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immigration - Page 660

  • Suisse: Selon l'UDC, « 60 % des personnes accusées de viols en 2018 étaient des étrangers »

    viol.jpgEn Suisse comme dans de nombreux pays européens, la question des violences faites aux femmes est un sujet d’actualité. Mais le lien entre ce phénomène et l’immigration extra-européenne est un tabou que de peu de responsables politiques osent évoquer. Toutefois, l’UDC déroge à cette loi du silence…
    L’UDC (Union démocratique du centre) affûte ses armes pour les prochaines élections fédérales suisses qui se tiendront au mois d’octobre prochain.
    Lors d’une conférence de presse donnée à Berne mardi 13 août, la formation politique de tendance conservatrice et nationaliste a décidé de remettre la question sécuritaire au cœur des débats.
    Dans cette optique, l’UDC a choisi un slogan sans ambiguïté : 

    « La criminalité porte un nom : l’immigration démesurée. » 

    Lors de ce rendez-vous, le parti a présenté un document stratégique mettant en lumière ses principaux axes de réflexion. L’UDC entend ainsi dénoncer « l’état d’anarchie vers lequel s’achemine le pays ». Ce plongeon dans l’abîme serait une conséquence de « l’immigration incontrôlée, des frontières ouvertes, de l’espace Schengen, de l’Union européenne et de la justice laxiste ». Selon les mots utilisés par l’UDC, la Suisse serait devenue « la Mecque des criminels étrangers ».
    Quant à l’adhésion à l’Espace Schengen, le parti a donc un regard critique : celle-ci fait dorénavant apparaître la Suisse comme un État où la criminalité est élevée. Une situation à laquelle l’UDC veut mettre un terme, afin que ce pays à l’image paisible ne devienne pas un « eldorado des criminels de tous bords ».
    Suisse : violences faites aux femmes et immigration
    À l’occasion de ces déclarations publiques, l’UDC s’est arrêtée plus particulièrement sur la question des violences commises contre les femmes. Un sujet sur lequel les non-dits sont souvent nombreux, notamment en ce qui concerne le profil des coupables. En se basant sur des statistiques officielles, l’UDC indique que 60 % des personnes accusées de viols en 2018 étaient des étrangers. De plus, le nombre de ressortissants étrangers inculpés pour une violation du Code pénal était en augmentation de 4 % au titre de la même année. Pour le parti, « les migrants sont surreprésentés chez les criminels ».
    Ces mêmes statistiques précisent aussi qu’en 2018, 432 754 violations du Code pénal ont été recensées ainsi que 76 308 de la loi sur les stupéfiants et 38 405 de la loi concernant les étrangers.
    Une fois rappelé ces chiffres éloquents, l’UDC a tenu à dénoncer le rôle de l’État suisse, qui serait plus enclin à s’occuper de thèmes secondaires que de mener à bien sa mission essentielle : la protection de ses citoyens contre l’insécurité. Et tout particulièrement celle frappant les femmes. Pour le président de l’UDC Albert Rösti, « c’est nouveau aussi d’avoir une augmentation de cette violence, que l’on doive avoir peur en sortant ».
    Afin de mettre un terme à cette situation où les femmes suisses voient leur sécurité remise en cause par des migrants extra-européens, l’UDC préconise d’imposer de nouveaux contrôles aux frontières et de stopper l’immigration illégale et l’arrivée de criminels sur le sol du pays. Selon le parti, tous les étrangers criminels et les prétendus « cas individuels » doivent être systématiquement expulsés.
     
    Arthur Keraudren pour breizh-info.com
  • Lannion (22) : sans-papiers, des tentes sur le quai d’Aiguillon pour attirer l’attention

    Ce lundi 12 août, le Collectif de soutien aux sans papiers cherchait à alerter les autorités sur le sort de plusieurs familles de migrants, menacées d’être « mises à la rue ».

