Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1314

  • Jean-Paul Gourévitch, "les Migrations pour les Nuls"

  • Le gouvernement a peur de tuer des immigrés aux papiers français en Syrie et en Irak

    Alors même que les immigrés bénéficient de passe-droits en France (CMU, logements, justice clémente etc…) voila que le blogSecret Défense spécialisé dans l’univers militaire français lâche cette petite bombe :

    « Ne pas prendre le risque de tuer avec des bombes françaises des citoyens français partis faire le djihad. C’est le grand non-dit des hésitations de l’Elysée quant à une intervention militaire en Syrie contre l’Etat islamique. D’autres arguments, plus ou moins convaincants, sont mis en avant. Mais de celui-ci, personne ne veut parler. Le sujet est politiquement explosif. Au plus mal dans l’opinion publique, le pouvoir est-il prêt à assumer que des jeunes Français, pour la plupart d’origine immigrée, soient tués par l’armée française aux ordres d’un gouvernement socialiste Pour l’instant, la réponse est négative – d’où les atermoiements de la position de Paris telle qu’elle a encore été exprimée jeudi par un communiqué de l’Elysée à l’issue d’un conseil restreint de défense. »

    http://www.contre-info.com/le-gouvernement-a-peur-de-tuer-des-immigres-aux-papiers-francais-en-syrie-et-en-irak

  • Réforme du droit d’asile : une accélération du “Grand Remplacement” ?

    André Posokhow, consultant pour Polémia, fait le point sur la prochaine réforme du droit d’asile qui risque de dégrader encore la situation.

    Les SDF français ont de plus en plus de mal à trouver des hébergements à Paris comme en province : centres d’accueil et hôtels pour précaires sont pleins ; pleins de vrais (ou faux) demandeurs du statut d’asile qui bénéficient d’une priorité de fait.

    Polémia

    Chacun le sait, dans les préfectures comme dans les associations, mais tout le monde se tait : l’omerta administrative et médiatique règne sur ce qui est une préférence étrangère de fait. Le constat est général : le système français du droit d’asile est à bout de souffle et sa situation très dégradée. Assiégé par un nombre croissant de demandeurs d’asile (70.000 en 2012), considéré comme laxiste par beaucoup et comme trop rigoureux et inhumain par les immigrationnistes, le droit d’asile français mécontente tout le monde. Même Manuel Valls, lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, a reconnu que « le droit d’asile est dévoyé et détourné » par des migrants économiques venus chercher du travail.

    Le gouvernement actuel, stimulé par ce constat, a entrepris de réformer non seulement le droit d’asile mais également le droit des étrangers. La motivation du gouvernement n’est pas de préserver la France du raz de marée humain que nous connaissons année après année, mais de promouvoir l’immigration et le droit d’asile. Comme l’a dit Bernard Cazeneuve dans un entretien dans Libération : « La France est une terre d’immigration et une terre d’asile. Elle doit le demeurer : les pays refermés sur eux-mêmes sont condamnés au déclin. » De la part de tels gouvernants tout est à craindre.

    De fait les deux textes présentés en conseil des ministres le 23 juillet 2014 apparaissent ambigus et de nature à ouvrir le chemin à des dérives redoutables : répartition des demandeurs d’asile sur tout le territoire, renforcement des droits des bénéficiaires du droit d’asile, notamment dans le domaine du regroupement familial, généralisation du titre de séjour pluriannuel, droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente, etc.

    Il est trop tôt pour conclure ; les débats parlementaires devraient se dérouler prochainement. Polémia, déjà attentif au contenu de ces deux projets de loi, se montrera vigilant quant à leur finalisation législative.

    ALERTE.

    Le gouvernement veut légiférer sur la protection des droits des étrangers et sur le droit d’asile.

    L’article de Polémia du 12 juin 2014 sur Me Barbemolle, juge du droit d’asile, qui relatait les invectives de Jean-Michel Belorgey, magistrat à la Cour nationale du droit d’asile (CNDA), envers ses collègues de cette Cour a été l’occasion de souligner la situation très dégradée de l’application du droit d’asile en France.

    « Le système est à bout de souffle », affirme Pascal Brice, diplomate nommé à la tête de l’OFPRA : délais trop longs pour statuer sur les dossiers (un an et demi en moyenne), saturation des dispositifs d’hébergement, coût exponentiel des aides aux requérants en attente de jugement.

    Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, a reconnu que « le droit d’asile est dévoyé et détourné » par des migrants économiques venus chercher du travail. Il avait promis une réforme du droit d’asile pour le printemps 2014 ; ele a été couplée avec une réforme du droit des étrangers. Deux projets de loi ont ainsi été présentés en Conseil des ministres le 23 juillet 2014.

    De la part d’un gouvernement déterminé à promouvoir le plus possible et jusqu’au bout les conditions du « Grand Remplacement » de Renaud Camus par idéologie sectaire et intérêt électoraliste, tout est à craindre. Selon Bernard Cazeneuve dans Libération « La France est une terre d’immigration et une terre d’asile. Elle doit le demeurer : les pays refermés sur eux-mêmes sont condamnés au déclin. »

    La réforme du droit d’asile

    D’emblée le ministre de l’Intérieur annonce la couleur : « C’est une loi éminemment de gauche que je revendique comme telle et que je défendrai avec beaucoup de force et de conviction au Parlement. » Qu’attendre d’autre de la part d’un gouvernement qui s’apprête à naturaliser 200.000 étrangers âgés ! De toute façon les Français paieront.

    Il s’agit de transposer de nouvelles directives européennes adoptées en juin 2013, en renforçant les garanties des personnes ayant besoin d’une protection internationale, et en statuant plus rapidement sur les demandes d’asile.

    Une nouvelle procédure accélérée, qui remplace l’actuelle procédure prioritaire, sera mise en œuvre sous le contrôle de l’OFPRA. Les moyens de ce dernier seront accrus, afin qu’il soit en mesure d’assurer un traitement plus rapide des demandes d’asile. Le gouvernement se fixe l’objectif de parvenir à un examen des demandes d’asile dans un délai moyen de 9 mois alors qu’aujourd’hui ce délai est d’environ deux ans.

    Les procédures contentieuses sont également revues, notamment par la création d’une procédure accélérée de recours suspensif, devant un juge unique de la CNDA en cinq semaines. Le délai de jugement en procédure normale imparti à la CNDA, qui voit réaffirmer son rôle de juge de l’asile, est fixé à cinq mois.

    Les « garanties » des demandeurs d’asile sont renforcées à tous les stades de la procédure :

    -enregistrement plus rapide de leur demande ;

    -présence d’un conseil lors de l’entretien avec un officier de protection ;

    -meilleure prise en compte des vulnérabilités, notamment de celles des mineurs ;

    -généralisation de l’effet suspensif des recours contre les décisions refusant l’asile.

    Le projet de loi prévoit de rendre les conditions d’accueil des demandeurs d’asile plus justes et plus équitables, mais aussi plus contraignantes, avec un dispositif d’hébergement permettant d’affecter un demandeur d’asile dans une autre région que celle où il se présente. En cas de refus de l’hébergement proposé, le demandeur perdrait son droit aux allocations.

    Ainsi on voit bien que ce dont se plaignait l’ancien ministre Arthuis et que niait l’ineffable Taubira au sujet des mineurs isolés, c’est-à-dire la dissémination sur le territoire français des immigrés posant problème, constitue une réalité aujourd’hui concrétisée par un projet de loi.

    Enfin, selon le portail du gouvernement, le projet de loi vise à définir et renforcer les droits des bénéficiaires dans les domaines d’accès aux droits, de réunification familiale et de documents de voyage qui sont « des éléments essentiels de l’intégration à la société française ».

    Il apparaît clairement que la défense des intérêts de celle-ci face au mascaret de l’immigration est complètement oubliée. Mais surtout ce projet de loi semble élargir la brèche du regroupement familial aux demandeurs de droit d’asile.

    L’occultation du problème par dissémination

    Il est évidemment trop tôt pour porter un jugement définitif sur ce projet de loi qui doit être discuté au cours de la session législative de cet automne.

    Soulignons-en simplement la grande ambiguïté et les vrais dangers.

    Bien entendu les immigrationnistes de tout poil, comme le Syndicat de la magistrature, hurlent à la suspicion généralisée, à la justice expéditive et à la violation des droits les plus fondamentaux. Le GISTi, quant à lui, se borne sobrement à réclamer la réhabilitation du droit d’asile par la liberté de circulation.

