Gérard Pince |
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La France ruinée par l'immigration, par Éric Muth
Le dernier ouvrage de Gérard Pince « Les Français ruinés par l'Immigration », paru aux Éditions Godefroy de Bouillon, fera date. Le titre « évoque le spectre de la ruine, c'est le mot juste », précise son auteur.Ce document explosif taille en pièces les arguments des " Élites " qui prétendent qu'elle nous enrichit. Fondé sur les chiffres de la comptabilité nationale de 2011, il démontre au contraire que la crise de la dette publique est celle de l'immigration en provenance des pays tiers, extérieurs à l'Union Européennes à 27.L'immigration ne nous avantage pas, il démontre au contraire d'une manière irréfutable qu'elle entraîne la faillite de nos finances publiques et pénalise lourdement le niveau de vie de votre ménage. : " je ne vous cite pas les chiffres qui illustrent l'ampleur du désastre. Il est préférable de se plonger dans l'ouvrage pour comprendre l'engrenage qui nous broie".Comment interrompre cette hémorragie ?Au terme de cette lecture, on découvre que les efforts d'austérité imposés aux Français proviennent du refus de réguler l'immigration extracommunautaire. « Des solutions existent et j'en évalue l'impact, mais qui aura le courage de les appliquer ? », affirme Gérard Pince, et de conclure : « Au prix d'un long travail, j'ai ainsi édifié un barrage contre le mensonge. Je m'attends à un silence des médias. »Ce qui ne sera pas le cas ici. -
“Les Français ruinés par l’immigration”
Gérard Pince présente son nouveau livre
Mon dernier ouvrage intitulé « Les Français ruinés par l’immigration » vient de paraître aux éditions Godefroy de Bouillon. À partir de la comptabilité nationale de l’année 2011 (nous ne disposons pas de données plus récentes), j’ai analysé l’impact de l’immigration sur l’emploi, les revenus, les finances de l’État et le produit intérieur brut (PIB) qui correspond à la richesse créée par les Français en un an.
Le titre évoque le spectre de la ruine. C’est le mot juste ! Ce document taille en pièces les arguments des « élites » qui prétendent que l’immigration nous avantage. Il démontre au contraire d’une manière irréfutable qu’elle entraîne la faillite de nos finances publiques et pénalise lourdement le niveau de vie de votre ménage. Je ne vous cite pas les chiffres qui illustrent l’ampleur du désastre. Il est préférable de se plonger dans l’ouvrage pour comprendre l’engrenage qui nous broie.
Au terme de cette lecture, vous découvrirez que les efforts d’austérité imposés aux Français proviennent du refus de réguler l’immigration extracommunautaire. Comment interrompre cette hémorragie ? Des solutions existent et j’en évalue l’impact mais qui aura le courage de les appliquer ?
Au prix d’un long travail, j’ai ainsi édifié un barrage contre le mensonge. Je m’attends à un silence des médias. À vous de faire connaître cet ouvrage que vous pouvez commander en cliquant sur le lien suivant : Editions Godefroy de Bouillon
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Immigration et sondage Ipsos, revu par Ivan Rioufol...
(Le sondage dont parle Ivan Rioufol, dans ce n° du Figaro "papier" du vendredi 10 mai, est un sondage Ipsos, paru dans Le Monde du mardi 7 mai)
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Les jeunes Français craignent davantage l’islam que leurs aînés
Photo : A Paris, la rue Myrha bloquée par une milice islamique pour des prières illégales. Crédit : DR.
PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Un sondage OpinionWay réalisé auprès d’un panel représentatif de 1001 personnes montre que les Français s’inquiètent des communautarismes musulman mais également juif.
Parmi les chiffres intéressants de ce sondage, on retiendra que seuls 4 % des 18‑24 ans croient que l’islam est une religion tolérante. Un chiffre à rapprocher des quelque 7 % de musulmans que compte la France ! Au contraire, ils sont 40 % à estimer que l’islam est une religion sectaire.
Plus significatif encore : 74 % des Français interrogés par OpinionWay considèrent que l’islam n’est pas compatible avec les valeurs de la république.