    Parmi ces familles, celle de Babouana. Elle est arrivée en France il y a quatre ans avec ses enfants, pour rejoindre son mari. Depuis un an, elle loge à l’hôtel et redoute d’être mise à la porte :

    J’ai quatre enfants, deux fois des jumeaux. Ils sont déjà scolarisés à l’école de Pen Ar Ru et tout se passe bien, ils sont bien intégrés. J’ai peur.

    En effet, le CSSP [Collectif de soutien aux sans papiers], qui fournit une aide juridique aux sans papiers pour mener à bien leurs démarches administratives, est dans l’impasse. Les dossiers de ces familles ont été clos, les recours sont épuisés. (…)

    Pour autant, les autorités concernées, à la Maison du Département, se laissent jusqu’au 20 août pour statuer sur ces dossiers.

    Actu.fr

    http://www.fdesouche.com/1248783-lannion-22-sans-papiers-des-tentes-sur-le-quai-daiguillon-pour-attirer-lattention

  • Immigration : les USA vont refuser la nationalité aux immigrants bénéficiant d’aides publiques

    Trump.jpg

    Nos médias, c’est sûr, vont encore se déchaîner contre Donald Trump qui, il faut le reconnaître, prend à cela un plaisir évident. En cause, une nouvelle fois : l’immigration « choisie » et le renforcement de ses critères de sélection.
     
    L’annonce est arrivée ce lundi : désormais, les immigrants bénéficiant d’aides publiques, c’est-à-dire jugés susceptibles de devenir, à terme, « des charges pour la société », se verront refuser l’accès au territoire, et s’ils sont déjà entrés, on leur refusera la fameuse carte verte. Quant à ceux qui la possèdent, ils ne pourront acquérir la nationalité américaine.
     
    C’est simple, c’est carré et, dit la Maison-Blanche, dans son communiqué : cela « protégera les contribuables américains, préservera notre système d’aides publiques pour les Américains vulnérables et fera respecter la loi ». 
     
    Elle ajoute : 

    « Depuis des années, cette exigence claire a été largement ignorée, faisant peser une énorme charge sur les contribuables américains. Aujourd’hui, la loi sur les charges pour la société va enfin être mise en œuvre. » 

    Le directeur des services de l’immigration précise : 

    « Avec la réglementation des charges pour la société, le gouvernement du président Trump défend à nouveau les idéaux d’autonomie et de responsabilité individuelle, en s’assurant que les immigrants sont capables de subvenir à leurs besoins et de réussir ici, en Amérique. »

    Nos belles âmes vont frémir, s’indigner, pousser des cris d’orfraie… Comment, quelle honte, quel scandale ! Et les droits de l’homme, dans tout ça ?
     
    Car notre pays, qui fait de cette question migratoire un enjeu strictement idéologique à prétention « morale », est en train de crever doucement sous les bons sentiments. Comme le revendiquait le théâtreux Jean-Michel Ribes, voilà deux jours, sur LCI, « la civilisation, aujourd’hui, ce doit être la loi du plus faible ». C’est sûr, avec des idéaux comme ça, on en finira plus vite de la France et des Français.
     
    En ce domaine où les fameuses « valeurs de gauche » alimentent toutes les surenchères, refusant toute approche pragmatique ou comptable, notre pays renâcle à opter pour une immigration véritablement choisie, comme cela se pratique aujourd’hui aux USA, au Canada, en Australie ou en Nouvelle-Zélande, tous pays de forte tradition immigrée. Les entrants y sont sélectionnés sur de stricts critères prouvant qu’ils pourront contribuer à l’essor économique du pays dans lequel ils s’installent.
     
    Au Canada, par exemple, et singulièrement au Québec, on sélectionne d’abord sur l’origine géographique : pas plus de 30 % de travailleurs africains, et le quota doit être constitué à 60 % de francophones. Le tri, drastique, se fait sur les diplômes, et pour ceux qui souhaitent obtenir à terme la nationalité canadienne, chaque élément du parcours professionnel et familial est scruté à la loupe.
     
    Et si les provinces canadiennes accueillent aussi leur comptant de réfugiés, ceux-ci doivent avoir un sponsor (famille ou association) qui financera leur logement et leur vie sur place. Occasion de rappeler, au passage, que les jeunes allant faire leurs études au Canada doivent justifier en permanence d’un compte en banque suffisamment provisionné pour subvenir à tous leurs besoins.
     
