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immigration - Page 653

  • « Foulards de Creil », 30 ans après, par Franck Deletraz

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    Il est des anniversaires qui montrent à quel point le mal s’est aggravé et a répandu ses métastases dans l’ensemble de ce corps malade qu’est la France. Ainsi, le trentenaire de la fameuse affaire des « foulards de Creil » : partie de l’exclusion en septembre 1989 de trois collégiennes musulmanes qui refusaient d’ôter leur voile en classe, cette affaire – dont seuls quelques rares élus ont compris à l’époque qu’elle constituait un premier pas vers une organisation islamique des quartiers ethniques – allait susciter une vive polémique, au terme de laquelle le gouvernement socialiste, avec une pleutrerie incroyable, rejetait la responsabilité sur les chefs d’établissements d’accepter d’accueillir ou non les élèves voilées. Trente ans plus tard, et après l’adoption de multiples lois, les voiles et autres hijabsont complètement envahi l’espace public français, soulignant ainsi les progrès fulgurants de l’islamisation de notre pays.

    A l’époque déjà, les grands médias, les professionnels de l’antiracisme et autres « bonnes consciences » s’étaient bien sûr immédiatement indignés du renvoi de ces trois élèves musulmanes. Malek Boutih, alors vice-président de SOS Racisme, jugeant « scandaleux que l’on puisse au nom de la laïcité intervenir ainsi dans la vie privée des gens », avait exigé leur réintégration immédiate. Tout comme Danielle Mitterrand, qui avait appelé au… « respect des traditions » (islamiques seulement). Quant à Jospin, alors ministre de l’Education, après avoir déclaré qu’il fallait respecter « la laïcité de l’école », il s’était empressé d’ajouter que « l’école est faite pour accueillir les enfants et pas pour les exclure ». A la suite d’un « accord » avec les parents, l’établissement avait donc accepté en octobre de reprendre les trois élèves, en exigeant d’elles qu’elles cessent « tout prosélytisme religieux à l’intérieur du collège » et mettent « un frein à leur comportement agressif, notamment à l’encontre des élèves musulmans moins stricts qu’elles dans l’application de la loi coranique ». Or, dès le 19 octobre, les trois collégiennes revenaient avec leur voile en classe…

    L’instrument de conquête

    Cette affaire a été la première vraie « rébellion » contre l’autorité française d’une partie de la communauté musulmane vivant sur notre sol. Sur le modèle de Creil, les cas vont ainsi se multiplier un peu partout en France. Sans la moindre réponse ferme de la part de l’Etat. C’est ainsi qu’en novembre 1989, le Conseil d’Etat, saisi par Jospin, affirmera que tant qu’elle ne constitue pas « un acte de pression, de provocation, de prosélytisme ou de propagande » (ce qui est pourtant le cas), « l’expression des convictions religieuses ne peut être interdite à l’école ». Dans la foulée, les enseignants recevront une directive les abandonnant à leur sort et, surtout, à la pression énorme (y compris physique) des familles musulmanes…

    Depuis, l’Etat a bien sûr multiplié les lois : circulaire « Bayrou » de 1994, loi de 2004 proscrivant les signes religieux ostensibles dans les établissements scolaires, loi de 2010 interdisant de se « dissimuler le visage » dans les lieux publics, Charte de la laïcité à l’école de 2013… Avec une inefficacité totale, et largement prévisible puisque, à aucun moment lors de l’élaboration de ces textes, l’Etat n’aura eu le courage de désigner l’ennemi.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 9 septembre 2019

    https://fr.novopress.info/215421/foulards-de-creil-30-ans-apres-par-franck-deletraz/

  • Immigration : comment « la carpe et le lapin » est devenu « le loup dans la bergerie »

    Quand la France avait ouvert les vannes migratoires aux Nord-Africains dans les années 60, elle avait surtout le souci de répondre aux besoins en main d’oeuvre de ses capitaines de l’industrie, du bâtiment et des travaux publics, mais sans jamais se poser la question : « et si cette migration du travail censée être limitée dans le temps allait se transformer en migration durable ? »

    Une véritable politique migratoire est d’anticiper les problèmes que des populations qui sont le produit d’une culture à l’antithèse de la sienne, comme si l’on cherchait à marier la carpe et le lapin, allaient forcément induire alors qu’elle ne pouvait dire qu’elle n’en savait rien au regard de son passé colonial dans leurs pays d’origine.

