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immigration - Page 1453
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Mieux vaut être étranger sans travailler que Français travaillant
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Appel à la Résistance
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Les racailles qui ont attaqué le RER D à Grigny condamnées à des peines dérisoires
Le tribunal pour enfants d’Évry a prononcé mardi soir des peines dérisoires contre les voyous africains qui avaient participé à une série d’attaques du RER D en gare de Grigny dans l’Essonne.
Cinq jeunes racailles ont été condamnées à des peines de prison avec sursis dont trois à 10 mois, les autres ont reçu de la part du tribunal des avertissements solennels (attention!), une mesure de protection judiciaire ou 70 heures de travaux d’intérêt général. Un prévenu a même été relaxé.
Mieux vaut donc dévaliser un train et agresser ses voyageurs que manifester pacifiquement contre les parodies de mariage entre invertis, les risques judiciaires sont bien moindres…
Ci-dessous un reportage sur le bonheur du « vivre ensemble » dans le RER D :
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Jean-David Cattin : “Le racisme antiblanc existe aussi en Suisse”
GENEVE (NOVOpress) – Gérald Pichon, l’auteur de “Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas”, a rencontré pour NOVOpress Jean-David Cattin, de l’association Les Identitaires et militant identitaire suisse, pour faire le point sur la substitution de population et le racisme antiblanc qui touchent la Confédération helvétique.
- Bonjour Jean-David, tu es l’un des cadres du mouvement identitaire, militant au sein de cette mouvance depuis une dizaine d’années à Genève, tu es donc en première ligne pour assister au phénomène du “Grand Remplacement” dans le canton genevois. Peux-tu nous évoquer, notamment dans les prisons, comment se traduit cette substitution de population ?
Dans les prisons, il y a trois grandes catégories d’étrangers, les étrangers résidant en Suisse légalement ou illégalement et les étrangers résidant en France. Dans la prison de Champ-Dollon, 92% des prévenus sont étrangers, ce qui exclut les naturalisés de fraîche date. Dans la prison de Thorberg qui est destinée à l’exécution des longues peines, on a pu compter jusqu’à 98% de détenus étrangers et plus de 40 nationalités. A Champ-Dollon toujours, près de 60% des détenus sont musulmans. Par ailleurs, 39,2% sont originaires du continent africain. Pour être complet, il faut signaler que la prison est en surcharge de 200%. Ce qui indique mieux que n’importe quelle statistique sur l’insécurité, l’explosion de la violence dans le canton de Genève.A la vue de ces statistiques, il parait complètement hallucinant d’apprendre qu’un seul et unique criminel étranger a été expulsé de Genève durant l’année 2012.
Si l’insécurité à Genève est un problème grandissant, notamment suite à l’ouverture des frontières et une politique d’asile laxiste, le remplacement de population autochtone et l’imposition de normes culturelles non-européennes se font toujours plus importants. On a ainsi pu assister à des demandes de carrés confessionnels dans les cimetières, comme au Grand-Saconnex à Genève mais aussi à la construction de minarets ailleurs en Suisse. Heureusement, la votation pour l’interdiction des minarets est passé par là et il n’est désormais plus possible de construire des minarets. Si ces revendications existent, c’est que la population musulmane a grandi à vu d’œil. Elle est passée de 3.000 en 1960 à plus de 400.000 aujourd’hui, essentiellement d’origine balkanique et turque.
Les 85,1% de la population résidente permanente étrangère en Suisse proviennent d’un pays européen, dont les trois quart de l’UE. En ce qui concerne la population d’origine subsaharienne, elle concerne 2,5% de la population étrangère qui est de près de 2 millions (sur 8 au total). Cela exclu donc les naturalisés, qui sont proportionnellement plus nombreux chez les extra-européens et les clandestins qui sont estimés au nombre de 100.000. Le Grand Remplacement serait donc un terme un peu abusif pour qualifier la situation suisse, toutefois notre pays étant très petit, il peut être beaucoup plus vite submergé qu’un pays avec la profondeur démographique de la France.
- Comme le montre le livre “Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas”, la transformation de la France en société multiraciale et donc multiraciste s’accompagne par l’explosion de la violence à l’égard des Français de souche. En Suisse, selon toi, ce n’est pas le Blanc en tant que tel qui est la cible prioritaire, mais le Suisse, l’autochtone, peux-tu nous parler de cette différence ?
Le racisme antiblanc existe, j’ai même entendu il y a quelques années, pour la première fois en Suisse, quelqu’un se faire traiter de cul-blanc. Cependant, comme expliqué précédemment, il est vrai que les populations étrangères vivant en Suisse sont encore largement majoritairement d’origine européenne. En Suisse vivent d’importantes communautés balkaniques, ibériques, italiennes, allemandes et françaises, cela empêche donc un développement important de la haine antiblanche à proprement parler.Il existe par contre une sorte de haine de l’autochtone, ou en tout cas une tendance à ringardiser tout ce qui est typiquement suisse que cela soit dans les milieux d’extrême-gauche à la pointe de l’ethnomaoschisme ou dans certaines communautés même européennes, qui méprisent ces petits Suisses qui ont mieux réussi que leurs grandes nations. Si ce sentiment existe même parmi des populations d’Europe de l’Ouest, il faut souligner que beaucoup d’Européens se retrouvent dans les valeurs conservatrices d’un parti comme l’UDC.