    Éric Brunet, qui explorait le sujet pour Valeurs actuelles, l’an passé (février 2018), soulignait qu’en Australie, « 68 % des immigrants relèvent de la catégorie “immigration qualifiée”. Les 32 % restants [étant] arrivés dans le cadre du regroupement familial. » Quant à la sélection des impétrants, elle passe « par un système à points, qui permet d’évaluer leur niveau d’anglais, leurs diplômes, leurs expériences professionnelles ».
     
    Efficacité plutôt qu’idéologie, c’est la recette des pays qui ont décidé de faire de l’immigration un atout économique. La France, hélas, persiste dans la démarche inverse et nous sommes en train de crever d’un système qui voit le pays se vider de ses élites formées à grands frais et se remplir d’assistés et de chômeurs.
    Marie Delarue pour bvoltaire.fr
  • Immigration. Antonio Banderas veut aider l’Afrique… avec l’argent des autres

    Open Arms.jpgAprès Richard Gere, c’est au tour de l’acteur Antonio Banderas de prendre position en faveur des migrants embarqués sur le navire Open Arms de l’ONG espagnole Proactiva.
    Va-t-on assister aux complaintes du Tout Hollywood concernant les navires des ONG pro-migrants bloqués par les autorités en Méditerranée.
    À la suite de Richard Gere, Antonio Banderas s’est lui aussi ému du sort des extra-européens cherchant à gagner l’Europe.

    Antonio Banderas : « une horreur » que les migrants ne puissent pas débarquer en Europe

    Dimanche 11 août, tandis qu’il assistait à la conférence de presse de présentation du Gala Starlite, il a déclaré que c’était « une horreur » que le navire Open Arms, affrêté par l’ONG espagnole Proactiva et transportant aux dernières nouvelles plus de 150 migrants, soit bloqué au large de l’île italienne de Lampedusa et ne puisse accoster dans un port de l’UE. 
    Sans surprise, Antonio Banderas s’est aussi fendu du couplet politiquement correct habituel : 

    « Le problème des populismes, de droite et de gauche, réside dans l’impossibilité pour les partis traditionnels de résoudre les problèmes. C’est à ce moment-là que les gens vont aux extrêmes pour voir s’ils trouvent des solutions ».

    Comme chez de nombreuses personnalités du monde du cinéma, le couplet anti-Trump était également de mise pour l’acteur espagnol : « aux États-Unis, il y a un président qui veut construire un mur, c’est la solution qu’il propose ». Rien de nouveau sous le soleil hollywoodien…
    Antonio Banderas veut un plan Marshall pour l’Afrique
    Selon lui, il « existe des solutions réalistes aux problèmes, pas seulement de l’Afrique, mais pour le Nord et le Sud ». Des solutions qui nécessitent cependant « beaucoup de fonds et d’années, probablement des décennies, à la communauté internationale ». De quoi envisager de « planifier un plan Marshall en Afrique, par exemple. »
    Quant aux moyens à employer pour y parvenir, Antonio Banderas estime qu’il faudrait « améliorer les communications, conclure des accords avec les pays, respecter leurs cultures et leurs traditions et, en même temps, injecter des fonds pour vivre ». Avant de préciser qu’un tel programme ne serait pas « populaire » car « nous aurions besoin de fonds qui devraient sortir des poches des citoyens des pays développés. »
    À commencer par les poches du riche acteur et producteur espagnol ? Antonio Banderas est en revanche rester silencieux en ce qui concerne son éventuelle participation financière.
    Pour rappel, dans sa réponse à Richard Gere il y a quelques jours, le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini avait ouvert, non sans humour, une piste de réflexion concernant l’accueil de ces centaines de migrants extra-européens :

    « Puisque ce généreux millionnaire a fait part de son inquiétude concernant le sort des migrants de l’Open Arms, nous le remercions : il peut ramener à Hollywood tous les gens à bord, dans son jet privé, et les accueillir dans ses villas. Merci Richard ! ».