    Elle avait ouvert la porte de sa bergerie, imprudente, insouciante et inconsciente du danger auquel elle exposait les siens.

    Les accueillant comme si c’était les Espagnols fuyant la guerre civile ou les Polonais et les Yougoslaves pour travailler dans les mines.

    Elle croyait que les musulmans allaient se faire leur place dans sa société sans imaginer un seul instant que partout où ils s’installent ils veulent islamiser leur nouveau milieu d’accueil. Tous les pays conquis par les musulmans ne ressemblent plus à rien et sont des cimetières pour des morts-vivants.

    Elle feignait de le savoir, elle était toute heureuse d’approvisionner ses entreprises grosses consommatrices de main d’ouvre non-qualifiée, alors qu’elle aurait dû inciter ses industriels à les robotiser.

    Après avoir concédé à leurs pays leur droit à l’indépendance elle avait le souci de les soulager de leur surplus démographique, devenue « la poubelle de l’Algérie » selon l’expression consacrée dans les années 70.

     La France prise dans la frénésie des trente glorieuses avait failli au principe de précaution dont elle paye le prix fort présentement et comme elle n’était pas à une bavure près elle s’était mise à galvauder sa nationalité en en fabriquant des Français de papier. Il ne suffit pas d’être né sur son sol pour devenir français. De même qu’elle aurait dû en finir avec cette schizophrénie juridique de bi-nationalité. Français ou rien. Elle n’a mis en place aucun garde-fou pour se prémunir contre le danger migrationniste musulman et son corollaire le terrorisme devenu le lot quotidien de ses concitoyens depuis la marche des Beurs sous le  premier quinquennat de François Mitterrand.

    Elle s’est tirée elle-même une balle dans la tête au grand dam de ses enfants.

    Un pays qui n’est pas dans le respect de ses propres lois ne peut pas attendre à ce que ces populations qu’il veut greffer sur la sienne le fasse

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

    https://www.dreuz.info/2019/09/10/immigration-comment-la-carpe-et-le-lapin-est-devenu-le-loup-dans-la-bergerie/

  • La France ? 84 millions d'habitants et 3 millions de centenaires ! Le Système, c'est le grand foutoir généralisé...

    https://www.francetvinfo.fr/economie/fraude/fraude-sociale-pour-l-administration-nous-sommes-84-millions-d-habitants_3602027.html

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/06/la-france-84-millions-d-habitants-et-3-millions-de-centenair-6173736.html

  • Erdogan : l'arme de dissuasion migratoire

    6a00d8341c715453ef0240a4cf5c55200b-320wi.jpgCe 4 septembre à Ankara Erdogan s'est livré dans un discours télévisé à un nouveau chantage. Il demande en effet le soutien de l'Europe dans son opération pour le dépècement du territoire syrien.

    Il cherche également la pression sur les États-Unis, avec lesquels la Turquie négocie la création d'une "zone de sécurité" dans le nord-est de la Syrie, M. Erdogan s'est dit "déterminé" à ce qu'elle soit créée "d'ici la dernière semaine de septembre".

    Il se préoccupe surtout des opérations à Idleb, province syrienne frontalière où résident environ 3 millions de personnes dont un nombre croissant de réfugiés venus d'Afghanistan. Quoique Russes, Iraniens et Turcs aient coopéré en Syrie dans la phase récente, Erdogan se trouve isolé dans son but réel qui est de prendre définitivement pied dans ce pays, première étape de son rêve néo-ottoman. Au contraire, Moscou voit dans le régime syrien le dernier représentant du vieil allié Baath "socialiste arabe", attendant surtout de lui une base méditerranéenne. De son côté le pouvoir des mollahs à Téhéran reconnaît dans la secte des nosayris "alaouites" une branche du chiisme dans sa lutte millénaire contre les sunnites.

    "Nous n'avons pas reçu de soutien suffisant, et nous allons être obligés d'agir pour l'obtenir", ajoute Erdogan. Il affirme que la Turquie aurait dépensé 40 milliards de dollars pour l'accueil des réfugiés et n'aurait obtenu que 3 milliards d'euros de l'Union européenne.

