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immigration - Page 1409

  • Trop de droit d'asile tue le droit d'asile

    Depuis le 9 octobre, l'opinion française aura été focalisée sur ce qu'on considère désormais comme l'affaire de Léonarda Dibrani et celle de sa famille. D'une façon tout à fait artificielle le ton a monté. On a voulu, agiter une fois de plus, et selon l'expression opportune de Jean-Pierre Chevènement, la "dictature de l'émotion". (1)⇓

    On le fait de manière systématique en France depuis une bonne, ou plutôt une mauvaise trentaine d'années. (2)⇓

     

    Les cibles favorites de ce genre de dispositifs se recrutent à l'évidence chez les adolescents de notre époque nulle et molle.

     

    Dans un tel contexte, la "gauche de la gauche" s'est emparée de cette affaire pour cristalliser un peu plus l'affrontement, désormais permanent, entre le ministre de l'Intérieur et ses homologues bien-pensants de la Justice, du Logement, de l'Éducation, etc. Ce jeu de rôles aboutit d'ailleurs à ce que Manuel Valls adopte la posture qui lui semble impartie, au nom de la "République".

     

    Tous les protestataires entendent d'ailleurs enchaîner le gros mollasson faisant office de président à son alliance avec le parti communiste.

     

    Tout d'abord on a donc présenté cette jeune fille comme "kossovare", comme s'il s'agissait d'une nationalité intouchable, à la fois improbable et de ce fait inexpulsable. Rappelons quand même que ce territoire arraché à la république de Serbie l'ancienne Yougoslavie, au nom du droit de la majorité albanaise comptait diverses minorités, dont des Tziganes, des Slaves musulmans "goranis", etc.

     

    À la suite de la brillante expédition droitdelhommiste de 1999, tous ont eu tendance, pour fuir le "bon" fanatisme des "gentils" Albanais à se regrouper aux côtés des "méchants" Serbes et notamment dans le bastion de Mitrovitsa. C'est là que réside aujourd'hui la famille Dibrani, bien que son chef reconnaisse désormais avoir menti à l'administration française.

     

    Soulignons aussi que ni l'Albanie, ni le Kossovo, ni même à ce jour la république de Serbie n'appartiennent à l'Union européenne ni, moins encore à l'espace Schengen.

     

    Le séjour européen de cette famille manifestement "rom" et non Albanaise "kossovare" ne relèvent donc pas des règles de libre circulation au sein de l'Union européenne mais du droit d'asile.

     

    La curiosité bien significative est que les filles Dibrani, étant nées en Italie, auraient pu a priori se revendiquer de l'Europe : or, leur père a préféré falsifier ses déclarations et invoquer faussement le droit d'asile, le sachant plus favorable.

     

    Même le très bien-pensant "Huffington Post" posait donc la question ce 17 octobre : "Faut-il réformer le droit le droit d'asile ?" (3)⇓

     

    Répondons-lui : il ne faut pas le "réformer". Il convient de l'abroger en sa qualité de "faux droit".

     

    En effet, celui-ci est réglementé à partir d'une Convention internationale floue, remontant à 1951, signée dans des conditions complètement dépassées.

     

    Celle-ci donne lieu à d'innombrables abus au détriment de nos pays. Elle génère une incroyable administration, manifestement submergée, dont les bâtiments jouxtent à Paris ceux de la délivrance des permis de conduire, 92 boulevard Ney, dans le 18e arrondissement, près de l'accueillante porte de Clignancourt. Je conseille aux curieux de s'y rendre et d'en prendre la température.

     

    La doctrine du droit d'asile ainsi généralisé énonce qu'on ne le refuse pas au ressortissant d'un pays en état de conflit : de la sorte, nous considérons-nous comme contraints d'accueillir quiconque se réclame d'une nationalité secouée par des troubles, Afghans, Irakiens, Tchétchènes, Somaliens, Érythréens, Syriens etc. même s'il s'agit d'imposteurs.

     

    Et le père de Léonarda a reconnu lui-même appartenir à cette dernière catégorie.

     

    Les passeurs qui exercent leur joli métier à partir de quelques pays complaisants ou complices, Maghreb, Turquie, etc. savent d'ailleurs conseiller leurs clients, en général très bien renseignés. Il devient donc de plus en plus urgent de se retirer de carcan. Le moins que l'on puisse dire est que ni la France ni l'Europe ne semblent consentir à prendre ce chemin.

     

    Curieusement, des territoires immenses comme ceux des États-Unis 9,3 millions de km2, ou du Brésil 8,5 millions de km2 ne pratiquent pas l'hospitalité forcée imposée au Vieux Continent. Et ils consentent encore moins aux très attractives pratiques de notre "modèle social français", de plus en plus coûteux pour les cotisants régnicoles, de plus en plus généreux pour les bénéficiaires venus d'ailleurs.

