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immigration - Page 1413

  • De la fraude à l’escroquerie intellectuelle

    La gauche s’apprête à porter un nouveau coup aux familles  françaises, à la natalité des  familles de souche,   par une réforme du quotient  familial.  Bruno Gollnisch rappelait dans l’entretien accordé à La Gazette  que  « ce gouvernement met aussi  clairement en danger la politique familiale du pays, en remettant en cause le fondement du mariage ». Il notait aussi que « la droite n’a quasiment jamais abrogé une loi faite par la gauche. Pourtant, la gauche ne s’est pas gênée pour détricoter une des trop rares bonnes initiatives de Nicolas Sarkozy, c’est-à-dire la défiscalisation des heures supplémentaires. » Mais l’UMP est-elle encore audible  alors qu’elle donne aux Français le triste spectacle de ses divisions, de ses mensonges, de son double-langage,  de ses haines intestines, voire de son amateurisme sidérant, ce qui ne manque pas de sel de la part d’un parti qui conteste au FN sa capacité à gouverner ?

    Le site Numérama, relayé par  de très nombreux médias a ainsi expliqué, preuve à l’appui,  que l’organisation du vote  pour désigner le ou la candidate de l’UMP à Paris aux municipales de  2014 était digne d’une  histoire des Pieds nickelés.  Les possibilités de fraudes  multiples y sont ainsi  très simples alors que   d’autres électeurs, faute du bon logiciel ou du bon ordinateur,  ne peuvent participer à ce scrutin !

    Mercredi dernier,   Numérama publiait une enquête  démontrant  également   qu’il était « impossible d’obtenir (dans cette primaire)  la moindre information précise sur les garanties de sécurisation du processus électoral, que le rapport d’audit préalable obligatoire n’avait toujours pas été examiné par la Commission Nationale Informatique et Libertés (CNIL)  à deux jours du scrutin, que l’UMP se reposait sur une délibération de la CNIL (de 2010) qui déconseille pourtant explicitement de recourir au vote par internet pour des élections politiques, ou enfin que les fraudes étaient largement facilitées par le choix du mode de contrôle de l’identité des électeurs. »

    Certes, cela n’empêche pas aujourd’hui la CNIL, en  contradiction formelle avec ses récents  avertissements,   «  de proposer au contraire d’accompagner les partis dans l’organisation de leurs primaires. La CNIL invite dès aujourd’hui l’ensemble des formations politiques désireuses de procéder à l’organisation de primaires à prendre contact avec ses services… »

    Antoine Rufenacht, président du Conseil supérieur (sic)  de la primaire UMP à Paris,  a donc traîné son embarras et ses explications ridicules sur l’air de Tout va très bien  madame la marquise, au moment ou « les accusations de fraudes (commençaient) à tomber,  notamment de la part de  Jean-François Legaret, le maire du 1er arrondissement de Paris et l’un des adversaires de Nathalie Kosciusko-Morizet dans ces primaires. »

    Précisons au passage que Marine Le Pen a fait justice, dans un entretien paru hier  dans Le  Parisien Dimanche, des allégations du  Canard enchaîné selon lesquelles des militants du FN auraient été incités à s’inscrire à cette primaire  pour faire battre NKM. Affirmations ridicules a-t-elle souligné  puisque  «Nous n’avons évidemment aucun intérêt à ce que Nathalie Kosciusko-Morizet ne soit pas la candidate de l’UMP aux municipales à Paris. La bobo de gauche, pour nous, c’est l’idéal !».

    De la fraude à l’escroquerie  intellectuelle il n’y a qu’un pas, et il est vite franchi dans les « hautes sphères de l’UMP ». Illustration, les médias ont fait grand cas de la « saillie » de Stéphane Bern, invité samedi  de l’émission Salut les Terriens !, de Thierry Ardisson sur Canal+.  Le journaliste et présentateur  spécialiste des têtes couronnées  s’est payé sur le plateau celle de  Geoffroy Didier, Secrétaire général-adjoint de l’UMP , cofondateur du courant de l’UMP la Droite forte  avec son ami  Guillaume Peltier.