    Qu'en est-il en réalité ? La Turquie et l'Union européenne ont conclu en 2016 un accord qui prévoyant le renvoi de migrants entrés illégalement en Europe, notamment dans les îles grecques, avec le soutien de la mafia turque mais aussi avec la complicité discrète d'une partie de la gendarmerie turque. La coopération euro-turque, prévue mais très mollement mise en œuvre depuis 3 ans, était programmée en échange d'une aide financière de l'Europe à Ankara de 6 milliards d'euros.

    La Commission européenne rappelle à cet égard que l'Union européenne a effectivement alloué 5,6 milliards d'euros sur les 6 alors approuvés et souligne que le reste sera versé prochainement.

    Erdogan en demande maintenant beaucoup plus. Il fait état, dans sa rhétorique d'un coût exorbitant supporté par son pays, incluant dans celui-ci par exemple les salaires versés aux travailleurs recrutés dans la population immigrée.

    Au-delà de la bataille de chiffres, on doit mesurer qu'il recherche sinon des alliés du moins des complices géopolitiques silencieux. Pour leur tordre le bras il joue de la menace migratoire qui n'apparaît clairement plus comme "une chance pour la France", ou pour l'Allemagne, mais comme un danger pesant sur l'ensemble de 27 pays, du Portugal jusqu'à la Suède.

    La Turquie accueille jusqu'ici environ 4 millions de réfugiés.

    Plus de 3,5 millions d'entre eux seraient de nationalité syrienne. Ankara réclame la création en Syrie d'une "zone de sécurité". Ils y seraient réimplantés de force. Et, désormais à Istanbul, les Syriens vivent dans la peur.

    Affirmant que 350 000 Syriens étaient déjà retournés dans les zones effectivement contrôlées par la Turquie dans le nord de la Syrie, Erdogan souligne qu'il vise à en installer un million "dans une zone de sécurité de 450 kilomètres le long de la frontière".

    En fait ce territoire tampon est devenu au fil des mois une pomme de discorde entre Turcs et Russes. Moscou s'attache à consolider le pouvoir baasiste à Damas. Ankara cherche au contraire à ce que la liquidation politique de Bachar el-Assad soit le préalable à un accord lui laissant les coudées franches. Le projet d'Erdogan est dirigé à la fois contre les Kurdes plus ou moins majoritaire dans la région frontalière[1]

    "Si cela ne se fait pas, nous serons obligés d'ouvrir les portes. Soit vous nous aidez, soit, si vous ne le faites pas, désolé, mais il y a des limites à ce que l'on peut supporter", a déclaré Erdogan. "Nous disons, établissons une zone de sécurité (...) si nous faisons une telle chose, cela soulagera la Turquie", a-t-il poursuivi.

    Depuis que le nouveau gouvernement grec, issu des dernières élections, a adopté une nouvelle politique vis-à-vis du flux migratoire, à la fois plus restrictive, plus rigoureuse et plus respectueuse du droit des gens, c'est un autre État-Membre de l'Union européenne avec lequel la Turquie n'entretient aucune relation, la république de Chypre, qui est devenue la nouvelle route de l'exil pour les migrants venus de Turquie et du Liban voisin.

    L'Europe se laissera-t-elle intimider par le nouveau sultan-calife ?

    JG Malliarakis
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    Une réunion des Amis de l'Insolent

    Mercredi 18 septembre JG Malliarakis donnera une conférence de 18 h à 20 h suivie d'un débat sur le thème

    "Le Moment conservateur"
    de 18 h à 20 h Brasserie du Pont Neuf 14 quai du Louvre Paris 1er M° Louvre/Pont Neuf/Châtelet

    Apostilles

    [1] Comme ils l'étaient en 1939 dans le sandjak d'Alexandrette, territoire syrien millénaire qui fut alors livré à la Turquie par la France, puissance mandataire, aux termes de l'accord anglo-franco-turc. J'explore le caractère scandaleux de ce traité dans un chapitre mon petit livre "La Question turque et l'Europe", Trident, 2009

    https://www.insolent.fr/2019/09/erdogan-larme-de-dissuasion-migratoire.html

  • Pierre Ménès et Cédric Villani dans le collimateur des ligues de vertu antiracistes !