    Une solution sur laquelle pourrait aussi méditer Antonio Banderas.
    Arthur Keraudren pour breizh-info.com
  • Méditerranée : l’Open Arms devant Lampedusa, vers un accord entre la France, l’Allemagne et l’Espagne pour répartir les migrants

    15/08/19

    Six pays, dont la France, prêts à recevoir des migrants de l’Open Arms

    L’Open Arms, bloqué dans les eaux internationales, a été autorisé par la justice italienne à se diriger vers l’île de Lampedusa. Six pays de l’Union européenne sont prêts à recevoir les migrants du bateau humanitaire.

    Six pays de l’Union européenne se sont manifestés pour accueillir une partie des 147 migrants embarqués sur le navire humanitaire de l’ONG espagnole Proactiva Open Arms, qui se trouve depuis jeudi au large de l’île italienne de Lampedusa, a annoncé jeudi le Premier ministre italien Giuseppe Conte.

    « La France, l’Allemagne, la Roumanie, le Portugal, l’Espagne et le Luxembourg viennent à peine de m’indiquer qu’il sont prêts à recevoir des migrants », a écrit M. Conte dans une lettre ouverte adressée au ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini. […]

    bienpublic.com

    Le navire humanitaire de l’ONG espagnole Proactiva Open Arms a jeté l’ancre jeudi juste en face de l’île de Lampedusa (Italie) avec 147 migrants à bord, en plein débat gouvernemental sur la légitimité de leur présence dans les eaux italiennes.

    « J’ai décidé de ne pas signer le nouveau décret du ministre de l’Intérieur destiné à empêcher l’entrée, le transit et l’arrêt dans les eaux territoriales du bateau de l’ONG Open Arms », a stipulé jeudi dans un communiqué la ministre de la Défense italienne Elisabetta Trenta.

    Le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, qui réclame une rotation en Europe des ports de débarquement, avait signé début août un décret interdisant, au nom de la défense de l’ordre public, les eaux italiennes à l’Open Arms.

    Une décision prise par un tribunal administratif, suite à un recours d’Open Arms, a toutefois suspendu mercredi ce premier décret.

    Dans la foulée, Matteo Salvini a signé un nouveau décret pour barrer la route au bateau. Son pouvoir de ministre se trouve toutefois grandement affaibli, depuis qu’il a fait voler en éclat jeudi dernier son alliance gouvernementale formée depuis 14 mois avec le Mouvement Cinq Etoiles (M5S, anti-système).

    Les décrets de M. Salvini doivent notamment être signés par la ministre de la Défense, qui se trouve précisément être membre de M5S, formation qui n’entend de toute évidence plus suivre ses ordres après avoir été lâchée.

    « J’ai pris cette décision motivée de solides raisons légales, en écoutant ma conscience. Nous ne devons jamais oublier que derrière les polémiques de ces derniers jours, il y a des enfants et des jeunes qui ont souffert de violences et d’abus de tous types. La politique ne peut jamais perdre de vue l’humanité », a expliqué jeudi Elisabetta Trenta dans son communiqué.

    La veille, elle avait déjà dépêché deux navires pour escorter l’Open Arms, dans un souci d’évacuer les 32 mineurs à bord, après deux semaines à bord.

    Réagissant sur les réseaux sociaux jeudi, Matteo Salvini lui a vertement rétorqué: « humanité ne signifie pas aider les trafiquants et les ONG ». […]

    L’Ocean Viking, le navire de SOS Méditerranée et Médecins sans frontières (MSF) qui cherche également un port pour plus de 350 migrants, se dirigeait jeudi vers le nord et se trouvait bien au delà de Lampedusa et de Malte.

    lexpress.fr

    Migrants à bord de l’Open Arms en Méditerranée : vers un accord entre la France, l’Allemagne et l’Espagne

    Selon El Pais, la France, l’Allemagne et l’Espagne seraient sur le point de se mettre d’accord à propos de la répartition des migrants de l’Open Arms, coincé en mer depuis 14 jours.