    M.  Bern a critiqué l’opposition de M. Didier au mariage entre personnes de même sexe  au motif que ce dernier, a-t-il assuré,  était homosexuel. Le chroniqueur en veut comme preuve les affirmations du  délicat amateur de boxe  Frédéric Mitterrand dans un dîner en ville à laquelle ils participaient tous les trois. « Tout le monde sait qu’il (Geoffroy Didier , NDLR)  est homo, mais il dit qu’il est hétéro ! » a-t-il insisté malgré les molles dénégations de ce  dernier. Nous rappelions dernièrement que le complice de Guillaume Peltier est membre du club de sarkozystes de gauche, La Diagonale, favorable au mariage homosexuel et au droit de vote des immigrés.

    Stéphane Bern , que l’on avait connu moins prosélyte, feint ici de croire que si l’on est homosexuel (et nous nous moquons de savoir si  Geoffroy Didier l’est ou  non, cela révéle de sa vie privée)  on est forcément favorable au mariage et à l’adoption entre  personnes  du même sexe. Ce qui est un raccourci assez stupide puisque cette revendication là est également extrêmement minoritaire chez les homosexuels et n’est en fait  portée que par les activistes du lobby LGBT.

    Plus signifiantM.  Bern a surtout confirmé ce que Bruno Gollnisch  comme d’autres, ont relevé, à savoir la duplicité de Jean-François Copé, notamment sur la loi Taubira. Il a ainsi fait état sur le plateau  de l’émission de M. Ardisson  d’un  autre dîner auquel il était présent  avec le journaliste engagé  Marc-Olivier Fogiel, le  militant de gauche- producteur de cinéma-acteur  Dominique Besnehard et Jean-François Copé.  Le président de l’UMP aurait assuré à ses voisins de table qu’il était favorable au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels  mais, que pour des raisons politiques, il avait décidé de mentir sur  ses opinions véritables, et même de défiler  aux côtés des opposants au mariage pour tous.

    Un bel exemple de double langage.  D’un côté  un discours privé entre gens  éclairés, membres de la Caste  appartenant à la société  de connivenceCe qui explique comme le relevait plus haut Bruno Gollnisch que la « droite » n’abroge jamais les « lois sociétales » de la gauche, voire les promulgue à sa place. De l’autre un discours grand public pour flatter sa clientèle électorale  et attraper le gogo.

    Parions que les « cocus » des politiques menées par les  dirigeants de  l’UMP,  les électeurs de ce  peuple de droite qui ouvrent  les yeux sur la réalité des options défendues par l’Etat-major  de la  droite courbe euromondialiste auront à cœur de renverser la table. Déjà un sondage Harris interactive publié le 28 mai crédite le FN de 18% aux élections européennes de 2014. Une bonne base de départ pour virer en tête l’année prochaine comme l’espère et le prédit Marine.

