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immigration - Page 1314

  • Étudiante portant le niqab : que font les rebelles de service ?

    On crie sous vos fenêtres : « Vive Mohamed Merah ! », « Mort aux juifs ! », et vous n’entendez pas.   

    « Ayant des yeux, ne voyez-vous pas ? et ayant des oreilles, n’entendez-vous pas ? Et n’avez-vous pas de mémoire ? » Que vous faut-il, aimerait-on demander à certains, pour prendre conscience de la menace qui pèse sur nos têtes ? On crie sous vos fenêtres : « Vive Mohamed Merah ! », « Mort aux juifs ! », et vous n’entendez pas. Des pénitentes hargneuses, dont le corps entier repose sous un long drap noir, hantent nos villes de lumière, et vous ne voyez pas. Vous ne vous souvenez pas que, partout où l’on a mis le corps et l’esprit en cage, on a toujours fini par mépriser et par nier la vie ?

    C’est sans doute parce qu’il fait profession de mémoire que l’historien Jean-Charles Jauffret, heurté par la vue d’une de ses étudiantes portant le niqab, lui a lancé – l’imprudent – : « Vous êtes le cheval de Troie du salafisme. » À ces mots, l’étudiante, choquée, a quitté l’amphithéâtre, suivie par quelques bonnes âmes solidaires. Il faut dire que la scène se passe à l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence, une de ces fabriques de l’antiracisme inquisitoire. La direction de l’établissement, il va sans dire, n’a pas perdu de temps pour exprimer son soutien à la jeune fille, même si elle n’a pas osé déchoir Monsieur Jauffret de ses droits constitutionnels. Inutile, le pauvre homme s’est condamné lui-même à une forme plus sournoise d’ostracisation.

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  • Quand les allocations familiales financent des jihadistes

    Lu ici :

    "Selon Alain Marsaud [député des Français établis hors de France], les CAF de la région Sud-Ouest compteraient une dizaine de cas de personnes parties faire le djihad en Syrie et qui toucheraient toujours leurs allocations. L'un d'eux continuerait par exemple de percevoir 2.200 euros chaque mois."

    Alain Marsaud et Thierry Mariani (député UMP des Français de l'étranger) vont déposer cette semaine une résolution à l'Assemblée pour permettre aux parlementaires d'enquêter, la CAF ayant des moyens très limités pour le faire.

    Louise Tudy

  • Un ancien agent de la DGSE passé à Al-Qaida ?

    Selon le bureau de Washington D.C. du site de McClatchy (le troisième plus grand groupe de presse aux États-Unis), un ancien agent des services de renseignement français ayant rejoint la nébuleuse Al-Qaida aurait fait partie des cibles prioritaires des frappes de missiles de croisière américains en Syrie.

    Réactions en France : « Le ministère français de la Défense a démenti toute implication d’un ancien agent français. « Les informations parues au sujet de l’appartenance supposée de la personne en question aux services de renseignement du ministère de la Défense sont totalement et parfaitement erronées », a déclaré un responsable du ministère à l’AFP. Une source du ministère de la Défense aurait également affirmé au « Monde » , que « Ce Français existe, mais ce n’est ni un ancien des services secrets ni même un ancien militaire« . De son côté, la DGSE s’est refusée à tout commentaire. »

    Source via FDS

    http://www.contre-info.com/

  • France : il existe deux catégories de djihadistes

    Selon certaines sources, les autorités françaises redoutent le risque de tuer des « Français » lors des bombardements.   

    Un dilemme cornélien agite les méninges des conducteurs d’opérations aériennes contre « Daech ». Qu’on me pardonne le jeu de mot guerrier (ou plutôt terroriste) : le sujet serait explosif ! Selon certaines sources, les autorités françaises redoutent le risque de tuer des « Français » lors des bombardements. La non-intervention en Syrie serait motivée par cette crainte, car la plupart des quelques centaines de volontaires venus de notre pays se trouveraient dans ce seul pays.

    En fond de décor, les attaques directes contre les djihadistes tricolores pourraient enflammer les sympathisants résidant sur notre territoire et provoquer des réactions terroristes. Horreur supplémentaire, 20 % de femmes sont présentes parmi eux et c’est peut-être aussi le réflexe paternaliste et machiste, en dépit des lois égalitaristes, qui émeut de surcroît les décideurs de frappes. Notre Président, chef des armées, est un sentimental et l’on sait son attention à la gent féminine.

