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immigration - Page 1456

  • Tribalat, la démographe rebelle

    Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie.

    Ces Yeux grands fermés  appartiennent-ils à ceux qui ne peuvent pas voir ou à ceux qui ne veulent pas voir ?

    Insuffisance de l'appareil statistique français

    Michèle Tribalat a donné ce titre énigmatique à son livre (1) par allusion au film de Stanley Kubrick Eyes Wide Shut (1999), dont l'intitulé l'avait marquée. Dans cette fiction, à partir d'un fantasme amoureux, les personnages naviguent entre rêve et réalité. Cet écart entre le réel et l'illusoire, Tribalat le vit à propos de son objet d'étude : l'immigration en France. Les uns déplorent qu'il y ait beaucoup d'immigrés, d'autres s'en réjouissent, mais tous réagissent subjectivement. Or, Michèle Tribalat, incriminant « l'insuffisance de l'appareil statistique français pour étudier l'immigration et les populations d'origine étrangère », voudrait que cet enjeu de société soit discuté à partir de faits vérifiés et quantifiés, et non d'impressions. Cela fait plus de trente ans qu'elle se penche sur la question.

    Dans les années 70, après des études d'économétrie, elle s'oriente vers la démographie. En 1976, elle est recrutée par l'Institut national d'études démographiques (Ined), dont le conseil scientifique veut pousser la recherche sur les flux migratoires : ce sera son domaine d'activité. « Pendant longtemps, se souvient-elle, j'ai travaillé loin de tout écho médiatique. » A la fin des années 80, ayant pris la tête d'une enquête sur les comportements des immigrés et de leurs descendants, elle met en place un outil prenant en compte l'« appartenance ethnique », définie à partir de la langue maternelle, et l'« origine ethnique », fondée sur le lieu de naissance des individus et de leurs parents. Cette référence aux origines, contraire à la pratique des organismes officiels français, ne va pas sans opposition pour obtenir les renseignements nécessaires, mais la publication des résultats, en 1995, ne rencontre pas de difficultés.

    « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme »

    Le coup de tonnerre arrive trois ans plus tard, quand Hervé Le Bras, un chercheur attaché à l'Ined, lance la charge. « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme », clame-t-il dans Le Démon des origines. Dans cet essai, Le Bras accuse les méthodes de Michèle Tribalat de conduire à la notion de « Français de souche » et, partant, à la « xénophobie ». L'affaire se traitera en justice et amènera l'intéressée à se justifier : une partie de l'opinion regardant comme étrangers des gens qui sont français, le critère de la nationalité ne suffit pas, en science sociale, pour élaborer des remèdes aux réflexes discriminatoires. En somme, comme aux Etats-Unis ou dans de nombreux pays européens, les données ethniques devraient jouer un rôle dans la conception d'une politique d'accueil des migrants. A la même époque, Michèle Tribalat publie, avec Pierre-André Taguieff, un livre destiné à contrer le Front national. Mais rien n'y fait, elle est désormais suspecte aux yeux des bien-pensants. Aujourd'hui, dénonçant « l'antiracisme idéologique (qui) structure l'expression savante et ordinaire sur l'immigration », elle ironise : « Travailler sur l'immigration, c'est partir en mission contre ceux qui pensent mal, mais aussi, pour faire bonne mesure, contre ceux qui doutent. » Nommée au Haut Conseil à l'intégration, elle en démissionne en 2000, reprochant à cette instance de faire le jeu des islamistes. En 2002, avec Jeanne-Hélène Kaltenbach, elle fait paraître La République et l'islam, où l'action des fondamentalistes musulmans est mise en cause. « Pourrions-nous publier un tel livre maintenant ?, s'interroge-t-elle. Nous avons tellement perdu de liberté d'expression sur le sujet. Quand on pense que le livre de Christopher Caldwell (2) ne trouve pas d'éditeur en France... » 