    http://www.gollnisch.com/

  • Un racisme anti-Blanc qui n’intéresse pas les médias

    Le 30 juin 2010, dans un quartier habité par une forte communauté maghrébine, une famille ostracisée par son voisinage est exfiltrée de son domicile par les policiers sous un torrent de menaces et d'injures racistes anti-blanc. L'affaire a été jugée ce jeudi dans le silence médiatique. (Cet article a été publié sur Atlantico).
    Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d'injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l'aide de la police et ont porté plainte.
    Monsieur LETERME s'est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu'il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l'avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public. 
    Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu'elle n'appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s'est-il passé exactement ? 
    Stéphane Maitre (Avocat au Barreau de Paris): Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.
    Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ? 
    Parce que la famille LETERME va se retrouver doublement victime, et veut témoigner d’une incroyable injustice : malgré l’agression violente dont il a été victime, M. LETERME s'est retrouvé lui aussi sur le banc des accusés, poursuivi à côté de ses agresseurs pour un prétendu coup de poing qu’il aurait donné pendant la bagarre, alors qu’il n’a fait que se débattre comme il pouvait pour se défendre contre huit personnes qui le rouaient de coups. Sous prétexte que l’un des agresseurs s’était fait délivrer un certificat médical de son médecin traitant et avait déposé plainte (deux jours après les faits), le parquet n’a rien trouvé de mieux que de convoquer M. LETERME, non seulement en tant que victime (ce qui était la moindre des choses), mais également en tant que prévenu auteur présumé de violences légères.
    Peut-on aussi parler d’un cas avéré de racisme anti-blanc ? Avez-vous plaidé en ce sens ?
    Les mots parlent d’eux-mêmes : l’un des prévenus a clairement menacé Madame LETERME en ces termes : « on va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on va vous trancher la gorge à toi et à ta fille ». Il ne s’en est même pas caché, tenant ces propos devant le policier qui protégeait Madame LETERME. Ce n’est pas la première fois. La famille LETERME avait déjà déposé deux mains courantes pour ce type de menaces ouvertement racistes.
    S’agit-il d’un fait divers ou d’une affaire politique qui dépasse le simple cadre juridique ?
    Il ne s’agit pas d’en faire une affaire politique, mais de constater que dans certains quartiers, il existe des cas avérés de racisme anti-blanc, où des habitants sont de fait ostracisés voire violentés parce qu’ils n’appartiennent pas à la communauté majoritaire. Cette affaire est assez topique : le lendemain, il y avait eu un article dans la presse locale, où il était expliqué en gros que c’est la famille LETERME qui n’avait pas su s’intégrer.
    Mais cette affaire est tout aussi emblématique d’une curieuse façon de traiter les victimes : après le traumatisme que cette famille a vécu, il est à peine croyable que le parquet ait eu l’idée de poursuivre la victime, qui n’a fait que se défendre. La victime, un père de famille sans histoire, s’est retrouvée sur le banc des accusés au même titre que ses agresseurs aux casiers judiciaires déjà très chargés (l’un d’entre eux avait déjà 11 condamnations à son casier et les autres de 3 à 6).
    Que nous révèle selon vous cette affaire de la société française ? 
    Une propension inquiétante à l’inversion des rôles (victime/agresseur) et à l’aveuglement devant certaines réalités (les blancs sont aussi victimes de racisme). Il ne faut pas généraliser, mais ces réalités sont pourtant vécues dans notre pays, elles arrivent devant nos tribunaux. Elles restent pourtant largement sous estimées voire niées dans la pensée unique officielle et dans les grands médias.
    Quelle décision les juges ont-ils rendu dans ce dossier ?

    Deux peines de prison ferme (6 mois et 2 mois) sachant  qu’en dessous de deux ans ferme, la peine est systématiquement aménagée, et 8 mois de sursis simple pour le troisième. Quant à mon client M. LETERME, à la fois victime et poursuivi pour violence légères, le Procureur a tout de même requis une peine de 1500 Eur d’amende contre lui ! Heureusement le tribunal ne l’a pas condamné. Il a été relaxé, car la poursuite le concernant était prescrite (simple contravention de violence légère, qu’il contestait au demeurant). Quant aux dommages et intérêts, ils s’élèvent en tout, pour la famille LETERME, à 7.800 euros pour tous les préjudices confondus pour les trois victimes (les parents et la petite fille de 12 ans). C’est sans aucune commune mesure avec le drame qu’ils ont vécu, et qui a changé leur vie puisqu’ils ont dû tout quitter, leur logement, leur région et même leur travail.

  • Obligés de fuir leur quartier parce que blancs : gros plan sur une famille victime d’un racisme qui n’intéresse pas les médias

    Entretien réalisé par Atlantico :

    Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d’injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l’aide de la police et ont porté plainte. Monsieur LETERME s’est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu’il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l’avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public.

    Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu’elle n’appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s’est-il passé exactement ?

    Stéphane Maitre : Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.

    Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ?

    Parce que la famille LETERME va se retrouver doublement victime, et veut témoigner d’une incroyable injustice : malgré l’agression violente dont il a été victime, M. LETERME s’est retrouvé lui aussi sur le banc des accusés, poursuivi à côté de ses agresseurs pour un prétendu coup de poing qu’il aurait donné pendant la bagarre, alors qu’il n’a fait que se débattre comme il pouvait pour se défendre contre huit personnes qui le rouaient de coups. Sous prétexte que l’un des agresseurs s’était fait délivrer un certificat médical de son médecin traitant et avait déposé plainte (deux jours après les faits), le parquet n’a rien trouvé de mieux que de convoquer M. LETERME, non seulement en tant que victime (ce qui était la moindre des choses), mais également en tant que prévenu auteur présumé de violences légères.