    Retenons seulement les critiques plus posées de Julian Fernandez, juge assesseur au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à la CNDA. Celui-ci redoute que « l’hébergement directif » se transforme en assignation à résidence et souligne les très courts délais dont disposeront les déboutés du droit d’asile qui feraient l’objet d’une mesure d’éloignement : 7 jours. Il parle de précipitation déraisonnable comme pour la procédure dite accélérée dont la juridiction opérera en formation restreinte et non collégiale.

    D’un autre côté nous pouvons redouter que « l’hébergement sélectif » des demandeurs du droit d’asile sur notre territoire ait pour objectif réel une occultation du problème par dissémination.

    Plus grave apparaît le renforcement des garanties des demandeurs comme la présence d’un conseil lors de l’entretien avec un officier de protection et de leurs droits en matière de réunification familiale. Cela voudra-t-il dire que tout demandeur d’asile pourra faire venir sa famille avant toute décision et comment définir ce que représente la famille d’un Erythréen musulman ?

    La réforme du droit des étrangers

    Le projet de réforme du droit des étrangers apparaît également ambigu et encore plus inquiétant.

    Selon le portail du gouvernement, ce projet de loi s’inscrit dans le cadre des trois priorités du gouvernement en matière d’immigration :

    -améliorer l’accueil et l’intégration des étrangers régulièrement admis au séjour ;

    -renforcer l’attractivité de la France en facilitant la mobilité des talents internationaux ;

    -lutter plus efficacement contre l’immigration irrégulière, dans le respect des droits fondamentaux.

    Tout d’abord le projet de loi engage une simplification du droit au séjour des étrangers par la généralisation du titre de séjour pluriannuel pour l’ensemble des étrangers, après un an de séjour en France. Cette mesure serait couplée à un nouveau parcours d’intégration, marqué par un renforcement du niveau de langue requis et une redéfinition des prestations servies par l’Office français de l’immigration et de l’intégration.

    « Pour cela, le titre pluriannuel de séjour de quatre ans permettra, dans l’attente de l’accès à la carte de résident de dix ans, de ne pas avoir à faire ces démarches nombreuses, complexes et encore une fois obérant de l’intégration de ceux qui viennent sur le territoire de notre pays », a expliqué Bernard Cazeneuve sur France inter le mercredi 23 juillet.

    Tout aussi inquiétant, le projet de loi prévoit pour la première fois un droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente. On devine facilement l’occasion qui est offerte ainsi à tous les plumitifs gauchistes de transformer chaque demandeur d’asile en victime et de multiplier les controverses sur la place publique.

    Le projet de loi est également plus protecteur pour les étrangers malades, notamment en prenant en compte la capacité du système de soins du pays d’origine à faire bénéficier l’étranger du traitement que sa pathologie requiert. Si l’on comprend bien, si un demandeur d’asile soudanais est lourdement malade, la France est tenue de le traiter, compte tenu de ce que l’on sait du système de santé de son pays.

    Le projet de loi prévoit d’une manière plus positive que le passeport « talents », titre de séjour valable jusqu’à quatre ans pour l’étranger et sa famille, constituera le titre unique ouvert aux investisseurs, aux chercheurs, aux artistes et aux salariés qualifiés. L’emploi des étudiants étrangers qualifiés sera également facilité.

    Enfin le texte du gouvernement veut, il faut le souligner, doter la France de nouveaux outils en matière de lutte contre l’immigration irrégulière :

    -l’assignation à résidence devient la mesure de droit commun en matière de privation de liberté des étrangers, tout en précisant et encadrant les pouvoirs des forces de l’ordre dans ce cadre ;

    -les pouvoirs des préfectures en matière de lutte contre la fraude sont renforcés.

    En définitive ces projets de loi ne sont pas complètement négatifs : la volonté ou la velléité de lutter contre l’immigration irrégulière doit être notée. Ils paraissent cependant fort inquiétants pour trois raisons :

    – La première est l’ambiguïté de certaines dispositions comme la procédure accélérée. Celle-ci permettra-t-elle de désengorger les hébergements ou bien servira-t-elle à faciliter l’acceptation de dossiers des futurs demandeurs d’asile ?