    Placardisée hors unité et sans budget

    Directrice de recherche à l'Ined, Tribalat travaille chez elle, hors unité et sans budget. Autrement dit, elle est placardisée. « Mes articles ne sont même pas cités par les publications de la maison », déplore-t-elle. Avant d'ajouter, comme pour conjurer la tristesse : « Mais je vis très bien comme cela. Après la décennie que je viens de traverser, je suis de fer. » Les Yeux grands fermés n'a rien d'un pamphlet. L'auteur donne les vrais chiffres de l'immigration, soulignant une « très forte croissance après 1996», et considère les effets économiques et démographiques du phénomène. Ce sont des pages nourries de chiffres, un peu arides. La lecture coule mieux quand Tribalat explique comment les droits de l'homme se mettent au service d'une vision du monde où tout devrait s'ordonner aux courants migratoires, jugés inéluctables et bénéfiques par principe. Ou encore quand la démographe analyse le climat idéologique dans lequel s'élaborent les discours sur l'immigration à partir des sondages sur le racisme commandés par la Commission nationale consultative des droits de l'homme. Mais Michèle Tribalat se veut une scientifique : il est difficile de lui tirer un commentaire qui échappe à sa spécialité. Elle n'a pas aimé le débat sur l'identité nationale, pour une raison de forme, parce qu'elle croit que ce genre d'initiative ne doit pas relever de l'Etat. Quant au fond, le concept d'identité ne la choque pas. Elle consent d'ailleurs à observer que le multiculturalisme a conduit à répudier le concept d'assimilation, alors que l'assimilation, précisément, « fait partie de l'identité nationale française ».

    Paru aux Etats-Unis en juillet 2009, l'ouvrage du journaliste Christopher Caldwell, Reflections on the Revolution in Europe : Immigration, Islam, and the West (2) est consacré à la progression de l'islam en Europe et à ses conséquences sur la cohésion politique et culturelle du continent. L'auteur, rédacteur en chef du Weekly Standard et chroniqueur au Financial Times, est un libéral.

    Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie. Tribalat, la démographe rebelle.

    Jean Sevillia http://www.polemia.com

    Le Figaro Magazine

    26/03/2010

    Notes de la rédaction :

    (1) Michèle Tribalat, LesYeux grands-fermés (l'immigration en France), Editeur : Denoël, Collection Médiations, mars 2010, 300 p.

    (2) Un livre qui devrait faire scandale

  • Discours de François Hollande à Alger : la France triplement condamnée !

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Le discours de François Hollande à Alger pose les bases d’un avenir extrêmement malsain entre la France et l’Algérie.

    Il condamne triplement notre pays, l’abaissant encore un peu plus sur la voie de la repentance d’abord, de l’immigration massive ensuite et des délocalisations enfin.

    Si François Hollande se défend de tomber dans la repentance, c’était pourtant l’exacte tonalité de son discours, un discours qui a revisité l’histoire dans le sens d’une violente charge contre la France. Rien sur les aspects positifs de la colonisation, rien non plus sur les crimes algériens contre les harkis, mais une nouvelle dépréciation systématique de notre pays, de notre histoire et de notre peuple.

    Parce que nous nous montrons faibles face au pouvoir algérien, les prochaines revendications ne tarderont pas, et très vite il sera demandé à la France des excuses officielles. La France doit au contraire se tourner vers l’avenir et regarder avec lucidité mais fierté son passé.

    En matière d’immigration, François Hollande veut encore accélérer la course aux visas, alors que 200 000 sont déjà accordés chaque année par l’ambassade de France à Alger !

