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immigration - Page 1407

  • Scandale à Laon : 12 Français expulsés du Foyer des Jeunes Travailleurs pour laisser la place à des clandestins !

     

     

    Douze personnes actuellement hébergées au Foyer des Jeunes Travailleurs de Clacy (à Laon dans l’Aisne) ont un mois pour quitter les lieux. Motif : il faut faire de la place pour les demandeurs d’asile.
    Ils affichent un sourire de façade mais en réalité, le cœur n’est pas à la fête pour Laurent et ses copains du Foyer jeunes travailleurs (FJT) de Clacy-et-Thierret. « La plupart d’entre nous ne sont pas là par choix, mais nous sommes bien contents d’avoir un toit sur la tête. Malheureusement, cela ne va pas durer… », lâche-t-il amèrement. Les douze locataires viennent d’apprendre qu’ils devraient quitter les lieux le 1er août. « On a un mois pour faire nos cartons. On nous vire, nous qui payons notre loyer régulièrement, parce qu’il faut faire de la place pour une trentaine de demandeurs d’asile qui vont arriver. Et qui ne paieront rien, bien sûr. C’est dégueulasse ! » Cette situation alimente toutes leurs conversations, entre colère et inquiétude pour l’avenir. Certains avaient de toute façon prévu de partir. C’est le cas de Laurent, qui vient de trouver un appartement. Cela ne l’empêche pas de se sentir solidaire d’autres, comme Alan. Lui est presque sûr de finir à la rue. « Je viens de terminer mes études et je n’ai pas d’emploi pour le moment. Qu’est-ce que je vais devenir ? »

     

    Pour dire tout le bien que vous pensez de cette application de la préférence étrangère au profit de parasites sociaux et au détriment de jeunes Français, vous pouvez téléphoner au FJT de Laon : 03.23.23.06.81

     

    Source, via T. Joly  http://www.contre-info.com/

  • France : Analyse d’une mort programmée

     

    Je suis né en 1976, dans une banlieue maintenant totalement sinistrée, la dorénavant tristement célèbre Seine-Saint-Denis. Voilà maintenant quinze ans que j’assiste à la submersion de la Mère-Patrie par l’immigration islamique. Voilà plusieurs années que je me documente, que j’essaie de lire, que j’essaie de comprendre le monde qui m’entoure, que j’essaie de saisir les mécanismes de la société dans laquelle je gravite depuis ma naissance, cette société qui est en train de muter à une vitesse incroyable, et hélas dans un sens qui m’apparaît, et qui apparaît je pense catastrophique à beaucoup de Français.

     

    On utilise souvent l’appellation de « guerre civile », pour parler de l’Apocalypse ethnico-religieuse qui nous attend, mais elle est en fin de compte inexacte. La Guerre de Sécession, par exemple, était une guerre civile (et c’est d’ailleurs le nom que les Américains lui ont toujours donné), opposant de part et d’autre des gens qui se disaient américains et qui l’étaient : même langue, même religion, même origine ethnique. Mais personne n’a jamais considéré comme une guerre civile le conflit armé opposant les « Tuniques bleues » aux Peaux-Rouges. Les Indiens ne se considéraient pas plus comme des Américains que les Américains ne s’estimaient indiens, même s’ils vivaient sur les mêmes terres.

     

    Ce qui va se passer en France dans les vingt ou trente ans maximum, à moins d’un changement politique extraordinaire, sera une guerre de civilisations, la fin de l’Empire romain à la puissance dix. Au IVe siècle, les hordes germaniques et hunniques ont déferlé sur l’empire, et l’État romain, qui est l’ancêtre de nos États modernes, n’a pas pu les arrêter. Tout s’est effondré : les institutions, l’armée, la police, l’administration, les lois, en gros le cadre légal qui définit l’existence d’une nation, au sens contemporain du terme, et dont Rome a été l’inventeur en Europe.

     

    Comme nos ancêtres gallo-romains, nous avons, en acquérant un État, pris l’habitude de tout attendre de lui. Une autorité désincarnée, impersonnelle, abstraite même, qui règne sur des millions d’âmes, et qui doit résoudre tous les problèmes.

     

    Cet État a fonctionné vaille que vaille pendant des siècles, aussi bien en France qu’en Gaule romaine, mais les mêmes causes produisent les mêmes effets. Les Germains qui ont déferlé dans l’Empire n’ont rencontré à peu près aucune résistance, l’État étant à l’agonie et la population civile ayant perdu, après des siècles d’occupation romaine, tout réflexe d’autodéfense, contrairement aux tribus venues d’outre-Rhin, pour qui l’État centralisé était une notion complètement étrangère. On retrouve la même situation aujourd’hui. Le Français de souche, ou d’origine étrangère mais assimilé, dort sur ses deux oreilles en pensant que l’État, que le cadre légal dans lequel il évolue est éternel. Et pourtant il va s’effondrer, sous les coups de peuplades dont les schémas mentaux sont avant tout ethno-tribaux.

     

    Ce qui nous arrive va être beaucoup plus grave que ce qui est arrivé à nos antiques ancêtres. D’abord, les Germains et les Huns n’ont jamais représenté plus de 5 % de la population autochtone de la Gaule. Nos envahisseurs à nous, c’est-à-dire les peuplades musulmanes, sont – je pense – 15 % de la population française, et en constante augmentation.

     

    Ensuite, les Huns sont repartis comme ils étaient venus et les Germains qui se sont installés et ont pris le pouvoir en Gaule, c’est-à-dire les Francs, l’ont fait en se référant constamment à la légitimité romaine, comme l’atteste la conversion de Clovis au catholicisme romain, acte politique majeur. Les Germains admiraient la culture, l’image, la grandeur de Rome. Les musulmans considèrent nos institutions, notre histoire, notre culture, comme méprisables.