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  • Des étrangers utilisent des réseaux pour se faire soigner gratuitement en France

     

    Nous vous vous l’avons déjà indiqué, le gouvernement socialiste a décidé d’être généreux avec les clandestins en augmentant le budget de l’Aide médicale d’Etat. Cette augmentation passe mal alors que le gouvernement socialiste ne cesse de demander aux Français de se serrer la ceinture et décide ainsi de réduire la prime de naissance et de rendre plus contraignant le recours au congé parental. Cette décision déjà anti-familles est surtout complètement irénique quand nos confrères de Valeurs actuelles nous indiquaient déjà en juin dernier que des malades étrangers s’organisaient pour se faire soigner gratuitement en France.

    Devant une Commission du Sénat, la ministre de la Santé Marisol Touraine ne peut que dire la vérité. Sans retenue, elle déclare : « C’est incontestable, nous avons constaté en 2013 un fort dépassement par rapport à l’objectif de ces dépenses puisque nous avions prévu une dépense de 588 millions d’euros et que les dépenses constatées seront à l’arrivée de 744 millions d’euros ». Ces dépenses ? L’AME, ou Aide Médicale d’Etat, destinée aux étrangers en situation irrégulière et précaire. Sur le site internet de l’Assurance maladie, les conditions sont simples : « Tout enfant mineur de parents en situation irrégulière est d’office éligible. L’AME est attribuée sans condition aux mineurs dont les parents sont en situation irrégulière même lorsque ces derniers n’en bénéficient pas encore ou dépassent le plafond de ressources».

    Le budget alloué à l’AME a donc explosé, passant de 744 millions d’euros en 2013 au lieu des 588 prévus au budget. La raison ? Marisol Touraine, là encore, ne la cache pas : elle a indiqué sa « préoccupation » face à « des filières de personnes étrangères venant se faire soigner dans certains hôpitaux français (…) cela amène à la nécessité d’enclencher très rapidement un travail diplomatique de coopération internationale avec les pays d’origine »En clair, la ministre a reconnu l’existence de filières de patients venus d’autres pays qui abusaient de l’AME. Cette constatation est rappelée aujourd’hui par Le Parisienqui consacre une enquête à ces filières.

    Pour lire l’article dans son intégralité

    Ce qui est en indiqué en gras l’est par nous, Novopress

    http://fr.novopress.info/176042/etrangers-utilisent-reseaux-se-faire-soigner-gratuitement-en-france/

     

  • Jean-Paul Gourévitch, "les Migrations pour les Nuls"

  • Le gouvernement a peur de tuer des immigrés aux papiers français en Syrie et en Irak

    Alors même que les immigrés bénéficient de passe-droits en France (CMU, logements, justice clémente etc…) voila que le blogSecret Défense spécialisé dans l’univers militaire français lâche cette petite bombe :

    « Ne pas prendre le risque de tuer avec des bombes françaises des citoyens français partis faire le djihad. C’est le grand non-dit des hésitations de l’Elysée quant à une intervention militaire en Syrie contre l’Etat islamique. D’autres arguments, plus ou moins convaincants, sont mis en avant. Mais de celui-ci, personne ne veut parler. Le sujet est politiquement explosif. Au plus mal dans l’opinion publique, le pouvoir est-il prêt à assumer que des jeunes Français, pour la plupart d’origine immigrée, soient tués par l’armée française aux ordres d’un gouvernement socialiste Pour l’instant, la réponse est négative – d’où les atermoiements de la position de Paris telle qu’elle a encore été exprimée jeudi par un communiqué de l’Elysée à l’issue d’un conseil restreint de défense. »

    http://www.contre-info.com/le-gouvernement-a-peur-de-tuer-des-immigres-aux-papiers-francais-en-syrie-et-en-irak

  • Réforme du droit d’asile : une accélération du “Grand Remplacement” ?

    André Posokhow, consultant pour Polémia, fait le point sur la prochaine réforme du droit d’asile qui risque de dégrader encore la situation.

    Les SDF français ont de plus en plus de mal à trouver des hébergements à Paris comme en province : centres d’accueil et hôtels pour précaires sont pleins ; pleins de vrais (ou faux) demandeurs du statut d’asile qui bénéficient d’une priorité de fait.