    NPI

  • En Angleterre aussi, « le grand remplacement » de population est en marche

    Polémia a publié, il y a peu, trois papiers sur ce thème de la diversité des populations en Angleterre. On en trouvera les références en fin d’article. Marc Leroy nous a adressé une étude fouillée sur l’amplification d’une immigration massive extra-européenne qui, comme l’a si bien démontré Christopher Caldwell dans son livre Une révolution sous nos yeux, nous amènera à des changements irréversibles et au pire à la disparition de notre civilisation ancestrale. Nos lecteurs trouveront avec cette étude un complément utile à ce dossier.
    Polémia

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    Le lecteur assidu de La Plume à Gratter le sait, l’écrivain Renaud Camus, devenu un paria du monde des lettres suite à ses diverses prises de positions politiques et sociétales (et notamment son ralliement à Marine Le Pen lors de la dernière élection présidentielle qui lui valut de se faire jeter comme un chien par sa propre maison d’édition), dénonce depuis des mois et des mois, et avec une obstination et une conviction presque suicidaires, ce qu’il appelle « le grand remplacement », à savoir l’immigration massive extra-européenne qui selon lui entraîne et entraînera inévitablement toujours plus de changements, de modifications radicales dans la structure sociétale, culturelle, religieuse et pourquoi avoir peur de l’écrire, ethnique de notre pays (lien vidéo et lien article de son discours d’Orange).

    Que l’on partage ou non l’intégralité de sa thèse et de son argumentation, nul honnête homme ne devrait pouvoir contester qu’il évoque de fait, avec ses mots à lui et avec son inquiétude extrême, un vrai débat de fond, un phénomène majeur de notre temps, un véritable sujet de société qu’il serait capital d’aborder avec rigueur et munis de chiffres fiables, de vrais états des lieux, de réelles projections pour les années à venir, afin d’avoir tout simplement une possibilité de choisir démocratiquement – et en toute connaissance de cause – l’avenir que nous souhaitons pour notre pays.

    Les anglo-saxons ont bien des défauts qui nous hérissent le poil à nous autres français (souvent à raison, parfois aussi à tort) mais ils ont au moins deux qualités, absolument essentielles en démocratie, et qui aujourd’hui nous manquent cruellement :

    1. La liberté d’expression est un droit bien réel chez eux, et non un mot creux qui envoie les « mal-pensants » au tribunal comme c’est aujourd’hui le cas en France (merci à SOS Racisme, au MRAP, à l’UEJF, à Gayssot et autre Taubira).
    2. Ils n’ont pas l’habitude de se cacher derrière leur petit doigt pour regarder la réalité en face (pour ce qui est éventuellement de la combattre, c’est bien-sûr une autre histoire). C’est ainsi que, par exemple, les statistiques ethniques ne sont pas le moins du monde interdites aux USA ou en Grande Bretagne : elles y sont même régulièrement effectuées et mises à jour.

    Du coup, les Britanniques savent – eux – à quelques années d’intervalle vers quel avenir se dirige leur pays. Un grand recensement est ainsi réalisé par l’Office national des statistiques une fois tous les dix ans en Angleterre et au Pays de Galles. Le dernier en date a eu lieu en 2011, et les résultats viennent d’en être révélés. C’est The Guardian qui ce mardi nous a dévoilé les premiers chiffres de cette gigantesque enquête effectuée à l’aide d’un questionnaire envoyé à plus de 26 millions de foyers anglais et gallois en mars 2011. Nombre de ces chiffres ont ensuite été repris par la très grande majorité de la presse anglaise, moins prude à aborder les sujets qui fâchent que nos chers « merdias » français. Un recensement effectué en mars 2011 on l’a dit, soit il y aura donc bientôt près de deux ans… La photographie sociétale qu’il dresse est donc d’ores et déjà obsolète, étant donné la rapidité effarante de la mutation de population qu’il nous révèle. Mais regardons-y tout de même de plus près.

