Des milliers de jeunes hommes (d’après l’Organisation internationale des migrations [OIM], au moins 13.000 ; les Turcs parlent de 78.000 personnes) amassés sur les côtes turques, arrivés en trains, bus, voitures et à pied, donnent l’impression d’assister au déclenchement d’une grande offensive militaire contre l’Europe. Sauf qu’il s’agit de civils, syriens en majorité. Ils s’apprêteraient à envahir l’Europe au signal d’Erdoğan. Ce dernier leur a indiqué les itinéraires à suivre via des cartes de la télé turque. Toutes ces routes mènent à Paris et Berlin. Pourquoi vers la France et l’Allemagne ? Parce qu’il sait que leurs dirigeants sont des capitulards qui laisseront les États-Unis, la Russie, l’Iran, la Turquie et les pays du Golfe s’essuyer leurs pieds sur eux.
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Nouvelle vague de migrants : tous les chemins mènent à Paris ?
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Zemmour sur les migrants : « Il n’y a quasiment que des hommes. Ils ont des pays. Qu’ils rentrent dans leur pays ! » (MàJ : autres extraits)
Zemmour à propos de Erdogan / Grèce
Les Turcs mettent des populations islamisées à la place de populations chrétiennes, ils font toujours ça les Turcs.
Ce qui est intéressant c'est que les pays en 1° ligne (Grèce, Bulgarie) considèrent enfin cela comme une guerre. -
Quand se lèvent les peuples européens.
Il serait bien illusoire de voir dans le "message de solidarité" adressé ce lundi par Emmanuel Macron à la Grèce et à la Bulgarie confrontées à l'arrivée massive de migrants propulsés vers l'Europe par la volonté du sultan Erdogan, autre chose que la réaffirmation de la politique de partage du fardeau menée conjointement par Berlin et Paris depuis des années, politique qui consiste, on le sait, à organiser la répartition des arrivants à l'intérieur des nations de l'Union. Loin de se situer dans une perspective de résistance à la déferlante, et de fermeté à l'égard de la Turquie, ce message sera évidemment considéré par les intéressés comme constitutif d'un nouvel appel d'air. Les frontières de l'Europe passent par la Grèce, la Bulgarie, l'Espagne ou l'Italie... Les droits d'asile comme les prestations sociales sont en France où en Allemagne.
Mais le Système aura beau faire : la colère européenne grandit contre l'invasion migratoire et ceux qui — Etats, lobbies, organisations mondialistes, finance — la veulent et l'organisent.Elle se manifeste aujourd'hui en Grèce où les patriotes mènent le combat du refus des camps de l'envahissement. Elle pourrait bien se matérialiser demain sur l'ensemble de notre continent.Nos peuples veulent rester ce qu'ils sont, conformément à leur identité, leur histoire et leurs traditions.Pour notre civilisation, le pire n'est plus du tout certain. -
Sur Figaro Vox, Éric Zemmour: «L’immigration, la grande peur des penseurs libres».
La France est menacée. Vouée à la guerre civile au pire, à la partition au mieux, selon l’ancien directeur-général de la DGSE Pierre Brochand.
On le confond souvent avec son frère, le publicitaire et ancien maire de Cannes Bernard. Mais à son âge vénérable, on fait fi de ce genre de vanités. Pierre Brochand est ce qu’on appelait naguère avec admiration un grand serviteur de l’État. Ambassadeur de France, ayant fait l’essentiel de sa carrière à l’étranger, il revint dans notre pays diriger la DGSE (le contre-espionnage français) sous les mandats de Chirac et Sarkozy
Il en a tiré une expérience incomparable des dangers qui menacent la France. Il y a quelques mois, il avait présenté devant la Res Publica, fondation dirigée par Jean-Pierre Chevènement, une fresque historique et sociologique d’une haute tenue. Le texte long, fouillé, brillant,parfois ardu, déroulant une pensée impeccablement rangée en tiroirs, avait eu l’heur d’être repéré par Marcel Gauchet lui-même. Mais la consécration intellectuelle n’a pas créé d’écho médiatique. Seul Le Figaro, la semaine dernière, lui a donné la parole.
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Eric Zemmour : “Il n’y a plus d’assimilation, il n’y a même plus d’intégration”
Eric Zemmour revient sur l’interview dans le Figaro de Pierre Brochand, ancien patron de la DGSE. Il partage ses inquiétudes sur les risques de partitions de notre pays, dus, selon lui, à un manque d’assimilation et à un excès de l’individualisme.
Découvrez cet extrait tiré de la chronique “Les insolences d’Eric Zemmour” du 28 février 2020.
