://www.medias-presse.info/salafistes-pegida-et-antifas-en-viennent-aux-mains-a-wuppertal/27763
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L’intégrisme islamique et la civilisation – par Hélios d’Alexandrie
Il s'agit de la deuxième chronique de la série d'Hélios d'Alexandrie consacrée à l’intégrisme islamique. La première chronique est ICI.
Paradoxe étrange que celui de la civilisation dite islamique, car c'est la seule civilisation qu'on identifie à une religion, et qui fut en même temps la seule où la religion ne joua aucun rôle positif, voire qui prit son essor en dépit de la religion. La civilisation dite islamique fut également la seule où la religion a été le facteur principal de son déclin et de sa disparition.
Cette introduction me semble nécessaire pour bien comprendre les dangers mortels de l'intégrisme islamique. Depuis qu'un certain Samuel Huntington a parlé du «conflit des civilisations», l'islam intégriste sous ses aspects politique et belliqueux, n'a cessé de gagner du terrain. En tant que «phénomène civilisationnel» il a atteint son «apogée» et sa «parfaite expression» avec l'avènement du Califat islamique (DAECH). Peut-on sérieusement parler dans son cas de civilisation? La question se pose, parce que dans la mesure où le Califat islamique reproduit fidèlement l'État musulman fondé par Mahomet et ses successeurs immédiats à Médine, il se trouve à reproduire également la «civilisation islamique» à sa naissance.
La «civilisation islamique» des origines
Ce que le Califat islamique accomplit présentement à petite échelle, la «civilisation islamique» au début de l'islam, l'a accompli à très grande échelle. Les destructions opérées dans tous les pays conquis et l'asservissement de leurs peuples ont eu pour effet d'effacer ou du moins de plonger dans l'oubli une part importante du patrimoine culturel de l'humanité. Les musulmans n'utilisent jamais le mot conquête pour parler des invasions de la Syrie, de la Mésopotamie, de la Perse, de l'Inde, de l'Égypte, de l'Afrique du Nord, du Sud de l'Europe, ils emploient plutôt le terme foutouhat(pluriel de fath) ce qui signifie ouvertures. À en croire l'histoire officielle de l'islam les armées musulmanes n'ont pas envahi ou conquis, elles ont «ouvert» ces pays!
Les mots ne sont jamais innocents, Saint-Paul a bien dit que la «lettre tue». «Ouvrir» est plus qu'un euphémisme, il signale le droit sacré du maître à pénétrer dans son «domaine». L'Égypte, la Syrie, la Perse, l'Afrique du Nord, la Sicile, l'Andalousie n'appartiennent plus à leurs habitants mais aux conquérants musulmans à qui Allah a promis qu'ils auront la terre entière en héritage. Égyptiens, syriens, perses, amazighs, ibériens, siciliens etc. ont du coup cessé d'être chez eux, ils ne sont plus que les métayers des maîtres arabes, liés à eux par un pacte de sujétion absolu (la dhimma) où le droit à la vie des conquis est soumis à l'arbitraire du conquérant.«La civilisation islamique» des origines, ne reconnaissait aucune valeur aux autres civilisations. Pour Mahomet et ses successeurs tous ces peuples vivaient dans la «jahiliya», l'ignorance. L'islam leur apportait donc «el elm» la science, et «el haq» la Vérité, en plus du «dine Allah» la religion d'Allah, tel que le coran l'a ordonné: «combattez-les à mort (les non-musulmans) jusqu’à ce que cesse toute dissension et que l’islam soit l’unique religion» (coran 8 :39). À la défaite militaire succédait l'impérialisme religieux et culturel; des peuples de haute civilisation se voyaient imposer sous peine de mort une religion primitive et violente, ils étaient contraints d'entrer dans le moule des coutumes et des lois tribales, et forcés de s'humilier devant un tyran inculte.
«La civilisation islamique» des origines a failli anéantir totalement les civilisations des pays conquis. Mais ces dernières ont survécu, non à cause de la clémence ou de la reconnaissance des conquérants, mais grâce à leur salutaire corruption. Le drainage massif des richesses a permis à des arabes qui naguère vivaient chichement, de se vautrer dans l'abondance et le luxe, ils y prirent goût au point de mettre au rancart leur propre «civilisation». Les charmes de la jahiliya(l'ignorance) des peuples conquis, les ont convaincus d'en préserver la source, ou du moins ce qui en restait. L'on assista donc à un mariage, à bien des égards forcé, entre les civilisations meurtries des pays conquis et la culture primitive des bédouins du Hedjaz.