    Que disent ces chiffres ? Notamment que la proportion des personnes nées hors du Royaume-Uni mais y résidant (immigrées donc) a augmenté de plus de 50 % par rapport à 2001, portant par exemple le nombre officiel d’étrangers (évidemment très inférieur à la réalité du fait de l’immigration clandestine de masse) à 7,5 millions, soit 13,4 % de la population. La communauté indienne est largement la plus représentée, mais on peut notamment constater une explosion de l’immigration polonaise (+ 500 000 par rapport à 2001) : une raison de plus pour la Perfide Albion de crier « vive l’Europe » !

    Les blancs d’ores et déjà minoritaires… A Londres !

    Si la population « blanche » était majoritaire à 91,3 % en 2001, elle ne l’est plus qu’à 86 % en 2011. A ce rythme, la balance arrivera à la parité des populations « blanche » et exogène dans à peine une cinquantaine d’années. Le journal The Independent relève même pour sa part qu’aujourd’hui, seuls 44,9 % des Londoniens sont blancs, pour un total passé de 4,3 à 3,7 millions en dix ans (- 600 000), ce qui fait de la capitale britannique aujourd’hui la première région du pays où les Blancs sont désormais minoritaires !

    L’Islam en conquête, le Christianisme en chute libre

    Sur le plan religieux, l’étude de l’Office national des statistiques est également très révélatrice des tendances de l’époque. Même si le christianisme demeure la première religion, avec 33,2 millions de fidèles (59 % de la population) c’est bien le seul culte à avoir perdu massivement des adeptes (près de 4 millions). L’islam avec ses 2,7 millions de représentants est en pleine expansion, on devrait plutôt dire explosion (+ 40 %, soit un million de fidèles supplémentaires en 10 ans !). L’athéisme croît également fortement (6 millions de britanniques de plus qu’en 2001 se déclarent non-croyants), soit un quart de la population. The Guardian rapporte dès lors que les chrétiens devraient être minoritaires en Grande Bretagne dès 2018.

    Le recensement britannique met ainsi à jour un bouleversement sociétal majeur, un mouvement de transformation de la population d’une ampleur et d’une rapidité proprement sidérantes. Les conséquences bien que se faisant dès à présent sentir, ne peuvent évidemment que s’amplifier très fortement, et sans doute dramatiquement sur bien des plans (unité nationale, droits des femmes, laïcité) dans les années à venir. Il n’est pas sûr et on devrait hélas même écrire « il est peu probable » que les autorités compétentes en tirent les leçons qui s’imposent et déclenchent alors la mesure ad minima qui apparait pourtant comme étant évidente et urgente à tout esprit un tant soit peu raisonnable devant un tel constat : l’arrêt immédiat et total des flux migratoires aujourd’hui en action, voire plus encore l’amorce d’une inversion de ceux-ci. La prise de conscience des « élites » britanniques qui vivent ce phénomène de très, très loin, dans leurs quartiers protégés, dans leurs « ghettos de riches » n’aura donc sans doute pas lieu. Mais au moins, les citoyens britanniques savent à présent -s’ils daignent encore simplement s’informer- ce qui les attend à très brève échéance : une modification radicale et définitive de leur mode de vie, de leur identité, de leur culture, de leur Nation. En France, les statistiques ethniques sont interdites…

    En France, dans les médias bien-pensants de tous bords, sur les radios, sur les plateaux de télévision (comme dernièrement sur celui de Frédéric Taddeï), il est de bon ton d’insulter, ridiculiser, et même criminaliser Renaud Camus, et sa définition de ce qu’il appelle « le grand remplacement ». Nul doute donc que nos chers médias, nos très belles âmes, nos zélés censeurs de la liberté d’expression ne feront pas un grand écho aux révélations terrifiantes à court et plus encore à moyen terme de ce grand recensement britannique, et qu’ils feront tout, et jusqu’au bout, pour empêcher que de telles statistiques ethniques puissent simplement exister un jour en France. Au nom de la générosité, de l’antiracisme et des bons sentiments, bien entendu ! Il n’est de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, et chacun sait bien que la meilleure façon de vaincre une mauvaise grippe, c’est bien évidemment de casser le thermomètre !