    En mer Méditerranée depuis 14 jours, avec 147 migrants à son bord, l’Open Arms pourrait voir sa situation se débloquer. Selon le quotidien espagnol El Pais, un accord européen est sur le point d’être trouvé pour répartir l’accueil de ces rescapés. La France, l’Allemagne et l’Espagne auraient accepté de prendre leur part pour résoudre cette situation qui n’en finit plus de se répéter. Depuis un an, le gouvernement italien refuse de laisser accoster un navire sur son territoire avant que la répartition des migrants entre pays européens ne soit effectuée. […]

    A Paris, la présidence de la République avait assuré mercredi que la France était « active », « en lien avec la Commission européenne », pour trouver une solution pour les quelque 500 migrants des deux navires, tout en rappelant ses deux principes : débarquement dans « le port sûr le plus proche » puis répartition des migrants.

    lejdd.fr

    14/08/19

    Le navire humanitaire espagnol Open Arms avec à son bord 160 migrants récupérés en Méditerranée au large de la Libye doit être autorisé à entrer dans les eaux territoriales italiennes contrairement à ce que dit le ministre de l’Intérieur.

    Le ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, a fait savoir mardi qu’il bloquerait l’Open Arms, ainsi que l’Ocean Viking, un navire affrété par les ONG Médecins sans Frontières (MSF) et SOS Méditerranée. Ce dernier navire a pour sa part recueilli quelque 350 migrants, également au large de la Libye. La justice italienne a décidé ce mercredi 14 août d’autoriser le bateau humanitaire à entrer dans les eaux territoriales italiennes.

    L’association humanitaire espagnole Open Arms avait saisi la justice pour demander à ce que son navire soit autorisé à entrer en Italie sur la base du droit maritime international. Dans sa décision, le juge administratif déclare que la plainte d’Open Arms « ne semble pas être totalement dénuée de fondement juridique » et que le navire est confronté à une situation « exceptionnellement grave ».

    Jusqu’à 1 million d’euros d’amende

    De ce fait, le bateau doit être autorisé à pénétrer dans les eaux italiennes et doit recevoir une « assistance immédiate » pour les personnes sauvées « qui en ont le plus besoin ». Les magistrats ne précisent toutefois pas si le bateau doit être autorisé à accoster ni si les migrants peuvent débarquer. […]

    ouest-france.fr

    Rappel : Madrid a menacé le 27 juin l’ONG espagnole Open Arms d’une amende allant de 300 000 à 900 000 euros si son navire humanitaire porte secours à des migrants dans la zone de recherche et de sauvetage, au large de la Libye. L’Opens Arms n’est autorisé qu’à se rendre en Grèce pour apporter du matériel humanitaire

    http://www.fdesouche.com/1248621-openarms-la-justice-italienne-desavoue-matteo-salvini-et-autorise-lopen-arms-a-penetrer-dans-les-eaux-italiennes

  • Il faut soutenir le soldat Salvini

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    Le billet de Patrick Parment

    Une fois de plus on constate l’assourdissant silence de l’Europe au sujet des migrants illégaux qui pénètrent sur nos terres notamment via ces nouveaux terroristes que sont les ONG en général et maritimes en particulier. C’est, entre autres, l’île de Lampedusa en Italie qui en est souvent la cible et la raison pour laquelle le ministre de l’Intérieur et l’homme fort du régime italien, Matteo Salvini, a pris un décret interdisant à ces navires d’accoster dans les ports italiens et de déverser leurs flots de migrants au nom d’un humanisme de pacotille. De fait, ces actes illicites relèvent plus de la pure provocation que d’un humanisme bien tempéré et plutôt mal placé.