La civilisation dite islamique
C'est ce mariage contre nature entre les civilisations des peuples conquis et le tribalisme arabe, qui a été à l'origine de la civilisation dite islamique. Tant que l'islamisation des pays conquis restait partielle ou marginale, elle a pu se maintenir. Au début de l'ère abbasside, plus de cent ans après la mort de Mahomet, les musulmans ne comptaient que 8% de la population de l'empire, et c'est durant cette période que la civilisation dite islamique a connu son apogée. Le patrimoine intellectuel et artistique des peuples asservis a été préservé et enrichi, l'empire islamique a permis la circulation et le brassage des idées, juifs chrétiens et perses ont conservé et transmis les sciences et la philosophie, ce sont eux qui ont administré l'empire au profit des conquérants. La prospérité matérielle a favorisé les arts et contribué à développer l'architecture et les métiers. L'islam en tant que religion, système politique et mode d'organisation de la société, a nui plutôt qu'il n'a contribué à la civilisation, en effet la presque totalité des penseurs, des écrivains et des poètes de ce temps ont été condamnés pour hérésie ou apostasie, à l'exception de ceux qui bénéficiaient de la protection des puissants.
Mais la civilisation, quoique brillante du temps des omeyades et des abbassides, portait en elle les germes de sa décadence et de sa chute prochaine, elle déclinait à mesure que l'islamisation des peuples progressait. Le sursis a duré tout au plus trois siècles, le temps de tribaliser les sociétés et de fossiliser la pensée, suffisamment pour que le fanatisme et l'intolérance envers tout ce qui n'est pas islamique, imposent l'obscurantisme et le fatalisme aux esprits. Il n'est pas exagéré de dire que la civilisation dite islamique est morte d'intoxication chronique et progressive à l'islam.
Les exemples abondent pour illustrer ce fait historique. Les grands esprits: penseurs, poètes, érudits, écrivains, savants, médecins, qu'ils soient juifs, chrétiens, musulmans, hérétiques ou athées, tels que Maimonide (juif), Théodore Abou Koura (chrétien sabéen), Hunayn ibn Ishaq ou Johanitius (chrétien nestorien), al Razi ou Rahzès (musulman sceptique), Al Farabi (hérétique), Ibn Rushd ou Averroès (musulman), Ibn Sina ou Avicenne (musulman), Ibn Khaldoun (musulman), Abou al Alaa el Maari (athée) et beaucoup d'autres, n'ont pas réussi à faire école, leur pensée, leurs travaux se sont heurtés aux dogmes immuables de l'islam, ils ont été répudiés, et c'est l'Europe qui a récolté leur héritage en même temps que celui des grecs et des romains. La civilisation dite islamique a tourné le dos à la philosophie et à la science qui se sont développés en son sein, elle a choisi d'être stérile et obscurantiste, elle a fait de cette stérilité et de cet obscurantisme une obligation religieuse.
L'intégrisme islamique, une anti-civilisation
Aujourd'hui les intégristes islamiques contemplent avec «nostalgie» ce qu'on appelle communément l'âge d'or de l'islam, lequel s'étend du début des conquêtes jusqu'au onzième siècle de l'ère chrétienne. L'empire islamique était alors l'unique superpuissance militaire et économique du monde, sa civilisation était la plus importante. Si la «nostalgie» des islamistes se justifie pour ce qui est de la puissance militaire et économique, en revanche elle ne peut aucunement se comprendre pour ce qui est de la civilisation proprement dite. En effet les penseurs, les érudits, les poètes, les philosophes et les savants de ce temps ont été violemment combattus par les tenants de l'orthodoxie islamique, un grand nombre d'entre eux a perdu la vie à cause de ses idées ou de ses écrits. Pire, le dogmatisme religieux et le concept de coran, parole d'Allah incréée, donc immuable et totalement vraie, a servi de camisole de force à la pensée rationnelle et spéculative. Prisonniers de l'absolue « véracité » du coran, les musulmans ont dû renoncer au bon sens et à l'esprit critique, désormais la «vérité» est fixée dans le coran pour l'éternité.