     

    Il y a eu fusion, métissage si l’on veut, entre les Germains et les Gaulois latinisés. Mais la culture germanique a presque disparu, dissoute dans la culture majoritaire. Hors, l’islam ne se dissoudra pas, ça vous pouvez en être sûr. D’ores et déjà, on peut considérer que l’assimilation de certains musulmans dans la culture française est dépassée par l’islamisation des Européens, des Antillais ou des Africains chrétiens qui se trouvent dans les zones de peuplement islamique.

     

    Il peut arriver, à titre individuel, que des membres de la communauté islamique quittent leur civilisation et rejoignent la nôtre. Ce sont le plus souvent des femmes qui prennent pour mari un non-musulman, et qui dans les faits abandonnent l’islam, même si parfois elles continuent à se dire musulmanes, par respect pour des valeurs ancestrales. Mais leur enfant ne sera pas musulman. Et elles coupent tout contact avec leur communauté d’origine.

     

    Mais assimiler les musulmans de France, un peuple entier, non. Partons du principe que c’est impossible puisque personne n’est jamais arrivé à le faire, à commencer par nous en Algérie, malgré plus d’un siècle de colonisation.

     

    Nous n’allons pas assister à une guerre civile « classique », mais à un choc de civilisations sur la Terre de France.

     

    On ne peut exclure, toutefois, la possibilité qu’il n’y ait pas de guerre, faute de combattants. Les dirigeants et le peuple français semblent suffisamment châtrés pour subir sans moufter, sans l’ombre d’une révolte (ou alors quelques rares rebelles qui seront châtiés impitoyablement – voire l’épisode de la soupe au lard) l’islamisation complète de la France et la « coptisation », c’est-à-dire la marginalisation des autochtones, prélude à leur disparition.

     

    Quant aux solutions politiques, Il ne suffit pas qu’une mouvance déterminée à régler le problème arrive au pouvoir, encore faut-il ensuite qu’elle puisse mettre en application les idées pour lesquelles elle aura été élue par le peuple. Les élections de 2007 sont la dernière chance d’éviter la disparition de la France. Si rien ne se passe – hypothèse la plus probable – mes derniers doutes se dissiperont, et j’aurais acquis définitivement cette intime conviction : le fonctionnement de la société française étant basé, depuis 1789, sur des principes philosophiques rousseauistes érigés en dogme, le Système ne peut pas être réformé, il ne changera pas, il s’effondrera sur lui-même, il préférera se suicider plutôt que d’accepter la démonstration de la fausseté des principes sur lesquels il repose dans son entier.

     

    Je me propose d’exposer les trois éléments qui porteront la responsabilité de la disparition de la France.

     

    La cause : la culpabilisation collective des Européens de l’Ouest par rapport à la Shoah (et, par extension, à la colonisation, l’esclavage, le « racisme », la Guerre d’Algérie, etc.), culpabilisation opérée par le biais des médias, mais rendue possible par les schémas mentaux hérités du christianisme.

     

    Le vecteur : l’accaparement, par une gauche héritière de la caste bourgeoise méta-chrétienne qui prit le pouvoir en 1789, de la quasi-totalité des médias, à commencer par la télévision, source d’information presque exclusive de la population française, accaparement qui permet cette culpabilisation de masse.

     

    Le moyen par lequel les Européens de l’Ouest et notamment les Français se délestent de cet insupportable sentiment de culpabilité en recourant – toujours dans une optique correspondant à des schémas mentaux qui sont restés, malgré l’agnosticisme de surface, fondamentalement chrétiens – à un processus d’expiation prenant la forme d’un suicide collectif par le biais de l’invasion, voulue et organisée par les envahis eux-même, de millions et de millions de musulmans qui chasseront, convertiront, massacreront ou réduiront en dhimmitude les autochtones et les immigrés non-musulmans.

     

    Passée la dernière chance de 2007, la partie sera définitivement perdue. Maintenant, après l’apocalypse, quelque chose d’autre apparaîtra. Et c’est là que nous entrons dans l’incertitude la plus totale.

     

    André Waroch http://www.europemaxima.com

  • L’extrême-droite est contaminée

    Le courant nationaliste est “travaillé” depuis quelque temps par certaines associations qui se sont fait une spécialité de dénoncer l’islam, et uniquement l’islam. L’expansion de la religion musulmane en France représente certes un problème pour les Français de souche que nous sommes, mais il ne faut tout de même pas perdre de vue que c’est l’immigration en général qui nous indispose par son ampleur, beaucoup plus que le phénomène de l’islam radical, somme toute marginal. Les Blancs sont aujourd’hui minoritaires en Ile-de-France – il suffit d’avoir des yeux pour le voir– submergés qu’ils sont depuis une trentaine d’années par l’afflux incessant des populations du tiers-monde. Les musulmans “fanatiques”, eux, ne représentent qu’une toute petite minorité de cette masse migratoire.
    Il est vrai que la dénonciation de l’islam radical est aujourd’hui non seulement tolérée mais aussi encouragée par les démocrates de tous bords qui souhaitent consolider la société libérale, multiculturelle et mondialisée : c’est le « pacte républicain » .
    Les intellectuels cosmopolites sont évidemment à la pointe de ce combat. Il s’agit ainsi de faciliter l’intégration des immigrés musulmans dans les sociétés européennes. Voyez ce que nous disait Pascal Bruckner dans le Figaro du 5 novembre 2003 : « L’islam devra s’engager dans un type de réforme aussi radicale que celle opérée par les catholiques et les protestants au cours du siècle écoulé. »
    Daniel Cohn-Bendit ne dit pas autre chose : « Comme l’Europe du XIXe siècle et du début du XXe siècle, l’islam a devant lui une grande réforme séculière à mener à bien. Cela se fera dans la lutte et la douleur. » (Cohn-Bendit, Kouchner, Quand tu seras président, Robert Laffont, 2004, p. 183).
    Cohn-Bendit l’avait déjà affirmé quelques années auparavant : « Il est évident que la religion musulmane doit s’engager dans un processus de sécularisation, faire le chemin qu’a fait l’Église catholique. » Et Cohn-Bendit ne laissait personne l’accuser de penser ainsi du fait de sa judéité : « Étant athée, toutes les religions m’indiffèrent. Mais je veux la démocratie. Pour tout le monde. » (Une Envie de politique, La Découverte, 1998, pp. 86, 87).
    Il ne s’agit donc pas, dans l’esprit des intellectuels cosmopolites, d’expulser les musulmans que l’on a fait entrer en masse, mais de les neutraliser, comme on a déjà neutralisé la religion catholique et les peuples européens, à force de propagande et de publicité en faveur du métissage généralisé.
    De l’autre côté de l’échiquier politique, le très libéral Pierre Lellouche est bien d’accord avec le propos : « Il faut tout faire, dit-il, pour que la rivière de l’islam se noie dans l’océan de la démocratie et des droits de l’homme. » (Le Parisien du 15 septembre 2004). Notez que pour l’Ashkénaze comme pour le Séfarade, il est tout à fait hors de question de dissoudre la société israélienne dans un grand melting-pot : c’est un discours exclusivement réservé à l’exportation.