- Peu de Français le savent mais les Suisses subissent chez eux aussi une violence de la part de bandes ethniques (Kosovars, Bosniaques ou extra-Européens). As-tu quelques exemples à nous donner ?
En particulier à partir de la guerre du Kosovo, la Suisse a accueilli un nombre important d’albanophones, plus de 200.000, ce qui représente plus de 10% de la population du Kosovo. Les phénomènes de bandes basées sur des critères ethniques voire claniques n’ont pas tardé à apparaître et les jeunes Suisses en sont souvent victimes que ce soit dans les cours d’école ou lors des soirées.Cette cohabitation très difficile avec ces nouveaux immigrés est allée jusqu’à engendrer des violences très graves, comme en 2011, lorsqu’un célèbre lutteur suisse s’est fait trancher la gorge après s’être fait traiter de “Sale Suisse” par deux albanophones alors qu’il buvait tranquillement une bière en terrasse.
Parallèlement à ces événements très graves, l’insulte “sale Seutch” ou “sale Suisse” en langage racaille s’est répandue dans les cours d’école comme une trainée de poudre. Le terme recouvre un peu celui de “boloss”, impliquant une dimension de ringardise qu’on peut lier à la nationalité et à l’éducation de celui qui s’en voit affublé.
- Quelques intellectuels helvètes sont en pointe pour inoculer “le poison de la mauvaise conscience occidentale”, notamment Jean Ziegler, la Suisse va-t-elle devenir un pays ethnomasochiste ou le sursaut identitaire, notamment grâce à l’UDC, est-il en marche ?
Jean Ziegler appartient à cette génération d’intellectuels profondément marxistes ayant vécu mai 68 et qui déçus du prolétariat autochtone s’en sont trouvé un de substitution, plus exotique et plus miséreux. Depuis 40 ans, comme beaucoup de ses semblables, historiens ou philosophes, il s’acharne à dépeindre son propre pays et la civilisation à laquelle il appartient comme étant profondément et intrinsèquement pervers, dominateurs et in fine responsables de toute la misère du Tiers-Monde.Ce travail de sape qui a été mené avec, il est vrai, un certain talent et une idéologique sous-jacente qui a défaut d’être juste a sa cohérence. Aujourd’hui encore, il en reste des traces profondes, celles de la mauvaise conscience occidentale et de l’attrait abstrait pour la diversité même parfois chez les plus conservateurs. Toutefois, le sursaut identitaire est clairement en marche depuis 10 ans. Le résultat de la votation du dimanche 9 juin 2013, qui a vu près de 80% des Suisses accepter le durcissement du droit d’asile, n’est que le dernier d’une série de votation qui atteste du ras-le-bol des Suisses face à l’immigration massive.
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L’échec total de la volonté de puissance de l’Afrique du Sud de l’ANC
Des années 1950 aux années 1980, l'Afrique du Sud blanche avait réussi à devenir la puissance dominante de la partie méridionale du continent, bien au-delà de ses frontières. La Namibie dépendait directement de Pretoria ; la Rhodésie jusqu'à l'abandon de 1979 avait constitué un allié proche, comme les pouvoirs coloniaux portugais jusqu'aux indépendances chaotiques suivies de guerres civiles en 1975 en Angola et au Mozambique. Cette puissance régionale reconnue avait su construire une armée efficace, héritière des unités terrestres, aériennes, navales, formées durant la seconde guerre mondiale sous supervision britannique - hélas contre l'Allemagne idéologiquement plus proche-.
LE DÉTESTABLE SUICIDE DE L'AFRIQUE DU SUD BLANCHE
La rupture progressive avec Londres après 1945, avait donné l'occasion de développer une industrie militaire autonome, très capable, en particulier dans les armes légères, les véhicules rustiques, tel le célèbre Ratel, la production sous licence, souvent copie avec amélioration de matériels européens éprouvés, tel le char Centurion anglais, base de l'Olifant, ou le chasseur léger Mirage III français, base du Cheetah (guépard). L'entraînement, intensif et adapté, avait élevé l'armée sud-africaine à un niveau d'excellence, qui avait permis de contenir voire de vaincre, les troupes gouvernementales angolaises et cubaines, alors surarmées d'un matériel soviétique supérieur, dans les années 1980. Elle a possédé aussi en 1980 la bombe atomique. Significativement, il y a lieu de regretter la renonciation, au nom d'illisibles intérêts supérieurs d'équilibres, le refus volontaire d'emporter des victoires décisives notamment lors des multiples sièges de Cuito Canavale (dont celui célèbre de 1988) ; de même la Rhodésie blanche a nonobstant toutes les déclarations de soutien et les aides significatives antérieures été franchement abandonnée en 1979, prélude sinistre au naufrage de l'Afrique du Sud elle-même a posteriori. Enfin, problème à la fois intérieur et extérieur, on regrettera le peu d'efficacité de la propagande favorable à une immigration blanche, alors que le Sud de l'Europe des années 1950 aux années 1970 émigrait encore massivement, tout comme le manque de sérieux relatif de la politique de regroupement des Noirs dans des bantoustans appelés à devenir des républiques noires indépendantes, laissant l'Afrique du Sud à sa composante blanche comme minorité menacée structurellement, avec au maximum 20 % de la population totale, contre moins de 10 % aujourd'hui.