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    Peut-on imaginer plus dissemblables que Cédric Villani et Pierre Ménès ? Pourtant, ces deux personnalités, l’un député macroniste de l’Essonne, candidat dissident à la mairie de Paris, et l’autre commentateur sportif, ont ceci de commun : une certaine liberté de ton devenue rare, en ces temps de sourcilleuse « bienveillance ».

    Le premier semble être le seul à pouvoir mettre Anne Hidalgo en danger dans la capitale, la candidature, même estampillée LREM, d’un Benjamin Griveaux demeurant une erreur de casting à peu près aussi cataclysmique que celle d’une Nathalie Loiseau lors des dernières élections européennes. Du coup, Ian Brossat, adjoint au Logement, à l’Habitat durable et à l’Hébergement d’urgence de la mairie de Paris, tente de coincer l’homme à l’araignée sur le prix du mètre carré local, histoire de voir s’il est homme de terrain ou non.

    Pour l’édile, Cédric Villani se serait emberlificoté dans ses chiffres et ses calculs. Pour ce dernier, ses déclarations auraient été tronquées. Ces deux informations doivent sûrement être plus ou moins fondées.

    Mais ensuite, quoi de mieux, pour mettre ce candidat fantasque à la peine qu’un bon petit point racisto-godwinien de derrière les fagots ? Soit le très opportun rappel d’un entretien accordé en 2017, à RTL, à l’occasion duquel Cédric Villani affirmait : « On ne peut pas comparer directement les résultats du système éducatif français aux systèmes étrangers. Le système français est l’un de ceux dans lesquels il y a le plus de complexité, parce que la France est une terre d’immigration. Ça a fait partie aussi de la force de la science française, mais il y a des difficultés, des questions d’assimilation qui sont à gérer. La France est une société qui est très chamarrée, très colorée. » Le voilà donc lepénisé pour la campagne municipale à venir.

    De l’autre côté de la galaxie médiatique, Pierre Ménès, qui, dans le même temps, a le malheur de répondre à Lilian Thuram, héros national en 1998 qui, ayant stigmatisé « le sentiment de supériorité des Blancs sur les Noirs », se fait tacler de la sorte : « Le vrai problème, en tout cas en France et dans le foot, c’est le racisme anti-Blancs. J’incite les gens à prendre leur voiture et à aller faire le tour des matchs en région parisienne, le week-end. Allez voir ces matchs-là et comptez les Blancs sur le terrain. En général, il y a le gardien de but et l’arrière-droit. »

    Mieux, ou pis, comme toujours, c’est question de point de vue, le même en appelle à son expérience personnelle, ayant voulu inscrire son fils, même « s’il n’avait aucun talent », à un club de football : « Il y est allé et, au bout de deux fois, il a dit : “Papa, je n’y vais plus”. Et quand j’ai demandé pourquoi, il a répondu : “On ne me parle pas, on ne me dit pas bonjour, on ne me passe pas la balle, on ne prend pas la douche avec moi”. »

    Ce à quoi l’inénarrable Rokhaya Diallo a cru bon de tweeter en retour : « Mdr il reconnaît lui-même que son fils n’a aucun talent en foot et s’étonne que personne ne lui passe le ballon ? C’est ça le racisme anti-Blancs ? » Certes, que Ménès junior ne soit pas un futur dieu du stade, on peut l’entendre. Mais que personne ne lui dise bonjour à l’entrée ou à la sortie du terrain, c’est une tout autre affaire, susceptible de s’apparenter à une sorte de « racisme anti-Blancs ». Un peu comme si Rokhaya Diallo n’était gratifiée ni d’un bonjour ni d’un au revoir, à l’entrée et à la sortie de ces médias d’État dans lesquels elle possède, manifestement et de longue date, son rond de serviette.

    D’ailleurs (simple hypothèse d’école), si un Bernard Ménès affirmait publiquement refuser de prendre sa douche avec une Rokhaya Diallo, s’agirait-il de « racisme anti-Noirs » ? Il serait intéressant de connaître la réponse de l’animatrice du blog Kiffe ta race dans lequel elle s’interroge, non sans raison, sur le fait que le terme de « race » soit aujourd’hui devenu « tabou ».