    Polémia

    Chacun le sait, dans les préfectures comme dans les associations, mais tout le monde se tait : l’omerta administrative et médiatique règne sur ce qui est une préférence étrangère de fait. Le constat est général : le système français du droit d’asile est à bout de souffle et sa situation très dégradée. Assiégé par un nombre croissant de demandeurs d’asile (70.000 en 2012), considéré comme laxiste par beaucoup et comme trop rigoureux et inhumain par les immigrationnistes, le droit d’asile français mécontente tout le monde. Même Manuel Valls, lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, a reconnu que « le droit d’asile est dévoyé et détourné » par des migrants économiques venus chercher du travail.

    Le gouvernement actuel, stimulé par ce constat, a entrepris de réformer non seulement le droit d’asile mais également le droit des étrangers. La motivation du gouvernement n’est pas de préserver la France du raz de marée humain que nous connaissons année après année, mais de promouvoir l’immigration et le droit d’asile. Comme l’a dit Bernard Cazeneuve dans un entretien dans Libération : « La France est une terre d’immigration et une terre d’asile. Elle doit le demeurer : les pays refermés sur eux-mêmes sont condamnés au déclin. » De la part de tels gouvernants tout est à craindre.

    De fait les deux textes présentés en conseil des ministres le 23 juillet 2014 apparaissent ambigus et de nature à ouvrir le chemin à des dérives redoutables : répartition des demandeurs d’asile sur tout le territoire, renforcement des droits des bénéficiaires du droit d’asile, notamment dans le domaine du regroupement familial, généralisation du titre de séjour pluriannuel, droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente, etc.

    Il est trop tôt pour conclure ; les débats parlementaires devraient se dérouler prochainement. Polémia, déjà attentif au contenu de ces deux projets de loi, se montrera vigilant quant à leur finalisation législative.

    ALERTE.

    Le gouvernement veut légiférer sur la protection des droits des étrangers et sur le droit d’asile.

    L’article de Polémia du 12 juin 2014 sur Me Barbemolle, juge du droit d’asile, qui relatait les invectives de Jean-Michel Belorgey, magistrat à la Cour nationale du droit d’asile (CNDA), envers ses collègues de cette Cour a été l’occasion de souligner la situation très dégradée de l’application du droit d’asile en France.

    « Le système est à bout de souffle », affirme Pascal Brice, diplomate nommé à la tête de l’OFPRA : délais trop longs pour statuer sur les dossiers (un an et demi en moyenne), saturation des dispositifs d’hébergement, coût exponentiel des aides aux requérants en attente de jugement.

    Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, a reconnu que « le droit d’asile est dévoyé et détourné » par des migrants économiques venus chercher du travail. Il avait promis une réforme du droit d’asile pour le printemps 2014 ; ele a été couplée avec une réforme du droit des étrangers. Deux projets de loi ont ainsi été présentés en Conseil des ministres le 23 juillet 2014.

    De la part d’un gouvernement déterminé à promouvoir le plus possible et jusqu’au bout les conditions du « Grand Remplacement » de Renaud Camus par idéologie sectaire et intérêt électoraliste, tout est à craindre. Selon Bernard Cazeneuve dans Libération « La France est une terre d’immigration et une terre d’asile. Elle doit le demeurer : les pays refermés sur eux-mêmes sont condamnés au déclin. »

    La réforme du droit d’asile

    D’emblée le ministre de l’Intérieur annonce la couleur : « C’est une loi éminemment de gauche que je revendique comme telle et que je défendrai avec beaucoup de force et de conviction au Parlement. » Qu’attendre d’autre de la part d’un gouvernement qui s’apprête à naturaliser 200.000 étrangers âgés ! De toute façon les Français paieront.

    Il s’agit de transposer de nouvelles directives européennes adoptées en juin 2013, en renforçant les garanties des personnes ayant besoin d’une protection internationale, et en statuant plus rapidement sur les demandes d’asile.

    Une nouvelle procédure accélérée, qui remplace l’actuelle procédure prioritaire, sera mise en œuvre sous le contrôle de l’OFPRA. Les moyens de ce dernier seront accrus, afin qu’il soit en mesure d’assurer un traitement plus rapide des demandes d’asile. Le gouvernement se fixe l’objectif de parvenir à un examen des demandes d’asile dans un délai moyen de 9 mois alors qu’aujourd’hui ce délai est d’environ deux ans.

    Les procédures contentieuses sont également revues, notamment par la création d’une procédure accélérée de recours suspensif, devant un juge unique de la CNDA en cinq semaines. Le délai de jugement en procédure normale imparti à la CNDA, qui voit réaffirmer son rôle de juge de l’asile, est fixé à cinq mois.