Comment les sondés considèrent‑ils les autres religions ?
Le judaïsme n’est pas beaucoup mieux loti que l’islam. Parmi les 18‑24 ans, un sur deux pense que les Juifs sont davantage attachés à Israël qu’à la France. 43 % des personnes du même échantillon considèrent que les Juifs forment « un groupe replié sur lui‑même ». Et 20 % affirment que « leur influence sur la société est trop importante ».
Au contraire, les chrétiens, catholiques comme protestants, sont jugés plutôt favorablement. 40 % des sondés les jugent tolérants quand moins de 20 % pensent qu’ils sont plutôt sectaires.
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CÔTE-D’OR - HISTOIRE/ Kader : « J’évite de dire que je suis fils de harki »
Que font Valls et Taubira contre ce racisme-là ?
Kader est né en Bourgogne en 1965. Son père était harki. Aujourd’hui encore, il peut difficilement afficher cet épisode de l’histoire familiale.
Certains harkis ont pu être rapatriés en France grâce à des officiers français qui ont désobéi. Photo archives SDR
« Après avoir servi dans l’armée française, dans le sud de l’Algérie, mon père a été rapatrié en France en 1962, sans doute grâce à un officier qui avait désobéi aux ordres. Il est arrivé dans le même bateau que des pieds noirs, mais au niveau inférieur, puisque les harkis étaient encore considérés comme des indigènes. Il a ensuite passé quelques mois dans des camps, dans le Larzac et à Rivesaltes, sous des tentes, parfois dans un froid terrible, avec des barbelés et des militaires pour les surveiller. Puis il est arrivé en 1963 à L’Oasis, un lotissement de Saint-Valérien, dans l’Yonne, où une trentaine de harkis était regroupée. C’est là que je suis né, en 1965. »
« Les claques du directeur »
Quand Kader déroule la pelote de son histoire familiale, le fil s’emmêle régulièrement. Il passe une dizaine d’années à L’Oasis. Ses souvenirs d’enfance sont heureux, mais déjà gâchés par le racisme : « Je me souviens encore des claques que j’ai reçues du directeur de l’école. Quand un Patrick ou un Michel ne comprenaient pas un problème, la punition était beaucoup plus douce… » Sa scolarité est chaotique, tiraillé entre un père musulman pratiquant et l’école de la République française. Il mise alors beaucoup sur son service militaire, à Lure puis au 35e Régiment d’infanterie de Belfort. « Je voulais notamment passer mon permis poids lourd, pour trouver un emploi ensuite. Mais malgré tous mes efforts, mon supérieur ne me l’a jamais autorisé. De toute la promo, j’ai été le seul à essuyer ce refus… » Quelques années plus tard, il décroche enfin ce sésame, grâce au volontarisme du Préfet de l’Yonne, sollicité par une association d’anciens harkis, car plusieurs d’entre eux se sont finalement installés à Sens.
Aujourd’hui, Kader est toujours chauffeur-livreur. Il vit dans une petite maison du Grand Dijon, avec sa femme, française, et ses deux jeunes enfants. Il est retourné plusieurs fois en Algérie.
« Vous n’avez plus rien à faire ici »
La première fois, c’était en 1982, en famille. Mais son père n’a pas pu aller plus loin que le port d’Alger. « Les douaniers l’ont renvoyé en France avec des mots terribles : “vous avez porté l’uniforme français, vous n’avez plus rien à faire ici.” Je n’avais jamais rien entendu de plus humiliant. »
Depuis, l’ancien soldat français a pu retourner sur sa terre natale. En catimini et en évitant soigneusement de parler de son passé. Aujourd’hui, il vit toujours à Sens. Il a 88 ans. Il a été longtemps manœuvre en usine, mais il bénéficie aussi d’une pension d’invalidité depuis ce jour de 1961, où un indépendantiste a voulu le poignarder dans les rues d’Alger. Dès que la discussion rôde autour des harkis, le vieil homme élude.