    Notre milieu est contaminé
    Un petit publiciste comme ce Jean Robin, par exemple (l’auteur de la Judéomanie), a ses entrées à radio Courtoisie, où la porte lui est grande ouverte. Il y a été invité de nombreuses fois dans les émissions animées par Yves-Marie Laulan, Gérard Marin et Paul-Marie Coûteaux. Car ce Jean Robin est aussi éditeur, ce qui lui permet de faire sa publicité sur la radio à intervalle régulier pour y présenter sa production, qui se situe dans la ligne de la droite néo-conservatrice “à la Sarkozy”. Dans un entretien vidéo, Jean Robin le déclare très explicitement : « Je ne suis pas contre l’immigration. Par contre, je vois plus dans l’islam un problème. »
    Voyez encore ce qu’il écrit dans sa brochure intitulée La nouvelle extrême-droite (septembre 2009) : « La diversité et le métissage ne sont pas un problème en soi, au contraire ils sont plutôt les gages d’une richesse et d’une intelligence supérieure. »
    Jean Robin, qui ne cache pas sa judéité, prétend délivrer les musulmans du mal qui les étreint. Écoutez cela : « Les musulmans sont les premières victimes de l’islam… Ils sont prisonniers à la fois d’une idéologie rétrograde, d’extrême-droite et totalitaire, et de ses gardiens. »
    On a déjà entendu ce propos chez l’économiste libéral Guy Sorman, qui entend lui aussi “libérer” les musulmans, comme d’autres ont “libéré” Bagdad et aimeraient bien “libérer” Téhéran : « Le monde musulman, écrit Sorman, est victime de la dictature des clercs : oulémas, ayatollahs et autres imams. C’est en se débarrassant de cette cléricature que les musulmans renoueraient avec leurs propres racines. » (Le Bonheur français, Fayard, 1995, pp. 123) Et Guy Sorman n’hésite pas à donner des cours de théologie à ces pauvres gardiens de chèvres : « Les intégristes, qui confondent le voile et l’islam, sont de piètres musulmans ; ils ont mal lu le Coran. » (page 132) On reconnaît ici toute la “houtzpah » (prononcez “routzpah”, en raclant le “r”), c’est-à-dire ce culot à toute épreuve propres aux intellectuels cosmopolites. Il est certain, en tout cas, que Daniel Cohn-Bendit, Jean Robin et Guy Sorman connaissent bien la Torah et le Talmud. Ce qui est formidable, c’est de retrouver Jean Robin à la journée du livre de Renaissance catholique et à la “fête de la Courtoisie”. C’est toujours un plaisir !

    Bernard-Henry Lévy : un autre caméléon
    Dans le même genre de caméléon “hyper-catholique”, on constate que Bernard-Henri Lévy s’est transformé lui aussi en ardent défenseur du christianisme, lui qui n’a eu de cesse, ces trois dernières décennies, de vilipender la civilisation helléno-chrétienne coupable de tous les maux. Dans sa tribune hebdomadaire du Point, en date du 18 novembre 2010, on le voit maintenant défendre les chrétiens opprimés : en Inde, en Iran, au Congo, en Algérie, au Soudan, en Egypte. Ce revirement est évidemment purement stratégique : il s’agit de pousser les Occidentaux à la guerre contre le monde musulman, qui représente effectivement aujourd’hui la principale menace pour Israël et les juifs du monde entier. Mais voyez ce qu’il ajoute à la fin de son article : « Ce n’est pas moi qui trouverai des circonstances atténuantes à la recrudescence de ces fièvres racistes qui, dans les démocraties européennes, voire aux Etats-Unis, ciblent, ici les minorités d’origine arabe, là les Turcs, là encore les Roms. » Vous l’avez compris : le principal, pour ces gens-là, est de bâtir la société multiculturelle et d’encourager le mélange de toutes les races et de toutes les cultures… sauf la leur.

    Les harkis de l’extrême-droite
    Pierre Vial, le président de l’association Terre et Peuple, avait donc raison de nous alerter dans un article intitulé “Grandes manœuvres juives de séduction à l’égard de l’extrême droite européenne” (cf. Terre et peuple Magazine de l’été 2010). Face aux menaces de l’islam organisé, en France, en Europe et au Proche-Orient, les juifs se doivent de trouver des “alliés”, « ou plutôt, écrit Vial, des troupes supplétives, de style “harkis” – au sein de l’extrême droite européenne. »
    Le fait est que ce sont ces “harkis” occidentaux que l’on a envoyé faire la guerre en Irak et en Afghanistan, pour défendre des intérêts qui ne sont pas les leurs. Et il faudrait maintenant liquider l’islam radical en Europe afin de faciliter l’intégration des immigrés afro-maghrébins.
    Pierre Vial terminait ainsi son article : « Soyons bien clairs : est évidente, indiscutable, impérative la nécessité de lutter par tous les moyens contre l’invasion-immigration et nous mettons toute notre énergie dans ce combat pour l’identité et la survie des peuples européens. Mais en étant lucides. Et donc en refusant de nous laisser piéger et manipuler pour servir de troupes d’appoint pour la défense des intérêts juifs, c’est-à-dire une cause qui, légitimement, est celle des juifs mais qui n’est donc pas la nôtre. » Ça, au moins, c’est clair !