    Car, à bien des égards, permettre à des migrants de pénétrer en Europe est un acte criminel. A plusieurs titres. Le premier est que ces migrants ne trouveront pas de travail et qu’ils seront condamnés à la mendicité et à venir grossir le flot d’un lumpenprolétariat qui ne profite qu’aux esclavagistes du travail au noir. Deux, que ces migrants pèsent sur les finances publiques en matière de santé et d’aides sociales diverses et variées. Trois, que ces migrants viennent enrichir les chiffres, déjà alarmants, de la délinquance comme peuvent en témoigner tous les pays de l’ex-Europe occidentale. Tiens, comme c’est bizarre ! Quatre, parce qu’il est criminel de la part de ces ONG d’aider des familles entières qui n’hésitent pas à mettre en danger la vie de leurs propres enfants au nom d’un avenir qui ne sera pas meilleur que celui des bidonvilles dont ils sont issus.

    Matteo Salvini est d’autant plus un symbole de résistance qu’il a le peuple italien derrière lui. Contre lui, toute la camarilla bien-pensante de la démocratie chrétienne chapeautée par un jésuite déguisé en pape. Autrement dit, un faux-cul sud-américain qui n’en a rien à foutre de l’Europe. Et qui ne cesse de le prouver par ses propos délirants.

    Inutile de préciser que Matteo Salvini se bat également contre le lobby franc-maçon bien implanté à Bruxelles, à l’humanisme frelaté mais au libéralisme bien ancré. Sans compter aussi sur le lobby des instances juives qui ne veulent surtout pas qu’une Europe indépendante et forte, maîtresse de son destin, viennent contrarier les intérêts de sa seconde patrie, l’Amérique. C’est d’ailleurs, sur le fond, tout le combat qui se déroule actuellement entre les tenants d’un libéralisme mondialisé et suicidaire et les antilibéraux qui veulent un retour aux politiques de proximité. Une fois de plus, nous constatons toutes les limites que nous impose la démocratie dans l’oubli du politique.

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  • Demandeurs d’asile logés à la Côte d’Azur, nourris, blanchis, avec 300 euros d’argent de poche… Beaucoup de Français dans la misère aimeraient la même assistance…

    Cette courte séquence réalisée par FR3 en dit long sur la politique de préférence étrangère. Combien de Français vivant dans la misère, dans des taudis (sans même parler de ceux qui vivent à la rue), échangeraient volontiers leur situation contre celle offerte aux demandeurs d’asile dont il est question dans ce reportage, logés gratuitement dans des studios remis à neuf, dans un joli petit village de la Côte d’Azur, eau et électricité également gratuites, avec une enveloppe mensuelle de 300 euros et un chauffeur pour vous conduire au supermarché…

    Rappelons que cela se passe à Châteaudouble, village de moins de 500 habitants qui accueille 72 demandeurs d’asile, tous des jeunes hommes,… Et comme le montre l’affiche ci-dessous, le village est déjà invité à se diluer dans le multiculturalisme.

    https://www.medias-presse.info/demandeurs-dasile-loges-a-la-cote-dazur-nourris-blanchis-avec-300-euros-dargent-de-poche-beaucoup-de-francais-dans-la-misere-aimeraient-la-meme-assistance/111459/

  • Face à la hausse des arrivées de migrants, la Grèce tire la sonnette d'alarme

    migrants.jpgCe lundi 12 août, le gouvernement grec s'est dit “profondément inquiet” de la hausse des arrivées de migrants sur les îles égéennes.
    Ce lundi 12 août, le gouvernement du pays s'est déclaré « profondément inquiet » de l'augmentation des arrivées de migrants sur les îles égéennes, ces dernières semaines.
    Pour les autorités, la nouvelle Commission européenne doit procéder à « un partage plus juste du fardeau », rapporte Le Figaro.
    « Depuis le 7 juillet, il n'y a pas eu un seul jour sans arrivée », a fait savoir Georges Koumoutsakos, le ministre adjoint chargé de la Protection du citoyen, dans une interview au quotidien Kathimerini. Et d'ajouter que le nombre de migrants arrivés sur les cinq îles égéennes « a dépassé les 20.000, ce qui constitue une augmentation de 17% en quelques semaines ».
    [...]
    En savoir plus sur valeursactuelles.com

    https://www.peupledefrance.com/2019/08/hausse-arrivees-migrants-grece.html

  • Immigration : comment nos politiques se sont lié les mains

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    La question de l’accueil des migrants de Méditerranée resurgit violemment avec la reprise de l’activité par les deux navires de sauvetage Open Arms et Ocean Viking. Et la tension entre les pays européens grimpe de nouveau, nous rappelant que le problème reste entier et devant nous si nous continuons à ne rien faire pour le régler. Mais comment nos politiques se sont-ils lié les mains et ont organisé, amplifié l’appel d’air immigrationniste que nous connaissons ?