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«Bientôt, des millions» de migrants se dirigeront vers l’Europe, affirme Erdogan
« Depuis que nous avons ouvert nos frontières (vendredi), le nombre de ceux qui se sont dirigés vers l’Europe a atteint les centaines de milliers. Bientôt, ce nombre s’exprimera en millions », a affirmé M. Erdogan lors d’un discours à Ankara. Ces chiffres semblent très surévalués par rapport à la réalité observée sur le terrain par l’AFP.
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Grèce : incidents à Lesbos où des habitants empêchent des migrants de débarquer
Après la décision de la Turquie d’ouvrir ses frontières vers l’Europe, les migrants sont arrivés plus nombreux que d’habitude dimanche sur les îles grecques.
Aux cris de «rentrez en Turquie», un groupe d’habitants de l’île grecque de Lesbos a empêché dimanche 1er mars une cinquantaine de migrants d’accoster avec leur canot après plusieurs heures en mer, ont constaté des photographes de l’AFP.
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Après Arcelor Mittal, Arjowiggins, Michelin à la Roche-sur-Yon, Ibiden, Bosch à Rodez, Ford à Blanquefort, c’est maintenant Renault à nouveau la victime de la concurrence mondiale. A qui le tour demain ?
Pieter Kerstens
Lors de l’adoption du traité de Maastricht, en vigueur depuis le 1er novembre 1993, tous les responsables politiques de gauche et de droite nous avaient clairement affirmé que cette Europe « sociale » serait la garante d’un nouveau développement économique et facteur de richesses nouvelles, permettant « plus de bonheur » à chacun.
On peut en conclure que ce n’était que de la poudre aux yeux, répandue par les lobbies de la gauche caviar et de la droite cosmopolite, destinée à mettre en place le Nouvel Ordre mondial.
Les nationalistes se sont toujours opposés aux docteurs honoris causa du mondialisme qui dévaste tous les secteurs économiques européens, pour le seul bénéfice des pays sous-développés qui nous submergent de leurs productions à prix bradés et de qualité médiocre.
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La montée de l’extrême droite en Allemagne ?, par Olivier Perceval.
Une bonne partie de la presse, dont Marianne, tombe à bras raccourcis sur Rachida Dati avec une mauvaise foi confondante, suite à son intervention sur une chaine d’information continue au cours de laquelle elle inscrit le drame d’Hanau comme une conséquence de la politique migratoire irresponsable d’Angéla Merkel.
Qu’il y ait une montée du racisme dans ce pays, en dehors du fait que ce soit naturellement condamnable, n’est pas étonnant, et que des déséquilibrés passent à l’acte, si on se réfère au nombre de déséquilibrés islamistes qui tuent, pas étonnant non plus. Pourtant, on ne peut s’arrêter à ce simple constat que l’extrême droite, voire, disons-le, le nazisme fait à nouveau émerger ses naseaux fumants de haine à l’Est du Rhin. C’est une spécialité de la gauche, aussi de ceux qui, de droite dite républicaine, ont définitivement opté pour l’indignation à sens unique, de ne jamais chercher les causes des drames de notre société d’aujourd’hui. Depuis le temps qu’ils guettent la responsabilité d’une extrême droite fantasmée dans la montée de l’antisémitisme, qu’ils cherchent à débusquer les propos racistes de petits blancs dans les bistrots pour asséner avec grands renforts médiatiques la renaissance de la bête immonde, voilà qu’un dingue leur offre sur un plateau (télé) une tragédie en 3D. C’était inespéré pour faire valoir à nos yeux ébahis, que le problème de notre société est aujourd’hui, après les populistes et, sous-entendu en lien avec eux, la montée du fascisme et même du nazisme.
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Selon que vous soyez gaulois ou non…
La chronique de Philippe Randa
Rachida Dati ne mâche pas ses mots. Et quels mots ! Que ce soit à l’encontre d’Angela Merkel qui « paie aujourd’hui au prix fort cette ouverture massive des frontières, (dont elle) « n’a pas mesuré les conséquences » (et qu’elle a décidé) « sans anticipation » (déclarations à FranceInfo) ou d’Anne Hidalgo dont elle rappelle les propres déclarations (« Je m’inspire de Mme Merkel en disant moi aussi je veux accueillir massivement, bienvenue aux migrants et aux réfugiés à Paris »), elle en conclue, lapidaire :« Ça a abouti à quoi ? À la dépossession de l’espace public et privé des Parisiens du nord et de l’est de Paris (et à) une explosion de la délinquance… »
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