    Le grand capital dit “oui” à l’immigration
    L’hebdomadaire Le Point du 30 septembre 2010 publiait tout un dossier sur l’immigration. On y trouve, entre autres, un entretien avec un certain Ezra Suleiman, professeur de sciences politiques à l’université de Princeton (USA). Ce Suleiman prônait l’instauration de statistiques ethniques : « Ne pas identifier telle ou telle minorité équivaut à se mettre la tête dans le sable », écrit-il. Mais attention, Suleiman avait des idées derrières la tête : « On peut se demander pourquoi on ne ferait pas pour les minorités ce qu’on fait pour les femmes, qui bénéficient d’un système de quotas en politique et dans l’entreprise. »
    Il s’agit donc bien, une fois encore, de favoriser l’immigration par tous les moyens. Et Ezra Suleiman reprenait la vielle rengaine : « Les immigrés ont beaucoup contribué à l’économie… [bla bla bla]… l’immigration est plutôt un enrichissement… [bla bla bla]. » Il faut savoir qu’Ezra Suleiman, qui est de nationalité américaine, est aussi membre du Comité de gouvernance d’AXA et actionnaire du groupe. Il personnifie assez bien la volonté des maîtres de la haute finance d’éradiquer les peuples blancs ethniquement homogènes.
    Dans le même dossier, le démographe bien connu Patrick Weil se fichait franchement de nous en nous faisant accroire que l’immigration était maîtrisée. C’est encore une illustration de cette fameuse “routzpah”, ce culot monstrueux qui permet d’assener les plus énormes contre-vérités. Ecoutez cela : « Le modèle français d’intégration ne marche pas si mal, écrit-il… Je remarque qu’actuellement les chiffres de l’immigration sont gonflés. La nouvelle réglementation européenne nous oblige à compter les nouveaux étudiants étrangers en France comme des “migrants” alors que nombreux sont ceux qui repartent dans leur pays au bout d’un an ! Et comme nous ne comptons pas les départs, cela donne le sentiment que des étrangers entrent sans jamais repartir. » Bref, si vous voyez de plus en plus d’Africains et de Chinois dans les rues de votre ville, c’est que vous êtes victimes d’hallucinations.

    DSK et la gouvernance mondiale
    Il faut le dire et le répéter : l’objectif de la haute finance est de dissoudre toutes les nations, tous les particularismes et d’unifier la terre par tous les moyens, afin d’instaurer un gouvernement mondial. Jacques Attali le déclare très explicitement depuis quelque temps. Dominique Strauss-Kahn, le Directeur général du FMI, estime lui aussi que les masses occidentales lobotomisées par la propagande médiatique sont maintenant prêtes à recevoir la parole des prophètes. Reçu le 15 novembre par Patrick Cohen dans le 7/9 de France Inter, DSK s’est ainsi déclaré favorable à une gouvernance mondiale : « Le grand pari du XXIe siècle, c’est l’invention d’une gouvernance mondiale. Elle prend aujourd’hui la forme du G20 et au cœur de cette gouvernance mondiale, il y a le nouveau FMI. » En octobre 1917, les bolcheviques, ancêtres de Strauss-Kahn et Attali, pariaient eux aussi sur l’établissement d’un futur paradis sur terre. Mais on sait déjà à l’avance comment tout cela va se terminer.

    Le projet mondialiste
    On voit en tout cas que l’immigration n’est pas un phénomène naturel, mais un élément du projet politique d’unification mondiale qui obsèdent les esprits cosmopolites, et plus particulièrement les intellectuels juifs, qui sont le fer de lance du projet mondialiste, persuadés qu’ils sont que leur messie arrivera enfin quand toutes les frontières auront été abolies, quand toutes les nations auront été détruites, quand toutes les religions, tous les particularismes locaux auront disparus. Une grande “paix” (shalom) régnera alors sur le monde, et les juifs, qui auront conservé leurs traditions, seront alors reconnus par tous comme le “peuple élu” de Dieu. Voilà quelles sont les origines religieuses du mondialisme, auquel adhère aussi une partie de l’élite goye du monde occidental. L’immigration est ainsi planifiée, organisée, orchestrée par des oligarchies financières, par des groupes de pression bien identifiés, qui l’utilisent pour diluer les peuples et affaiblir leur résistance. Prétendre qu’il n’y a pas de “conspiration” est donc aussi stupide que de prétendre que les grands financiers internationaux n’ont pas de projet, que les membres du groupe Bilderberg n’ont pas de “projet”, que les dirigeants du FMI n’ont pas de “projet”.

    Ils partiront !
    Dans la résistance contre l’invasion de nos terres par les masses afro-asiatiques, on ne peut pas dire que le gaulliste Nicolas Dupont-Aignan s’illustre particulièrement. Nicolas Dupont-Aignan, député de l’Essone et président du parti “Debout la République”, était l’invité d’Henry de Lesquen sur radio Courtoisie, le lundi 15 novembre. A cette occasion, il déclara, en substance, que s’il fallait mettre un terme à l’arrivée de nouveaux immigrants venus du tiers-monde, il fallait aussi tout faire pour intégrer ceux qui étaient déjà sur notre sol. Parce que « c’est comme ça ». C’est d’ailleurs aussi le discours d’Alain Soral. On sait pourtant qu’une politique de fermeté est toujours possible. Le 7 janvier 2003, par exemple, l’Inde annonçait l’expulsion de 20 millions (vingt millions) de Bangladais en situation irrégulière. Pas moins ! Dans un communiqué, le ministère justifiait cette décision par la lourde menace que constituait « la présence d’un grand nombre d’immigrés en situation irrégulière ». Il est vrai que l’on n’entend guère les médiats occidentaux se faire l’écho de ce type d’infor­mations. L’immigration n’est donc pas un phénomène inéluctable, comme certains esprits malins se plaisent à nous le faire croire.

