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Souvenez-vous. Avant Nicole Belloubet, avant Gabriel Attal, avant Pap Ndiaye, il y avait Jean-Michel Blanquer. L’enseignant-chercheur parisien avait été le tout premier ministre de l’Éducation nationale d’Emmanuel Macron, de 2017 à 2022. Un quinquennat sur lequel il a souhaité revenir dans son livre La Citadelle (Albin Michel), paru le 28 août. « Après deux ans de silence, je suis heureux de rétablir des vérités, d’analyser notre situation démocratique et de proposer des perspectives », déclare l’ancien locataire de la rue de Grenelle.
L’affaire du gendarme tué à Mougins met la nation à mal et révèle ce que le pouvoir tente de cacher en permanence, alors que ce n’est plus possible : les méfaits d’une immigration de masse, avec des gens qui n’ont pas l’ombre d’une quelconque compatibilité avec la vie en Occident. Ils s’en sortent souvent avec une appréciation judiciaire du style « Il ne connaît pas nos codes », laquelle vient contredire une autre appréciation judiciaire ; « Nul n’est censé ignorer la loi ». Et cette loi a lentement glissé vers une ethnicisation de son application, devenue très différente selon l’origine ethnique et la couleur du délinquant. Ethnicisation également des commentaires de la presse, qui matraque des jours sur Nahel, la mort d’un jeune défavorablement connu des services de police, mineur, non encadré par ses parents, qui sont tout juste responsables de leur progéniture, et relativise à outrance la mort d’un gendarme, un fonctionnaire et un honnête homme, allant jusqu’à considérer ce qui a toute l’apparence d’un meurtre, comme un banal fait divers. Manque de chance pour le délinquant capverdien, des images de vidéosurveillance mettent à mal sa version du « je l’ai pas fait exprès, je ne l’ai pas vu ». Et donc quoi, il ne faudrait rien lui dire, puis qu’il ne l’a pas fait exprès ?
[Info Valeurs] Une rixe entre 40 migrants afghans a fait 4 blessés à l’arme blanche secteur Marx Dormoy dans le 18e arrondissement de Paris, ce samedi, indique une source policière. Les victimes ont été prises en charge en urgences absolue et relative. Six interpellés.
Il fallait s’y attendre. Après les mots poignants de la veuve du gendarme tué à Mougins par un chauffard désormais poursuivi pour homicide volontaire aggravé - autrement dit, pour meurtre -, le débat se concentre sur la récidive. L’homme avait en effet dix condamnations à son actif. Un point pourtant crucial passe ainsi au second plan : la France a renouvelé le permis de séjour du chauffard, un étranger né au Cap Vert, en dépit de ses multiples condamnations. Son permis de séjour a encore été renouvelé en 2022 pour quatre ans, jusqu’en janvier 2026.
Le 27 août 2021, nous avions publié un article intituléViols, meurtres, agressions sexuelles, petite délinquance… Ces « réfugiés » afghans arrêtés ou condamnés en France depuis 2015. Un article qui recensait les exactions commises par des migrants Afghans sur le territoire depuis 2015. Depuis, rien n’a changé. Les expulsions vers l’Afghanistan ne sont toujours pas mises en places, les gauchistes oeuvrent au maintien de populations profondément différentes culturellement, religieusement et dans les moeurs, et les autorités mettent sciemment en danger la population française.
Elle s’est réveillée ce matin, seule. Elle a mis des boucles d’oreille, un collier, une agrafe dans ses cheveux et elle s’est rendue à la cérémonie en hommage à son mari gendarme, tué lundi à Mougins (Alpes-Maritimes). À Mandelieu-la-Napoule, face aux officiels, aux gendarmes venus rendre hommage à leur frère d'armes, aux caméras de télévision, la veuve du fonctionnaire a dit ce 28 août, avec des mots simples, la pensée qui l’accompagne jour et nuit. « Je l’affirme haut et fort : la France a tué mon mari. » Elle le répète dans un sanglot. « La France a tué mon mari, le père de mes enfants. »