    Les « garanties » des demandeurs d’asile sont renforcées à tous les stades de la procédure :

    -enregistrement plus rapide de leur demande ;

    -présence d’un conseil lors de l’entretien avec un officier de protection ;

    -meilleure prise en compte des vulnérabilités, notamment de celles des mineurs ;

    -généralisation de l’effet suspensif des recours contre les décisions refusant l’asile.

    Le projet de loi prévoit de rendre les conditions d’accueil des demandeurs d’asile plus justes et plus équitables, mais aussi plus contraignantes, avec un dispositif d’hébergement permettant d’affecter un demandeur d’asile dans une autre région que celle où il se présente. En cas de refus de l’hébergement proposé, le demandeur perdrait son droit aux allocations.

    Ainsi on voit bien que ce dont se plaignait l’ancien ministre Arthuis et que niait l’ineffable Taubira au sujet des mineurs isolés, c’est-à-dire la dissémination sur le territoire français des immigrés posant problème, constitue une réalité aujourd’hui concrétisée par un projet de loi.

    Enfin, selon le portail du gouvernement, le projet de loi vise à définir et renforcer les droits des bénéficiaires dans les domaines d’accès aux droits, de réunification familiale et de documents de voyage qui sont « des éléments essentiels de l’intégration à la société française ».

    Il apparaît clairement que la défense des intérêts de celle-ci face au mascaret de l’immigration est complètement oubliée. Mais surtout ce projet de loi semble élargir la brèche du regroupement familial aux demandeurs de droit d’asile.

    L’occultation du problème par dissémination

    Il est évidemment trop tôt pour porter un jugement définitif sur ce projet de loi qui doit être discuté au cours de la session législative de cet automne.

    Soulignons-en simplement la grande ambiguïté et les vrais dangers.

    Bien entendu les immigrationnistes de tout poil, comme le Syndicat de la magistrature, hurlent à la suspicion généralisée, à la justice expéditive et à la violation des droits les plus fondamentaux. Le GISTi, quant à lui, se borne sobrement à réclamer la réhabilitation du droit d’asile par la liberté de circulation.

    Retenons seulement les critiques plus posées de Julian Fernandez, juge assesseur au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à la CNDA. Celui-ci redoute que « l’hébergement directif » se transforme en assignation à résidence et souligne les très courts délais dont disposeront les déboutés du droit d’asile qui feraient l’objet d’une mesure d’éloignement : 7 jours. Il parle de précipitation déraisonnable comme pour la procédure dite accélérée dont la juridiction opérera en formation restreinte et non collégiale.

    D’un autre côté nous pouvons redouter que « l’hébergement sélectif » des demandeurs du droit d’asile sur notre territoire ait pour objectif réel une occultation du problème par dissémination.

    Plus grave apparaît le renforcement des garanties des demandeurs comme la présence d’un conseil lors de l’entretien avec un officier de protection et de leurs droits en matière de réunification familiale. Cela voudra-t-il dire que tout demandeur d’asile pourra faire venir sa famille avant toute décision et comment définir ce que représente la famille d’un Erythréen musulman ?

    La réforme du droit des étrangers

    Le projet de réforme du droit des étrangers apparaît également ambigu et encore plus inquiétant.

    Selon le portail du gouvernement, ce projet de loi s’inscrit dans le cadre des trois priorités du gouvernement en matière d’immigration :

    -améliorer l’accueil et l’intégration des étrangers régulièrement admis au séjour ;

    -renforcer l’attractivité de la France en facilitant la mobilité des talents internationaux ;

    -lutter plus efficacement contre l’immigration irrégulière, dans le respect des droits fondamentaux.

    Tout d’abord le projet de loi engage une simplification du droit au séjour des étrangers par la généralisation du titre de séjour pluriannuel pour l’ensemble des étrangers, après un an de séjour en France. Cette mesure serait couplée à un nouveau parcours d’intégration, marqué par un renforcement du niveau de langue requis et une redéfinition des prestations servies par l’Office français de l’immigration et de l’intégration.

    « Pour cela, le titre pluriannuel de séjour de quatre ans permettra, dans l’attente de l’accès à la carte de résident de dix ans, de ne pas avoir à faire ces démarches nombreuses, complexes et encore une fois obérant de l’intégration de ceux qui viennent sur le territoire de notre pays », a expliqué Bernard Cazeneuve sur France inter le mercredi 23 juillet.