    – D’autres dispositions évoquent le diable qui se niche dans les détails : c’est le cas du droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente ou la présence d’un conseil que le contribuable paiera, bien évidemment, lors de l’entretien avec un officier de protection.

    – Mais surtout ces textes vont venir en discussion au Parlement. Il y a lieu de tout craindre de la part d’un gouvernement en situation de faiblesse sur le plan de la politique économique et qui souhaiterait retrouver la confiance de sa majorité en cédant aux demandes et aux amendements de celle-ci sur un texte ayant trait à l’immigration. Il reviendra à Polémia de manifester la plus grande vigilance sur cette question législative.

    André Posokhow

    http://www.polemia.com/reforme-du-droit-dasile-une-acceleration-du-grand-remplacement/

  • Et pendant ce temps, le budget de l’AME ne cesse d’augmenter…

    On nous bassine avec le fait que cette AME sert à contenir de graves épidémies, mais quelle épidémie peut bien se déclarer si le clandestin n’est pas sur le territoire à la base ?   

    Je sais que le gène de la révolution est intrinsèquement présent dans chaque Français. C’est même pour cette raison qu’on a choisi le coq comme emblème, car on adore chanter les pieds dans la merde. Pourtant, combien de temps pourrons-nous encore supporter ce que l’on appelle pudiquement le « matraquage fiscal » ?

    Alors que François Hollande jurait que les impôts, c’était fini, on n’a eu de cesse de se rendre compte que, comme pour le reste, il mentait comme un arracheur de dents. Retraites bloquées et augmentation de la CSG, réduction des allocations familiales malgré le déni d’un Stéphane Le Foll qui doit habiter une grotte en Afghanistan, augmentation de la redevance télé, taxe écologique sur le diesel ou encore augmentation historique du prix du timbre, rien ne nous sera épargné. Qu’on se le dise : les classes moyennes boiront le calice jusqu’à la lie et plus encore.

    Pourtant, il y a un poste de dépenses qui ne connaît pas la crise. Il s’agit de la tristement célèbre aide médicale d’État (AME). Les crédits alloués seront augmentés de 73 millions d’euros en 2015 pour faire approcher ce budget du milliard d’euros. Oui, nous déboursons exactement 744 millions d’euros chaque année pour soigner gratuitement tous les clandestins qui en font la demande. Et les mots ont un sens : je parle bien de clandestins, pas d’immigrés. Pour être plus précis : des personnes étant dans l’illégalité se voient aidées avec une prise en charge de 100 % des parcours de soins sans avancer un rond pendant que Monsieur Tout-le-Monde continue à reporter ses rendez-vous les moins importants.

    Lire la suite

  • Des filières d'immigration pour profiter de l'Aide Médicale d'Etat

    Le ministre de la Santé Marisol Touraine l’a reconnu devant les sénateurs en début de moisdes étrangers s’organisent par réseaux et filières afin de se faire soigner gratuitement en France et de profiter du système de protection sociale. Des fraudes qui coûtent chères au contribuable. Le Parisien publie aujourd'hui une enquête sur le sujet.

    Devant une Commission du Sénat, elle a déclaré :

    «C'est incontestable, nous avons constaté en 2013 un fort dépassement par rapport à l'objectif de ces dépenses puisque nous avions prévu une dépense de 588 millions d'euros et que les dépenses constatées seront à l'arrivée de 744 millions d'euros».

    L’AME, ou Aide Médicale d’Etat, est destinée aux étrangers en situation clandestine. Marisol Touraine a indiqué sa «préoccupation» face à

    «des filières de personnes étrangères venant se faire soigner dans certains hôpitaux français (…) cela amène à la nécessité d'enclencher très rapidement un travail diplomatique de coopération internationale avec les pays d'origine».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Identité française et islam : débat houleux entre Edwy Plenel et Alain Finkielkraut

  • La djihadiste Souad Merah touchait 2.500 euros de prestations sociales par mois

    La France est généreuse, surtout avec les djihadistes qu’elle abrite en son sein… On apprend ainsi par nos confrères de La Dépêche du Midique Souad Merah, la soeur de Mohammed Merah, elle-même djihadiste et se réjouissant des actes de son frère (l’assassinat de soldats et d’enfants en 2012), touchait mensuellement 2.500€ de prestations sociales : mère isolée, quatre enfants.

