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immigration - Page 1314

  • Quand la culture de l’excuse n’a plus aucune limite…

    On poursuit l’« apologie du terrorisme » partout, la traque de ceux qui ne sont pas Charlie n’en finit pas, et la liberté d’expression s’est arrêtée au périmètre qui encercle les gens biens, c’est-à-dire les gens de gauche.

    Et il en est une, Virginie Despentes, fille de gauche bien entendu, qui s’est pourtant servi des Inrocks pour déclarer son amour des frères Kouachi qui, les pauvres chéris, étaient tout simplement rejetés par la société. Il faut bien que ce soit toujours de notre faute, nous les sales Français, quoi qu’il arrive.

    Hallucinant.

    […] J’ai été Charlie, le balayeur et le flic à l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi leur désespoir.

     

    Leur façon de dire – vous ne voulez pas de moi, vous ne voulez pas me voir, vous pensez que je vais vivre ma vie accroupi dans un ghetto en supportant votre hostilité sans venir gêner votre semaine de shopping soldes ou votre partie de golf – je vais faire irruption dans vos putains de réalités que je hais parce que non seulement elles m’excluent mais en plus elles me mettent en taule et condamnent tous les miens au déshonneur d’une précarité de plomb. Je les ai aimés dans le mouvement de la focale écartée en grand, leur geste devenait aussi une déclaration d’amour – regarde-moi, prends-moi en compte. On ne tire pas sur ce qu’on ne voit pas.

    Je les ai aimés dans leur maladresse – quand je les ai vus armes à la main semer la terreur en hurlant “on a vengé le Prophète” et ne pas trouver le ton juste pour le dire. Du mauvais film d’action, du mauvais gangsta-rap. Jusque dans leur acte héroïque, quelque chose qui ne réussissait pas. […]

    http://www.contre-info.com/quand-la-culture-de-lexcuse-na-plus-aucune-limite#more-36371

  • Pour un Pegida français (Présent 8275)

    Ambiance de résistance dans la petite salle qui accueillait dimanche les journalistes dans un hôtel parisien pour une conférence de presse, en remplacement de la manif interdite.

    Une du numéro 8275 de "Présent"

    Une du numéro 8275 de “Présent”

    Alors que la manifestation contre l’islamisation organisée par Riposte Laïque et Résistance Républicaine était interdite par la préfecture, une manifestation haineuse « contre l’islamophobie » avait lieu dimanche au même moment, Place du Châtelet, avec des manifestants criant « Allah Akbar », dénonçant pêle-mêle dans leur discours l’attitude d’une partie des juifs de France, l’impérialisme français et réclamant le retrait des troupes françaises…

    « Le ministre Cazeneuve est intervenu directement dans l’interdiction de notre manifestation, laissant entendre que nous étions islamophobes et que réclamer l’expulsion des islamistes attiserait la haine et la division chez les Français », a déclaré Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine. « On est en train de nous imposer l’interdiction de critiquer l’islam dans un pays non-musulman. »

    Le gouvernement français ne veut surtout pas d’un Pegida à la française et fera tout pour l’éviter. De même qu’Angela Merkel est décidée à tout pour briser le mouvement Pegida.

    Devant de nombreux journalistes dont la moitié venue de pays étrangers, Mélanie Dittmer, la jeune représentante allemande de Pegida (vêtue en permanence d’un gilet pare-balles en raison des menaces qui pèsent sur elle) a pu s’exprimer. Aux côtés de Pierre Cassen, de Christine Tasin et de l’écrivain Renaud Camus, elle était entourée de Pierre Renversez (Belgique), Armando Manocchia (Italie) et Jean-Luc Addor (Suisse). Alors que Renaud Camus dans une intervention de combat (prévue pour être prononcée dehors en pleine manif, a-t-il précisé) affirmait que « des incivilités quotidiennes à l’effroyable barbarie, la soumission et la lutte armée avaient déjà commencé mais pas de notre fait », les représentants des mouvements européens ont rappelé que la vraie solidarité avec les victimes des attentats passait par le courage de nommer l’islam. Ils ont tour à tour dénoncé l’islamisation, appelé à la résistance et à la défense de notre civilisation et de notre mode de vie.