     

    Pour tout un chacun l'asile politique concerne au départ d'attachantes personnalités individuelles, victimes d'un coup d'État en Amérique latine, tel le général Alcazar chassé par son rival Tapioca dans les albums de Tintin. On l'accueille donc chrétiennement et libéralement, en attendant que l'affreux Chavez meure (il est mort mais son État demeure) ou que le castrisme s'effondre à Cuba. Bienvenue aux quelques poètes fuyant d'authentiques dictatures comme aux Russes blancs d'hier ou aux Européens de l'est franchissant le rideau de fer. Cet accueil hospitalier ne devrait d'ailleurs même pas être tenu pour un "droit" mais pour une libéralité traditionnelle de l'Europe chrétienne : elle entraîne comme contrepartie que son bénéficiaire observe une certaine réserve de bon sens et de bon goût.

     

    Tout cela est périmé. Quelques bandes de jeunes ignorantins, lycéens boutonneux, agités du bocal d'associations subventionnaires, femmes du monde, gauchistes de sacristie, etc. s'emparent du sujet comme si l'Hexagone n'avait désormais vocation qu'à subir l'invasion sans broncher, et qu'un seul devoir celui d'accueillir "toute la misère du monde" au risque de s'y noyer.

     

    Ne confondons pas le vrai droit universel à l'émigration avec un faux droit à l'immigration chez le voisin. Ce faux droit est celui des squatteurs, des pillards et des destructeurs : en un mot, celui qui sied aux socialistes.

     

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/2013/10/trop-de-droit-dasile-tue-le-droit-dasile.html

     

    Apostilles

    1 - cf. Libération en ligne le 16 octobre.
    2 - Jules Monnerot souligne le rôle éminemment subversif de l'émotionnel au service de la dialectique marxiste. Il en expose la logique dans le tome III de sa "Sociologie du communisme", laquelle décrit la lutte inéluctable de la religion séculière marxiste à la conquête de "L'Imperium mundi". Ceci fonctionna au cours du XXe siècle comme l'islam médiéval, et comme les islamistes du XXIe siècle voudraient sans doute le renouveler.
    3 - où Mme Anne Sinclair exerce depuis 2012, retour des États-Unis, ses immenses talents.

  • L'Europe bientôt confrontée à des migrations africaines massives

    Ex: http://www.europesolidaire.eu

    Les naufrages à répétition d'embarcations apportant des dizaines, et maintenant des centaines d'émigrants africains autour de Lampedusa et des côtes voisines ne sont pas près de diminuer. Elles suscitent une grande émotion. Il reste, aussi impopulaire que ce soit de le dire, qu'un minimum de mises au point s'impose.

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    Cette carte est déjà un peu ancienne, mais dans l'ensemble, elle marque bien les tendances

    Le monde qui vient, notre monde, est la proie de ce que certains ont appelé les quatre Cavaliers de l'Apocalypse (cf un de nos articles). On peut sans grand risque les identifier, même si la liste peut paraître trop courte: la multiplication des Etats faillis, la dislocation économique générant des inégalités croissante entre les pays (revenus moyens de 1 à 2 dollars par jour et par personne pour de nombreuses sociétés africaines, contre 50 à 100 en Europe), la diffusion des idéologies et religions radicales, le réchauffement climatique.
    Les causes en sont très diverses, toutes sont aggravées par le capitalisme financier international principalement basé dans les pays riches, toutes pèseront en priorité sur le milliard et demi d'Africains que comptera prochainement l'Afrique, toutes finalement se traduiront par une augmentation continue des migrations provenant de ce continent et qui tentent de profiter du niveau de vie supérieur des Européens.
    Les naufrages à répétition d'embarcations apportant des dizaines, et maintenant des centaines d'émigrants africains autour de Lampedusa et des côtes voisines ne sont donc pas près de diminuer., suscitant selon les cas soit l'indifférence, soit des deuils nationaux, objurgations du pape et manifestations d'ONG. Ces réactions sont tout à fait compréhensibles, les secondes sont à l'honneur de ceux qui s'émeuvent (encore que dans le même temps nul ne s'émeut vraiment du nombre des morts sur les routes, qu'il serait facile de diminuer en réduisant drastiquement la vitesse). Il reste cependant, aussi impopulaire que ce soit de le dire, qu'un minimum de mises au point s'impose.

    Les citoyens des pays riches accepteraient-ils volontairement les sacrifices considérables qui seraient nécessaires pour atténuer le poids imposés sur les citoyens africains par les quatre Cavaliers de l'Apocalypse sus-désignés. La réponse est évidemment négative. Sans même envisager que des aides massives soient accordées à l'Afrique pour tenter de fixer sur le continent des millions de candidats au départ, quelle commune européenne accepterait l'implantation et l'entretien de centaines ou même de dizaines d'Erythréens, Somaliens ou ressortissants d'autres pays même plus proches de l'Europe. Pratiquement aucune.