« Pour mon père, c’était la valise ou le cercueil »
Cette part d’histoire, c’est aussi un bout d’identité qui manque à Kader : « Aujourd’hui encore, j’évite de dire que je suis fils de harki. Je n’en ai pas honte, mais les idées reçues persistent. Beaucoup d’immigrés continuent de les voir comme des traîtres. Moi, je ne suis pas immigré, je suis rapatrié, c’est complètement différent. Pour mon père, c’était la valise ou le cercueil. Mes enfants portent des prénoms français. Je suis Français. Ma culture, c’est la langue de Voltaire et le son de la cloche le dimanche matin. Quand je suis en Algérie, je me sens étranger. La reconnaissance des harkis, c’est la moindre des choses que l’état français leur doit. »
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De la fraude à l’escroquerie intellectuelle
La gauche s’apprête à porter un nouveau coup aux familles françaises, à la natalité des familles de souche, par une réforme du quotient familial. Bruno Gollnisch rappelait dans l’entretien accordé à La Gazette que « ce gouvernement met aussi clairement en danger la politique familiale du pays, en remettant en cause le fondement du mariage ». Il notait aussi que « la droite n’a quasiment jamais abrogé une loi faite par la gauche. Pourtant, la gauche ne s’est pas gênée pour détricoter une des trop rares bonnes initiatives de Nicolas Sarkozy, c’est-à-dire la défiscalisation des heures supplémentaires. » Mais l’UMP est-elle encore audible alors qu’elle donne aux Français le triste spectacle de ses divisions, de ses mensonges, de son double-langage, de ses haines intestines, voire de son amateurisme sidérant, ce qui ne manque pas de sel de la part d’un parti qui conteste au FN sa capacité à gouverner ?
Le site Numérama, relayé par de très nombreux médias a ainsi expliqué, preuve à l’appui, que l’organisation du vote pour désigner le ou la candidate de l’UMP à Paris aux municipales de 2014 était digne d’une histoire des Pieds nickelés. Les possibilités de fraudes multiples y sont ainsi très simples alors que d’autres électeurs, faute du bon logiciel ou du bon ordinateur, ne peuvent participer à ce scrutin !
Mercredi dernier, Numérama publiait une enquête démontrant également qu’il était « impossible d’obtenir (dans cette primaire) la moindre information précise sur les garanties de sécurisation du processus électoral, que le rapport d’audit préalable obligatoire n’avait toujours pas été examiné par la Commission Nationale Informatique et Libertés (CNIL) à deux jours du scrutin, que l’UMP se reposait sur une délibération de la CNIL (de 2010) qui déconseille pourtant explicitement de recourir au vote par internet pour des élections politiques, ou enfin que les fraudes étaient largement facilitées par le choix du mode de contrôle de l’identité des électeurs. »
Certes, cela n’empêche pas aujourd’hui la CNIL, en contradiction formelle avec ses récents avertissements, « de proposer au contraire d’accompagner les partis dans l’organisation de leurs primaires. La CNIL invite dès aujourd’hui l’ensemble des formations politiques désireuses de procéder à l’organisation de primaires à prendre contact avec ses services… »
Antoine Rufenacht, président du Conseil supérieur (sic) de la primaire UMP à Paris, a donc traîné son embarras et ses explications ridicules sur l’air de Tout va très bien madame la marquise, au moment ou « les accusations de fraudes (commençaient) à tomber, notamment de la part de Jean-François Legaret, le maire du 1er arrondissement de Paris et l’un des adversaires de Nathalie Kosciusko-Morizet dans ces primaires. »
Précisons au passage que Marine Le Pen a fait justice, dans un entretien paru hier dans Le Parisien Dimanche, des allégations du Canard enchaîné selon lesquelles des militants du FN auraient été incités à s’inscrire à cette primaire pour faire battre NKM. Affirmations ridicules a-t-elle souligné puisque «Nous n’avons évidemment aucun intérêt à ce que Nathalie Kosciusko-Morizet ne soit pas la candidate de l’UMP aux municipales à Paris. La bobo de gauche, pour nous, c’est l’idéal !».