     

    « C’est une déception terrible d’avoir été interdit, a déclaré Pierre Cassen, président de Risposte Laïque. Nous aurions été très nombreux Place de la Bourse et nos discours auraient détonné sur l’enfumage général. Nos amis de Montpellier, Bordeaux et Lyon ont tenu, sans être interdits, leurs premiers rassemblements. Des Pegida voient le jour en Belgique, en Espagne, en Italie et en Suisse. Ce lundi, par dizaine de milliers, les Allemands redescendront dans la rue. [NDLR : La police a interdit tout rassemblement public à Dresde en raison d’un risque terroriste, mais elle est autorisée à Dusseldorf.] Et le mot d’ordre “Islamistes hors de France”, qu’ils ont voulu nous interdire de scander, sera sur toutes les lèvres. Les Français auront alors la confirmation que ceux qui nous gouvernent, non seulement sont incapables de les protéger, mais organisent délibérément leur mise en danger et leur remplacement. »

    Caroline Parmentier

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  • Radio Courtoisie : « Les 14 mensonges sur l’immigration » (Audio)

    Le lundi 19 janvier 2015, dans son “Libre journal” diffusé sur Radio Courtoisie, Henri de Lesquen recevait Jean-Yves Le Gallou de la Fondation Polemia, Gérard Pince, auteur de l’ouvrage Les Français ruinés par l’immigration et André Posokhov, pour leurs rapports respectifs sur les coûts de l’immigration.

     

    Au chapitre des mensonges abordés lors de l’émission:

    - Le mythe du héros immigré.
    - Pas de lien entre immigration et insécurité.
    - Pas de lien entre immigration et chômage.
    - L’immigration ne coûte rien à la France.
    - La France a toujours été une terre d’immigration.
    - Pas de différence de nature entre l’immigration actuelle et celle que la France a connu jusqu’en 1950.
    - La France est une population métissée, les Français sont de toutes origines.
    - La solution c’est l’intégration des immigrés.
    - La politique d’immigration actuelle est compatible avec la tradition républicaine.
    - Les Français de souche ont une dette envers les immigrés (au titre de la colonisation, du racisme…)
    - L’islam est une religion de paix et d’amour, pas d’amalgames.
    - L’islam est compatible avec l’identité de la France.
    - Il est impossible d’inverser les flux migratoires.
    - La population d’immigrés n’augmente pas en France.

    http://fortune.fdesouche.com/372085-radio-courtoisie-les-14-mensonges-sur-limmigration-audio#more-372085

  • Six thèses sur l’angélisme qui nous gouverne : être Charlie ne suffira pas

    Vincent Coussedière, agrégé de philosophie et auteur de Eloge du populisme (Elya éditions).

    Discours dénonçant le risque d’amalgame chez les Français, usage du mot terrorisme pour désigner l’islamisme…

    Vincent Coussedière dénonce en six points l’angélisme ambiant en France.

    1) Etre fidèle à Charlie aujourd’hui, c’est rompre l’unanimité et la bien-pensance de façade, c’est rompre l’identification du «Je suis Charlie». Ce slogan est déficient dans chacun de ses termes. Il ne s’agit pas de dire «je» mais de dire «nous», pour marquer la différence entre une identification individuelle de «spectateur» et une réaction politique par définition collective. Il ne s’agit pas non plus d’«être», c’est-à-dire de se substituer à la victime par identification imaginaire. Il s’agit de «faire», c’est-à-dire d’agir contre ceux qui se déclarent nos ennemis. Enfin il ne s’agit pas seulement de Charlie, mais de policiers, de juifs, c’est-à-dire de personnes libres et reconnues comme telles en tant que citoyennes de l’Etat français. Ce sont les Français et la France qui sont attaqués. Et la réponse doit se faire à ce niveau. «Nous sommes français», et c’est parce que nous sommes français que nous défendons Charlie comme tous les autres qui ont été attaqués dans leur liberté de vivre en France.