    Il faudrait que ceci soit imposé par les gouvernements, faute de politiques européennes communes en ce sens. Aucun gouvernement n'y consentira, sauf au compte-goutte. Les difficultés actuelles liées à la circulation et à l'intégration des Roms seraient multipliées à l'infini. Parler de couloirs humanitaires permettant de sécuriser des flux migratoires ne correspond à rien, dans la mesure où aucune structure d'accueil viable ne serait mise en place au bout de ces couloirs. Quant à prétendre qu'avec leurs cultures spécifiques ces migrants se dissoudraient sans effort dans les populations autochtones, ce n'est pas seulement rêver mais mentir sciemment.

    L'Europe

    Les opinions et les gouvernements se tourneront donc vers l'Europe, pour demander une adaptation radicale de la politique de l'Union européenne en matière de migration (cf Wikipedia). Mais comme on le constate aujourd'hui tous les jours, celle-ci est bien trop superficielle et complexe pour s'appliquer à des changements en profondeur des flux migratoires. Pour le moment, elle a surtout pour résultat d'encourager différentes maffias à faire miroiter l'éden européen à un nombre croissant de candidats au départ durement rackettés à cette occasion.

    Dans quel sens la modifier? Rien de sérieux n'est pour le moment envisagé. Pourtant, d'ores et déjà, la moindre personne compétente en pratique maritime dira que pour décourager les embarcations de passeurs, il faudrait que des unités navales militaires européennes légères mais en nombre suffisant les interceptent et les repoussent vers les ports d'où elles proviennent. Ceci non seulement à partir des eaux internationales mais dans les eaux territoriales des Etats qui les tolèrent. Or nul Etat européen n'oserait le faire. On imagine sans peine, en cas de résistance voire d'accident, le scandale international en résultant. La Russie, la Chine, pour ne pas parler des Etats-Unis, seraient les seuls pays capables en ce moment, si leurs intérêts étaient menacés, de prendre de telles mesures contraires au droit maritime international.

    Ajoutons que la situation ainsi décrite ne pourra que s'aggraver avec les effets du réchauffement climatique, le plus menaçant et le moins évitable de nos Cavaliers de l'Apocalypse. Ce ne seront plus alors des milliers mais des millions d'Africains qui entreprendront prochainement la longue migration vers le nord, vers une Europe de son côté affaiblie par les mêmes facteurs de destruction. Il serait illusoire de penser que ces migrants continueront à se présenter gentiment aux frontières de l'Europe. Très vite, les esprits montés par divers radicalismes, ethniques, nationalistes ou religieux, ils viendront en armes forcer les passages. L'Europe dans ce cas mobilisera ses forces militaires, comme les Etats-Unis commencent à le faire sur la frontière mexicaine, à l'encontre de migrants pourtant bien plus proches culturellement. Plus personne alors ne criera au scandale en Europe. On évoquera, à tort ou à raison en termes moraux, la légitime défense.

    Que proposez vous, diront les lecteurs aux auteurs de cet article? Rien pour le moment, sinon commencer à considérer la situation actuelle dans toute son ampleur, et sur le long terme. Y compris bien sûr avec les représentants des Etats concernés et de l'ONU. Ce pourrait être le début de la sagesse, plutôt qu'en appeler à de bons sentiments caparaçonnés d'égoïsme et d'incompétence.

    Jean Paul Baquiast, 04/10/2013
  • Y’a des choses qui me tracassent. Mais ils sortent d’où, ces Erythréens ?

    Bien sûr, ils sortent d’Erythrée. Enfin on suppose. Mais encore ? A Lampedusa, c’est maintenant plein d’Erythréens. Comme ils ont échappé à la mort, il ne faut pas trop les bousculer. N’empêche que leur histoire, c’est comme leurs bateaux : elle ne tient pas debout.

    Il y a une chose qui me tracasse. Et pas depuis la semaine dernière. A chaque fois qu’un rafiot accoste sur les côtes européennes, bondé de migrants soi-disant miséreux, fuyant qui la pauvreté, qui la guerre, qui la famine, qui sa belle-mère, on nous raconte que ces gens-là nous sont arrivés grâce aux passeurs, lesquels se sont bien sûr faits payer, et pas avec des grains de mil. On nous dit aussi, sans que nul ne s’interroge, qu’il y a un tarif plancher qui est de 1000 euros.

    On ne sait pas trop si c’est 1000 euros par tête de pipe ou par famille, encore qu’il semble peu probable que le tarif soit uniforme selon que le passager prenne une place sur le bateau ou une demi-douzaine.