De la fraude à l’escroquerie intellectuelle il n’y a qu’un pas, et il est vite franchi dans les « hautes sphères de l’UMP ». Illustration, les médias ont fait grand cas de la « saillie » de Stéphane Bern, invité samedi de l’émission Salut les Terriens !, de Thierry Ardisson sur Canal+. Le journaliste et présentateur spécialiste des têtes couronnées s’est payé sur le plateau celle de Geoffroy Didier, Secrétaire général-adjoint de l’UMP , cofondateur du courant de l’UMP la Droite forte avec son ami Guillaume Peltier.
M. Bern a critiqué l’opposition de M. Didier au mariage entre personnes de même sexe au motif que ce dernier, a-t-il assuré, était homosexuel. Le chroniqueur en veut comme preuve les affirmations du délicat amateur de boxe Frédéric Mitterrand dans un dîner en ville à laquelle ils participaient tous les trois. « Tout le monde sait qu’il (Geoffroy Didier , NDLR) est homo, mais il dit qu’il est hétéro ! » a-t-il insisté malgré les molles dénégations de ce dernier. Nous rappelions dernièrement que le complice de Guillaume Peltier est membre du club de sarkozystes de gauche, La Diagonale, favorable au mariage homosexuel et au droit de vote des immigrés.
Stéphane Bern , que l’on avait connu moins prosélyte, feint ici de croire que si l’on est homosexuel (et nous nous moquons de savoir si Geoffroy Didier l’est ou non, cela révéle de sa vie privée) on est forcément favorable au mariage et à l’adoption entre personnes du même sexe. Ce qui est un raccourci assez stupide puisque cette revendication là est également extrêmement minoritaire chez les homosexuels et n’est en fait portée que par les activistes du lobby LGBT.
Plus signifiant, M. Bern a surtout confirmé ce que Bruno Gollnisch comme d’autres, ont relevé, à savoir la duplicité de Jean-François Copé, notamment sur la loi Taubira. Il a ainsi fait état sur le plateau de l’émission de M. Ardisson d’un autre dîner auquel il était présent avec le journaliste engagé Marc-Olivier Fogiel, le militant de gauche- producteur de cinéma-acteur Dominique Besnehard et Jean-François Copé. Le président de l’UMP aurait assuré à ses voisins de table qu’il était favorable au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels mais, que pour des raisons politiques, il avait décidé de mentir sur ses opinions véritables, et même de défiler aux côtés des opposants au mariage pour tous.
Un bel exemple de double langage. D’un côté un discours privé entre gens éclairés, membres de la Caste appartenant à la société de connivence. Ce qui explique comme le relevait plus haut Bruno Gollnisch que la « droite » n’abroge jamais les « lois sociétales » de la gauche, voire les promulgue à sa place. De l’autre un discours grand public pour flatter sa clientèle électorale et attraper le gogo.
Parions que les « cocus » des politiques menées par les dirigeants de l’UMP, les électeurs de ce peuple de droite qui ouvrent les yeux sur la réalité des options défendues par l’Etat-major de la droite courbe euromondialiste auront à cœur de renverser la table. Déjà un sondage Harris interactive publié le 28 mai crédite le FN de 18% aux élections européennes de 2014. Une bonne base de départ pour virer en tête l’année prochaine comme l’espère et le prédit Marine.
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Un racisme anti-Blanc qui n’intéresse pas les médias
Le 30 juin 2010, dans un quartier habité par une forte communauté maghrébine, une famille ostracisée par son voisinage est exfiltrée de son domicile par les policiers sous un torrent de menaces et d'injures racistes anti-blanc. L'affaire a été jugée ce jeudi dans le silence médiatique. (Cet article a été publié sur Atlantico).Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d'injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l'aide de la police et ont porté plainte.