    Tout aussi inquiétant, le projet de loi prévoit pour la première fois un droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente. On devine facilement l’occasion qui est offerte ainsi à tous les plumitifs gauchistes de transformer chaque demandeur d’asile en victime et de multiplier les controverses sur la place publique.

    Le projet de loi est également plus protecteur pour les étrangers malades, notamment en prenant en compte la capacité du système de soins du pays d’origine à faire bénéficier l’étranger du traitement que sa pathologie requiert. Si l’on comprend bien, si un demandeur d’asile soudanais est lourdement malade, la France est tenue de le traiter, compte tenu de ce que l’on sait du système de santé de son pays.

    Le projet de loi prévoit d’une manière plus positive que le passeport « talents », titre de séjour valable jusqu’à quatre ans pour l’étranger et sa famille, constituera le titre unique ouvert aux investisseurs, aux chercheurs, aux artistes et aux salariés qualifiés. L’emploi des étudiants étrangers qualifiés sera également facilité.

    Enfin le texte du gouvernement veut, il faut le souligner, doter la France de nouveaux outils en matière de lutte contre l’immigration irrégulière :

    -l’assignation à résidence devient la mesure de droit commun en matière de privation de liberté des étrangers, tout en précisant et encadrant les pouvoirs des forces de l’ordre dans ce cadre ;

    -les pouvoirs des préfectures en matière de lutte contre la fraude sont renforcés.

    En définitive ces projets de loi ne sont pas complètement négatifs : la volonté ou la velléité de lutter contre l’immigration irrégulière doit être notée. Ils paraissent cependant fort inquiétants pour trois raisons :

    – La première est l’ambiguïté de certaines dispositions comme la procédure accélérée. Celle-ci permettra-t-elle de désengorger les hébergements ou bien servira-t-elle à faciliter l’acceptation de dossiers des futurs demandeurs d’asile ?

    – D’autres dispositions évoquent le diable qui se niche dans les détails : c’est le cas du droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente ou la présence d’un conseil que le contribuable paiera, bien évidemment, lors de l’entretien avec un officier de protection.

    – Mais surtout ces textes vont venir en discussion au Parlement. Il y a lieu de tout craindre de la part d’un gouvernement en situation de faiblesse sur le plan de la politique économique et qui souhaiterait retrouver la confiance de sa majorité en cédant aux demandes et aux amendements de celle-ci sur un texte ayant trait à l’immigration. Il reviendra à Polémia de manifester la plus grande vigilance sur cette question législative.

    André Posokhow

    http://www.polemia.com/reforme-du-droit-dasile-une-acceleration-du-grand-remplacement/

  • Et pendant ce temps, le budget de l’AME ne cesse d’augmenter…

    On nous bassine avec le fait que cette AME sert à contenir de graves épidémies, mais quelle épidémie peut bien se déclarer si le clandestin n’est pas sur le territoire à la base ?   

    Je sais que le gène de la révolution est intrinsèquement présent dans chaque Français. C’est même pour cette raison qu’on a choisi le coq comme emblème, car on adore chanter les pieds dans la merde. Pourtant, combien de temps pourrons-nous encore supporter ce que l’on appelle pudiquement le « matraquage fiscal » ?

    Alors que François Hollande jurait que les impôts, c’était fini, on n’a eu de cesse de se rendre compte que, comme pour le reste, il mentait comme un arracheur de dents. Retraites bloquées et augmentation de la CSG, réduction des allocations familiales malgré le déni d’un Stéphane Le Foll qui doit habiter une grotte en Afghanistan, augmentation de la redevance télé, taxe écologique sur le diesel ou encore augmentation historique du prix du timbre, rien ne nous sera épargné. Qu’on se le dise : les classes moyennes boiront le calice jusqu’à la lie et plus encore.

    Pourtant, il y a un poste de dépenses qui ne connaît pas la crise. Il s’agit de la tristement célèbre aide médicale d’État (AME). Les crédits alloués seront augmentés de 73 millions d’euros en 2015 pour faire approcher ce budget du milliard d’euros. Oui, nous déboursons exactement 744 millions d’euros chaque année pour soigner gratuitement tous les clandestins qui en font la demande. Et les mots ont un sens : je parle bien de clandestins, pas d’immigrés. Pour être plus précis : des personnes étant dans l’illégalité se voient aidées avec une prise en charge de 100 % des parcours de soins sans avancer un rond pendant que Monsieur Tout-le-Monde continue à reporter ses rendez-vous les moins importants.

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