Tous les pouvoirs marxistes de la région, après 1975 de Luanda à Maputo, puis Harare après 1980, ont eux apporté une aide efficace, constante, aux opposants noirs à l'Afrique du Sud, principalement l'ANC - Congrès National Africain -, conjuguant fort bien racisme de fait antiblanc et forte influence des théories marxistes, assumées au moins jusqu'au milieu des années 1990.
Malgré quelques limites nettes, dont sur le plan extérieur une dimension un peu velléitaire qui a fini par se payer très cher, il faut reconnaître la réussite globale du régime de l'Apartheid, la construction effective d'une vraie puissance régionale. Une excellente armée correspondait au développement d'une véritable économie nationale, vivant une intéressante expérience de semi-autarcie, en s'appuyant sur les riches ressources naturelles de l'Afrique du Sud, avec des pistes encore aujourd'hui d'avenir, comme la transformation du charbon en carburants, en remplacement du pétrole, selon le procédé Fischer-Tropsch.
Même si les pressions extérieures, trop mollement combattues, ont été indéniables, jusqu'à d'iniques sanctions économiques, non bénignes contrairement à la légende dans les années 1980, l'effondrement de la domination blanche en Afrique du Sud a correspondu à un effondrement moral intérieur, un suicide volontaire collectif. Nous déplorons philosophiquement le suicide à titre personnel au collectif, privilégiant la lutte jusqu'au dernier souffle. On ne répétera jamais assez la faiblesse intrinsèque de l'idéal démocratique, conduisant mécaniquement à des abandons selon les caprices des foules ; il est impossible de les sauver contre elles-mêmes lorsque leurs humeurs deviennent morbides, autodestructrices. Le Parti national a fini par organiser lui-même la fin de l'Apartheid ; le cœur du débat a été sur la renonciation totale et immédiate dès le milieu des années 1980, avec les ultralibéraux, ou le démantèlement par étapes, avec les libéraux, derrière Frederik de Klerk, qui n'en est pas moins un traître, le soutien populaire même blanc n'excusant rien. Ce dernier, homme-clef à partir du milieu des années 1980, a conclu le processus par sa présidence de l'Afrique du Sud de 1989 à 1994 ; il ne faut pourtant pas idéaliser la présidence précédente de Pieter Botha de 1978 à 1989, clair précurseur, qui avait démantelé de nombreuses lois essentielles de l'Apartheid, comme l'interdiction des mariages racialement mixtes, et mené déjà cette politique extérieure de retraits constants, sinon de capitulations systématiques. Parfois, l'extrême-droite, politique ou militaire, a le devoir de se saisir du pouvoir, ou du moins de tenter de le faire, même si la masse démocratique opine en faveur du suicide collectif - 68 % de oui pour la poursuite de la politique de destruction de l'apartheid en 1992 - ; nos amis d'Afrique du Sud n'ont rien tenté de concret, beaucoup misant à tort sur l'échec de négociations face à la maximaliste ANC, des promesses non-tenues, ou d'illusoires percées électorales avant la catastrophe finale.
LES REVERIES DE L'A.N.C. ET L'ÉCHEC COMPLET DE L'AFRIQUE DU SUD NOIRE
Nelson Mandela avait su construire, dès les années 1960, une image de héros de tous les hommes noirs, sinon tous les "opprimés" de la planète, avec le soutien massif des média occidentaux, champions de la haine du Blanc, et des propagandes des pays communistes. La complaisance a été quand même étonnante : non Mandela n'a nullement désapprouvé la lutte armée, ni même les attentats terroristes frappant des civils ou les infrastructures économiques essentielles du pays. Jim Reeves l'a déjà assez démontré avec constance dans Rivarol et Ecrits de Paris, mais il est bon de le rappeler tant est forte la prégnance de la propagande du Système encensant un prétendu "Gandhi" sud-africain, ignorant délibérément tous ses aveux postérieurs publics au nom du prétendu processus dit de « vérité et réconciliation », chasse asymétrique systématique aux anciens responsables blancs. Il faut lui reconnaître une certaine habileté dans la manipulation de ses partisans ou adversaires, la détermination dans sa volonté de se donner l'apparence d'un martyr, prisonnier volontaire embarrassant pour un régime sud-africain en décomposition délibérée... Il n'a accepté d'être relâché que contre la certitude d'accéder au pouvoir.