    Un jour prochain – demain déjà peut-être – grâce à eux et à cause de notre passivité, de notre résignation, de notre silence, il sera tout simplement trop tard… Le destin qui nous est tracé ne vous rappelle rien ? C’est pourtant rigoureusement celui du Kosovo, le berceau historique de la Serbie. Un destin qui s’est scellé en à peine soixante dix ans. Ni plus, ni moins.

    Marc LEROY http://www.polemia.com
    La Plume à Gratter
    12/12/2012

  • Aubry et la « préférence étrangère » (arch 2009)

    La pseudo-fermeté gouvernementale en matière de politique d'immigration n'est qu'un trompe-l'œil En réalité, tout est est mis en œuvre pour faciliter et encourager l'arrivée de nouveaux étrangers dans notre pays. La preuve ...
    Si Martine Aubry impose 2,7 milliards de francs d'économies aux professions de santé, surtout aux pharmaciens et aux radiologues, c'est parce qu'il lui faut bien financer les mesures prises en faveur des étrangers, notamment celle qui consiste à les faire bénéficier de l'allocation d'adulte handicapé (AAH), jusque là exclusivement réservée aux ressortissants français.
    Ainsi le 10 juin dernier, une lettre de la caisse nationale des allocations familiales, avisait les services régionaux que la loi n° 98-349 du 11 mai 1998, étend le droit de l'allocation d'adulte handicapé à l'ensemble des personnes de nationalité étrangère.
    D'un montant de 3471 francs mensuels, cette allocation pourra, désormais, être versée à tous les étrangers : travailleur, ancien travailleur, simple membre de la famille d'un travailleur ou d'un ancien travailleur, isolé, oisif, étudiant, pensionné, retraité, etc.
    « Ces dispositions, précise la lettre, s'appliquent à compter du mois de juin 1998, sans rétroactivité" sauf dans le cas des « Maghrébins, voire des Turcs, (travailleurs, anciens travailleurs ou membre de la famille) qui se seraient vu opposer un refus dans le cadre des accords de coopération CEE Maghreb et Turquie. »
    Seule condition exigée, qu'ils soient en situation régulière et qu'ils puissent produire l'un des titres de séjour suivants : - carte de résident, - carte de résident privilégié, - carte de séjour temporaire, un simple récépissé de demande de renouvellement de l'un de ces titres peut suffire : - récépissé de demande de titre de séjour valant autorisation de séjour d'une durée de six mois renouvelable portant la mention « reconnu réfugié ». - récépissé de demande de titre de séjour portant la mention : « étranger admis au titre de l'asile » d'une durée de validité de six mois renouvelable. etc
    Les mêmes, peuvent faire valoir leurs droits au Fonds de solidarité vieillesse ou à l'allocation supplémentaire du Fonds de solidarité vieillesse, etc.
    Ainsi, des étrangers réfugiés bénéficiant du droit d'asile seront mieux traités qu'un grand nombre de vieillards français, qui ont travaillé toute leur vie mais que leur modeste retraite ne permet pas de vivre décemment.
    Par ailleurs, toujours dans l'optique de rendre notre pays toujours plus attractif aux immigrés, le ministère de l'Emploi et de la Solidarité a décidé de favoriser les étudiants étrangers en leur permettant de trouver plus facilement un emploi.
    Une circulaire du ministère de l'Emploi et de la Solidarité, datée du 9 juillet, les autorise à travailler dès leur première année d'études en France, quel que soit le niveau du cursus suivi. Jusqu'à présent, ils devaient attendre leur deuxième année d'études avant de pouvoir réclamer une autorisation de travail. Dans les faits, cette autorisation peut être refusée par les directions départementales du travail et de l'emploi « si la situation de l'emploi dans la profession et dans la zone (...) y fait obstacle ». Mais Martine Aubry invite ses services à faire preuve « d'une extrême bienveillance », précisant même que les refus devront être «exceptionnels».
    On n'en attendait pas moins d'elle !
    Jean ROBERTO national Hebdo