    2) Nous sommes français et nous avons des ennemis qu’il faut nommer. Il ne s’agit pas de lutter contre le terrorisme qui est une abstraction qui permet de noyer le poisson. Le terrorisme est un moyen utilisé par notre ennemi. Il ne suffit pas encore à définir notre ennemi. Notre ennemi est l’islamisme et cela encore est trop général, car il y a concurrence et émulation entre différents groupes islamistes appuyés par différents Etats. Ces ennemis ne frappent pas aujourd’hui parce que jusqu’à présent ils auraient échoué, mais parce qu’ils l’ont décidé. Et il faut expliquer pourquoi ils l’ont décidé. Ils l’ont décidé parce que nous sommes aussi entrés en guerre contre eux, et il aurait fallu expliquer clairement aux Français le risque que nous prenions et pourquoi. Cela n’a pas été fait. Le terrorisme n’est pas un phénomène météorologique qu’on pourrait conjurer avec des alertes oranges. Il faut cesser de prendre les Français pour des imbéciles.

    3) Une fois nommé l’ennemi : l’islamisme, il ne suffira pas de combattre sa variante terroriste pour l’endiguer. Car le terrorisme n’est qu’un des moyens utilisés par l’islamisme pour mener à bien son projet, projet qu’il s’agit aussi d’identifier et qui est bien un projet d’islamisation de notre société. Il faudra cesser de taxer d’«islamophobe» (terme lancé sur le marché des «idées» par Khomeiny, pour interdire toute critique de l’islam et de l’islamisme, et repris aujourd’hui bêtement par la vulgate médiatico-politique) tous ceux qui agissent pour améliorer la connaissance et la dénonciation de ce projet de domination, car c’en est un. La terreur n’est que le versant complémentaire d’un projet d’islamisation «par le bas» qui instrumentalise l’échec de l’assimilation républicaine et se substitue à elle. Quelle crédit accorder désormais aux politiques qui prétendent combattre le terrorisme sans affronter le terreau de l’islamisation?

    4) Il ne suffira pas de brandir le tabou de l’«amalgame» pour désamorcer le risque bien réel et en partie déjà effectif de guerre civile dans notre pays. La première chose qu’auraient dû faire nos élites politiques, au contraire de ce qu’elles ont toutes cru nécessaire de faire, ce n’était pas de brandir le risque de l’«amalgame», mais c’était de féliciter le peuple français de sa patience et de sa générosité, de n’avoir justement, jusqu’à présent, jamais cédé à l’amalgame. Car l’amalgame entre islam et islamisme, c’est d’abord aux musulmans français qu’il s’agit de faire la preuve qu’il n’est pas pertinent. Demander aux Français non musulmans de ne pas faire d’«amalgame», dès la première réaction aux événements, comme l’ont fait aussi bien F. Hollande que N. Sarkozy et M. Le Pen, c’était renverser la responsabilité et la charge de la preuve. Pourquoi les Français devraient-ils être savants en matière d’islam et être rendus responsables de la difficile articulation entre islam et islamisme? C’est aux musulmans, par définition «savants» en islam, qu’il appartient de ne pas s’amalgamer à l’islamisme et de montrer à leurs concitoyens, par leurs paroles et par leurs actes, qu’il n’y a pas lieu d’avoir peur et que cet amalgame est effectivement infondé. Ce discours empressé et unanime à dénoncer le risque d’amalgame pose deux problèmes : il est le symptôme d’une forme de lâcheté à l’égard des musulmans français, qu’on ne met pas au pied du mur en les forçant à affronter le lien problématique entre islam et islamisme, comme si, en décrétant d’emblée qu’il n’y avait aucun rapport, on voulait leur éviter le travail de la réforme ; il est le symptôme d’un mépris du peuple français, dont on méconnaît l’intelligence et qu’on soupçonne par avance de faire cet amalgame avant qu’il ait eu lieu.