    Au printemps dernier, Souad Merah avait défrayé la chronique. En effet, on apprenait que, selon nos confrères de La Dépêche :

    Le 20 mai, une école toulousaine signale l’absence anormale et répétée d’un des enfants de Souad. Les enquêteurs se rendent au domicile de la mère, quartier du Mirail, à Toulouse. L’appartement est vide et les enfants ont disparu. Les investigations menées permettent d’établir le parcours de Souad Merah. La mère de famille,sans emploi qui touchait mensuellement 2500€ de prestations sociales (mère isolée, quatre enfants), a embarqué depuis Barcelone le 9 mai à 12 h 25 sur un vol de la Turkish Airlines pour Istanbul. Elle aurait ensuite atterri en fin d’après-midi avec ses quatre enfants, âgés de 9 mois, 3 ans, 10 ans et 14 ans. Le soir même, la famille se serait envolée pour Gaziantep, une ville proche de la frontière syrienne. A cette époque, son second mari, Abdelouahed El Baghdadi et père des deux derniers enfants de Souad, avait déjà rejoint la Syrie avec Imad Djebali et Gaël Maurize, tous les trois interpellés et transférés, depuis mercredi soir, dans les locaux de la DGSI, à Levallois-Perret.

    Et surtout ces jours deniers :

    Assiste-t-on, peu à peu, au retour des exilés du clan Merah ? Après l’arrivée, mardi, dans des conditions rocambolesques, à Marseille, du second mari de Souad Merah, Abdelouahed El Baghdadi, deux des enfants de la sœur aînée de Mohammed Merah, Souad, sont eux aussi de retour à Toulouse. Agés de 10 et 14 ans, ces deux garçons sont arrivés à l’aéroport de Toulouse-Blagnac, en provenance d’Algérie, mardi, accompagnés de leur père. Un retour qui devrait leur permettre de reprendre le fil de leur scolarité. La mère des enfants, Souad Merah, se trouverait toujours près d’Alger avec ses deux autres fils de 9 mois et 3 ans.

    Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/175924/la-djihadiste-souad-merah-touchait-2-500-euros-de-prestations-sociales-par-mois/

  • Musulmans de France : et le Hamas l’emporta sur Hervé Gourdel dans un rapport de 30 à 0...

    La fébrilité avait gagné les rédactions : les musulmans de France allaient manifester leur colère contre la barbarie djihadiste ! « Allez, grouille-toi et trouve-moi vite un musulman qui proteste ! », hurlaient les rédacteurs-en-chef. Ainsi fouettés, les journalistes en trouvèrent quelques uns… Les chaînes d’info en continu martelaient qu’on allait voir ce qu’on allait voir. Des foules immenses, peut-être ? Des imams et des intellectuels supposément musulmans se relayaient pour dire tout le mal qu’ils pensaient des assassins d’Hervé Gourdel.

    L’envoyée spéciale de France Info avait établi son QG devant la Grande Mosquée de Paris et faisait monter la tension avec ses « ils arrivent, ils arrivent ! »

    La Grande Mosquée de Paris est, comme son nom l’indique, grande : elle peut contenir plusieurs milliers de fidèles. Et c’est précisément après la prière du vendredi que – pour garantir l’affluence - devait avoir lieu le rassemblement tant attendu. Et le rassemblement eut lieu : quelques centaines de personnes selon les journalistes pourtant très bien disposés. Quelques centaines de personnes ? Moins que les djihadistes français partis rejoindre les coupeurs de tête d’Irak et de Syrie… A peu près autant que ceux qui avaient crié lors d’un mémorable « Jour de Colère » : « Juif, la France n’est pas à toi ! »… Et tellement, tellement moins, trente fois moins peut-être que les foules qui avaient défilé dans Paris pour clamer leur soutien au Hamas et leur haine d’Israël.