    Les derniers arrivants provenaient d’Erythrée. « De l’Ethiopie, nous sommes allés au Soudan, puis en Libye. Et nous sommes arrivés ici », déclarait l’un de ces migrants en anglais compréhensible devant les caméras, sa petite mine trouvant ainsi sa justification. C’est vrai que ça fait de la route. Et des sous. En Erythrée, le revenu moyen est de 560 dollars par an. Le calcul est en dollars parce que c’est la Banque mondiale, installée à Washington, qui le livre. En monnaie bien de chez nous, ça donne 412 euros. Par an. Soit 34 euros par mois. Je divise juste par douze parce qu’il paraît que là-bas, il n’y a pas de treizième mois.

    Mais comment font-ils pour économiser autant ?

    Ainsi donc, pour venir en Europe – seul –, un Erythréen à l’agonie, n’ayant pas d’autre choix que de gagner l’Europe s’il veut survivre, est capable de débourser près de trente mois de revenus, soit deux ans et demi de gains qu’il a économisés mois après mois tout en faisant vivre – chichement, on s’en doute – sa famille ? On se fout de qui ? A titre de comparaison, c’est comme si un Français, pour passer à Londres, avait dû débourser 87000 euros, rien que pour le passeur! Pour arriver les poches vides, n’ayant même pas de quoi se payer un ticket de métro, ce qui après tout n’est pas farfelu puisque ce sont les hébergeurs qui payent tout.

    En Erythrée – ou ailleurs, en Ethiopie, en Somalie, au Soudan, etc. –, le gus qui peut sortir une telle somme n’est pas un pauvre paysan – au fait, on regarde leurs mains? – dont la récolte a péri à cause du soleil caniculaire, vous ne savez pas ce que c’est mon pôv’ monsieur. Il ferait même plutôt partie des privilégiés d’une société très inégalitaire. Des privilégiés qui, en Erythrée, ne peuvent l’être que s’ils sont bien vus par le régime à parti unique de Issayas Afewerki, un « grand frère paranoïaque et terrifiant » comme le décrivait « Le Monde » il y a quelques jours, « gardien d’un Etat mi-caserne mi-prison » et dernier maoïste en fonction sur la planète!

    Autant dire que pour gagner un peu de sous, il vaut mieux être dans ses petits papiers et que la spéculation boursière – sait-on jamais, l’Erythréen pourrait jouer en bourse pour se payer le voyage – n’est pas la spécialité locale. L’esclavage est plus courant. Le pillage aussi. L’Erythrée est un pays en guerre perpétuelle, réelle ou larvée, contre l’Ethiopie. Ça entretient le moral des troupes et la solde des combattants, ceux de l’armée ou ceux des milices. L’autre moyen de faire fortune est d’être malhonnête (non, ce n’est pas pareil). Par le marché noir, les accointances avec les mafias, tout ce qui prolifère habituellement sous une dictature.

    T’as survécu tu peux rester…

    La question du financement de la traversée des déserts puis de la Méditerranée n’étant pas résolue, il y a une deuxième chose qui me tracasse. Toute bête. Pourquoi ces échappés du naufrage, une fois arrivés sur nos côtes, ne sont-ils pas renvoyés d’où ils viennent, vu qu’on sait très bien d’où ils arrivent puisqu’ils se disent eux-mêmes Erythréens ? Un avion cargo, qui leur paraîtra le summum du luxe après ce qu’ils ont vécu et hop! direction Asmala et son aéroport. Ben non, allez savoir pourquoi, on se les garde. A croire que c’est le cadeau bonus, mieux que les Jeux panafricains qui n’ont lieu que tous les quatre ans : quiconque a survécu au concours a gagné le droit de rester en Europe!

    Au lieu de dire merci pour avoir été sauvés, les mecs, tranquilles, râlent…

    J’ai vu un reportage épatant. Les mecs râlaient. Au lieu de dire merci pour être en vie, au lieu de faire profil bas pour avoir pris la mer sans savoir nager ou pour avoir entraîné toute leur petite famille dans une traversée hautement périlleuse, les mecs, tranquilles, râlaient. Il y avait celui qui engueulait une assistante sociale italienne parce qu’il n’avait pas de nouvelles de son fils, qui avait été sauvé mais se trouvait à Malte, séparé, rendez-vous compte, de son papa et de sa sœur, mais vivant, ohé, vivant mec! Et sauvé par qui, hein? Pas par son papa il me semble!