  • RATP : des musulmans imposent leurs codes dans l’entreprise

    Ce sont des femmes, machinistes ou chauffeurs à la RATP : elles témoignent de la grave détérioration des conditions de travail, causée par certains de leurs collègues musulmans. Situation insupportable couverte par la hiérarchie…

    http://www.contre-info.com/

  • Allemagne : Merkel de la volte-face à la fuite en avant (archive 2010)

    Il serait faux de croire que la chancelière Merkel a annoncé l'échec du multiculturalisme allemand par conviction et avec gaieté de cœur. Angela Merkel a toujours été un serviteur zélé de l'idéologie dominante des vainqueurs de la guerre et de l'antiracisme le plus totalitaire. Son changement de cap a été imposé par des éléments objectifs et une crainte capitale, celle de voir éclater sur l'immigration sa coalition de droite CDU-CSU. Il ne faut donc pas se réjouir trop vite même si cet aveu d'échec est un événement considérable. En effet, en contrepartie, elle paraît proposer une sorte d' "intégration" par l'acceptation de la langue et de la culture germanique, exactement le processus d'intégration qui, lui, a totalement échoué en France.

    LE POIDS DE L'ISLAM
    Elle ne prend bien sûr pas position contre l'immigration et l'islam bien au contraire puisqu'elle affirme dans le même temps que l'islam fait partie de l'Allemagne, elle dénonce simplement-le multiculturalisme. Dénoncer l'échec du culturalisme pour intégrer l'islam, le remède est certes pire que le mal. C'est une fuite en avant des collaborateurs de l'immigration. Le président de la République, Christian Wulff, qui s'est rendu à Ankara a conforté sa récente prise de position sur l'Islam qui « fait partie de l'Allemagne ». Il a invité les Allemands à plus de respect et de solidarité envers les étrangers. Il a estimé le mardi 19 octobre en Turquie que les immigrés turcs exerçaient une bonne influence sur la société allemande tout en appelant les nouveaux migrants à « s'intégrer de façon responsable ». Le président turc, Abdullah Gül, qui a rencontré Wulff mardi, l'a remercié de son soutien apporté aux musulmans d'Allemagne. M. Wulff, le premier président allemand à se rendre en Turquie depuis dix ans, a affirmé que les musulmans jouissaient de la liberté religieuse dans son pays et a demandé aux pays musulmans de faire de même.
    « Nous souhaitons que les chrétiens aient, dans les pays musulmans, les mêmes droits de vivre leur foi au grand jour, de former leur clergé et de construire des églises », a-t-il déclaré dans un discours devant le parlement turc. « La liberté religieuse fait partie de notre conception de l'Europe comme communauté des valeurs », a-t-il ajouté à l'adresse de la Turquie qui est candidate à l'Union européenne. Les minorités religieuses de Turquie, pays presque exclusivement musulman, notamment les Arméniens et les orthodoxes grecs, se plaignent de restrictions concernant l'éducation religieuse et leurs droits de propriété.

    Un missionnaire allemand a été assassiné en 2007 en Turquie et le chef de l'Église catholique turque, Mgr Luigi Padovese, a lui aussi été tué en juin à Iskenderun (sud-est) dans des circonstances obscures. Lors d'une conférence de presse avec son homologue turc Abdullah Gül, M. Wulff a aussi rappelé les liens entre les deux peuples. Sans aller trop loin car effectivement cela pourrait rappeler de fâcheux souvenirs à certains démocrates. Ces propos anatoliens n'auront pas fait faiblir l'impact négatif de ses propos allemands. Moins de quarante-huit heures après ses déclarations, son propre camp d'origine a dénoncé ses propos. Thème des critiques : l'Allemagne est un pays aux racines "judéochrétiennes", pas musulmanes. À partir de ce constat, la droite et l'opinion sont divisées. Car combattre l'islam pour mieux défendre le judaïsme n'est évidemment pas acceptable.