Monsieur LETERME s'est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu'il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l'avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public.Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu'elle n'appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s'est-il passé exactement ?Stéphane Maitre (Avocat au Barreau de Paris): Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ?Parce que la famille LETERME va se retrouver doublement victime, et veut témoigner d’une incroyable injustice : malgré l’agression violente dont il a été victime, M. LETERME s'est retrouvé lui aussi sur le banc des accusés, poursuivi à côté de ses agresseurs pour un prétendu coup de poing qu’il aurait donné pendant la bagarre, alors qu’il n’a fait que se débattre comme il pouvait pour se défendre contre huit personnes qui le rouaient de coups. Sous prétexte que l’un des agresseurs s’était fait délivrer un certificat médical de son médecin traitant et avait déposé plainte (deux jours après les faits), le parquet n’a rien trouvé de mieux que de convoquer M. LETERME, non seulement en tant que victime (ce qui était la moindre des choses), mais également en tant que prévenu auteur présumé de violences légères.Peut-on aussi parler d’un cas avéré de racisme anti-blanc ? Avez-vous plaidé en ce sens ?Les mots parlent d’eux-mêmes : l’un des prévenus a clairement menacé Madame LETERME en ces termes : « on va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on va vous trancher la gorge à toi et à ta fille ». Il ne s’en est même pas caché, tenant ces propos devant le policier qui protégeait Madame LETERME. Ce n’est pas la première fois. La famille LETERME avait déjà déposé deux mains courantes pour ce type de menaces ouvertement racistes.S’agit-il d’un fait divers ou d’une affaire politique qui dépasse le simple cadre juridique ?Il ne s’agit pas d’en faire une affaire politique, mais de constater que dans certains quartiers, il existe des cas avérés de racisme anti-blanc, où des habitants sont de fait ostracisés voire violentés parce qu’ils n’appartiennent pas à la communauté majoritaire. Cette affaire est assez topique : le lendemain, il y avait eu un article dans la presse locale, où il était expliqué en gros que c’est la famille LETERME qui n’avait pas su s’intégrer.Mais cette affaire est tout aussi emblématique d’une curieuse façon de traiter les victimes : après le traumatisme que cette famille a vécu, il est à peine croyable que le parquet ait eu l’idée de poursuivre la victime, qui n’a fait que se défendre. La victime, un père de famille sans histoire, s’est retrouvée sur le banc des accusés au même titre que ses agresseurs aux casiers judiciaires déjà très chargés (l’un d’entre eux avait déjà 11 condamnations à son casier et les autres de 3 à 6).Que nous révèle selon vous cette affaire de la société française ?Une propension inquiétante à l’inversion des rôles (victime/agresseur) et à l’aveuglement devant certaines réalités (les blancs sont aussi victimes de racisme). Il ne faut pas généraliser, mais ces réalités sont pourtant vécues dans notre pays, elles arrivent devant nos tribunaux. Elles restent pourtant largement sous estimées voire niées dans la pensée unique officielle et dans les grands médias.Quelle décision les juges ont-ils rendu dans ce dossier ?Deux peines de prison ferme (6 mois et 2 mois) sachant qu’en dessous de deux ans ferme, la peine est systématiquement aménagée, et 8 mois de sursis simple pour le troisième. Quant à mon client M. LETERME, à la fois victime et poursuivi pour violence légères, le Procureur a tout de même requis une peine de 1500 Eur d’amende contre lui ! Heureusement le tribunal ne l’a pas condamné. Il a été relaxé, car la poursuite le concernant était prescrite (simple contravention de violence légère, qu’il contestait au demeurant). Quant aux dommages et intérêts, ils s’élèvent en tout, pour la famille LETERME, à 7.800 euros pour tous les préjudices confondus pour les trois victimes (les parents et la petite fille de 12 ans). C’est sans aucune commune mesure avec le drame qu’ils ont vécu, et qui a changé leur vie puisqu’ils ont dû tout quitter, leur logement, leur région et même leur travail.
Atlantico http://www.francepresseinfos.com/ -
Obligés de fuir leur quartier parce que blancs : gros plan sur une famille victime d’un racisme qui n’intéresse pas les médias
Entretien réalisé par Atlantico :
Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d’injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l’aide de la police et ont porté plainte. Monsieur LETERME s’est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu’il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l’avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public.
Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu’elle n’appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s’est-il passé exactement ?
Stéphane Maitre : Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.
Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ?
Parce que la famille LETERME va se retrouver doublement victime, et veut témoigner d’une incroyable injustice : malgré l’agression violente dont il a été victime, M. LETERME s’est retrouvé lui aussi sur le banc des accusés, poursuivi à côté de ses agresseurs pour un prétendu coup de poing qu’il aurait donné pendant la bagarre, alors qu’il n’a fait que se débattre comme il pouvait pour se défendre contre huit personnes qui le rouaient de coups. Sous prétexte que l’un des agresseurs s’était fait délivrer un certificat médical de son médecin traitant et avait déposé plainte (deux jours après les faits), le parquet n’a rien trouvé de mieux que de convoquer M. LETERME, non seulement en tant que victime (ce qui était la moindre des choses), mais également en tant que prévenu auteur présumé de violences légères.
Peut-on aussi parler d’un cas avéré de racisme anti-blanc ? Avez-vous plaidé en ce sens ?
Les mots parlent d’eux-mêmes : l’un des prévenus a clairement menacé Madame LETERME en ces termes : « on va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on va vous trancher la gorge à toi et à ta fille ». Il ne s’en est même pas caché, tenant ces propos devant le policier qui protégeait Madame LETERME. Ce n’est pas la première fois. La famille LETERME avait déjà déposé deux mains courantes pour ce type de menaces ouvertement racistes.
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J’ai fait un rêve : Un nouveau président règle le problème de l’immigration
Quels changements pour y parvenir ?
Semaine d’émeutes raciales en Suède. Assassinat d’un militaire britannique par un islamiste. Tentative de meurtre d’un soldat français en mission Vigipirate sur l’Esplanade de la Défense. Emeutes du Trocadéro. La présence en Europe d’une immigration inassimilable pose des problèmes gravissimes. Par son geste sacrificiel, l’historien Dominique Venner a voulu réveiller les « consciences endormies ». Dans le texte qui suit, Henry de Lesquen expose les changements nécessaires pour interrompre les flux migratoires. La lucidité exige la radicalité.
Polémia.
Je ne me prends pas pour Martin Luther King. Mais j’ai fait un rêve : les Français avaient élu à la tête de l’Etat un homme qui partageait nos convictions. Et je voudrais vous raconter ce qui s’est passé dans mon rêve.
Premier acte : réforme de la constitution
Dès qu’il prend ses fonctions, le nouveau président désigné par le destin pour sauver la France entreprend de grandes réformes pour régler le problème de l’immigration dans des conditions moralement et humainement irréprochables, comme le dit la devise de l’association Voix des Français (www.vdfr95.com). Son premier acte est de modifier la constitution par référendum pour que le peuple français recouvre l’exercice de la souveraineté.
D’abord, il est stipulé que la loi française l’emporte sur les dispositions des traités et les normes du droit international, fût-il européen. Il n’est donc plus question que nos lois subissent la censure de la cour de justice de l’Union européenne ou de la Cour européenne des droits de l’homme. Tout juge qui prétendrait le contraire se rendrait coupable de forfaiture (crime qui est réintroduit dans le code pénal).
Ensuite, l’usage du référendum est consacré et généralisé. Toute loi votée par le Parlement peut être soumise à référendum par le président de la République. Un référendum d’initiative populaire a lieu pour toute proposition de loi présentée par 1% du corps électoral.
Il est expressément stipulé que la loi adoptée par référendum ne peut être censurée par le Conseil constitutionnel ni par aucun autre juge, puisqu’elle émane directement du peuple.
Enfin, toute décision du Conseil constitutionnel peut être cassée ou réformée par décision du président de la République, lequel soumet sa décision à l’approbation du peuple par référendum ou à celle du Parlement réuni en congrès et votant à la majorité qualifiée.
