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Une Nation garante de ses frontières, de l'identité et de l'unité de son peuple, est seule capable de faire face à l'urgence écologique !
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Le colonialisme, une « faute de la République » ?
Le 21 décembre 2019, à Abidjan, en dénonçant le « colonialisme faute de la République » et non de la France (à moins que, pour lui, France=République), Emmanuel Macron a désigné les vrais responsables de la colonisation, ce « péché » qui sert aujourd’hui à désarmer la résistance au « grand remplacement ».
Etat de la question :
1) Dans les années 1880-1890, l’idée coloniale fut portée par la gauche républicaine alors que la droite monarchiste et nationaliste majoritaire dans le pays s’y opposait[1].
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Patrick Isnard : « Il faut doubler les effectifs de la police municipale pour faire partir cette racaille ! »
Grasse (Alpes-Maritimes) a connu une nuit de grande violence, lundi soir, avec des affrontements entre jeunes et policiers, sur fond de trafics. Patrick Isnard, candidat soutenu par le RN et Robert Ménard, réagit en exclusivité pour Boulevard Voltaire et détaille ses propositions pour sa ville.
Une grande nuit de violence a eu lieu à Grasse lundi soir dans le quartier des fleurs.
Les policiers ont été pris pour cible avec des tirs de mortier.
La ville de Grasse est-elle habituée à ce genre d’actualité ? -
Renouer avec la tradition d’une politique familiale
Le 29 novembre, Jean-Paul Delevoye, alors haut-commissaire à la réforme des retraites, appelait de ses vœux l’arrivée de « 50 millions de populations entre guillemets ‘étrangères’ (sic) pour équilibrer la population active en 2050 en Europe ». Son propos se basait sur un rapport de l’ONU datant de l’an 2000, qui chiffre à 47,4 millions « le nombre d’immigrants nécessaires pour éviter un déclin de la population » de l’Union européenne, préconisant des « migrations de remplacement » pour faire face au vieillissement des populations.
Dans un entretien accordé à Catholic News Agency le 5 décembre, le ministre de la famille hongroise a justifié les nombreux efforts consentis par le gouvernement de Viktor Orban envers les familles, au nom de la survie de l’identité chrétienne du pays, et aussi de l’Europe. Katalin Novak, ministre hongrois de la famille, déclare :
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Islam en France, islam de France ?
Jérôme Besnard est élu local et conseiller national du parti les Républicains.Il a travaillé comme collaborateur d'élus dans plusieurs villes concernées par une forte activité islamique. Il a également été chargé d'enseignement en droit constitutionnel à l’Université Paris V.
Si toutes les religions se valent, pourquoi accorder une place particulière à l'islam dans l'organisation religieuse de la France ?
Parce que justement toutes les religions ne sont pas égales dans notre pays, du moment que l'on fait un minimum abstraction du droit. Elles n’ont ni la même Histoire, ni le même poids, elles ne posent pas les mêmes problèmes au pouvoir temporel. Le christianisme s’accorde très bien de la laïcité envisagée comme distinction du temporel et du spirituel. Minorité se pensant comme une minorité, le judaïsme a accepté il y a déjà plus de deux siècles de se plier aux règles concordataires imposées par Napoléon. Religion qui a été la matrice de l'unité française à côté de l'œuvre politique des rois de France, le catholicisme continue de modeler le paysage français par ses églises et ses cathédrales. Il n'a cédé ses prérogatives que devant la force déployée par l'idéologie radical-socialiste sous la IIIe République. L'Islam lui, à la différence des deux autres est une religion d'importation et d'implantation récente liée un phénomène politique et économique l'immigration de masse.
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Le gouvernement vient de décider la baisse de taxes… pour les clandestins accédant à un titre de séjour !
Les contribuables français (pour qui il n’y a plus d’argent) qui respectent les règles continueront, eux, à tout payer au prix fort !
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Pour une préférence civilisationnelle
Jean-Yves Le Gallou, créateur de la fondation identitaire Polémia, et cofondateur de l’Institut ILIADE, réfléchit aux conditions d'un avenir respectueux de ce que nous sommes, nous autres Européens. Il réfléchit à l’idée d'une préférence civilisationnelle.