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/pierre-menes-et-cedric-villani-dans-le-collimateur-des-ligues-de-vertu-antiracistes/

  • Eric Zemmour : « Dans l’ancien monde, les jeunes gens qui défendaient leur frontière contre les envahisseurs étaient des héros »

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    « Dans l’ancien monde, les jeunes gens qui défendaient leur frontière contre les envahisseurs étaient des héros. Nos monuments aux morts en sont pleins. Aujourd’hui, on les insulte, on les traite de racistes et on les met en prison ».Telles sont les déclarations d’Eric Zemmour, qui signe là sa rentrée politique et médiatique en référence à la condamnation à de la prison ferme de militants de Génération Identitaire par rapport à leur action menée sur le col de l’Echelle.
    Il s’agit d’une tribune publiée par Le Figaro, dans laquelle on peut lire également : 
    « Le Conseil constitutionnel lui-même bénit celui qui ouvre les frontières, le passeur qui transgresse la loi française, met en danger ses compatriotes, au nom du concept fumeux de «fraternité». Dans l’ancien monde, les fous se prenaient pour Napoléon et posaient leur main sur le ventre: dans le nouveau, ils crient «Allah Akbar» et plantent un couteau dans le ventre des passants.»
    Et de conclure, incisif comme à l’accoutumée :
    « Dans l’ancien monde, l’État avait pour mission de protéger les citoyens français à n’importe quel prix. C’était sa légitimité. D’ailleurs, la justice rend ses jugements au nom du peuple français. Aujourd’hui, l’essentiel pour l’État est d’éviter tout «amalgame». De protéger l’étranger des persécutions imaginaires des Français. De protéger l’islam de toute «stigmatisation» même si nos compatriotes sont massacrés en son nom »
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/eric-zemmour-dans-lancien-monde-les.html

  • Après le départ de Salvini

    6a00d8341c715453ef0240a4ce7df8200b-320wi.pngCe 3 septembre à Rome, les adhérents du Mouvement 5 étoiles (M5S) se prononçaient sur le projet qui leur était soumis d'une coalition gouvernementale avec le Parti démocrate. Cette formation, au sigle aujourd'hui très "tendance" de PD, est issue, rappelons-le de l'évolution de l'ancien parti communiste italien, devenue en 1998 "Democratici di sinistra" ce qu'on est tenté de traduire par "démocrates sinistres" mais qui, dans la langue de Dante et de Gramsci signifie très platement "de gauche".

    Souvenons-nous surtout que c'est contre ce même parti démocrate que s'était développé le mouvement 5 Étoiles. Tout sauf la technocratie bruxelloise, non au laxisme migratoire, etc. Autrement dit ce que les bien-pensants stigmatisent du nom désormais si péjoratif de populisme.

    Or désormais les adhérents de ce mouvement se sont ralliés à un programme commun en 26 points qui sollicite certes une plus grande souplesse dans la mise en œuvre des règles budgétaires européennes, mais dont la déclinaison sent bon la gauche, telle que nous l'avons connu en France depuis l'élection de Mitterrand en 1981, la formation du deuxième gouvernement Mauroy avec les communistes... et qui a toujours échoué, y compris avec les gouvernements Rocard de 1988, Jospin de 1997 : instauration d'un salaire minimum ; renonciation à la hausse de la TVA prévue pour janvier ; augmentation des budgets de l’éducation publique et de la recherche étatique ; création d’une banque publique pour le développement du Mezzogiorno ; et, bien sûr, révision du statut des autoroutes.

    Le grotesque chef de file Luigi Di Maio a réussi à retourner entièrement un parti qui a plébiscité à 79 % à la nouvelle ligne.

    Alliés aux ex-cocos ces gens-là vont donc gouverner l'Italie, l'un des trois grandes puissances du vieux Continent.

    Plutôt que de se lamenter, mon vieil ami Gabriele Adinolfi essaye d'y voir clair dans cette situation politique italienne héritière, comme d'habitude, à la fois de Florence et de la Commedia dell'Arte. Je le cite donc intégralement

    "Certains d'entre vous, dit-il, m'ont demandé ce qui se passe en Italie.

    Entre-temps, même en France, j'ai lu plusieurs analyses qui semblent très informées, qui parlent de manœuvres et de complots pour éliminer Salvini. Certaines personnes expliquent également qui aurait coulé le gouvernement et pourquoi.

