
Magali Segonds, représentante de France travail, est intervenue pour dresser le panorama sur la situation, préciser les données rappelant que France travail ne peut intervenir que dans le cadre des règles du gouvernement.
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Magali Segonds, représentante de France travail, est intervenue pour dresser le panorama sur la situation, préciser les données rappelant que France travail ne peut intervenir que dans le cadre des règles du gouvernement.
La chronique de Philippe Randa
L’agression d’un rabbin à Orléans le 22 mars dernier par une jeune racaille (16 ans) sous les yeux de son jeune fils (9 ans, lui) a été longuement relayée dans certains médias, plus brièvement dans d’autres, mais n’aura guère émue les participants de la huitième édition de la Marche des solidarités, défilant contre « l’apathie de l’opinion face à la montée des intolérances », à Paris tout autant qu’en province…
Dans un communiqué de presse ce jeudi 27 mars, les personnels du collège Alain de Saint-Fons (Rhône) alertent d’un “climat de violence inacceptable” au sein de l’établissement. La veille, une enseignante a été victime de jets de pierres.
Voilà ces femmes, les sourcils en accent circonflexe, expliquer qu’on les brime, qu’elles ne peuvent pas porter leur voile religieux pendant les épreuves en compétition et les entraînements et qu’ainsi elles sont discriminées, le tout selon un processus toujours identique qui consiste à hurler à la mort, chaque fois que les sociétés occidentales ne plient pas sans broncher devant leur religion, exogène rappelons-le. On a envie de leur dire, comme toujours, que ce soit à l’université, dans le sport ou lors d’un entretien d’embauche : « Puisque ce voile pose problème, vous n’avez qu’à l’enlever ». Non, ce serait trop simple, elles se discriminent elles mêmes et accusent les autres de les discriminer. Il n’est pas rare en Europe, qu’il y ait un « dress-code » en entreprise, on n’occupe pas n’importe quel poste dans n’importe quelle tenue et cela ne choque personne, s’applique à tout le monde, sauf à elles.
Invité sur CNews mardi 25 mars, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a évoqué un rapport “alarmant” sur les Frères Musulmans.
« J’ai – malheureusement il est aujourd’hui classifié confidentiel – un rapport absolument alarmant sur les visées des Frères musulmans. Je vais le déclassifier ».
Thomas Joly, président du Parti de la France
À chaque soubresaut médiatique, nos gouvernants s’agrippent au chiffon rouge du voile islamique, comme des naufragés à une bouée crevée. Ils s’agitent, s’indignent, débattent à sur les plateaux télé comme au café du commerce, feignant la stupeur, jouant la comédie de la découverte. Mais de qui se moque-t-on ? Cela fait quarante ans qu’ils organisent, méthodiquement, l’installation de millions d’afro-musulmans sur notre sol. Ils ont méticuleusement importé l’islamisation qu’ils prétendent aujourd’hui combattre. Ils ont creusé eux-mêmes la tombe de la France et voilà qu’ils s’étonnent du trou.
Un nouvel épisode de rixe au couteau en région parisienne. Deux jeunes ont été blessés dans une bagarre impliquant une dizaine de personnes, ce mercredi à Versailles (Yvelines). Les victimes sont âgées d’une quinzaine d’années. L’altercation a éclaté en milieu d’après-midi sur la très passante avenue de Paris à l’angle de la rue du Champ-Lagarde, dans des circonstances qui restent à éclaircir. On ignore encore si celle-ci a un quelconque lien avec le lycée Marie-Curie, situé à proximité immédiate. (…)
Alia Sylla, frère du footballeur montpelliérain Issiaga Sylla, comparaît depuis ce lundi 24 mars 2025 devant la cour criminelle de Haute-Garonne pour viol. Le joueur montpelliérain était absent lors des faits qui se seraient déroulés dans sa maison à Vigoulet-Auzil, près de Toulouse [le 29 décembre 2018].
La victime, une étudiante, a expliqué à la barre avoir rencontré un homme, appelé John*1 par nos confrères, au cours de la soirée et l’avoir suivi en boîte de nuit, puis dans une villa pour continuer la fête. (…)