L'intégrisme islamique est le résultat concret du choc civilisationnel entre l'islam et la civilisation occidentale. Il résulte du refus de prendre acte de l'échec de l'islam et du succès du christianisme. On y décèle une double blessure: la première est d'ordre narcissique, elle met à mal le sentiment de supériorité des musulmans, qu'Allah dans le coran a désignés comme la meilleure communauté parmi les hommes. La seconde est d'ordre religieux, les musulmans sentent dans leur for intérieur qu'ils ne peuvent rejoindre le cortège de la civilisation sans transformer de fond en comble l'islam. Or transformer en profondeur l'islam équivaut à le détruire ou à n'en conserver que l'aspect folklorique. Face à ce dilemme l'islam pour durer n'a d'autres choix que se replier sur lui-même, mais ce repli dans un monde ouvert est illusoire à long terme, voilà pourquoi il lui faut également détruire la civilisation occidentale.
L'intégrisme est un repli défensif
Le repli est absolument nécessaire pour préserver l'islam, c'est ce point que les musulmans réformateurs ne comprennent pas. En effet la modernité constitue un danger mortel, l'adopter revient à nier des pans entiers du dogme islamique, dont l'absolue véracité du coran. Pour lui faire échec il convient de ligoter les esprits par l'endoctrinement, ériger des murs doctrinaux suffisamment élevés pour rendre impossible toute tentative d'évasion. Il convient aussi de diaboliser la modernité en tant que composante principale de la civilisation occidentale, elle est décrite comme corruptrice, immorale et hostile à l'islam. Les droits, les libertés, l'égalité, le libre arbitre, la laïcité, la démocratie sont équivalents à l'apostasie pour ceux qui les adoptent.
Mais il faut également échapper à toutes les tentations susceptibles d'affaiblir le repli ou distraire des obligations religieuses: tout ce qui permet à l'esprit d'échapper à l'emprise de la religion, tout ce qui a pour conséquence d'empêcher la religion d'occuper toute la place. C'est ainsi que la culture d'origine devra s'effacer: littérature, poésie, peinture, sculpture, chansons, musique, danse, folklore, humour, cinéma etc. Pour préserver l'islam il convient donc de renoncer à sa propre culture et à sa propre civilisation. Le repli fait en sorte que les musulmans quel que soit leur pays d'origine ne se différencient que par la langue parlée et le caractère ethnique. L'uniformité est de rigueur, rien ne peut distinguer une marocaine d'une pakistanaise si toutes les deux portent le niqab.
L'intégrisme est un préalable au jihad
L'islam sera en danger tant que la civilisation occidentale se maintiendra; incapable de la rejoindre sans se renier il lui faut la détruire. Les intégristes aujourd'hui se perçoivent comme les héritiers et les continuateurs de Mahomet et des conquérants musulmans après lui. De la même façon que les premiers musulmans ont détruit par le fer et par le feu les civilisations qui les entouraient, les intégristes s'activent à miner par tous les moyens la civilisation occidentale. Impuissants à conquérir l'Occident par les armes, ils ont choisi de le conquérir par d'autres moyens dont l'émigration de masse et la démographie. Pour échapper au risque d'intégration et d'assimilation, les intégristes font tout ce qu'ils peuvent pour imposer et renforcer le repli sur les musulmans en Occident. C'est de cette façon qu'ils peuvent s'assurer que le temps jouera en leur faveur, le jour où ils seront majoritaires, ils imposeront la charia et détruiront la modernité.
Autres lieux, autres moyens, les intégristes dans les pays islamiques adoptent une autre stratégie, elle consiste à islamiser les populations par la contrainte et si besoin est par la violence. Pour arriver à leurs fins, ils doivent prendre le pouvoir et ne jamais l'abandonner. L'objectif ultime est le califat universel, incluant tous les pays musulmans dans un premier temps, l'Europe dans un deuxième temps et le monde au complet par la suite. Objectif irréaliste? Les intégristes voient loin, ils savent que la partie se gagnera ou se perdra dans une trentaine d'années: ou bien l'islam domine le monde islamique et l'Europe, ou bien il s'effondre en provoquant une catastrophe humanitaire dont il est possible de percevoir aujourd'hui les signes avant-coureurs.