La très grande majorité des populations noires vote massivement pour le candidat noir, Mandela, donc président de l'Afrique du Sud de 1994 à 1999. Il symbolise. C'est son action essentielle. Il laisse d'autres gouverner dans son ombre tutélaire, de façon parfaitement détestable, transformant l’État en État-Parti, celui de l'A.N.C, contrôlant la politique comme jamais le Parti National du temps des Blancs. L'effondrement économique, prévisible, n'est que partiel à cause de la forte hausse des cours des matières premières dans la seconde moitié des années 1990 ; à l'exception d'une élite noire ANC kleptomane, le niveau de vie des Noirs stagne, tandis que celui des Blancs s'effondre. La criminalité explose. Toutefois l'Afrique du Sud est constamment louée par le Système, car elle incarne une forme d'utopie mondialiste à son échelle. Bien évidemment, elle ne fonctionne pas plus que le mondialisme à l'échelle globale. À la volonté d'exemplarité a été couplée celle de la responsabilité régionale, la "nouvelle" Afrique du Sud devant assurer une forme de puissance imposant la paix sur une Afrique troublée, au Sud du Sahara, ou du moins de l'équateur. Cette dernière ambition, avec le legs sans heurts de l'excellente armée des Blancs, n'est pas apparue sur le coup absurde.
L'Afrique d'après 1994 a donc pour ambition d'incarner une vitrine africaine des rêves maçonniques du Nouvel Ordre Mondial. Derrière l'icône Mandela, personne la plus décorée au monde, dont un « prix Nobel » en 1993, croulant littéralement sous les milliers de distinctions au point de finir par en refuser systématiquement de nouvelles, devait se construire un modèle de démocratie, de diversité ethnique, de société harmonieuse, avancée en pointe dans lutte "antidiscriminations" jusqu'aux droits explicites pour les minorités sexuelles - avec le mariage et l'adoption pour les couples homosexuels en 2006 -. On a vu l'échec des mythiques progrès économique et social. Ces droits formels ne correspondent à rien de réel. Les Blancs, en particulier les courageux fermiers demeurés sur leur terre, sont constamment massacrés par des bandits noirs, impunis, tandis que leurs complices s'emparent des propriétés, transformant un grenier à blé de l'Afrique en agriculture vivrière sinon désert ; une évolution de long terme semblable au Zimbabwe voisin est à craindre. Outre la persécution de fait des Blancs, dont un million aurait quitté le pays - aucune statistique officielle évidemment-, les affrontements ethniques entre Noirs causent des centaines de morts chaque années ; ils sont dissimulés dans les chiffres, énormes et pourtant sous-évalués de l'insécurité générale. Quant aux Noirs étrangers, ils sont souvent violemment chassés, là encore avec des centaines, sinon des milliers de morts. Les Noirs seraient-ils racistes, contre les Blancs, mais aussi entre leurs différentes ethnies ? Le discours sur la prétendue harmonie devient de plus en plus comique tant le décalage avec les réalités s'accroit. Les minorités sexuelles demeurent fort peu appréciés dans les quartiers noirs, là encore avec des centaines de meurtres annuels ; les discours spontanés indigènes continuent à qualifier le vice de Laïos de « maladie des Blancs » ; toute la propagande officielle n'a guère de prise. Évidemment, les « droits des femmes » sont promus ; toutefois ils coexistent difficilement avec les droits coutumiers traditionnels, totalement réhabilités : ainsi le président sud-africain Jacob Zuma (au pouvoir depuis 2009), s'affirme un ferme partisan des traditions bantoues, dont le mariage avec plusieurs femmes, le pratique personnellement. Mandela n'avait eu que de multiples épouses successives, dont les enfants s'opposent d'ailleurs les uns aux autres, tandis que Zuma, polygyne toujours, mais aux multiples divorces, offre des motifs d'amusement aux caricaturistes de son pays, dont il apprécie d'ailleurs peu l'humour - nombreux procès pour offense au chef de l’État-. Il en est résulté des difficultés protocolaires régulières lors des rencontres internationales.
L'échec de la vitrine est total. Durant la Coupe du Monde de 2010, la sélection nationale a effectué une prestation pitoyable selon les experts, à défaut du degré de comique de l'équipe de France, tout aussi mélanoderme. Quant à la grande politique étrangère, concrète, vaut-elle mieux ? Elle souffre déjà du sabotage continue de l'armée sud-africaine, très réduite en volume, hommes, moins de 50 000 militaires, comme matériels, privée des exceptionnelles compétences des officiers blancs systématiquement chassés, avec comme conséquence immédiate la disparition ou presque des éléments prometteurs d'industrie de défense autonome. Evidemment, la bombe atomique a été sacrifiée. Au final, l'armée de Pretoria compte quelques chasseurs légers suédois Grippen qui ne volent plus, comme les 4 frégates et 3 sous-marins qui ne naviguent plus. Les équipements terrestres ont vieilli de vingt ans, sans guère de remplacement - il ne reste qu'une trentaine de vieux chars -, tout comme la restreinte mais essentielle capacité de projection. Quelques hélicoptères d'attaque Rooivalk, une douzaine, excellent type développé à la fin de l'Apartheid, volent encore et forment l'essentiel de la capacité offensive du pays. Elle ne serait plus en mesure d'assurer en dernier recours l'ordre intérieur, quand bien même l'ANC le voudrait. Ancienne première armée d'Afrique, elle est aujourd'hui bien loin de l'Égypte, l'Algérie, le Maroc, même derrière l'Angola et le Nigeria, voire l'Ethiopie et l'Erythrée. Une grande armée n'est plus que la milice de l'ANC.