    Le débat en Allemagne si longtemps occulté occupe le devant de la scène. Après le Royaume-Uni et les Pays-Bas, voilà qu'Angela Merkel enterre à son tour le multiculturalisme, grand responsable à son avis de la litanie de difficultés rencontrées sur le front de l'intégration des immigrants en général et des musulmans en particulier. Devant les membres de son parti, les chrétiens-démocrates (CDU), elle a employé des mots plus durs que ceux dont ont usé ses homologues des pays cités. Selon la chancelière, le multiculturalisme a « totalement échoué ».
    On peut se demander ce qui a poussé la chancelière à cet aveu d'échec qui ne sera pas sans conséquence. Au départ du processus il y a une affaire dont nous avons déjà parlé : l'affaire Sarrazin. Thilo Sarrazin, un membre du SPD, publie un livre qui défend l'idée que l'Allemagne court à sa perte à cause de la submersion migratoire et de ses conséquences démographiques et économiques. Dans son livre L'Allemagne se détruit, Thilo Sarrazin écrit que les musulmans minent la société allemande, refusent de s'intégrer et vivent aux crochets de l'État. Sous la pression, ce responsable social-démocrate a dû démissionner de la Bundesbank mais continue de bénéficier d'un large soutien dans les sondages. Il y a eu ensuite les résultats de plusieurs élections montrant une poussée d'un populisme islamophobe en Europe - en Suède et à Vienne pour les votes les plus récents. Enfin est survenu un sondage tremblement de terre qui confirme le soutien d'une majorité de l'opinion aux thèses de Sarrazin.

    UN PAYS ENFIN DÉCOMPLEXÉ SUR L'IMMIGRATION
    Pas moins de 35 % des Allemands jugent que le pays est envahi par les immigrants. Le tiers d'entre eux estiment que compte tenu de l'augmentation du chômage, il faudrait expulser ces étrangers qui en fait sont ici pour profiter du filet social. Près de 60 % souhaitent une restriction des rituels religieux musulmans. Alors qu'Angela Merkel a, depuis longtemps, mis l'accent sur l'intégration des immigrés, ses déclarations sonnent comme un aveu d'échec mais aussi comme la volonté de donner des gages à une base électorale et aux députés conservateurs qui jugent sa politique trop centriste et, vu sa faible popularité, pourraient être tentés de lui trouver un successeur avant même la fin de son mandat, prévue à l'automne 2013.

    Alors que s'est ouverte à Berlin une exposition résolument anti-nazi comme toujours, sur « Hitler et les Allemands », une étude montre qu'environ 12 % des personnes interrogées pensent qu'il vaudrait mieux qu'un « Führer dirige l'Allemagne d'une main ferme pour le bien de tous ». Il faut oser revendiquer cette opinion dans un sondage, on peut penser que cet avis est donc bien plus largement partagé encore. Une Allemagne enfin décomplexée sur le racisme grâce à l'immigration islamiste, cela pourrait en effet changer beaucoup de choses en Europe.
    Herman TRAPIER Rivarol du 5 novembre 2010

  • Marion Maréchal – Le Pen dénonce la dépénalisation du séjour irrégulier

  • Une étude indique l’ampleur du remplacement de population à l’œuvre en France

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) — L’Institut de veille sanitaire, établissement rattaché au ministère de la Santé, a publié en juillet 2012 une étude montrant le pourcentage de naissances en France concernées par le risque de drépanocytose en 2010.