Conclusion
À travers l'intégrisme et le jihad l'islam joue son va-tout, à bien y penser il n'a pas le choix, c'est son échec sur le plan civilisationnel qui le lui impose. Cet échec est irréversible et irrémédiable, il est la conséquence directe du dogme. Il y a plus d'un millénaire les ulémas et les juristes islamiques ont érigé le dogme absolu du coran, en tant que parole d'Allah incréée, immuable, totalement vraie, valable pour tous les temps et tous les lieux. Ce faisant ils ont «brûlé tous les ponts», ne se ménageant aucune «porte de sortie», ils ont imposé par le fait même l'immobilisme, l'obscurantisme et la sclérose.
L'islam a choisi l'échec civilisationnel plutôt que renoncer à sa prétention de détenir la Vérité, il s'est identifié à elle, sans elle il n'est rien. Il lui faut donc la maintenir en dépit du bon sens, pour cela il ne reculera devant rien. La montée en puissance de l'intégrisme sous toutes ses formes, la violence inouïe des jihadistes, sont la preuve qu'il s'agit pour l'islam d'une lutte existentielle contre la civilisation occidentale, une lutte où il se doit de la détruire, ou à tout le moins l'entraîner dans sa chute.
http://www.postedeveille.ca/2015/03/integrisme-islamique-civilisation.html#more
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Les invasions barbares : notre histoire oubliée
L'islam occupe une place grandissante dans notre société. Son essor récent n'est pas sans poser de nombreux problèmes de cohabitation, auxquels les gouvernements de ces quarante dernières années n'ont pas trouvé de réponse probante. Nos politiciens sont paralysés par le politiquement correct et son corolaire antiraciste, qui empêche toute réflexion sérieuse sur les conséquences à long terme de cette transformation démographique, culturelle et surtout religieuse.
Connaitre le passé permet de comprendre le présent et d'anticiper le futur. Aussi un rappel historique de la cohabitation de l'islam en France permet de mettre en perspective le bouleversement auquel nous assistons. Malheureusement cette histoire de France n'est plus enseignée à l’école dans sa continuité ni dans sa totalité. Cette ignorance volontaire pourrait nous être fatale...
Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 après J.C. dans ce qui était la France de l’époque. Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques. Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et dévasté la rive droite du Rhône jusqu’à Sens.
En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d’Aquitaine. Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes. Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l’armée musulmane, qui se replia en désordre sur l’Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne. On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu’Eudes était mérovingien. Les Capétiens étaient sur le point de devenir rois de France et n’avaient pas envie de reconnaître une victoire mérovingienne. Les musulmans ont conclu alors qu’il était dangereux d’attaquer la France en contournant les Pyrénées par l’est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l’ouest des montagnes.
15.000 cavaliers musulmans ont ensuite pris et détruit Bordeaux, puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers, pour être finalement arrêtés par Charles Martel et Eudes à vingt kilomètres au nord de Poitiers, en 732. Les musulmans survivants se sont dispersés en petites bandes et ont continué à ravager l’Aquitaine. De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps pour participer aux pillages. Ces bandes n’ont finalement été éliminées qu’en 808, par Charlemagne. Les ravages à l’est ont continué jusqu’à ce qu’en 737 Charles Martel descende, au sud, avec une armée puissante, et reprenne successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et mette le siège devant Narbonne. Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France obligea Charles Martel à quitter la région. En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa définitivement les envahisseurs musulmans.
Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à l’ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et les femmes pour les introduire dans les harems d’Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour engendrer des musulmans. La place forte des bandes se situait à Fraxinetum, l’actuelle Garde-Freinet (le massif des maures). Une zone d’environ 10.000 kilomètres-carrés, dans les Maures, fut totalement dépeuplée.
En 972, les bandes musulmanes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genèvre. Le retentissement fut immense. Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes musulmanes, petites ou grandes. En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant deux siècles.
La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle s’exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer. Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castration en Corse, puis déportés dans les bagnes du Dar al islam, et les femmes d’âge nubile dans les harems. Les repaires des pirates musulmans se trouvaient en Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d’Espagne et celles de l’Afrique du Nord. Toulon a été totalement détruite en 1178 et 1197, les populations massacrées ou déportées, la ville laissée déserte. Finalement, les musulmans ayant été expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l’Italie et de la partie nord de l’Espagne (dont la Reconquista dura jusqu'au quinzième siècle), les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer par des actions de pirateries et à l'est avec l'invasion ottomane qui fut stoppée en 1683 à Vienne en Autriche, grâce à l'intervention des princes allemands et Polonais.