    Hervé Ryssen http://racismeantiblanc.centerblog.net/2

  • “Les autres enfants traitaient ma fille de sale fille de Blanche”, un témoignage exclusif et effrayant

     

    <i>“Les autres enfants traitaient ma fille de sale fille de Blanche”</i>, un témoignage exclusif et effrayant

    Bien que la justice ait refusé de le reconnaître, Madame Leterme a été victime en 2010 d’une persécution raciste. Son avocat, Me Stéphane Maitre, s’est indigné sur le site Atlantico de l’indifférence des médias face à cette injustice, qui aurait à coup sûr reçu un tout autre traitement si la victime de cette persécution raciste n’avait pas été… blanche ! Madame Leterme a accepté de raconter son histoire à « Minute ».

     

    Minute : Mme Leterme, à la fin du mois de mai 2013, le tribunal de Melun s’est prononcé sur une plainte que vous aviez déposée à la suite d’événements survenus le 30 juin 2010 à Savigny-le-Temple. Pouvez-vous rappeler ce qu’il s’était passé à l’époque ? Votre fille et vous étiez confrontés à une situation conflictuelle avec les jeunes du quartier où vous viviez…
    Madame Leterme : Oui, ça du­rait de­­puis le mois de mars. Venant d’Angers, je m’étais installée à Sa­vigny-le-Temple pour des raisons professionnelles et j’y avais acheté en 2009 un appartement dans ce quartier, que l’on m’avait décrit comme calme et tranquille. Il était très majoritairement peuplé de Ma­ghrébins, mais je n’avais aucune ré­ticence à y habiter car je n’avais au­cun a priori défavorable à leur égard. Mes deux enfants et moi (car j’étais séparée de mon ex-mari) nous y sommes installés le 9 mai 2009 ; or un an après, le 30 juin 2010, nous avons été con­traints de déménager.

    Que s’était-il passé entre-temps ?
    Tout est allé à peu près bien, tant que les autres enfants, Maghrébins, ont cru que ma fille de 10 ans était une bâtarde. Comme elle est brune et qu’elle a le teint mat, ils pensaient qu’elle était de mère blanche et de père musulman. On l’appelait « la bâtarde », mais elle était tolérée et les autres jouaient avec elle. Jusqu’au jour où ils ont appris qu’il n’en était rien et que son père aussi était blanc.
    Du jour au lendemain, elle a été rejetée, insultée, et le conflit a vite pris des proportions énormes, à tel point que j’ai fini par ne plus la laisser sortir dans le jardin clos, commun aux résidents du rez-de-chaussée. Les autres enfants la traitaient de sale fille de Blanche, de sale Française, lui disaient que sa mère était une sale pute, qu’elle n’avait rien à faire là, qu’elle n’était même pas une bâtarde…

    Lynché à coups de bâtons devant sa femme et sa fille

    Vous n’avez pas demandé à leurs parents et à leurs aînés de calmer le jeu ?
    Mon ex-mari est allé frapper à leur porte, en pensant que tout ça se réglerait en quelques minutes, mais ils lui ont claqué la porte au nez en lui disant que si nous n’étions pas con­tents, nous n’avions qu’à rentrer chez nous !

    Chez vous ? Vous étiez pourtant bien en France…
    C’est un territoire qui n’appartient plus à la France. Ce qui est sûr, en tout cas, c’est que nous n’y étions pas chez nous. Ensuite l’hiver est ar­rivé et mes enfants ne sortant plus, les choses se sont momentanément tas­sées. Jusqu’au retour du printemps.
    Au mois de mars, comme mes enfants recommençaient à sortir, nous avons reçu des menaces et des lettres nous incitant à partir, sous pei­ne d’être égorgés. Les agresseurs se sont aperçus que je vivais seule, ce qui les a rendus encore plus hostiles, et le fait que je ne les craignais pas n’a pas non plus joué en ma faveur.

    Je me suis rendue au commissariat pour déposer deux mains courantes, qui n’ont jamais rien donné. La situation est restée aussi tendue, les enfants d’une dizaine d’années venant jusqu’à mon portillon pour nous insulter, nous traiter de sales putes et de sales Blanches, jusqu’à ce soir du 30 juin, où, après une nouvelle altercation, des adultes sont intervenus pour effrayer ma fille, en lui disant qu’elle n’avait pas à se mélanger avec leurs enfants, qu’ici ils étaient chez eux et qu’ils allaient nous faire la peau.
    Nous sommes des provinciaux et mes enfants n’ont pas l’habitude d’entendre de tels discours de hai­ne. Terrorisée, elle s’est réfugiée chez nous. Mon ex-mari et un autre ami, venus fêter mon anniversaire, sont sor­tis pour discuter et se sont alors fait lyncher par sept individus, à coups de bâtons, de planches de bois et de casque. Mon ex-mari a eu un traumatisme crânien, le cuir chevelu ouvert et de multiples contusions, et notre ami une fracture ouverte à deux doigts. Ma fille et moi assistions à la scène.

    Jusqu’alors, je prenais leurs me­naces pour des paroles en l’air, je croyais leur hostilité due à la jalousie, parce que nous avions une vie agréable. C’est seulement ce jour-là que j’ai réalisé que ce n’était pas le cas et qu’il s’agissait vraiment d’une haine raciste. J’ai alors décidé de partir et je suis aujourd’hui persuadée d’avoir fait le bon choix, même si j’ai tout perdu et que de­puis, je galère.

