L’administration Trump a lancé une offensive sans précédent contre l’immigration illégale, déployant la Garde nationale dans plusieurs grandes villes américaines pour accélérer les expulsions de migrants sans papiers. Après Los Angeles et Washington, Chicago est dans le viseur, la ville est qualifiée par le président de « capitale mondiale du meurtre ». Mais le maire démocrate, Brandon Johnson, riposte avec vigueur, ordonnant à la police municipale de ne pas coopérer avec les forces fédérales et dénonçant une « militarisation » des villes et une atteinte à la démocratie. Cette confrontation illustre le fossé entre l’agenda sécuritaire de Trump, soutenu par une large base populaire, et les bastions démocrates qui protègent leurs « villes sanctuaires », limitant la collaboration avec les services d’immigration fédéraux.