En conséquence les initiatives diplomatiques de l'Afrique du Sud ne sont absolument plus prises au sérieux. Les multiples médiations au Zimbabwe voisin, ou même dans l'enclavé Swaziland, n'ont débouché sur rien. A fortiori, les accords de paix, multiples, au Burundi, ont échoué, tout comme ceux pour le Congo démocratique, signés solennellement à Sun City en 2003 en Afrique du Sud ; la guerre ravage toujours terriblement l'Est de cet État, avec la guérilla du M23 au Kivu, encore soutenu par le Rwanda. Récemment, en mars 2013, l'Afrique du Sud a été humiliée à Bangui par la coalition Seleka, à la force armée pourtant faible ; les bataillons sud-africain défendant la capitale sud-africaine au nom de l'ONU ont subi une claire défaite. Ils ont depuis été rapatriés en urgence.
Aussi, dans tous les domaines, l'ANC a échoué. Même le prélat noir anglican, icône de la lutte contre l'Apartheid et ancien fervent supporter de l'ANC, Desmond Tutu, vient d'annoncer en termes durs sa très forte déception. Pourtant par les lois de la démocratie, elle se maintiendra vraisemblablement au pouvoir ; aucun opposition cohérente n'est construite. L'affaiblissement possible de l'ANC profiterait d'ailleurs davantage à une extrême-gauche raciste antiblanche noire, partisane de la confiscation des biens des Blancs, voire des riches en général - élite-ANC comprise donc -, d'une forme de socialisme panafricain, plutôt qu'à des centristes mous libéraux qui chantent l'impossible « nation arc-en-ciel ».
Un éventuel effondrement de l’État-ANC, fort possible, surtout en cas d'entrée en un cycle, même court, de baisse des prix des produits primaires, s'il déboucherait dans l'immédiat sur une situation encore pire pour les Blancs, pourrait peut-être enfin permettre la création indispensable du Volkstaat Afrikaner. Cet État légitime, plus ou moins promis en 1994 par Mandela dans le cadre de son Afrique du Sud de la diversité, demeure sans aucune réalisation pour l'instant. Il n'existe que la très symbolique enclave d'Orania, de 2000 habitants. Ce Volkstaat regrouperait les 5 % de Blancs de langue afrikaner, soit 2,5 millions d'habitants potentiels, sauvés de la disparition dans la Tour de Babel ingérable de l'Afrique du Sud de l'ANC. Il prendrait place sur les territoires semi-désertiques quasiment vides d'une partie de l'Ouest de l'Afrique du Sud actuelle. Les Blancs anglophones, moins de 2 millions aujourd'hui, plus urbains, arrivés plus tard, assez facilement cosmopolites, émigrent le plus facilement, particulièrement vers l'Australie, et le flux s'amplifierait.
Scipion de SALM Rivarol du 31 mai 2013Lien permanent Catégories : actualité, culture et histoire, géopolitique, immigration, international 0 commentaire -
Ivan Rioufol convoqué par la police judiciaire
Police judiciaire ou politique, on ne sait plus :
"Pour la première fois de ma carrière journalistique (débutée en 1976), j’ai reçu, samedi, une convocation pour être entendu par la Police Judiciaire, suite à une plainte déposée par leCollectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Je vais devoir répondre de propos tenus le 15 novembre 2012 dans l’émission On refait le Monde, animée par Marc-Olivier Fogiel, sur RTL également visés par la plainte. Le CCIF, qui oeuvre à l’islamisation des musulmans, me reproche d’avoir critiqué sa campagne d’affichage : "Nous sommes la nation". Il s’agit du détournement du tableau de David, Le serment du Jeu de Paume. Se substituant aux acteurs de la Révolution française, l’image représente très majoritairement des femmes voilés, des barbus, des encapuchonnés et des jeunes des cités. Financée à hauteur de 35.000 euros par l’Open Society Institute du milliardaire américain George Soros, qui a des comptes à régler avec l’Europe, la campagne avait pour but de promouvoir la visibilité islamique dans la République laïque, en revendiquant un refus de l’assimilation et de l’intégration, au profit d’une "inclusion" intimant d’accepter les musulmans tels qu’ils sont. Avec sa plainte, le CCIF porte évidemment atteinte à l’élémentaire liberté d’expression. La lutte contre l’islamophobie dont il se réclame revient à interdire tout débat.