    Alors on stigmatise ? Non. On a juste envie de pleurer. Les musulmans ne sont, bien sûr, pas obligés de manifester dès que l’injonction leur en est faite. Mais là, il y avait quand même un appel du recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur ! Des unes des journaux ! Un appel d’intellectuels qui barrait en gros la première page de Libération. « Nous sommes tous des sales Français ! », en référence au communiqué des assassins d’Hervé Gourdel. Tout ça pour ça. Tout ça pour rien…

    Mais quelle explication à ce désastre ? Il y a en France une multitude de collectifs, d’associations, de groupes de banlieue dont la raison d’être est de lutter contre l’ « islamophobie » et pour la Palestine. En revanche, il n’y a aucun comité de ce type pour combattre le djihadisme, le fanatisme, l’islamisme et la terreur fondamentaliste. Mais à quel titre, objectera-t-on, les musulmans de France seraient-ils appelés à s’engager ainsi ? Simplement au titre qu’ils sont également français… [....]

    Benoît Rayski

    La suite sur Atlantico

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Musulmans-de-France-et-le-Hamas-l

  • La CAF et Pôle emploi déploient des vigiles pour protéger leurs salariés

    Lu sur breizh-info.com : Les usagers en attente d’emploi ou d’allocations sont de plus en plus agressifs. Ce qui pousse Pôle emploi et les CAF à déployer des vigiles : systématiquement pour le premier, aléatoirement pour les autres.

    En 2013, la direction de Pôle emploi a recensé 8 442 agressions, soit 68% de plus que devant les guichets des banques, où il y en a un peu plus de 5 700 par an. La grande majorité de ces agressions – dont le nombre a augmenté de 13% sur un an – sont verbales, seules 250 sont physiques.

    Même si ces agressions ne représentent qu’une part minime de l’ensemble des contacts entre les travailleurs sociaux et les chômeurs, les premiers sont inquiets. La direction de Pôle emploi déploie systématiquement des vigiles, surtout au moment des changements de règles légales, quand les chômeurs peuvent se retrouver privés d’une partie de leur indemnité sans que l’organisme les ait prévenu, puisque envoyer des lettres coûte cher (qui fait grincer des dents la CGT Lorraine ) et a investi dans la formation et la protection de ses salariés.

    A la CAF, le problème est lui aussi global, et transparaît au rythme des fermetures de caisses, les agents faisant généralement valoir leur droit de retrait après l’agression de l’un des leurs. Lyon, Bordeaux, Marseille, Paris, Lille… et jusqu’aux petites villes, tout le territoire est concerné. Les agents crient leur malaise, coincés qu’ils sont entre objectifs statistiques intenables, augmentation de la misère, usagers agressifs et angoissés, cadences lourdes, montagnes de dossiers en retard…

    Par endroits, des vigiles ont été mis en place. Nous avons interrogé l’un d’entre eux, qui officie dans une grande ville et refuse de dévoiler son identité. « Nous avons fort à faire. C’est quelque chose. Les usagers ont des couteaux, parfois des flingues, de la beu, de la coke. Des poings américains etc. Bien entendu, on leur rend tout à la sortie. On n’a pas le droit de saisir, et puis ça ferait des histoires. On fait office de vestiaire quoi. Moyennant quoi, je gardais une boîte avant, et je trouve des trucs que je n’avais jamais vu là-bas. »http://www.contre-info.com/

  • Islam, l’éternelle question

    « Assassinat d’Hervé Gourdel : Estimez-vous suffisante la condamnation des musulmans de France ? » Cette question posée sur le site du Figaro le 25 septembre au matin, s’inscrivant  dans le cadre des sondages réalisés  chaque jour auprès de  ses lecteurs par  le site du quotidien, a fait polémique et a été très rapidement retirée. Elle a été jugée particulièrement grossière dans la période que nous traversons. Par ses errements et ses fautes lourdes,  » la classe politique est responsable des amalgames dont sont responsables nos compatriotes musulmans » notait Marine Le Pen sur i télé vendredi. Nous pouvons comprendre la réaction de nombreux musulmans qui se disent lassés d’être obligés de se justifier de leur « humanité » en protestant contre la barbarie des fous d’Allah,avec lesquels ils ne se reconnaissent pas d’affinités, ni de près, ni de loin. Musulmans français qui peuvent donc juger très ambigue la campagne des « muslims » anglophones baptisée not in my name lancée depuis l’Angleterre…Pour autant, l’actualité politique nationale et internationale particulièrement anxiogène, la montée bien réelle d’un communautarisme souvent agressif, la transformation aussi de la physionomie de nombreux quartiers sous le poids de l’immigration massive de populations musulmanes, rendent aussi compréhensibles, si ce n’est légitime, les craintes de nos compatriotes.