    « On va te trancher la gorge, sale Blanche »

    L’intervention de la police vous a libérés…
    Oui, les policiers m’ont protégée. Mes enfants étaient enfermés dans mon appartement et j’étais sortie pour accompagner les pompiers, qui prenaient en charge mon ex-mari et notre ami pour les em­mener au CHU de Melun.
    C’était la cohue, la jubilation to­tale, tout le monde trouvait normal que nous partions. Nos agresseurs m’insultaient et me menaçaient de mort devant les policiers, sans au­cune gêne ni crainte : ils m’ont dit qu’ils nous trancheraient la gorge, à ma fille et à moi : « Ne t’inquiète pas, on va te retrouver, tu ne seras pas toujours protégée, on va te trancher la gorge, sale Blanche, tu n’avais rien à faire ici… »

    Une dizaine de policiers m’entouraient. Ils m’ont laissé quinze min­­utes pour prendre le maximum d’affaires, on a tout balancé dans ma voiture, et je suis partie avec mes deux enfants. Le lendemain, nous sommes revenus pour déménager, escortés par les policiers.

    Vous avez pu revendre votre appartement ?
    Oui, je l’ai mis en vente le lendemain du déménagement. Je n’y ai jamais remis les pieds, l’agent immobilier s’est occupé de tout. J’ai démissionné de mon poste d’assistante d’éducation dans l’Education nationale – je ne pouvais pas faire de demande de mutation – et je me suis rapprochée de l’endroit où ha­bite mon ex-mari – ma fille avait be­soin de se rapprocher de lui après ce qui s’était passé. Depuis, j’enchaîne les CDD.

    Comment se sont passés l’enquête et le procès ?
    Notre dossier s’est trimbalé de commissaire en commissaire. Ces po­liciers, quoique compréhensifs, ne disposaient pas de tous les éléments et ne comprenaient pas tout.
    Ils n’ont pas les moyens d’agir comme il le faudrait et ne servent pas à grand-chose.
    Après l’agression, j’avais de­mandé que ma fille soit entendue et l’on m’avait répondu qu’elle était trop jeune. J’avais renoncé, mais on m’a rappelé un an plus tard en me disant qu’elle devait être interrogée.
    Cette affaire l’avait traumatisée, elle avait dû être suivie par un psy pendant un an : il ne fallait pas la replonger dans cette histoire et j’ai refusé, ce qui m’a été reproché au tribunal.
    Ce n’est pas un an après des faits traumatisants que l’on interroge une enfant de onze ans : si les ma­gistrats ne sont pas capables de le comprendre, tant pis.

    La justice laisse les lyncheurs en liberté !

    Quel est le résultat du procès ?
    Sur les sept hommes qui avaient lynché mon ex-mari et notre ami, trois seulement ont été interpellés et traduits en justice. Un seul s’est présenté à l’audience, où il est arrivé tranquille avec sa mère ou sa tan­te, en rigolant et les mains dans les poches : le plus chétif, et ça a joué en notre défaveur. En voyant mon ex-mari et notre ami, qui me­surent tous deux 1,90 m, ceux qui n’avaient pas vécu la scène ne pouvaient pas imaginer que sept petits merdeux comme ça leur soient tom­bés dessus pour les lyncher.
    Mais les autres étaient beaucoup moins chétifs…
    En dépit de casiers judiciaires chargés, ils ont été condamnés à des peines avec sursis, ou de moins de deux ans de prison fermes : ils ne seront donc pas emprisonnés.
    La justice ne leur donne pas raison, mais pas tort non plus… Finalement, ils font ce qu’ils veulent.

    Comment expliquez-vous que le tribunal n’ait pas retenu l’accusation de racisme, puisqu’un procès-verbal de police atteste de ces propos ?
    Je l’ignore. Les juges se sont retirés, puis ont rendu leur verdict. Le procureur, qui était une femme, est parti du principe que dans une ba­garre, les deux parties ont forcément une responsabilité. Mais il n’y a pas eu bagarre, il y a eu lyncha­ge.

    Mon ex-mari est très pacifique et ne s’est jamais battu de sa vie, pourtant on lui a reproché d’avoir porté un coup, ce qui n’a pas été dé­montré.
    Le procureur d’ailleurs dit lui-même que le certificat médical produit par l’agresseur est suspect et que lors de la confrontation organisée deux jours après les faits, les policiers n’ont constaté aucune trace de coup sur lui.
    Et pourtant, cette femme a de­mandé la con­damnation de mon ex-mari à une amende, en expliquant qu’elle ne voulait pas envenimer les choses après trois ans et qu’elle était là pour calmer les esprits. Ce n’est pas comme ça qu’elle les calmera !
    Où je vis aujourd’hui, je côtoie des musulmans complètement fran­­cisés, qui ont honte de ce qui s’est passé pour moi et ma famille ; mais à mon avis, ils restent une mi­norité.

    Propos recueillis par Pierre-Jean Rivière

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 26 juin 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Crédit photo : DR.

    "Les autres enfants traitaient ma fille de sale fille de Blanche", un témoignage exclusif et effrayant

    http://fr.novopress.info

  • Etats-Unis et Europe : le poids politique du vote des immigrés

    WASHINGTON (NOVOpress) – Le Sénat américain vient d’approuver la réforme sur l’immigration voulue par Barack Obama, par 68 voix contre 32. Elle va ouvrir la voie, si la Chambre la soutient aussi, à la naturalisation de millions d’immigrés clandestins. Pour faire passer la pilule auprès de l’opinion publique, l’administration Obama promet plus de sécurité à la frontière avec le Mexique : 38 000 agents devront patrouiller le long de la frontière équipés d’un arsenal paramilitaire de surveillance dont des drones. Mais en 1986, l’administration Reagan avait procédé de la même façon : régularisation de trois millions d’immigrés, en promettant une fermeture hermétique de la frontière. Ce qui n’a jamais été le cas.