Ce n’est qu’en 1830 que la France, exaspérée par ces exactions, se décida à frapper le serpent à la tête, en allant en Algérie détruire définitivement les dernières bases des pirates musulmans.
Vous savez ce qu’est devenue ensuite l’Algérie, et l’histoire ne s’est pas figée. Ce qu’il y a de frappant, c’est qu’entre 714, la première entrée, et 1830, l’écrasement définitif des pirates barbaresques, il s’est écoulé plus d’un millénaire, ce qui montre qu’ils ne renoncent jamais…. Et aujourd’hui, effectivement, ils reviennent en masse. Ils ne semblent pas vouloir s’intégrer, et exploitent à fond les failles de nos lois, de nos principes démocratiques et de nos avancées sociales. Les plus radicaux ne cherchent qu’une chose : appliquer la charia et transformer nos pays d’Europe en un « Dar al Islam », une terre d’islam. La majorité silencieuse d'apparence pacifique y consent. Il suffit d’observer ce qui se passe à petite échelle dans les cités dès qu’ils sont en nombre suffisant. Il suffit de voir les persécutions actuelles contre les chrétiens d’Afrique du Nord, d'Irak, de Syrie, d’Égypte, d’Indonésie, du Nigeria, etc., pour imaginer quel serait le sort réservé à nos familles, à nos peuples européens de souche judéo-chrétienne, et à ceux qui ont trouvé refuge chez nous précisément parce que l’islam les persécutait chez eux...
Aidons nos concitoyens à guérir de cette amnésie collective.
Olivier Amos
Lu sur lesPatriotes.net -
Voile à l'université : le FN dénonce un "enfumage de fin de campagne"
Mardi soir, Nicolas Sarkozy s'est montré favorable à l'interdiction du voile à l'université, et "opposé aux repas de substitution" dans les cantines.
Le Front national a dénoncé mercredi la sortie de Nicolas Sarkozy sur TF1 mardi soir. L'ancien président s'est montré favorable à l'interdiction du voile islamique à l'université, mais aussi "opposé aux repas de substitution" dans les cantines scolaires. "Fidèle à son habitude, Nicolas Sarkozy court après le Front national et ressort la machine à promesses non tenues quelques jours avant les élections. Plus un Français n'est dupe de cette mascarade à visée électoraliste", écrit le FN dans un communiqué.
"Chacun connaît son goût pour la discrimination positive"
"Cette fois, il se présente en défenseur de la laïcité, prônant l'interdiction du voile à l'université. Cet enfumage de fin de campagne est grossier, car chacun sait que Nicolas Sarkozy avait dix ans pour agir, entre 2002 et 2012, comme ministre de l'Intérieur puis comme président de la République, et qu'il n'a rien fait. Chacun sait aussi que Nicolas Sarkozy est l'homme qui a nommé un préfet parce que musulman", poursuit le parti d'extrême droite. "Chacun connaît son goût pour la discrimination positive et sa vision communautariste de la société française. Chacun, enfin, a souvenir des flux massifs d'immigration sous le mandat de Nicolas Sarkozy, identiques aux chiffres actuels, soit 200 000 étrangers légalement reçus en France chaque année", développe le FN, pour qui "même à l'UMP Nicolas Sarkozy ne trompe plus".afp via le Point :: lien
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Le maire Gilles Platret (UMP) a mis fin à 31 ans de menus halal dans les cantines de Chalon-sur-Saône
Il faudra cesser avec la religiosité qui entre dans les assiettes de nos enfants dans les cantines scolaires sous couvert de laïcité.
C’est toujours au nom de la tolérance qu’il faille endurer l’intolérance. Car, ne nous y trompons pas, il y a les porcs, les impurs d’un coté et le halal, les purs d’un autre coté dans l’esprit mahométan. C’est bien le droit de se laisser bafouer de façon religieuse qui nous est imposé par un biais de laïcité qui finit par être un fourre-tout contenant de tout sauf du laïc au fur et à mesure que le population musulmane augmente et prend de l’influence.