Entretien avec Jean-Yves Le Gallou
Jean-Yves Le Gallou, vous proposez ces derniers temps le concept de « préférence civilisationnelle ». Pourquoi ne pas vous borner à la préférence nationale, dont on a beaucoup parlé ?
La préférence nationale renvoie à un concept juridique qui est le concept de nationalité. C'est la préférence pour les détenteurs de la nationalité. Aujourd'hui, la nationalité est devenue un concept juridique, déconnecté du concept identitaire. Résultat ? Beaucoup de Français vont se sentir mieux à Prague, Budapest ou Porto qu'en Seine Saint-Denis par exemple. La préférence de civilisation renvoie à une identité culturelle commune et je crois que c'est un ressenti de plus en plus partagé que, justement, l'identité c'est la culture commune. Je vous en donnerais un exemple nous avons fait, avec Polémia, une vidéo intitulée "Être français" qui a recueilli 1 300 000 vues sur You tube. Nous avons lancé ensuite avec l'Institut ILIADE, une vidéo intitulée "Être européen ». L'opinion générale était que l'Europe n'aurait aucun succès et que nous n'atteindrions pas les chiffres de la précédente, que nous ferions trois ou quatre fois moins de vues. En réalité, elle en a fait trois fois plus : 3 750 000 vues, seulement en France. C'est un signe. Qu’est-ce qu’être un Français aujourd'hui ? Mohammed qui voile sa femme est français. La nationalité tend à devenir un concept purement juridique, sans prise sur la réalité.
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Vers la révolution culturelle islamique
Un nouvel islam est apparu ces dernières décennies. Un islam qui a forgé le concept d'islamophobie pour réduire au silence ses opposants. Un islam qui peut enfin prétendre à l’universalité car il s'uniformise grâce à l’islamophobie, ce nouveau délit, qui est aussi l’outil uniformisateur d'une communauté qu se constitue au fur et à mesure qu'on en parle.
La nouvelle communauté politique - que l’on peut appeler faute de mieux l'islam à l'Occidentale - est une coproduction, que se partagent les musulmans réformateurs et des Occidentaux déconstructeurs.
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Les errements de la repentance
« Le colonialisme a été une erreur profonde, une faute de la République ». Cette affirmation du chef de l’Etat est discutable à plus d’un titre. La République n’est pas la première ni la principale responsable du colonialisme français. Celui-ci a commencé sous la monarchie, au XVIe et au XVIIe siècle (Canada, Indes, Antilles, Floride, la Réunion). La conquête de l’Algérie a débuté sous Charles X et le Second Empire de Napoléon III lui a donné une forte impulsion. De même c’est le Second Empire, et non la République, qui a amorcé les grands courants de colonisation française de l’Afrique subsaharienne (Sénégal) et de l’Asie (Cambodge). La colonisation ne peut évidemment pas se limiter à la France: l’Espagne et le Portugal, en Amérique du Sud, le Portugal en Asie et en Afrique, le Royaume-Uni dans le monde entier, furent d’autres grandes puissances colonisatrices, pour ne parler que de l’Europe.
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Alors, par Benallix, la colonisation romaine, c’est du lard ou du sanglier ?
La joute a tout de l’antique et Twitter s’est transformé, le temps d’une polémique, en amphithéâtre romain. Tout est parti d’une salve d’Alexandre Benalla, qui surgit toujours dans des lieux inattendus avec des uniformes encore plus inattendus. Je ne sais si c’est la place de la Contrescarpe qui l’a rendu sensible à cette archéologie souterraine sur laquelle nous déambulons tous les jours.
« La “Gaule”, ancêtre de la France, était composée de tribus qui passaient leur temps à s’affronter, jusqu’à l’arrivée de la colonisation ROMAINE, qui nous a dotés d’infrastructures, d’une langue, … La France ne serait pas la France si elle n’avait pas été colonisée ! »