    Il y avait celui qui râlait parce que, rendez-vous compte, il était en Europe, terre de liberté et toussa toussa, et il se trouvait dans un centre de rétention, où il n’avait strictement rien à battre qu’on le loge, qu’on le nourrisse, qu’on lui permette de téléphoner à sa famille restée au pays – tiens donc… et au fait, combien d’Erythréens ont le téléphone, hum? – sans même lui demander son passeport, et pour cause, non, il râlait parce qu’il voulait se promener et qu’on lui demandait, poliment, de bien vouloir attendre que certaines formalités soient achevées. Il y avait enfin ce lui qui, ayant des connaissances en Norvège et ayant vu à la télé ou sur une carte postale que là-bas, il y avait de belles maisons et toute sorte d’aides – si si, il l’a dit! –, voulait y partir pas plus tard que tout de suite…

    Tout ça a fini par me rappeler une vieille histoire, du temps des cours de récréation. « Pince-mi et pince-moi sont dans un bateau. Pince-mi tombe à l’eau. Qui est-ce qui reste? » Il paraît que c’est la première fois qui fait mal. Il y a juste que ce n’est pas la première fois.

    Marc Bertric

    Article et image de l’hebdomadaire “Minute” du 16 octobre 2013, reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    http://fr.novopress.info/142251/ya-des-choses-qui-me-tracassent-mais-ils-sortent-dou-ces-erythreens/#more-142251

  • La famille de Leonarda venait d'Italie

    C'est pour cela que la collégienne ne savait pas parler le Kosovo... Le père avait menti :

    "Toute la famille, ma femme et mes enfants, sont nés en Italie. Ils n'ont rien à voir avec le Kosovo". "Ils sont nés en Italie et puis nous sommes venus en France. Nous avons menti aux autorités en disant que nous étions du Kosovo." "Nous avons demandé l'asile en France et nous ne pouvions pas montrer nos papiers italiens. Nous avons dit que nous avions fui le Kosovo".

    Michel Janva

  • En Seine-Saint-Denis, la mère de près d’un enfant sur deux (49%) a vu le jour à l’étranger

    L’année dernière, la France a compté 821.427 nouveaux nés, nous apprend l’Insee dans un rapport, «Statistiques d’état civil sur les naissances en 2012», rendu ce mois-ci. Nous avons gardé quatre conclusions tirées de l’étude de ces chiffres, qui témoignent des changements opérés en France ces vingt dernières années.

    (…) La Seine-Saint-Denis, terre d’accueil
    Entre 1994 et 2012, la part des enfants nés de deux parents étrangers a diminué très légèrement, passant de 7,64% à 7,38%.

    Au niveau des enfants nés de parents français, une baisse de l’ordre de 2% par rapport à 1994 a également été enregistrée.

    De plus en plus, un des parents est de nationalité étrangère (14%). Le phénomène est accentué en Ile-de-France où il concerne plus d’un enfant sur quatre (26% pour les pères, 27% pour les mères).

    La France est bien une terre d’accueil mais de façon très localisée. En Seine-Saint-Denis, la mère de près d’un enfant sur deux (49%) a vu le jour à l’étranger. Ce département est le seul où dans moins de la moitié des cas les nouveaux parents sont tous les deux Français. L’inverse peut être observé en Vendée, où ils sont 96,07% dans ce cas. A quelques exceptions près (essentiellement l’Ile-de-France et ses environs), les départements situés près des frontières sont ceux qui connaissent le moins de nouveaux parents franco-français.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Expulsée, la Kosovare pourra revenir en France grâce aux socialistes !

    PONTARLIER (NOVOpress) –  Une tempête dans un verre d’eau. Léonarda, la collégienne kosovare expulsée de France, dont la famille faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire après avoir été déboutée de ses demandes d’asile, pourra vite revenir dans l’Hexagone. Cette application de la loi avait pourtant provoqué de nombreux cris d’orfraie à gauche. Matignon a lancé dans la foulée, mercredi, une enquête administrative. Devant l’Assemblée Nationale, Jean-Marc Ayrault s’est alors engagé à annuler, selon les résultats de cette enquête, l’arrêté de reconduite à la frontière. « S’il y a eu faute (…) cette famille reviendra » a promis le Premier ministre.

    En écho à cet appel, le premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, a estimé lui aussi que la collégienne kosovare devait « pouvoir revenir dans sa classe ». Tandis que la jeune fille de 15 ans, expulsée le 9 octobre depuis Pontarlier (Doubs), a déclaré : « Au Kosovo, on dort sous les ponts,  j’ai même pas le droit d’aller à l’école ». Le Kosovo, région ayant imposé son indépendance au détriment de la Serbie, est incapable de proposer à ses ressortissants un avenir chez eux, au détriment des autres pays européens. Le cas aussi des Tunisiens, Egyptiens et Libyens qui envahissent l’Europe par dizaines de milliers après le fameux « Printemps arabe ».  Cette affaire illustre aussi l’énorme fossé entre les Français, en  attente de fermeté face à l’immigration sauvage et des socialistes, systématiquement portés vers… les autres avant les nôtres.

    http://fr.novopress.info/142224/expulsee-la-kosovare-pourra-revenir-en-france-grace-aux-socialistes/

  • Viktor Orbán : pour sauver l’Europe, il faut des politiques familiales courageuses, pas des politiques d’immigration

    « Ce qui a lieu aujourd’hui en Europe, c’est une attaque ouverte rouge-verte contre les valeurs traditionnelles : contre l’Église, contre la famille, contre la nation ».