Second acte : grande loi sur l’immigration
Le second acte du président de la République est de soumettre au peuple, par un nouveau référendum, une grande loi sur l’immigration, qui comporte huit volets :
– Primo, la législation antiraciste est abrogée en vue de rétablir non seulement la liberté d’expression, mais aussi l’indispensable liberté de discrimination ;
– Secundo, la préférence nationale est instituée dans tous les domaines : emploi, prestations sociales, logement… ;
– Tertio, les contrôles aux frontières sont rétablis, le Traité de Schengen dénoncé ;
– Quarto, le droit de la nationalité est réformé, pour que ne subsistent plus que deux voies d’accès à la nationalité française : le jus sanguinis, droit du sang, pour les enfants de parents français ; et la naturalisation par décret après vérification de l’assimilation du candidat. En outre, le gouvernement est chargé de réexaminer le statut des millions de Français de papier et invité à les déchoir de la nationalité française en cas d’indignité, de binationalité ou de défaut d’assimilation ;
– Quinto, le droit de séjour des étrangers est réformé. Ceux-ci sont tous tenus de demander une autorisation de séjour, qui leur est accordée discrétionnairement et pour un temps déterminé. Elle peut leur être retirée à tout moment, sans qu’aucun juge ait qualité pour s’y opposer. L’immigration étant désormais considérée comme une faveur révocable ad nutum, toutes les dispositions qui faisaient obligation à la France de recevoir un étranger sont déclarées nulles et non avenues, sans exception, notamment le droit d’asile et le regroupement familial, mais aussi les règles de l’Union européenne dont bénéficient les ressortissants de pays membres, comme les Romanichels venus de Roumanie ou d’ailleurs ;
– Sexto, tout étranger peut être expulsé de France par simple arrêté préfectoral, lequel est considéré comme un acte de gouvernement et ne peut être contesté devant les tribunaux. L’étranger peut être mis en détention administrative ou relégué dans une partie du territoire français dans l’attente de son expulsion, à moins qu’il ne parte de lui-même ;
– Septimo, l’immigration illégale est réprimée. Les soi-disant « sans-papiers » sont des délinquants passibles d’un an de prison en vertu de la loi qui était déjà en vigueur avant l’élection du nouveau président (article L. 621-1 du Code des étrangers). Ils ne sont pas poursuivis, sauf exception, à la première interpellation, mais mis en détention administrative avant leur expulsion. Condamnés par le tribunal correctionnel, ils sont effectivement emprisonnés s’ils récidivent en revenant en France et sont ensuite expulsés après avoir exécuté leur peine de prison ;
– Octavo, les immigrés illégaux ne bénéficient plus d’aucune aide. Ces hors-la-loi ne peuvent plus recevoir la moindre aide publique, sous quelque forme que ce soit (allocations, logement, école, soins…). L’Aide médicale d’Etat est supprimée. En outre, les particuliers qui leur fournissent un emploi, un logement ou une assistance quelconque, ne serait-ce qu’en s’abstenant de les dénoncer à la justice, sont systématiquement poursuivis par le procureur de la République pour complicité ou recel de preuves. Les associations ou organisations qui viennent en aide aux immigrés illégaux sont dissoutes par décret.
Départ de deux millions d’immigrés en cinq ans
Les progrès sont alors très rapides sur le front de l’immigration. Les immigrés illégaux sont nombreux à quitter la France d’eux-mêmes, n’y trouvant plus ni assistance ni emploi ni logement. S’ils restent, ces hors-la-loi sont mis en détention aussitôt qu’ils sont interpellés, avant d’être expulsés manu militari ou relégués en Guyane si aucun pays n’accepte de les accueillir.
Les immigrés en règle sont obligés de s’en aller quand leur autorisation de séjour est expirée ou si elle est rapportée. Sinon, ils rejoignent les rangs des immigrés illégaux, avec toutes les conséquences que cela implique.
Grâce à cette politique de salut public, le nouveau président réussit à faire partir de France deux millions d’immigrés en cinq ans. Le rêve !
Henry de Lesquen,
Président de Voix des Français
27/05/2013 http://www.polemia.com
Cet article, publié dans Voix des Français n° 128 de novembre 2010, a été modifié le 27 mai 2013. -
Allocations familiales françaises : maintenant c’est priorité aux Algériens !