    Peut-on aussi parler d’un cas avéré de racisme anti-blanc ? Avez-vous plaidé en ce sens ?

    Les mots parlent d’eux-mêmes : l’un des prévenus a clairement menacé Madame LETERME en ces termes : « on va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on va vous trancher la gorge à toi et à ta fille ». Il ne s’en est même pas caché, tenant ces propos devant le policier qui protégeait Madame LETERME. Ce n’est pas la première fois. La famille LETERME avait déjà déposé deux mains courantes pour ce type de menaces ouvertement racistes.

    http://www.contre-info.com

  • J’ai fait un rêve : Un nouveau président règle le problème de l’immigration

    Quels changements pour y parvenir ?
    Semaine d’émeutes raciales en Suède. Assassinat d’un militaire britannique par un islamiste. Tentative de meurtre d’un soldat français en mission Vigipirate sur l’Esplanade de la Défense. Emeutes du Trocadéro. La présence en Europe d’une immigration inassimilable pose des problèmes gravissimes. Par son geste sacrificiel, l’historien Dominique Venner a voulu réveiller les « consciences endormies ». Dans le texte qui suit, Henry de Lesquen expose les changements nécessaires pour interrompre les flux migratoires. La lucidité exige la radicalité.
    Polémia.

    Je ne me prends pas pour Martin Luther King. Mais j’ai fait un rêve : les Français avaient élu à la tête de l’Etat un homme qui partageait nos convictions. Et je voudrais vous raconter ce qui s’est passé dans mon rêve.

    Premier acte : réforme de la constitution
    Dès qu’il prend ses fonctions, le nouveau président désigné par le destin pour sauver la France entreprend de grandes réformes pour régler le problème de l’immigration dans des conditions moralement et humainement irréprochables, comme le dit la devise de l’association Voix des Français (www.vdfr95.com). Son premier acte est de modifier la constitution par référendum pour que le peuple français recouvre l’exercice de la souveraineté.
    D’abord, il est stipulé que la loi française l’emporte sur les dispositions des traités et les normes du droit international, fût-il européen. Il n’est donc plus question que nos lois subissent la censure de la cour de justice de l’Union européenne ou de la Cour européenne des droits de l’homme. Tout juge qui prétendrait le contraire se rendrait coupable de forfaiture (crime qui est réintroduit dans le code pénal).
    Ensuite, l’usage du référendum est consacré et généralisé. Toute loi votée par le Parlement peut être soumise à référendum par le président de la République. Un référendum d’initiative populaire a lieu pour toute proposition de loi présentée par 1% du corps électoral.
    Il est expressément stipulé que la loi adoptée par référendum ne peut être censurée par le Conseil constitutionnel ni par aucun autre juge, puisqu’elle émane directement du peuple.
    Enfin, toute décision du Conseil constitutionnel peut être cassée ou réformée par décision du président de la République, lequel soumet sa décision à l’approbation du peuple par référendum ou à celle du Parlement réuni en congrès et votant à la majorité qualifiée.