    Le premier ministre hongrois a clos sa visite officielle au Royaume-Uni le 9 octobre par un discours devant le think-tank de politique étrangère Chatham House...

    ... dans lequel il demande aux leaders européens de changer de politique et de revenir aux valeurs qui ont fondé l’Europe. « La démocratie en Europe est fondée sur le christianisme. La racine anthropologique de nos institutions politiques, c’est l’image de Dieu qui exige un respect absolu de l’être humain. Pour les familles, il faut dire les choses clairement. Une communauté qui ne peut se maintenir biologiquement est vouée à la disparition. L’immigration n’est pas une réponse. C’est un piège, un leurre. Nous devons reconnaître les politiques familiales motivées par la démographie comme essentielles et légitimes », a lancé Viktor Orbán aux personnes réunies pour l’occasion.

    Pour le leader du Fidesz, aucune politique économique et fiscale ne pourra sortir l’Europe de la crise sans s’appuyer sur les États-nations et sans un retour aux valeurs traditionnelles et à l’honnêteté. « Sans honnêteté, non seulement nous ne pourrons pas vaincre la crise mais nous ne serons même pas en position de soulever les bonnes questions. » « Nous ne pouvons pas continuer à vivre au-dessus de nos moyens », a martelé Orbán dans une allusion aux politiques d’assistanat en faisant remarquer que l’endettement des 28 États de l’UE atteint désormais 11 000 milliards d’euros, et que ces 28 pays s’endettent chaque jour de 1,2 milliard d’euros supplémentaires. [...]

    La suite sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Viktor-Orban-pour-sauver-l-Europe

  • Préférence nationale pour sauver la France de la faillite ?

    « Celui qui n'aime pas sa mère plus que les autres mères et sa patrie plus que les autres patries n'aime ni sa mère ni sa patrie. »
    Paul Déroulède

    Ce texte est pour nous une occasion de faire notre coming-out anticolonialiste.

    Afin de bien faire comprendre notre point de vue et pour ne pas passer tout de suite pour un méchant « fasciiiiste » auprès des âmes sensibles lobotomisées par la bobocratie, nous nous sentons obligés raconter une anecdote personnelle.

    Avant d'avoir l'infini honneur de prêter serment devant la Cour d'appel de Paris, préalablement à notre intégration au barreau de la dite-ville, nous souhaitions savoir quelle était précisément notre situation vis-à-vis de la sécurité sociale.

    La Providence nous amena alors à la CAF de notre quartier de l'époque, en toute innocence, avouons-le. A l'entrée, nous prîmes un ticket, avant de nous rendre à l' « open-space » de l'agence. En son centre, des bancs étaient disposés pour les visiteurs du jour. Sur les côtés, se trouvaient les divers bureaux des agents de la CAF.

    Surprise, parmi les nombreuses personnes en attente, nous étions le seul visiteur à ne pas être austro-hongrois. Soit. Ce n'était ni la première ni la dernière fois que nous nous trouvions en minorité ethnique dans cette région qu'on appelait autrefois l'Ile-de-France.

    Ainsi donc, nous nous assîmes et attendîmes, livre de Huysmans à la main. Du fait de notre placement, nous pouvions entendre les conversations qui émanaient de différents bureaux. Nous percevions même distinctement, précisément, ce qui se disait au bureau placé juste en face de nous.

    Arriva alors le tour d'une mama austro-hongroise, munie, pour l'occasion, de deux très jeunes enfants. Notre mama parlait extrêmement mal le français. Malgré tout, nous réussîmes à comprendre la phrase suivante : « qu'est-ce que vous pouvez faire pour m'aider madame ? ». Conscient que du fait de notre condition de travailleur libéral l'URSS(AF) et les impôts nous pomperons chaque mois la moitié de notre argent durement gagné, nous nous dîmes spontanément : « je ne veux pas lui lâcher mon pognon ». Eh oui, monstre d'égoïsme que nous sommes, nous confessons ne ressentir aucune solidarité et aucun sentiment de devoir envers l'Autriche-Hongrie. Est-ce normal docteur ?

    Ce que cache le débat sur la préférence nationale

    Il ne viendrait pas à l'idée d'une mère de favoriser un autre enfant à la place du sien. Il faut vraiment que l'esprit des Français ait été déréglé pour qu'aujourd'hui la préférence nationale soit perçue comme la quintessence du fascisme et du racisme.