    Très médiatisées, de  (maigrelettes) manifestations pour dénoncer l’égorgement d’HervéGourdel, la sauvagerie de l‘Etat Islamique ont été  organisées vendredi par des autorités religieuses et des organisations communautaristes mahométanes. Selon leurs initiateurs,  elles visaient à rassembler   les « musulmans de France » (formulation maladroite qui  écarte les musulmans français?) et leurs  » amis « mais suffiront-elles à rassurer l’opinion?

    « Tout se tient dans l’univers islamique, et le problème des problèmes c’est le destin de l’islam » écrivait le général De Gaulle en décembre 1957 à l’universitaire (gaulliste) Vincent Monteil. Un univers qui par le biais de l’immigration (combien  y a t-il de musulmans en France? 4, 5, 6, 7 millions? Plus? Personne ne le sait précisément)  s’est implanté chez nous. Un univers qui  rythme désormais la vie de beaucoup de nos quartiers,  voire de communes entières.

    Comme l’avait bien vu le  célèbre   islamologue Louis Massignon, « l’islam est l’axe de l’arabisme et l’arabisme est l’axe de l’islam ». Or, Cette montée en puissance de l’islam est aussi la conséquence mécanique d’une explosion démographique des pays arabo-musulmans, qui vient cogner à la porte d’une Union  Européenne usée, fatiguée, vieillie...

    Une religion qui questionne nos sociétes européennes, islam qui est « combinaison unitaire de transcendance et de naturalisme, religion étrangère à toute forme de dualisme, à toute rupture ontologique, à toute opposition entre le profane et le sacré, la matière et l’esprit, le spirituel et le temporel... » (Robert de Herte). Religion guerrière aussi, religion du rapport de force (malheur aux vaincus...)  conquérante, prosélyte.

    Nous nous en faisions l’écho en mars 2008,  un article de La Libre Belgique relevait que chez nos voisins belges depuis 2001, Moham(m)ed est, chaque année, et de loin, « le premier prénom donné aux garçons nés à Bruxelles ». Le journal constatait que « les jeunes marquent un retour important vers le fait religieux. Quelques 75 % des musulmans s’estiment aujourd’hui pratiquants « .  » La journaliste flamande Hind Fraihi va plus loin : les jeunes sont de plus en plus radicalisés.  Ils rejettent les valeurs occidentales, même leurs parents s’en inquiètent… ».

    L’islam est la religion de citoyens paisibles, parfaitement respectables, mais elle est aussi brandie comme un marqueur identitaire, un instrument de rejet, de haine  de la France non seulement par le barbu islamiste mais aussi par la jeune racaille qui en viole pourtant les préceptes pour adopter tous les mauvais codes de la sous-culture des ghettos américains.

    La question centrale qui est posée ici, est  aussi celle de ces fameuses valeurs occidentales  auxquelles  les musulmans  sont priés de s’assimiler.

    Quelles sont elles? Dans le meilleur des cas  « l’égalité homme-femme » et  la « laïcité républicaine »? Ou encore « l‘Europe » cosmopolite, atlantiste, sans frontière? Le  culte des « droits de l’homme »? Le mariage et l’adoption par les couples homosexuels ? L’euthanasie ? La destruction de la famille ? La banalisation de l’IVG? Le mondialisme? L’individualisme forcené ? Le  métissage  obligatoire ? Le règne du relativisme, du matérialisme et de la marchandise?

    « De toutes les sociétés » était-il constaté il y a dejà 23 ans dans la défunte revue Identité« la société occidentale est la seule à avoir banni le sacré de l’organisation sociale, en le tenant pour une catégorie dépassée du développement humain. Un reliquat des temps obscurs où Dieu et la religion régnaient sur l’homme. Non seulement la mort du sacré constituerait une fatalité mais, plus encore, un progrès: le triomphe de la raison sur les passions et les superstitions.Aux âges théologiques, métaphysique et politique auraient succédé ceux de la science, de la technique et de l’économie, stades ultimes de l’évolution et marques de bonheur« .