Inutile d’insister, j’imagine, sur l’extrême gravité de cette tentative de pénaliser l’esprit critique, d’intimider des journalistes, de censurer des médias, de réintroduire le délit de blasphème. Mais je m’étonne néanmoins de l’indifférence générale qui est portée à ce genre d’organisme, qui respecte si peu la France, son histoire et ses valeurs, sinon pour instrumentaliser les droits de l’homme dans le sens de ses intérêts propres. Dans son livre déjà cité (Islam, épreuve française) Elisabeth Schemla rappelle cette déclaration d’août 2011, à la mosquée d’Orly, de Marwan Muhammad, porte-parole du CCIF : "Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française". Il est d’ailleurs intéressant de s’arrêter au logo du CCIF ; il est stylisé de telle manière qu’il peu se lire Sif, c’est-à-dire "Le glaive de l’islam". Pour ma part, je vais évidemment répondre à ma convocation. J’espère néanmoins pouvoir y dénoncer ces inqualifiables méthodes et le danger qu’elles représentent pour la république. Elles ne me feront évidemment pas taire. Tout au contraire."
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L’homme nouveau ou la société contre le peuple
Robert Redeker rejoint le combat anthropologique et choisit son camp dans la guerre civilisationnelle…
Robert Redeker, professeur agrégé de philosophie et libre penseur, s’est fait connaître du public en 2006, à la suite de la parution dans « Le Figaro » d’une tribune s’en prenant aux « intimidations islamistes » qui lui valut une fatwah, tel un Salman Rushdie français. Anthropologue et philosophe, il observe les transformations actuelles de notre société et réagit sur son évolution. Robert Redeker ne manque pas de surprendre par un « conservatisme » inattendu.
Polémia
L’adoption du mariage homosexuel, l’introduction à l’école de la théorie des genres, qui devient une sorte de pensée officielle et obligatoire, le projet d’accorder le droit de vote aux étrangers, la palme d’or accordée par le jury du Festival de Cannes à un film qui, divine surprise, réunit la chance d’avoir été réalisé par un Maghrébin et de raconter une histoire d’amour homosexuelle, ne sont pas des événements disjoints. Solidaires, ils entretiennent entre eux un lien de constellation. Une même conception de l’homme autant qu’une même conception de l’avenir de la société qui les relie.
Un impératif commun, plus ou moins explicite, dirige ces événements : il faut remplacer l’homme, tel que nous le connaissons depuis la nuit des temps, par autre chose. Comme pour le mariage, le mot sera conservé mais pas ce qu’il désigne. Ainsi, le mariage a changé de sens en devenant le mariage pour tous. Ainsi, homme et femme sont des mots qui ne veulent plus dire du tout la même chose postérieurement au triomphe de la théorie des genres qu’antérieurement.
Quant à l’extension du droit de vote aux étrangers, il substitue une entité nouvelle au citoyen et à la nation, même s’il ne modifie pas les mots. Cet homme nouveau, que le gauchisme culturel veut substituer à l’homme tel qu’il existe, c’est l’homme sans héritage. Il n’est pas un héritier. Il est même, pour emprunter un vocable à Renaud Camus, un inhéritier. Non seulement l’accès à l’héritage des siècles – qu’il s’appelle la langue, la culture, la nation – lui est barré, mais il est psychiquement programmé pour refuser cet héritage autant qu’il est éduqué, ou inéduqué, pour pouvoir s’en passer. N’héritant pas du passé, ni n’en recevant le legs en héritage, il ne se sent débiteur d’aucune dette envers lui. Il ne doit rien à la patrie, rien à la nation et à son histoire, il ne doit rien à de Gaulle, rien à Jeanne d’Arc. On le veut radicalement neuf. Il se croit tel.
Jusqu’ici exista un individualisme spatial et sociologique : l’individu séparé des autres hommes. Voici qu’apparaît un individualisme temporel et historique : l’individu entièrement plongé dans le présent, sans racines dans le passé, séparé de l’histoire. Le type d’homme engendré par cette constellation de réformes sociétales sera un homme qui se vivra, se sentira et se pensera comme existant par génération spontanée.
Venue d’Aristote, défendue au XIXe siècle par Liebig et combattue par Pasteur, la théorie de la génération spontanée soutenait que des êtres vivants, par exemple des souris, pouvaient naître sans parents, sans pères ni mères, du seul fait de l’animation de la matière par la forme (l’idée). La comparaison avec nos réformes sociétales vaut. L’idée, la forme, c’est bien entendu le genre. C’est aussi la volonté de deux époux d’un même sexe, pardon, d’un même genre, d’élever un enfant qui n’aurait ni père ni mère, seulement des parents numérotés un et deux. Le grand combat contre la nature conduit par les propagandistes de la théorie du genre, socle philosophique du mariage pour tous, ramène dans l’actualité une variété de la théorie de la génération spontanée.