    5) Charlie est peut-être devenu le symbole de la liberté française. Pour ma part je ne suis pas sûr qu’il ait toujours été le parangon de cette liberté. La liberté n’est pas la licence et l’irresponsabilité à l’abri d’un Etat maternel et protecteur, fût-il gaullien. Il y a quelque chose de tragique et d’hégélien dans cette histoire. SiCharlie est devenu le symbole d’une liberté véritable et admirable, s’il est devenu admiré et a gagné de nouveaux lecteurs, c’est depuis cette affaire des caricatures de 2006. C’est parce qu’il a rencontré le maître islamiste et qu’il a relevé le défi que Charlie est devenu libre. Ici, l’ironie de l’Histoire est tragique, carCharlie, pour continuer à être lui-même, a dû renouer avec des valeurs bien éloignées de son anarchisme soixante-huitard. Il a dû prouver sa liberté devant le risque de mort, et reconnaître la liberté de ceux qui l’ont longtemps protégé, pas assez longtemps malheureusement: les policiers. Ceux qu’on brocardait autrefois dans la stupidité du slogan CRS-SS… Aujourd’hui, tous ceux qui croient qu’«être Charlie» peut s’afficher comme un slogan publicitaire du type «Touche pas à mon pote» ou «Agriculture biologiquement certifiée» restent incapables de mesurer ce changement dans les conditions de l’exercice de la liberté. Ils n’ont pas compris la leçon qu’il faut tirer de cet événement tragique qui clôt une page de notre histoire, la page de l’irresponsabilité gauchiste.

    6) Comment peut-on prendre au sérieux l’appel à l’unité nationale de la part de ceux qui, à droite comme à gauche, n’ont cessé de la détricoter depuis 40 ans? L’unité nationale ne sera pas le produit de l’indignation morale et des masses rassemblées pour l’exprimer. Le peuple n’est ni la foule ni la masse, mais une certaine forme de sociabilité en laquelle on «communie» chaque jour dans les paroles et les gestes banals de la vie quotidienne, une «décence commune», comme dirait Michéa reprenant Orwell, que se sont acharnées à détruire nos élites par l’étau de l’immigration incontrôlée et de l’individualisme consommateur déchaîné. Le peuple n’est ni la foule ni la masse, mais l’exercice d’une souveraineté collective à travers un Etat digne de ce nom, c’est-à-dire capable de maintenir son indépendance, dont les ressorts ont également été détruits par les européistes béats qui découvrent tout aussi béatement aujourd’hui qu’ils «sont Charlie» alors qu’ils n’ont rien fait depuis si longtemps pour le prouver en étant tout simplement des défenseurs de la liberté française qui inclut la liberté pour Charlie d’être Charlie.

    Vincent Coussedière, 15/01/2015

    Source : FIGAROVOX/TRIBUNE

    http://www.polemia.com/six-theses-sur-langelisme-qui-nous-gouverne-etre-charlie-ne-suffira-pas/

  • Strasbourg : conférence de Guillaume Faye sur la colonisation de l’Europe le 13 février

    Guillaume Faye tiendra une conférence à Strasbourg le 13 février prochain. Il sera l’invité de la quatrième édition du Cercle Eugène Ricklin.

    Le Cercle Eugène Ricklin recevra donc, le vendredi 13 Février 2015 à 19 heures (Strasbourg), Guillaume Faye qui abordera l’épineux sujet de “La Colonisation de l’Europe, situation et solutions.” Participation aux frais : 5 euros.

    Les inscriptions se font par mail (alsace@bloc-identitaire.com), en précisant le nombre d’accompagnants.

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    http://fr.novopress.info/181236/strasbourg-conference-de-guillaume-faye-sur-la-colonisation-de-leurope-le-13-fevrier/

  • COMMUNIQUE DE RESISTANCE REPUBLICAINE ET DE RIPOSTE LAIQUE

    Conférence de presse européenne de résistance à l’islamisation de nos pays

    Le préfet Boucault, sous la pression de son ministre Cazeneuve, du maire écolo du 2e arrondissement Boutault, d’organisations musulmanes et de l’extrême gauche, a donc, avec un dossier totalement vide, décidé d’interdire le rassemblement du 18 janvier, organisé par Résistance républicaine et Riposte Laïque. Cette décision, hautement politique, a été cautionnée par les juges du tribunal administratif, qui ont considéré, de manière étrange, qu’appeler à expulser des islamistes qui sèment la mort dans notre pays était « un appel à la haine et à la division ».