    Un auteur dont nous tairons le nom, pour à nouveau ne pas effrayer les âmes sensibles, disait que la nation est la famille des familles. Ceci signifie simplement qu'un lien de solidarité particulier existe entre compatriotes. Ce lien peut se traduire notamment par le fait que la solidarité des Français soit réservée aux Français. En d'autres termes, la préférence nationale revient à tirer les conséquences logiques de l'existence de la France en tant que nation. Voilà donc l'idée qui terrifie tant les Français qui ont subi un lavage de cerveau libéral-libertaire : la France serait une nation singulière et non un magma multiculturel.

    Certains se demanderont pourquoi nous opposons la solidarité entre Français avec la solidarité envers les immigrés. Pour une raison fort simple. A partir du moment où le critère principal d'attribution des aides est la condition sociale, les immigrés fraichement arrivés devanceront toujours les Français. La kafkaïenne distribution de logement HLM est à ce titre extrêmement significative : il est aujourd'hui presque impossible à un français de bénéficier d'un logement social. Cet état de fait n'a ni fondement moral, ni fondement logique.

    Une mesure anticolonialiste

    Nombre de zones du territoire français sont des zones défrancisées. De facto, les codes sociaux de ses habitants ne sont pas les codes sociaux de la société française. En outre, on ne compte plus le nombre de cités devenues pour les dealers de véritables fiefs où la loi française ne s'applique plus.

    La question de la défrancisation de la France est une question vitale que seule une folie collective retire du cœur du débat public. Pour résumer ce qui ce passe, nous dirons simplement que la France finance sa propre contrecolonisation. Par les extraordinaires avantages qu'elle accorde aux immigrés légaux et illégaux en matière de logement et d'allocation en tout genre, la France attire et maintient sur son territoire des populations qui n'ont pas l'intention de franciser leur mode de vie et leur culture.

    Un pays normal, c'est-à-dire non abrutie par des années de politiquement correct, n'accepterait pas cette situation suicidaire. Une droite non émasculée doit avoir le courage de dire que ce délire n'a que trop duré. Il est temps de cesser de financer la présence de populations qui n'apportent rien au pays, qui lui coûtent des dizaines de milliards et qui vide certains territoires de toute trace de présence française.

    France ou Autriche-Hongrie, il faut choisir

    Asphyxiée par la dette, la France ne peut plus se payer le luxe de distribuer son argent aux premiers venus. Pour relancer son économie, la France doit massivement baisser sa fiscalité afin de laisser respirer ses PME. Les économies engendrées par la préférence nationale permettraient de financer une baisse, voire une suppression des charges qui pèsent sur nos entreprises.

    Pour des motifs culturels, souverainistes, économiques et sociaux, la préférence nationale est une condition sine qua non du redressement français. A cela, les grotesques et désormais stériles accusations de fascisme ne changeront rien.

    Adrien Abauzit

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    http://www.scriptoblog.com/index.php/blog/actu-site-et-amis-du-site/1148-preference-nationale-pour-sauver-la-france-de-la-faillite

  • N’en déplaise à Valls et Copé, « On est chez nous! »

    Après le PS, c’est au tour de l’UMP de se lancer dans la mise en place de cellule de réflexion pour comprendre les raisons de la montée du FN. Depuis trente ans, ils n’ont toujours pas compris ! Sur le site du Monde, il est ainsi expliqué aujourd’hui que Jean-François Copé a approuvé une «demande formulée » par le très antinational vice-président de l’UMP « Laurent Wauquiez qui milite depuis près de quatre mois pour la constitution d’un groupe de travail à l’UMP sur le FN ». Ainsi M. Copé « sort du déni sur la question du Front National. Après avoir rejeté sur la gauche la responsabilité de la victoire de la formation de Marine Le Pen à l’élection cantonale de Brignoles (Var), le président de l’UMP accepte que son parti se penche sur les causes de la montée de l’extrême droite. »

     Un signe supplémentaire du désarroi qui  règne dans les rangs d’une UMP déboussolée, divisée, sans ligne directrice, en toute hypothèse perçue comme telle par les Français

     Au lendemain de la victoire du FN à Brignoles, le ministre de l’Intérieur a lui choisi une autre technique, plus en adéquation avec les moyens dont il dispose, pour tenter de retenir pas la manche les électeurs rejoignant le FN. Une technique assez pathétique et grossière.

     Manuel Valls a en effet  orchestré et scénarisé  ce début de semaine  l’expulsion  médiatique de la jeune Léonarda,  une  Kosovare appartenant  à la communauté romanichel.

     Il a pu ainsi déchaîner les protestations indignées des  bobo-progressistes sur lesquelles il comptait pour renforcer son image de dur. Cela suffira-t-il à camoufler ses échecs retentissants  dans la lutte contre la délinquance et les violences, à dissimuler son laxisme dramatique en matière d’immigration et de naturalisations ? Rien n’est moins sûr.