Une condition est exigée pour la réussite de ce projet anthropologique et politique : que les hommes ne soient plus des hommes et que les femmes ne soient plus des femmes par nature. A la rupture avec l’histoire doit s’articuler la rupture avec la nature. L’invention de la théorie du genre c’est la cheville ouvrière de cette rupture. Ainsi, le mariage pour tous est-il à la fois le mariage déshistoricisé (jamais, en Occident, le mariage homosexuel ne fut institutionnalisé) et dénaturalisé (la différence naturelle des sexes, base historique, symbolique et biologique du mariage, est niée).
Le vote des étrangers (des personnes qui refusent d’adopter la nationalité française) illustre cette double négation. Il occulte le sens du mot « patrie » : la terre des pères. La patrie est, étymologiquement, un héritage. Il n’y a pas de patrie si les fils et les filles n’héritent pas des pères l’histoire et la terre. La patrie, cette terre des pères, est une mère qui engendra ceux qu’on appelait jadis des sujets et aujourd’hui des citoyens. Pour rendre possible ce vote, il faut masquer la dimension héréditaire qu’implique la notion de patrie. La patrie est le produit de l’histoire, et l’héritage celui de l’engendrement, c’est-à-dire de la nature. Héritage, père et mère, la patrie est à la fois histoire et nature. Exactement ce que la théorie du genre combat. Dessaisir les fils et filles de cet héritage est l’objet du droit de vote aux étrangers.
Le déni de la nature et de l’histoire apparaît encore plus nettement dans l’acharnement à vouloir effacer le mot « race » de la langue officielle. Deux siècles durant, la gauche affirmait représenter le peuple, la patrie et la nation. Aujourd’hui, sa nouvelle déesse est la société, fabriquée dans les laboratoires des sciences humaines. C’est au nom de la société qu’elle substitue l’inhéritier, l’individualiste nouveau, l’individualiste né par génération spontanée sans patrie et sans nation, sans racines historiques et politiques, au citoyen national. Le sociétal n’est pas seulement l’idéologie qui dresse la société contre le peuple, il est aussi l’idéologie qui détruit le peuple au nom de la société.
Robert Redeker http://www.redeker.fr/crbst_161.html
3/06/2013 http://www.polemia.com -
djihadistes, ils vont revenir !
Ils seraient cent vingt, selon le ministre de l’Intérieur, cent vingt Français, apprentis djihadistes, partis faire leurs classes en Syrie, dans les forces armées hostiles au régime de M. Assad. Cent vingt, dont M. Valls vient d’expliquer que « la plupart convertis à un islam radical ont un passé de délinquance […] de drogue […] de grand banditisme ». Voilà qui est clair.
Djishadistes" français" (Agence Reuters). Français ? Mon oeil !...
Pendant ce temps-là, peut-être pour profiter de l’occasion de façonner son image de grand ministre des Affaires étrangères, M. Fabius continue de manifester une grande animosité à l’égard de M. Assad. Avec et autour de lui, tous ces penseurs et journalistes « engagés », moins soucieux de l’intérêt national que de leurs fantasmes idéologiques. C’est qu’encore et toujours la bêtise le dispute, ici, à l’aveuglement. M. Filiu, professeur à Sciences Po Paris, vient ainsi d’affirmer que « le peuple syrien est prié de se laisser massacrer ». Donc, d’un côté « le peuple », de l’autre « les massacreurs ». Niaiserie d’intellectuel fatigué ou mensonge délibéré du militant droits-de-l’hommiste ?
Mais le verbiage enragé des interventionnistes et va-t-en-guerre se heurte aux réalités. Leur dernier argument en date - l’utilisation présumée d’armes chimiques par les troupes du régime – devrait faire long feu puisque même (et surtout) les États-Unis d’Amérique semblent y rester insensibles. Pour ces derniers, sans doute échaudés par les aventures d’Irak et d’Afghanistan, mais plus sûrement encore soucieux de leurs intérêts planétaires, la Syrie n’est qu’une carte dans le jeu qui les oppose aux autres grandes puissances, notamment à la Russie : elle s’inscrit dans leur stratégie mondiale et les bêlements humanitaires des Français et des Britanniques doivent bien les amuser, d’autant que la tournure prise par les événements justifie amplement l’attentisme voire l’inavouable décision de non-intervention.
Le constat est clair : la Syrie n’est pas le théâtre d’une lutte entre le Bien et le Mal ; s’y affrontent plus prosaïquement des Syriens - les uns, aidés par leurs alliés de toujours (Russie, Iran, Hezbollah), détenant le pouvoir légal ; les autres, armés par l’étranger (Arabie saoudite, Qatar) et soutenus par la « conscience universelle », voulant s’emparer de ce pouvoir. Ne pas admettre cette évidence a pour conséquence de dresser un écran de fumée qui occulte la seule chose qui devrait pour l’instant compter à nos yeux dans cette affaire, à savoir l’enrôlement (et donc le retour prévisible au « pays ») des cent vingt islamo-terroristes français (six cents pour l’ensemble de l’Europe !).