    Cette maladie génétique a pour particularité de concerner quasi exclusivement les populations extra‑européennes, principalement « originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord. »

    La drépanocytose permettrait donc de chiffrer l’ampleur de l’immigration. En 2010, en Ile‑de‑France, par exemple, 60% des naissances étaient considérées à risque (carte ci-dessus). Ces chiffres permettent d’affirmer que 60% des naissances en Ile‑de‑France sont issues de populations extra‑européennes. En comparaison, la précédente étude basée sur les données de 2005 fait état d’un chiffre de 54%, ce qui montre que la proportion de naissances extra‑européennes, déjà énorme, augmente rapidement. Les chiffres des autres régions parlent d’eux‑mêmes. [...]

    Cette étude fournit — partiellement — quelques chiffres fondamentaux de ces fameuses « statistiques ethniques » toujours interdites en France. Ils permettent d’appréhender dans toute son ampleur la réalité effrayante de la substitution démographique actuellement en cours.

    Ce phénomène se constate partout ailleurs en Europe de l’Ouest. Le Royaume‑Uni, par exemple, présente une situation proche de la France. Selon le dernier recensement, en 2011, le pays compte 7,5 millions d’immigrés, en forte hausse en 10 ans, soit 13% de la population. Enfin, moins de 45% des Londoniens sont des Blancs de souche britannique. Ils sont devenus minoritaires dans leur propre capitale…

    Cette immigration massive à un coût non moins massif… Plusieurs travaux ont été effectués sur la question, notamment par la Fondation Polémia, ou par Jean‑Paul Gourévitch pour Contribuables associés, dans une étude intitulée Le vrai coût de l’immigration. Cette dernière montre que l’immigration représente un coût net de plus de 17 milliards d’euros pour la France. Cela signifie que le coût de l’immigration régulière et irrégulière, des politiques d’intégration, des investissements publics en écoles ou en logements, de sécurité, est nettement supérieur à la plus value apportée au PIB par le travail des immigrés.

    Crédit carte Une : Institut de veille sanitaire, via Fdesouche.

    http://fr.novopress.info

  • Recensement : la société britannique est plus diversifiée

    Quelques chiffres issus du « recensement le plus rigoureux » jamais établi en Angleterre et au Pays de Galles ont été dévoilés mardi (infographies du Guardian). Cet inventaire, que produit l'Office national des statistiques tous les dix ans, a été envoyé à plus de 26 millions de foyers anglais et gallois le 27 mars 2011.

    Il montre notamment que la part des personnes nées hors du Royaume-Uni et y résidant a augmenté de plus de 50 % par rapport à 2001, portant le nombre d'immigrés à 7,5 millions, soit 13,4 % de la population (Daily Telegraph). La communauté indienne est désormais la plus représentée, suivi des Polonais (+ 500 000 par rapport à 2001) et des Pakistanais (BBC).

    Blancs minoritaires à Londres

    Si 91,3 % de la population britannique était blanche en 2001, 86 % l'est dix ans plus tard, et The Independent note que 44,9 % des Londoniens sont blancs, passant de 4,3 à 3,7 millions en dix ans, ce qui fait de la capitale britannique la première région du pays où les Blancs sont minoritaires.

    Outre l'amélioration de l'éducation (les diplômés universitaires sont désormais plus nombreux que les personnes n'ayant aucun diplôme), et le déclin du nombre de personnes propriétaires de leur logement (en chute pour la première fois depuis le lancement des recensements, il y a soixante ans), les résultats les plus frappants sont du côté de la foi.

    Même si le christianisme demeure la première religion, avec 33,2 millions de fidèles (59 % de la population), le Financial Time note que c'est le seul culte à avoir perdu des adeptes (près de 4 millions). L'islam a 2,7 millions de représentants (un million de fidèles supplémentaires), et les athées sont 6 millions de plus qu'en 2001, soit un quart de la population (Washington Post). Le Guardian rapporte que les chrétiens devraient être minoritaires en 2018.

    Le Monde.fr
    12/12/2012

    Voir aussi : Le Chiffre : Un enfant britannique sur quatre naît de mère étrangère.

    15/11/2012 http://www.polemia.com