A l’instar des indigents athées ou catholiques qui se retrouvent à manger ce que les musulmans ne veulent pas dans les distributions de colis pour précaires, des femmes qui se font juger légères dans leurs mœurs par les accompagnatrices voilées lors des sorties scolaires, les écoliers vivent cette ségrégation religieuse à l’avantage des islamistes.
Et pourquoi, dans tous les cas, la France devrait continuer de subir les insanités sanitaires du halal et son impôt religieux sournoisement instauré dans les réseaux de distribution alimentaire ?
C’est au nom d’une véritable laïcité que le maire Gilles Platret (UMP), a mis fin à 31 ans de menus mixtes dans les cantines de Chalon-sur-Saône. Il a, en effet, annoncé la suppression, à partir de la rentrée prochaine, du menu de substitution dans les cantines scolaires de Chalon-sur-Saône.
Najat Vallaud-Belkacem, visiblement plus préoccupée par l’appétit des musulmans que par l’essor vertigineux de la délinquance dans les milieux scolaires et périscolaires a promptement réagi : « Supprimer la possibilité d’avoir un menu non confessionnel, je trouve que c’est une façon, en réalité, d’interdire l’accès de la cantine à certains enfants »
Abdallah Zekri, président de l’Observatoire national contre l’islamophobie, interrogé par BFMTV, a jugé que c’était de la bêtise.
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Comment vos élus locaux financent la construction des mosquées
Extrait de l'interview du sénateur UDI de l’Eure, Hervé Maurey, rapporteur d'un projet sur la question des financements des lieux de culte par les collectivités locales :
"Aujourd’hui, nous n’avons aucune information - et je dis bien aucune - sur la manière dont les lieux de culte qui se construisent sont financés, en premier lieu les mosquées. Parce qu’aucune règle de transparence n’a jamais été posée. Avec des règles, nous saurions qui finance et nous pourrions aussi comprendre pourquoi et dans quel but. Nous avons besoin de savoir si certains doutes sont fondés ou non.Des financements de lieux de culte ont déjà interpellé Tracfin, les services du ministère des Finances qui surveillent les éventuels blanchiments d’argent.
Ces baux emphytéotiques sont une bombe à retardement. Le principe du bail emphytéotique est que le propriétaire met à disposition le terrain pour un nombre déterminé d’années. Au terme du bail, l’édifice construit appartient au propriétaire du terrain. Dans un proche avenir, les municipalités vont ainsi devenir les propriétaires d’une série d’églises catholiques construites avant guerre, comme c’est le cas pour une trentaine d’entre elles à Paris. Ce sont des bâtiments qui ont des coûts d’entretien élevés.Aujourd’hui, ce sont les églises catholiques mais demain, nous aurons les mêmes problèmes avec les mosquées. A Montreuil, la mosquée est ainsi édifiée sur un terrain municipal grâce à un bail emphytéotique.
La jurisprudence du Conseil d’Etat a autorisé les communes à financer des équipements ou des parties d’équipements à vocation culturelle et non pas cultuelle. Mais c’est souvent dans le même bâtiment. La frontière entre le cultuel et le culturel est assez ténue. Nous suggérons qu’il y ait un décret du Conseil d’Etat qui délimite tout cela. Dans certains cas, il y a une hypocrisie dans la distinction et la partie culturelle a pu être injectée pour que la totalité de l’édifice puisse être subventionnée."
Pour en savoir plus sur ce qui se passe près de chez vous.
Addendum : Jean-Marie Bockel vient d'annoncer que le rapport vient d'être adopté à l'unanimité au Sénat avec notamment l'article 6 : "Aider et sécuriser les élus locaux en définissant explicitement, par décret en Conseil d'Etat, les types de dépenses municipales pouvant relever du culturel et celles pouvant relever du cultuel".
Le financement officiel de l'islam en France, c'est maintenant !
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Loïc Liber, tétraplégique, victime de Mohammed Merah et oublié de la République
Loïc Liber appartenait au 17e régiment de génie parachutiste ; aujourd’hui, il a tenu à rompre son silence. Il y a trois ans, ce Guadeloupéen était la cible de Mohammed Merah, à Montauban. Ils étaient trois devant le distributeur de billets de la Société générale, situé à proximité de la caserne Doumerc, ce 15 mars 2012. Ils n’ont pas vu venir l’homme à moto qui, écartant une vieille dame, les a pris pour cible simplement parce qu’ils portaient un béret rouge. Loïc a été grièvement blessé, ses deux camarades de régiment – Abel Chennouf et Mohamed Legouad -, eux, sont morts sur ce trottoir, dans une petite ville française, sans comprendre.