    Quand on pense à la protection internationale des réfugiés, on pense immédiatement à la Convention de Genève de 1951, qui demeure l’instrument privilégié en ce domaine et concerne les personnes persécutées du fait de leur race, leur religion, leur nationalité, leur appartenance à un certain groupe social ou leurs opinions politiques. Toutefois, la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales (CEDH), signée par les États membres du Conseil de l’Europe en 1950, vient s’intercaler dans le dispositif en ce qu’elle vise aussi à protéger quiconque, et donc les « migrants », de la torture, des peines et traitements inhumains et à ne pas les expulser vers un pays où ils courent le risque d’être victime d’un tel traitement. Cette Convention proclame aussi le droit au respect de la vie privée et familiale, ce qui recouvre le regroupement familial (art. 8).

    Pour sa part, le traité sur l’Union européenne, dans sa version consolidée après le traité de Lisbonne de 2009, dispose à son article 6 que l’Union adhère à la CEDH et que celle-ci fait partie du droit et des principes généraux de l’Union. En décembre 2011, l’Union européenne va plus loin et adopte la directive 2011/95/UE, qui fait elle-même référence à la Convention de Genève et qui consacre une « protection subsidiaire » à côté de celle du statut de réfugié traditionnel. Celle-ci est attribuée à l’étranger qui ne remplit pas les conditions d’obtention du statut de réfugié et qui prouve qu’il est exposé, dans son pays, à la peine de mort, la torture, les traitements inhumains ou dégradants, mais aussi – et c’est là que le bât blesse – à une « menace grave et individuelle contre sa vie ou sa personne en raison d’une violence qui peut s’étendre à des personnes sans considération de leur situation personnelle et résultant d’une situation de conflit armé interne ou international ». C’est évidemment la porte ouverte à l’immigration massive incontrôlée, compte tenu du nombre de conflits dans le monde. On voit donc bien comment l’étau s’est petit à petit resserré et a fini par nous étrangler. Notons que les deux tiers des migrants recueillis sur les deux navires susnommés sont d’origine soudanaise ou d’Afrique de l’Ouest, principalement du Sénégal mais aussi de Côte d’Ivoire, deux pays qui ne sont nullement en guerre.

    Pour aggraver la situation, la loi française n° 2012-1560 du 31 décembre 2012 poussa le raisonnement jusqu’au bout en supprimant le délit de séjour irrégulier sur notre territoire suite à plusieurs arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne allant dans le sens de ce qui précède.

    Alors, comment sortir de cet étau ? La loi 2018 « pour une immigration maîtrisée, un droit d’asile effectif et une intégration réussie » n’est qu’une adaptation à cette situation et a vocation à essayer vainement de réduire les délais d’attente et davantage reconduire à la frontière. Autant de vœux régulièrement formulés depuis vingt ans par les gouvernements successifs. Ce n’est pas un cap de fermeté contre l’immigration massive comme annoncé par Emmanuel Macron. Pour couronner le tout, le pacte de Marrakech de 2018, pacte mondial « pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », vise in fine, petit à petit, à imposer une coopération en matière de migrations internationales et vient encore obscurcir l’émergence de solutions alternatives.

    En dehors d’une sortie ou d’une révision des dispositions de la CEDH en matière d’asile et d’une réécriture plus stricte de la notion de protection subsidiaire, on ne mettra pas fin à cet appel d’air permanent. En attendant, gageons que l’Union européenne va, une fois de plus, accueillir les 500 migrants de l’Open Arms et de l’Ocean Viking.

    Philippe Franceschi

    https://www.bvoltaire.fr/immigration-comment-nos-politiques-se-sont-lie-les-mains/

  • Pas de vacances pour les Bien-Pensants !