    Depuis Dakar (Sénégal), Barack Obama, s’est félicité du vote du Sénat : « Nous sommes une nation de lois et d’immigrants. Il faut juste que le Congrès finisse le travail ». Le président des Etats-Unis pousse à la roue car le vote latino est devenu déterminant à l’instar du vote musulman en faveur de François Hollande l’année dernière en France. Ainsi, en 2012, lors de l’élection présidentielle américaine, Mitt Romney a enregistré 44 points de retard sur Barack Obama chez les hispaniques. Ce jeu politicien risque d’aggraver l’insécurité multiraciale aux Etats-Unis et de provoquer d’innombrables drames humains. Comme en Europe à cause de la mondialisation.

    http://fr.novopress.info/

  • Non aux milices islamistes en Europe

    13627b

    Les services français arrêtaient ce 24 juin, en région parisienne et puis le lendemain dans le sud de la France, divers praticiens de ce qu'on appelle couramment le djihadisme. Ils avaient commencé par des braquages et se préparaient à commettre de lourds attentats.

    Cela nous donne l'occasion de souligner ce qui se passe en ce moment outre-Manche. On se souvient qu'un jeune soldat, Lee Rigby, âge de 25 ans, originaire de Manchester, père d'un petit garçon de deux ans, a été froidement assassiné en pleine rue, le 22 mai, par deux camarades de combat – faut-il dire deux coreligionnaires ? – de ces individus.

    Les deux assassins sont décrits comme des citoyens britanniques "d'origine nigériane, élevés en tant que chrétiens et convertis à l'islam" (1). Des témoignages concordants soulignent que les assaillants criaient "Allahu Akbar". On se souviendra aussi qu'une femme très courageuse Ingrid Loyau-Kennett parvint à leur tenir tête.

    Or dans le camp des musulmans fanatiques il existe un courant d'approbation de ce crime.

    130627aSon principal porte-parole s'appelle Anjem Choudary, né en 1967 à Londres, interdit de séjour sur le territoire français. Le 4 juin il affirmait encore que la victime “brûle le feu de l'enfer". Ce personnage que l'on aurait tort de voir comme un vulgaire provocateur. Créateur du mouvement "islam4UK" (2) ce juriste, Pakistanais d'origine, on peut suivre ses messages sur Twitter. Ces textes peuvent sembler délirants : ils font suite à une série de prises de positions favorables aux attentats de Manhattan de 2001, de Londres en 2005, de Bombay en 2008, etc. Il prétend de la sorte convertir son pays d'accueil, en grande partie par la terreur.

    De ce point de vue il aura encore fort à faire. La réaction populaire des sujets de Sa Gracieuse Majesté depuis ce crime se montre actuellement virulente.

    Mais Choudary vient d'oser franchir un nouveau pas dans son appel à la violence. Sous prétexte d'autodéfense de la communauté musulmane, il vient de créer une organisation de "réponse flexible et islamique" à toutes menaces, vraies ou supposées, contre les "frères", appelée à essaimer dans tout le Royaume-Uni d'abord, sur le Continent ensuite.

    Le sigle est en lui-même tout un programme : IED, Islamic Emergency Defence IED cela signifie aussi, et cela fait référence aux "Improvised Explosive Device" – que nous traduisons en français par EEC engins explosifs de circonstance. Ces bombes artisanales détiennent le record des pertes infligées aux soldats britanniques en Afghanistan.

    Jusqu'à quand durera l'aveuglement des Européens ?

    Apostilles

    (1) cf. http://en.wikipedia.org/wiki/Death_of_Lee_Rigby

    (2) "L'islam pour le Royaume Uni"

    http://www.insolent.fr/

  • 2 poids 2 mesures : un Turc ayant tué 2 patriotes français relâché au bout de quelques semaines

    Selon La Voix du Nord, Hüseyin Topkaya, chauffeur présumé de la voiture qui a renversé plusieurs personnes et tué Damien et Romain Vandaele (deux frères âgés de 20 ans à peine), a été libéré en fin de semaine dernière. « Une libération discrète ».

    David Mattéo, l’autre chauffeur, a été libéré le 11 juin dernier. Les deux principaux mis en examen sont donc désormais libres. Depuis le début de cette affaire (apparemment une querelle locale mal éclaircie), les deux principaux mis en examen affirment qu’il s’agit d’un accident et non d’un homicide involontaire.

    Pourtant, l’une des victimes rescapées affirme que la voiture a délibérément foncé sur eux.

    L’avocat de Hüseyin Topkaya avait déclaré à l’époque « mon client a donné un coup de main au nom de la communauté turque »…

    Source  http://www.contre-info.com/

  • « On va te trancher la gorge, sale Blanche »

    Madame Leterme a été victime en 2010 d’une persécution raciste lorsqu’elle habitait à Savigny-le-Temple (77). Elle raconte son histoire à Minute. Extraits :

    « Du jour au lendemain, elle a été rejetée, insultée, et le conflit a vite pris des proportions énormes, à tel point que j’ai fini par ne plus la laisser sortir dans le jardin clos, commun aux résidents du rez-de-chaussée. Les autres enfants la traitaient de sale fille de Blanche, de sale Française, lui disaient que sa mère était une sale pute, qu’elle n’avait rien à faire là, qu’elle n’était même pas une bâtarde… [...] 

    Au mois de mars, comme mes enfants recommençaient à sortir, nous avons reçu des menaces et des lettres nous incitant à partir, sous pei­ne d’être égorgés. Les agresseurs se sont aperçus que je vivais seule, ce qui les a rendus encore plus hostiles, et le fait que je ne les craignais pas n’a pas non plus joué en ma faveur. Je me suis rendue au commissariat pour déposer deux mains courantes, qui n’ont jamais rien donné. La situation est restée aussi tendue, les enfants d’une dizaine d’années venant jusqu’à mon portillon pour nous insulter, nous traiter de sales putes et de sales Blanches, jusqu’à ce soir du 30 juin, où, après une nouvelle altercation, des adultes sont intervenus pour effrayer ma fille, en lui disant qu’elle n’avait pas à se mélanger avec leurs enfants, qu’ici ils étaient chez eux et qu’ils allaient nous faire la peau.