PARIS (NOVOpress) – Tous les médias s’accordent à le dire, la loi sur le mariage homo passée, la réforme des allocations familiales sera pour le gouvernement le prochain gros dossier chaud à traiter.
Pour soi-disant rétablir l’équilibre financier de la branche famille, et trouver un milliard d’euros dès 2014, le gouvernement a plusieurs scénarios en main.
Scénario envisagé : toujours plus à gauche
Il a promis que ces décisions seront prises au nom d’une « justice sociale » accrue dans les prestations versées et seront complétées par des mesures «sur la petite enfance et l’accueil dans les crèches».Mais pour faire des économies, le gouvernement devrait adhérer au scénario préconisé par le rapport que lui a remis le président du HCF, Bertrand Fragonard, qui propose de mettre à contribution les ménages les plus aisés, en diminuant par exemple les allocations pour les ménages de deux enfants gagnant environ 5.000 euros par mois et à les diviser par quatre au-delà de 7.100 euros. En bref, la solution de facilité et la plus politiquement correcte, comme à l’accoutumée .
Rééquilibrer les comptes par des économies, en taxant les foyers français « aisés », en temps de crise et de récession, cela peut toujours se discuter, mais ce que l’on sait moins c’est qu’une décision de la Cour de cassation en séance plénière du 5 avril dernier étend l’accès à ces aides pour les enfants algériens, y compris ceux nés à l’étranger !
On nous aurait menti ?En effet, depuis cette date, tout parent algérien peut toucher des allocations familiales en France, au titre de ses enfants, nés en Algérie, et qui décideraient de rejoindre la France. Une information qui fait désormais le « buzz » au sein de la classe politique française, depuis sa révélation par l’hebdomadaire Valeurs actuelles.
Selon le magazine, “l’Europe impose à la France d’étendre le bénéfice de sa politique familiale à tous les enfants d’immigrés, mêmes nés à l’étranger.” Nous pouvons à nouveau remercier l’Union européenne, car sa circulaire en question précise qu’un “ressortissant algérien résidant légalement dans un État membre doit être traité de la même manière que les nationaux de l’État membre d’accueil” et particulièrement en ce qui concerne “l’octroi d’une prestation sociale”.
Que ce ressortissant ait cotisé ou non, quelle différence ? D’autant que dans une logique d’« égalité » sociale, on ne voit pas pourquoi cette mesure ne serait pas étendue aux autres nationalités.
Une véritable reconnaissance de la polygamie
En effet, cette décision enterre la loi Pasqua de 1993, qui stipulait qu’”un ressortissant étranger qui vit en état de polygamie” ne pouvait alors pas obtenir de carte de résident de 10 ans ainsi que de faire bénéficier plus d’un conjoint du regroupement familial.Dans son article, Valeurs actuelles nous rappelle l’affaire tout à fait significative de Lies Hebbadj, un islamiste poursuivi en 2012 pour polygamie et escroquerie aux aides sociales et qui aujourd’hui ne devrait plus connaître de problèmes… On estime d’ailleurs à 80.000 le nombre de pères dans le cas de ce cher M. Hebbadj, d’après le ministère de l’Intérieur.
Pour les Algériens polygames vivant en France, mais dont l’une des compagnes réside en Algérie, il suffira de faire venir celle-ci et de la déclarer comme parent célibataire pour que tous les enfants de cette « famille » aient droit à leur part du gâteau financé financé par vos impôts.
Cette nouvelle risque de faire tâche, alors que Flan-Flan déclarait, il y a deux semaines encore, que les allocations familiales baisseraient bien, et à partir de 5.000 euros de revenus. Elle devrait surtout créer un véritable appel d’air pour inciter une nouvelle forme d’immigration massive.
Voilà donc où seront réinvesties ces économies sur le pouvoir d’achat des familles françaises : poursuivre plus que jamais la logique du Grand Remplacement.
Julien Lemaire http://fr.novopress.info