    18 janvier

    Comme nous l’avions annoncé, nous organiserons donc, ce jour, à 15 heures, à Paris, une conférence de presse européenne, avecl’animatrice de Pegida Dusseldorf et Cologne, Melanie Dittmer, le responsable belge de Pegida Wallonie Pierre Renversez, le député suisse Jean-Luc Addor, l’italien Armando Manocchia, qui perpétue le souvenir d’Oriana Fallaci, et le philosophe Renaud Camus. Par mesure de sécurité pour les organisateurs et les intervenants, nous n’annoncerons le lieu de la conférence de presse que par téléphone, aux journalistes qui en feront la demande avant 14 heures.

    Nous nous réjouissons par ailleurs que la manifestation organisée par Vigilance halal à la ferme des Mille veaux ait été un succés, que se soit tenu un rassemblement à Lyon, et que se tiennent, cet après-midi, d’autres initiatives de ce type à Montpellier et à Bordeaux.

    Nous ne faiblirons pas dans notre résistance à l’islamisation, malgré un pouvoir totalitaire prêt à tout pour interdire la libre critique du dogme islamique et nous invitons les patriotes qui, venus à Paris pour demander que les islamistes soient jetés hors de France ne pourront se rassembler place de la Bourse à aller boire un verre avec les autres patriotes dans les cafés autour de la Bourse ou dans les rues adjacentes. Signes de ralliement, cocarde, pin-s, foulard, parapluie…  aux 3 couleurs, Et  à défaut de signe, rien n’empêche chacun de porter la bonne parole autour de lui…
    La Résistance, c’est maintenant.

    Christine Tasin et Pierre Cassen

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/communique-de-resistance-republicaine-et-de-riposte-laique_126050.html#more-126050

  • Leur « union nationale », c’est la « soumission »

    Tout cela était malheureusement prévisible

    « Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux » (Guy Debord).

    C’est un indicible écœurement que toute personne intègre devrait ressentir devant le déferlement de glu sentimentale et d’obscénité auquel a donné lieu le massacre commis à l’encontre des journalistes de Charlie Hebdo. Et de mensonges, aussi. Notamment celui d’une France unie et debout face à l’intolérance, alors que la comédie de l’union nationale qui se joue devant nous, du NPA à l’UOIF en passant par l’UMPS, n’est rien d’autre que la manifestation de la soumission de la France institutionnelle devant l’islam le plus barbare.

    Lire aussiTrop forts, ces musulmans !

    Comment, en effet, qualifier l’invitation des Frères musulmans de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France) à participer à la manifestation du 11 janvier, sinon de capitulation et de consentement à l’islamisation de la société française ? Comment ne pas voir que cette mascarade ne fait finalement que donner raison à Houellebecq : l’unité nationale du moment se réalisant sur le dos du Front national et des « méchants » du moment, les Zemmour, Camus, Millet et Finkielkraut qu’une certaine presse commence déjà à rendre responsable du carnage, du fait d’un climat « nauséabond » et « islamophobe » qui règnerait dans le pays ?

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  • Pour le sénateur Philippe Esnol (PRG) : “Un marché à Mantes-la-Jolie, c’est l’Arabie saoudite”

    Après Malek Boutih, le sénateur Philippe Esnol tient à rappeler certaines vérités face à la montée de l’islamisme en France.
    Celui qui a quitté le PS pour rejoindre le PRG dénonce la connivence entre certains élus locaux et le communautarisme religieux pour des raisons électoralistes. “On a reçu l’ordre de fermer les yeux sur le port de la burka” déclare-t-il au journal Le Point.

    Mais Philippe Esnol va plus loin :

    Avez-vous déjà fait un tour sur un marché à Mantes-la-Jolie ? C’est l’Arabie saoudite ! Une femme non voilée s’y sent mal à l’aise. J’ai été l’un des premiers au PS à défendre, avec Manuel Valls, l’interdiction de la burka. À l’époque, nos camarades socialistes nous traitaient d’”intégristes laïques”…

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