Ces cent vingt sont connus des services de M. Valls. Plutôt que de se préoccuper de M. Assad, ne vaudrait-il pas mieux se prémunir contre ces assassins potentiels ? Une fois en prison, ils pourront toujours lire la prose de M. Filiu. A condition de savoir lire, bien entendu.
Louis-Joseph Delanglade http://lafautearousseau.hautetfort.com/
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Note sur la répression de l’incitation au meurtre en France, par Georges Colléter
À propos de l’Islam et de la lecture du Coran et de divers éléments de la Sunna et des Hadiths, on peut et on doit s’interroger. En effet, on y lit dans nombre de sourates un appel au meurtre des « non-croyants », (donc « non-musulmans »), avec des gradations diverses pour traiter en sous-hommes voire en esclaves les autres humains ayant des croyances religieuses différentes, voire même aucune.
C’est ce que nous constatons aussi en concret dans de nombreux « pays islamiques » actuellement à propos particulièrement des chrétiens et des juifs, ou même des athées qui analysent et s’expriment ... et maintenant dans quelques « faits divers » en France. Et ceci sans même remonter en détails à l’Histoire, où plus de 300 millions d’humains ont été « éliminés » en Inde et en Afrique par l’Islam…
Cependant devant le droit et les Lois françaises et le principe de laïcité tant vanté et défendu, ces appels aux crimes concernant les personnes, ou aux « délits » divers, devraient être réprimés nettement, il me semble, par les lois du Code Pénal (Art.222.17, Art.222.18, …).En particulier si elle est « matérialisée par un écrit », (Art.222.17), ce qui est bien le cas du Coran diffusé en France :« Article 222-17 En savoir plus sur cet article...La menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes dont la tentative est punissable est punie de six mois d'emprisonnement et de 7500 euros d'amende lorsqu'elle est, soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet.La peine est portée à trois ans d'emprisonnement et à 45000 euros d'amende s'il s'agit d'une menace de mort. ».En complément lire l’« Article 222-18 », dont les précisions « Articles 222-18-1 » et « Article 222-18-2 » (Articles aisés à trouver sur Légifrance).Les diverses Sourates concernées par ces appels ou « menaces de commettre un crime ou un délit … » sont faciles à retrouver lorsqu’on lit le Coran, (encore faut-il le lire … !).Je m’étonne donc que ce livre « Le Coran » ne soit pas interdit en France et les sites de vente de livres par correspondance qui diffusent le Coran et ce genre de principes de base d’une « religion » contraires à nos Lois qui priment ici sur les lois de tous les pays. (Justification des actes du jihad, non critiqués ni condamnés par les musulmans de France ou français, ni même par leurs « autorités », car « écrits » dans le Coran et donc « indiscutables » par tous « les croyants »).
De même les individus, organismes, associations, personnes morales, lieux de formation et d’apprentissage de ces principes et/ou s’y référant, donc lieux de « culte », qui contreviennent ainsi à nos lois, devraient être sanctionnés et interdits d’exercice et de séjour.Que valent notre gouvernement et notre Justice pour l’application de « certaines » Lois françaises ? Que vaut leur honnêteté et leur crédibilité ?Un rêve d’amélioration pour l’application juste des Lois françaises ? Bonnes réflexions…Georges COLLÉTER, Retraité de l’agriculture et de l’industrie lourde -
79% des Suisses pour le durcissement du droit d’asile
BERNE (NOVOpress) — Comme c’était déjà le cas dans les autres pays européens, on ne pourra désormais plus déposer une demande d’asile dans une ambassade suisse. Les requérants récalcitrants pourront être regroupés dans des centres spécifiques et les cas de désertions ne pourront plus être considérés à eux seuls comme des motifs valables pour déposer une demande d’asile. La votation du dimanche 9 juin n’est donc pas une révolution mais un petit pas dans la bonne direction.
De tous les durcissements de la loi sur l’asile, c’est celui-ci qui a remporté la plus grande adhésion de la part du peuple suisse. Il intervient 7 ans après l’acception d’un précédent qui avait déjà engrangé 68% de vote favorable. Il fait également suite à l’interdiction des minarets en 2009 et à l’expulsion des criminels étrangers en 2010.
Lors des analyses télévisées traditionnelles d’après-scrutin, le président du Parti socialiste suisse a dit craindre que le oui massif des Helvètes exprime un rejet de l’ensemble de la politique d’immigration. Au vu des dernières votations sur des sujets connexes, on ne saurait lui donner tort.
Cette votation intervient avant celle sur l’arrêt de l’immigration massive par l’UDC qui vise à gérer de manière autonome du droit international toute la politique migratoire mais aussi celle d’ECOPOP qui veut limiter l’immigration nette à 0,2% par année. Ces initiatives avaient déjà de grandes chances de succès avant le scrutin du dimanche 9 juin, elles ont aujourd’hui un vent qui souffle très forts dans leurs voiles.
Jean-David Cattin http://fr.novopress.info/