     Ce qui est certain en revanche, et MM. Valls, Copé et leurs amis peuvent légitimement s’en inquiéter, c’est ce sondage CSA pour BFMTV diffusé hier mercredi. Il indique que Marine Le Pen  est la personnalité politique qui incarne le mieux l’opposition à François Hollande et à Jean-Marc Ayrault pour près d’un Français sur deux (46%), loin devant François Fillon (18%),  Jean François Copé (13%), Jean-Luc Mélenchon ( 13% ), François Bayrou et Jean-Louis Borloo (5%).Marine devance même François Fillon parmi les sympathisants de droite (32% contre 31%).

     Hier toujours, sur le site du Crif, l’éditorialiste et sioniste de droite Luc Rosenzweig, revenait sur l’élection de Brignoles et  «  ce cri du cœur »,  « On est chez nous !», entendu dans la bouche des militants FN à la mairie, lors de l’annonce de la proclamation des résultats actant la  victoire de Laurent Lopez.

     Ce « On est chez nous » que l’on entend plus largement précisons-le à M. Rosenzweig,   dans les manifestations, les réunions publiques du FN, « il y a fort à craindre (qu’il) soit l’expression de cette  insécurité culturelle  qui pousse de plus en plus de gens à glisser un bulletin FN dans l’urne», estime-t-il.

     « C’est grave. Que l’élection d’un conseiller général Front National soit saluée par les gens comme la récupération d’un territoire perdu  de la République témoigne du désarroi d’une population qui sent, à tort ou à raison, son terroir lui échapper.  Avoir l’impression de n’être plus chez soi chez soi, c’est peut-être un fantasme, une manifestation de cette  panique morale , nous assènent les sociologues de la gauche bien pensante ».

     « C’est, en réalité, ajoute-t-il, la manifestation populaire de cette  identité malheureuse  magistralement décrite par Alain Finkielkraut dans son essai qui vient de paraître. Ce   chez nous  n’est pas seulement l’espace de l’intimité que tout régime démocratique garantit à ses citoyens. Il englobe aussi un espace public où ceux qui viennent d’ailleurs sont admis pour autant qu’ils ne cherchent pas à le transformer radicalement jusqu’à le rendre méconnaissable ».

     « La visibilité des femmes, l’indispensable effort d’adaptation aux normes de sociabilité de la terre d’accueil ne sont pas des exigences exorbitantes, encore moins la manifestation d’un supposé racisme. Si je me sens bien chez moi, j’aurais d’autant plus de plaisir à découvrir l’autre. »

     En effet. Mais cela implique précise Bruno Gollnisch,  que cette immigration là soit régulée et quantitativement très modérée,  faute de quoi, cette installation prend inéluctablement la tournure d’une colonisation. Une évidence  que M Rosenzweig et ses amis du Crif sont assurément  en capacité de comprendre.

     Un simple constat  de bon sens qui n’est pas toujours (rarement) partagé au sein de cette structure, notamment quand elle se pique d’analyser la politique intérieure et les évolutions de la société  française.

    http://www.gollnisch.com/2013/10/17/nen-deplaisent-valls-cope-on-chez/

  • La Ligue de défense judiciaire des musulmans (LDJM) assure la promotion de Manuel Valls

    Karim Achoui, ex-avocat (radié) lié au milieu et président de la LDJM…

    Que peut-il arriver de mieux à un ministre qui fait venir des centaines de milliers d’immigrés, qui n’expulse pas les clandestins, qui régularise et naturalise à tour de bras, qui facilite l’érection de mosquées-cathédrales à travers le pays, pour ne pas paraître trop laxiste ?
    Être accusé en justice par un groupuscule islamiste dirigé par un avocat étranger failli et corrompu…

    C’est désormais chose faite : la Ligue de défense judiciaire des musulmans (LDJM) a annoncé avoir porté plainte contre Manuel Valls pour provocation à la discrimination et à la haine suite à ces propos anodins : http://media.rtl.fr/online/image/2013/0802/7763540607_le-ministre-de-l-interieur-a-pourfendu-les-actes-anti-musulmans-photo-manuel-valls-et-le-vice-president-de-la-mosquee-d-ozoir-la-ferriere-en-seine-et-marne-boubakeur-quedjali.jpg« d’ici à 10 ans, on doit faire la démonstration que l’islam est compatible avec la démocratie », qui conduiront sans aucun doute à la relaxe.

    Le même groupuscule islamique a également annoncé avoir déposé des plaintes contre le magazine de droite libérale Valeurs actuelles, contre le torchon scatophile Charlie Hebdo et contre le site Riposte laïque.

    Source Jeune Nation

    http://www.contre-info.com/la-ligue-de-defense-judiciaire-des-musulmans-ldjm-assure-la-promotion-de-manuel-valls