Le militaire rescapé est resté un temps entre la vie et la mort mais, finalement, cette dernière n’a pas voulu de lui : « Heureusement, la balle a traversé mon corps de travers », explique-t-il à Radio Outre-Mer. « Je me rappelle très bien de la scène, on était trois. Malheureusement cet homme – il refuse de nommer Mohammed Merah – est venu par derrière… C’est un geste lâche, parce qu’il n’a pas eu le cran de nous affronter face à face. Tirer dans le dos de quelqu’un, c’est se montrer lâche… Ça fait beaucoup de peine de savoir qu’on est le seul rescapé de cette tragédie », confie avec tristesse ce soldat.
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Nicolas Bay sur Boulevard Voltaire : “politique de peuplement” de Valls : le multiculturalisme à marche forcée ?
Source : Boulevard Voltaire – ” [Politique de peuplement] de Valls : le multiculturalisme à marche forcée ?”
Que cela soit dans ses attaques contre le Front national ou contre les intellectuels (hier Éric Zemmour, avant-hier Michel Houellebecq, et désormais Michel Onfray), le Premier ministre a de plus en plus de mal à garder son calme et à cacher ses pulsions totalitaires. Pour Manuel Valls, l’excommunication tient lieu de débat : après tout, n’a-t-il pas lancé hier à Marion Maréchal-Le Pen qu’elle n’était “ni la République, ni la France” ? Un jugement s’adressant, sans doute aussi, aux millions de Français votant pour le FN. Si ces propos outranciers ne sont guère rassurants, l’attitude physique témoignée par Manuel Valls lors de cette virulente diatribe ne l’est pas davantage.Lorsqu’il avait dénoncé le 20 janvier dernier, à quelques jours seulement des terribles attaques islamistes, l’existence d’un “apartheid territorial, social, ethnique”, le Premier ministre cédait à deux tentations mortifères de la gauche, et même plus largement du camp mondialiste. Tout d’abord l’explication serait sociale, forcément sociale, et puis – le raisonnement est lié – tout serait un peu de notre faute (de l’État, des Français), forcément de notre faute. Un raisonnement facile permettant d’évacuer tant de questions… Au même moment, je m’interrogeais pour ma part sur l’immigration, le droit du sol et l’attribution automatique de la nationalité française.
À cet “apartheid”, Manuel Valls entend opposer une “politique de peuplement” dont il vient d’annoncer les premières inquiétantes propositions. La principale mesure éducative consisterait à redéfinir la carte scolaire pour les collèges afin de favoriser la “mixité sociale”. La même “mixité sociale” que l’on entend aussi imposer en forçant la construction de logements sociaux dans les communes réticentes, notamment en passant directement par les intercommunalités, voire même en faisant délivrer des permis de construire directement par les préfets. Ou comment priver les maires d’un de leurs principaux pouvoirs.
Au lendemain de cette présentation, le ministre de la Ville Patrick Kanner considérait même que “refuser les logements sociaux, c’est antirépublicain”. Rien que ça. Une réflexion piquante de la part de celui qui se déclarait récemment favorable à la discrimination positive.
Osons poser la question : de quoi le logement social est-il le nom aujourd’hui ? Malheureusement, à défaut de priorité nationale, à travers des procédures d’attribution souvent opaques (cachant mal un certain clientélisme contre lequel les élus locaux du FN mènent bataille), et des critères pernicieux, le logement social rime le plus souvent avec immigration. Une immigration que cette “politique de peuplement” entend désormais disperser sur tout le territoire, l’idée étant notamment de la diluer et donc de minimiser la perception de ses conséquences par nos compatriotes. La “mixité sociale” n’est que le cache-sexe d’un multiculturalisme à marche forcée, quitte à ce que les préfets s’en chargent !De la crise du logement à l’insécurité, on ne résoudra rien tant qu’on ne commencera pas par stopper l’immigration (ce qui signifie aussi en inverser les flux, notamment par l’expulsion systématique des clandestins et des criminels étrangers ou le non-renouvellement automatique des titres de séjour), rétablir l’assimilation républicaine comme règle, et réaffirmer avec force et fierté notre identité.
Nicolas Bay
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