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    Par Anne-Sophie Chazaud

     Cette semaine a permis d’assister au spectacle drolatique des Belles Ames, lesquelles ne savent plus trop quoi faire pour occuper leur temps libre.

    L’acteur Richard Gere tout d’abord, devenu comique malgré lui, est venu faire le show en Méditerranée avec des migrants dont il demande au petit peuple européen d’assurer l’accueil, se gardant naturellement bien de les emmener sous son bras généreux dans sa villa cossue. Il faut dire, le monde hollywoodien semble être en proie à quelque redoutable bacille toxique, en pleine décompensation anti-Trump, ne sachant plus trop quoi produire comme preuve de sa bien-pensance malsaine contre laquelle des décennies de psychanalyse caricaturale et onéreuse ou de méditation guidée auront été manifestement inefficaces. Ainsi, Rosanna Arquette, la malheureuse possédée, s’est déclarée dans la même semaine «honteuse et dégoûtée d’être née blanche et privilégiée» (même si cela présente toutefois l’avantage de pouvoir recourir abondamment à la chirurgie esthétique laquelle n’est, comme chacun sait, pas accessible au tout venant). Bref, ces pauvres gens vont mal et il semble urgent de s’en prémunir par quelque prophylaxie de circonstance, bien que le rire demeure la première des médecines.

     Richard Gere, Rosanna Arquette et le Pape

    Le Pape, ensuite, semble désormais clairement faire partie des croix et des épreuves que les Chrétiens doivent porter pour gagner leur chemin au Paradis. Coutumier des déclarations-bouillies, François a cette fois-ci décidé de s’essayer à la philosophie politique (demain ce sera peut-être le macramé, qui sait ?), fustigeant tout à trac le méchant «souverainisme». Jusqu’à présent, on avait le célèbre mantra «le nationalisme c’est la guerre». Désormais, c’est carrément le souverainisme issu lui-même du méchant «populisme» qui nous conduit tout droit à Hitler en personne.

    Forcément, que les peuples soient souverains, c’est dangereux. Celui que le destin vengeur nous a imposé comme Pape concède tout de même qu’il est normal que les peuples détiennent leur souveraineté (Comment, du coup? Par l’opération du Saint-Esprit? Nul ne saura, c’est un épais mystère jésuitique…), mais à la condition au fond de ne pas l’exercer et d’être privé des moyens pour cela. Il est du reste bien connu qu’avant l’avènement funeste du rouleau compresseur institutionnel de l’Union européenne, les peuples européens vivaient repliés sur eux-mêmes à la manière des bigorneaux, n’avaient jamais de contacts entre eux… La culture européenne d’ailleurs n’existait pas, les artistes, les intellectuels, les artisans n’échangeaient pas, le commerce non plus et chacun vivait d’ailleurs tapi dans une grotte, comme Paco Rabanne à l’approche de l’an 2000.

    Il est toujours bon de rire mais…

    Notons enfin que ce biais de la question migratoire semble être le dernier moyen qu’ait trouvé le Pape pour se mêler des affaires séculières… Ce qui constitue une très sérieuse entorse à la laïcité, ce dont personne ne semble se soucier pour une fois!

    Ce n’est pourtant pas, semble-t-il, aux prélats de s’occuper des affaires politiques, ou alors, tant qu’à faire, on aimerait l’entendre un peu plus au secours de ceux qui, en Europe, souhaitent justement protéger la civilisation issue du judéo-christianisme… grâce à laquelle il a son travail. Tout comme on aimerait voir François un peu plus concerné par le sort des Chrétiens d’Orient massacrés ou persécutés.

    Il est toujours bon de rire. Mais que ce soit le Pape (qui n’a donc nul besoin de l’avion et de l’ivresse des cimes pour dire des fadaises), ou les bouffons en provenance d’Hollywood, si les Belles Âmes pouvaient se contenter de faire leur show dans le cercle familial le temps du mois d’août, cela nous ferait des vacances!

    Source : La lettre de Causeur 13/08/2019

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