    Second acte : grande loi sur l’immigration
    Le second acte du président de la République est de soumettre au peuple, par un nouveau référendum, une grande loi sur l’immigration, qui comporte huit volets :
         – Primo, la législation antiraciste est abrogée en vue de rétablir non seulement la liberté d’expression, mais aussi l’indispensable liberté de discrimination ;
        – Secundo, la préférence nationale est instituée dans tous les domaines : emploi, prestations sociales, logement… ;
        – Tertio, les contrôles aux frontières sont rétablis, le Traité de Schengen dénoncé ;
        – Quarto, le droit de la nationalité est réformé, pour que ne subsistent plus que deux voies d’accès à la nationalité française : le jus sanguinis, droit du sang, pour les enfants de parents français ; et la naturalisation par décret après vérification de l’assimilation du candidat. En outre, le gouvernement est chargé de réexaminer le statut des millions de Français de papier et invité à les déchoir de la nationalité française en cas d’indignité, de binationalité ou de défaut d’assimilation ;
        – Quinto, le droit de séjour des étrangers est réformé. Ceux-ci sont tous tenus de demander une autorisation de séjour, qui leur est accordée discrétionnairement et pour un temps déterminé. Elle peut leur être retirée à tout moment, sans qu’aucun juge ait qualité pour s’y opposer. L’immigration étant désormais considérée comme une faveur révocable ad nutum, toutes les dispositions qui faisaient obligation à la France de recevoir un étranger sont déclarées nulles et non avenues, sans exception, notamment le droit d’asile et le regroupement familial, mais aussi les règles de l’Union européenne dont bénéficient les ressortissants de pays membres, comme les Romanichels venus de Roumanie ou d’ailleurs ;
        – Sexto, tout étranger peut être expulsé de France par simple arrêté préfectoral, lequel est considéré comme un acte de gouvernement et ne peut être contesté devant les tribunaux. L’étranger peut être mis en détention administrative ou relégué dans une partie du territoire français dans l’attente de son expulsion, à moins qu’il ne parte de lui-même ;
        – Septimo, l’immigration illégale est réprimée. Les soi-disant « sans-papiers » sont des délinquants passibles d’un an de prison en vertu de la loi qui était déjà en vigueur avant l’élection du nouveau président (article L. 621-1 du Code des étrangers). Ils ne sont pas poursuivis, sauf exception, à la première interpellation, mais mis en détention administrative avant leur expulsion. Condamnés par le tribunal correctionnel, ils sont effectivement emprisonnés s’ils récidivent en revenant en France et sont ensuite expulsés après avoir exécuté leur peine de prison ;
        – Octavo, les immigrés illégaux ne bénéficient plus d’aucune aide. Ces hors-la-loi ne peuvent plus recevoir la moindre aide publique, sous quelque forme que ce soit (allocations, logement, école, soins…). L’Aide médicale d’Etat est supprimée. En outre, les particuliers qui leur fournissent un emploi, un logement ou une assistance quelconque, ne serait-ce qu’en s’abstenant de les dénoncer à la justice, sont systématiquement poursuivis par le procureur de la République pour complicité ou recel de preuves. Les associations ou organisations qui viennent en aide aux immigrés illégaux sont dissoutes par décret.
    Départ de deux millions d’immigrés en cinq ans
    Les progrès sont alors très rapides sur le front de l’immigration. Les immigrés illégaux sont nombreux à quitter la France d’eux-mêmes, n’y trouvant plus ni assistance ni emploi ni logement. S’ils restent, ces hors-la-loi sont mis en détention aussitôt qu’ils sont interpellés, avant d’être expulsés manu militari ou relégués en Guyane si aucun pays n’accepte de les accueillir.
    Les immigrés en règle sont obligés de s’en aller quand leur autorisation de séjour est expirée ou si elle est rapportée. Sinon, ils rejoignent les rangs des immigrés illégaux, avec toutes les conséquences que cela implique.
    Grâce à cette politique de salut public, le nouveau président réussit à faire partir de France deux millions d’immigrés en cinq ans. Le rêve !
     Henry de Lesquen,
    Président de Voix des Français
    27/05/2013 http://www.polemia.com
     Cet article, publié dans Voix des Français n° 128 de novembre 2010, a été modifié le 27 mai 2013.

  • Allocations familiales françaises : maintenant c’est priorité aux Algériens !

    PARIS (NOVOpress) – Tous les médias s’accordent à le dire, la loi sur le mariage homo passée, la réforme des allocations familiales sera pour le gouvernement le prochain gros dossier chaud à traiter.

    Pour soi-disant rétablir l’équilibre financier de la branche famille, et trouver un milliard d’euros dès 2014, le gouvernement a plusieurs scénarios en main.

    Scénario envisagé : toujours plus à gauche
    Il a promis que ces décisions seront prises au nom d’une « justice sociale » accrue dans les prestations versées et seront complétées par des mesures «sur la petite enfance et l’accueil dans les crèches».

    Mais pour faire des économies, le gouvernement devrait adhérer au scénario préconisé par le rapport que lui a remis le président du HCF, Bertrand Fragonard, qui propose de mettre à contribution les ménages les plus aisés, en diminuant par exemple les allocations pour les ménages de deux enfants gagnant environ 5.000 euros par mois et à les diviser par quatre au-delà de 7.100 euros. En bref, la solution de facilité et la plus politiquement correcte, comme à l’accoutumée .