    Nous sommes des provinciaux et mes enfants n’ont pas l’habitude d’entendre de tels discours de hai­ne. Terrorisée, elle s’est réfugiée chez nous. Mon ex-mari et un autre ami, venus fêter mon anniversaire, sont sor­tis pour discuter et se sont alors fait lyncher par sept individus, à coups de bâtons, de planches de bois et de casque. Mon ex-mari a eu un traumatisme crânien, le cuir chevelu ouvert et de multiples contusions, et notre ami une fracture ouverte à deux doigts. Ma fille et moi assistions à la scène. [...]

    Mes enfants étaient enfermés dans mon appartement et j’étais sortie pour accompagner les pompiers, qui prenaient en charge mon ex-mari et notre ami pour les em­mener au CHU de Melun. C’était la cohue, la jubilation to­tale, tout le monde trouvait normal que nous partions. Nos agresseurs m’insultaient et me menaçaient de mort devant les policiers, sans au­cune gêne ni crainte : ils m’ont dit qu’ils nous trancheraient la gorge, à ma fille et à moi : « Ne t’inquiète pas, on va te retrouver, tu ne seras pas toujours protégée, on va te trancher la gorge, sale Blanche, tu n’avais rien à faire ici… »

    Sur les sept hommes qui avaient lynché mon ex-mari et notre ami, trois seulement ont été interpellés et traduits en justice. [...] En dépit de casiers judiciaires chargés, ils ont été condamnés à des peines avec sursis, ou de moins de deux ans de prison fermes : ils ne seront donc pas emprisonnés. [...] »

    Source  http://www.contre-info.com

  • L’impossible racisme anti-blanc

    Au tribunal, la LICRA n’a pas voulu aller au bout de sa logique

    Logiquement, le tribunal correctionnel qui, vendredi à Paris, a condamné Arnaud Djender à trois ans de prison ferme pour une agression commise en septembre 2010 gare du Nord, n’a pas retenu contre lui la circonstance aggravante de racisme, en l’occurrence anti-blanc, requise par le procureur le 26 avril dernier.

    Térence C., une vingtaine d’années, avait été violemment frappé par deux individus, dont Djender – le coauteur des coups, en fuite, n’a, lui, jamais pu être identifié. Selon des témoins, les auteurs de l’agression avaient proféré des insultes racistes, « sale Blanc » notamment, à l’endroit de la victime, ce que l’accusé, défendu par Me Grégoire Etrillard, avait nié.

    La première condamnation en France pour racisme « anti-blanc » n’a donc pas été prononcée. Logiquement, car la LICRA (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme), partie civile à l’audience du 26 avril, qui tenait à démontrer qu’un Blanc pouvait être victime de racisme, ne s’est pas donné les moyens d’étayer sa démonstration. Trop casse-gueule, sans doute. Comme si la LICRA avait fait sienne, en quelque sorte, la théorie des Indigènes de la République, selon laquelle il existe en France un « racisme structurel », procédant de la domination des « Blancs » sur les « Arabes », les « Noirs » et autres personnes de « couleur ». Chercher à démontrer, jusqu’au bout, que la victime avait été frappée parce que blanche aurait immanquablement conduit Me Mario-Pierre Stasi, l’avocat représentant la LICRA, à « ethniciser » sa plaidoirie contre le coauteur présumé des coups, par ailleurs tout à fait blanc de visage mais dont le patronyme, Djender, renvoie à une origine berbère. [...]

    Antoine Menusier - La suite sur Causeur  http://www.actionfrancaise.net

  • L’ARGENT DES TOURANGEAUX NE DOIT PAS SERVIR À SPONSORISER L’ISLAMISATION !

    Vos Populi

    Nous apprenons, dans l’entretien que Madame Blosch (adjointe au maire de Tours) a accordé à La Tribune de Tours hier, que Tour(s)-plus et le Conseil Régional veulent financer, à hauteur de 2,5 M d’€, la Grande Mosquée de Tours dont les travaux ont été interrompus faute de dons.

    Au mépris des principes de laïcité que la gauche n’hésite jamais à utiliser contre les catholiques, et à bafouer en faveur des musulmans, voilà que nos responsables politiques volent au secours d’une communauté dont les codes (hallal, voile, prières de rue) relèvent davantage du symbole de conquête que de l’assimilation discrète…

    Les citoyens tourangeaux, eux, sont aussi en droit de s’interroger sur le financement de cette mosquée géante (dont le coût s’élève à 7 millions d’euros) par la collectivité… Tout comme il semble légitime aussi de s’intéresser aux activités parallèles qui seront rattachées à ce lieu. Car comme c’est bien souvent le cas, la mosquée de Tours ne sera pas qu’un lieu de culte mais sera également dotée d’un « centre multiculturel » dédié à l’enseignement du Coran et de la langue arabe. On sait malheureusement trop bien le type d’endoctrinement qui a parfois été professé dans de tels lieux, y compris en France (on peut notamment évoquer les djihadistes formés dans la région lyonnaise et retrouvés combattant à l’étranger). Alors que le traumatisme Merah est toujours présent, il n’est pas interdit de s’inquiéter, ou tout au moins de se questionner.

    En démocratie, on consulte le peuple avant de prendre de telles décisions avec son argent. Nous exigeons un référendum local sur le financement de cette mosquée par les pouvoirs publics car c’est avant tout aux tourangeaux de décider s’il est légitime.

    Car l’argent des Tourangeaux ne doit pas servir à sponsoriser l’islamisation de notre ville, Vox Populi étudie d’ores et déjà tous les recours possibles contre les financements directs ou déguisés (via l’aspect cultuRel) qui viendraient à intervenir.

    Source  www.actionfrancaise.net