    « Tel serait l’héritage de la philosophie des lumières: un monde parfait qui aurait fait sortir l’humanité de la disette pour la plonger dans l’abondance (…). Ainsi se présente la version officielle des choses. Une version qui passe pourtant sous silence la formidable impasse existentielle dans laquelle sont tombées les sociétés occidentales. Car le progrès matériel incontestable auquel elles sont parvenues s’est réalisé au détriment de l’âme, par un rétrécissement des champs spirituel et culturel. La soumission du monde et de la nature à la simple exploitation de l’homme, la réduction des aspirations humaines à la seule satisfaction des besoins matériels et des instincts les plus primaires (…), la substitution de l’homme à Dieu comme commencement et fin de toutes choses, tous ces bouleversements ont débouché sur un immense désenchantement ».

    Pour autant, « rien ne permet de conclure au caractère irreversible de ce retrait du sacré, simple éclipse peut être. Le défi que représente pour la vieille Europe la concurrence ou la confrontation avec des peuples qui ont conservé, voire renforcé , leur dynamisme et leur foi, peut aussi constituer l’occasion d’un « retour de Dieu »…

    Dans son livre d’entretien Une volonté, un idéal  (2010), Bruno Gollnisch  déclarait : « Je ne pense pas que l’islam soit la vraie religion, sinon je l’aurais adopté ! Je respecte les musulmanscependant comme je respecte les bouddhistes ou les agnostiques (…). Le problème est que l’islam n’est pas seulement une religion ; c’est aussi un code de loi. Malheureusement ce code de lois était peut être approprié dans la société des bédouins des VIIe et VIIIe siècles, mais il estétranger à nos moeurs, à nos coutumes et à nos traditions ». « Je ne souhaite pas bien sûr, que la société française devienne une société musulmane ; pour autant je n’ai pas l’intention de faire la guerre aux musulmans. « 

    Cependant, « les musulmans qui voudraient imposer la loi islamique (la charia) n’ont pas leur place ici, c’est clair. Mais ce n’est pas le cas de tous et, contrairement à un certain nombre de mes amis, qui estiment qu’il n’y a pas d’islam modéré, je pense que s’il n’y a pas d’islam modéré, peut être, il y a des musulmans modérés. Et je ne fais pas d’angélisme. La bourgeoisie francophile sunnite du Liban d’avant la guerre, ce n’est pas du tout la même chose que lessalafistes, qui ne sont pas la même chose que les Iraniens chiites. Il y a des différences considérables. « 

    « Ceci étant, je préférerais que les musulmans restent dans leur pays d’origine, et je vois avec inquiétude l’islamisation de la France, car je constate que beaucoup de musulmans qui vivent en France commencent à revendiquer de vivre selon leurs mœurs, leurs coutumes puis leurs lois propres. Les exemples sont nombreux : le régime alimentaire, les piscines, etc, qui manifestent la volonté, non seulement de revendiquer de vivre selon leurs mœurs, mais de les imposer à leur entourage (…).Je combats totalement cette évolution bien sûr, maisj’observe qu’elle est quand même d’abord le fruit de l’immigration beaucoup plus que des conversions à la religion musulmane. »

    Bref, « le problème de fond en France n’est pas plus le minaret qu’il  n’est la burqa : il est celui de l’immigration massive ». Le problème de fond est aussi, nous l’avons vu,  celui de la décadence de nos sociétés européennes,  décadence démographique, intellectuelle et morale. La nature a horreur du vide C’est aussi par un sursaut de l’esprit, en revendiquant fièrement, clairement, posément mais fermement  ce que nous sommes,  que nous gagnerons le respect ou la crainte de ceux qui imaginent que nos sociétés peuvent tomber  demain comme un fruit mûr.

    Faire front, ne pas baisser la garde implique de réaffirmer notre  vision du monde qui puise sa source dans une éthique classique de mesure, de responsabilité, de liberté, de libre-arbitre, dedéfense du Bien, du Beau et du Vrai ; dans les valeurs de notre civilisation helléno-chrétienne, aujourd’hui  également combattues et moquées  par les  » progressistes » qui règnent sans partage sur tous les rouages du Système.

    http://gollnisch.com/2014/09/30/islam-leternelle-question/