    Rééquilibrer les comptes par des économies, en taxant les foyers français « aisés », en temps de crise et de récession, cela peut toujours se discuter, mais ce que l’on sait moins c’est qu’une décision de la Cour de cassation en séance plénière du 5 avril dernier étend l’accès à ces aides pour les enfants algériens, y compris ceux nés à l’étranger !

    On nous aurait menti ?En effet, depuis cette date, tout parent algérien peut toucher des allocations familiales en France, au titre de ses enfants, nés en Algérie, et qui décideraient de rejoindre la France. Une information qui fait désormais le « buzz » au sein de la classe politique française, depuis sa révélation par l’hebdomadaire Valeurs actuelles.

    Selon le magazine, “l’Europe impose à la France d’étendre le bénéfice de sa politique familiale à tous les enfants d’immigrés, mêmes nés à l’étranger.” Nous pouvons à nouveau remercier l’Union européenne, car sa circulaire en question précise qu’un “ressortissant algérien résidant légalement dans un État membre doit être traité de la même manière que les nationaux de l’État membre d’accueil” et particulièrement en ce qui concerne “l’octroi d’une prestation sociale”.

    Que ce ressortissant ait cotisé ou non, quelle différence ? D’autant que dans une logique d’« égalité » sociale, on ne voit pas pourquoi cette mesure ne serait pas étendue aux autres nationalités.

    Une véritable reconnaissance de la polygamie
    En effet, cette décision enterre la loi Pasqua de 1993, qui stipulait qu’”un ressortissant étranger qui vit en état de polygamie” ne pouvait alors pas obtenir de carte de résident de 10 ans ainsi que de faire bénéficier plus d’un conjoint du regroupement familial.

    Dans son article, Valeurs actuelles nous rappelle l’affaire tout à fait significative de Lies Hebbadj, un islamiste poursuivi en 2012 pour polygamie et escroquerie aux aides sociales et qui aujourd’hui ne devrait plus connaître de problèmes… On estime d’ailleurs à 80.000 le nombre de pères dans le cas de ce cher M. Hebbadj, d’après le ministère de l’Intérieur.

    Pour les Algériens polygames vivant en France, mais dont l’une des compagnes réside en Algérie, il suffira de faire venir celle-ci et de la déclarer comme parent célibataire pour que tous les enfants de cette « famille » aient droit à leur part du gâteau financé financé par vos impôts.

    Cette nouvelle risque de faire tâche, alors que Flan-Flan déclarait, il y a deux semaines encore, que les allocations familiales baisseraient bien, et à partir de 5.000 euros de revenus. Elle devrait surtout créer un véritable appel d’air pour inciter une nouvelle forme d’immigration massive.

    Voilà donc où seront réinvesties ces économies sur le pouvoir d’achat des familles françaises : poursuivre plus que jamais la logique du Grand Remplacement.

    Julien Lemaire http://fr.novopress.info

  • Attentats islamistes de Londres et de La Défense : ouvrons les yeux !

    COMMUNIQUÉ de Jacques MYARD, Député de la Nation, Maire de Maisons-Laffitte, Président du Cercle Nation et République

    Le lâche attentat des islamistes contre un soldat britannique à Londres va peut-être enfin ouvrir les yeux aux naïfs anglais et autres qui prônent la tolérance envers les extrémistes religieux et leur garantissent la liberté d’expression.
    Le « Londonstan » récolte malheureusement les fruits de son aveuglement. Dans un monde devenu totalement transnational, sans frontières, il faut désormais que l’on sache que les assassins islamistes sont une cinquième colonne présente dans toutes les banlieues d’Europe.
    Nous devons en tirer toutes les conséquences sur le plan juridique, au regard de la nationalité et des procédures de déchéance, mais aussi sur le plan des dérives communautaires qui ne peuvent plus être tolérées
    La naïveté qui est la nôtre face aux djihadistes est dramatique, elle doit cesser. Regardons les réalités en face, sinon le pire demain est à redouter, c’est la guerre civile qui nous attend.
     
    Agression contre un militaire en patrouille Vigipirate : la preuve par les faits !
    Il ne s'agit pas de tirer des conclusions hâtives et définitives, avant que l'enquête n'établisse les faits avec une parfaite objectivité, mais il n'en demeure pas moins que l'agression perpétrée au cutter contre un militaire en patrouille Vigipirate à la Défense rappelle tragiquement le mode opératoire des événements de Londres.
    Les dérives croissantes d'intégristes islamistes qui s'auto fanatisent sur les réseaux et sites internet sont devenues en France une réalité funeste, comme le souligne le rapport de la commission d'enquête de l'Assemblée Nationale sur le fonctionnement des services de renseignements dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés, à laquelle J.Myard a participé activement.
    Il y a quelques jours certains bons esprits m'ont accusé d'extrémisme alors que je dénonçais notre naïveté face à la montée de l'islamisme djihadiste présent en France et qui constitue une véritable cinquième colonne, ces bons esprits aveugles et irresponsables auront dès lors ainsi tout loisir de réviser leurs jugements irresponsables !
    Cette situation appelle une révision totale de notre politique en matière de contrôle de nos frontières, Schengen doit être révisé, notre politique de naturalisation doit aussi être revue.
    La France est grande et généreuse mais on ne saurait admettre sur notre sol des appels à la haine voire au Jihad.
    Le temps de la naïveté imbécile est révolu car il faut savoir que le temps des terroristes assassins ne fait que commencer !
  • L’Europe l’a décidé : ce sera les “allocs” pour tous…

  • Zemmour : «Les Suédois ont leur Villiers-le-bel, les Anglais leur Mohamed Merah»

    Eric Zemmour et « l’axe Paris-Londres-Stockholm » (RTL, 24 mai 2013)

    « Et si le multiculturalisme c’était la guerre ? »

  • Depuis six jours, la Suède connaît d’impressionnantes nuits d’émeutes raciales


    STOCKHOLM (NOVOpress/Kiosque Courtois) –
    Tout a commencé dimanche dernier à Husby, dans la banlieue de Stockholm, par la mort d’un immigré africain tué par la police alors qu’il menaçait des passants avec une machette. Depuis dimanche, chaque soir, des affrontements opposent racailles et forces de l’ordre, des voitures sont brûlées, des magasins pillés, des équipements publics incendiés, des commissariats attaqués.

    Dans la nuit de vendredi à samedi les émeutes se sont étendues à plusieurs autres villes suédoises. En 2010, Stockholm avait déjà été touchée par des émeutes similaires. Un habitant du quartier de Kista déclare : « J’ai peur que cela s’aggrave. Cela va devenir comme en France. ».

    Le président du parti populiste, le parti des Démocrates suédois, explique : « Jamais auparavant on n’avait dépensé autant d’argent qu’aujourd’hui dans les banlieues à forte population d’immigrés : des bibliothèques flambant neuves et des maisons de la jeunesse qui ont des horaires d’ouverture généreux ».

    Près de 15 % de la population suédoise est d’origine extra européenne — la proportion la plus élevée de tous les pays scandinaves. Trocadéro, Londres, Stockholm, etc. sous des formes différentes, il s’agit de la même conséquence d’une immigration incontrôlée et incessante.

    Ci-dessous, sous-titrage en français de la dernière partie de la vidéo en Une de cet article. Une journaliste qui ne se cache pas derrière le politiquement correct.

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  • A Stockholm, les violences ethniques continuent

    Vidéo en suédois, avec quelques éléments sous-titrés en anglais.

    STOCKHOLM (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - Entre mardi et mercredi [ainsi que la nuit dernière, note de Novopress], pour la troisième nuit consécutive, se sont déroulées des violences dans la banlieue de Stockholm, où vivent de nombreux immigrés. Une trentaine de voitures ont été incendiées, ainsi qu’une école et une crèche. Plusieurs personnes ont été arrêtées.

     

     

    Les émeutes, qui ont débuté dimanche soir dans le quartier de Husby, seraient liées à la mort d’un homme abattu par des policiers qu’il avait menacés avec une machette. Le Premier ministre, Fredrik Reinfeldt, a déclaré : « Que chacun [devait] prendre ses responsabilités pour rétablir le calme ». « Il est important de se rappeler que brûler la voiture de son voisin n’est pas un exemple de la liberté d’expression… »

     

    De son côté, un habitant du quartier de Kista déclare : « J’ai peur que cela s’aggrave. Cela va devenir comme en France. »

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