    Je ne nie pas qu'il existe de puissants pouvoirs, des groupes de pression, des tentatives d'influencer les gouvernements nationaux par divers centres internationaux. C'est un fait. On oublie cependant que c'est Salvini, et non ses adversaires, qui a renoncé au gouvernement.

    Pourquoi ? On n'arrive toujours pas à comprendre. Probablement Salvini, au sommet de sa popularité, pensait que si le gouvernement tombait, on irait immédiatement aux élections. S'il y pensait vraiment c'était une erreur impardonnable pour un politicien qui vit la politique italienne et connaît son histoire récente. Une heure plus tard, une nouvelle majorité était déjà apparue, entre 5 étoiles, PD et extrême gauche. Cela impliquera un nouveau gouvernement dirigé par le lobby des LGBT et celui de l'exploitation des immigrants. Il y aura probablement aussi d'autres lois particulièrement désagréables, sur la trace de la loi Gayssot.

    Il n’est pas correct de dire, comme j’ai lu, que ce gouvernement a été voulu par Bruxelles, il est plus juste de dire que toutes les centrales internationales se sont immédiatement activées pour en profiter. Même Trump a ouvertement soutenu le nouveau gouvernement.

    Si nous voulons trouver une raison pour cette alliance qui exclut la Ligue, il faut la rechercher dans les relations entre l'Italie et la Chine sur la Route de la Soie. Cette relation, qui a provoqué la colère de Macron, a été gérée par les 5 étoiles et également par la Ligue. La Ligue était soucieuse de préserver les intérêts nationaux italiens, peut-être au-delà des limites autorisées. Salvini, dans ce contexte, est entré dans un domaine dans lequel faisait la loi Romano Prodi : un homme politique démocratique de gauche ayant une grande influence dans le monde qui compte et qui a l'intention de devenir le prochain président de la République. Sur la Route de la soie, il ne tolère pas la concurrence.

    En tout cas, tout cela se produit après que Salvini a renoncé au gouvernement.

    On me demande : y a-t-il des chances que nous allions voter bientôt et que Salvini gagne les élections ? Franchement c'est difficile. La première disposition annoncée par le nouveau gouvernement est la réforme de la loi électorale prévoyant la suppression de la prime majoritaire. Cela empêcherait Salvini de gagner seul même si on votait aujourd'hui alors que son parti est actuellement le premier dans les sondages mais il perd un peu. Cependant, on votera probablement dans trois ans et demi et la situation aura changé, difficilement au bénéfice de la Ligue.

    Après la chute de Strache en Autriche, conclut Gabriel Adinolfi, l'erreur de Salvini en Italie marque pour le moment la fin des gouvernements dits de façon incorrecte "souverainistes" en Europe occidentale."

    Ajoutons, ce qui va sans dire mais va encore mieux en le disant : toute prévision à plus de quelques mois dans la vie politique italienne est vite périmée. L'échec inéluctable de la nouvelle combinaison donnera un nouveau départ aux défenseurs de la Liberté.

    JG Malliarakis  

    https://www.insolent.fr/

  • La Croatie ne signera PAS le pacte de l’ONU sur les migrations et rejoindra les États-Unis, la Hongrie et l’Autriche

    croatie-presidente-pacte-migration-onu.png

    La présidente croate, Kolinda Grabar-Kitarovic, ne signera pas le Pacte mondial sur la migration (GCM) des Nations Unies, rapporte le journal croate Direktno.

    Le journal fonde cette information suite à un message publié sur Facebook par le journaliste de la télévision croate, Velimir Bujanec.

    “En raison du grand intérêt exprimé par le biais des réseaux sociaux, notre équipe de rédaction a envoyé une lettre au bureau de la présidente, Mme Kolinda Grabar-Kitarović, avec une question claire: signerez-vous l’Accord de Marrakech sur les migrants?”

    Dans la réponse reçue au comité, la présidente Grabar-Kitarovic a déclaré: «Soyez assuré que je ne signerai pas l’accord de Marrakech», écrit Bujanec sur Facebook. La porte-parole de la Présidente, Mme Ivana Crnić, a notamment déclaré :

    “Votre préoccupation concernant l’immigration clandestine et «l’accord de Marrakech» est parfaitement compréhensible. Toutefois, dans ce cas, il n’est pas question d’accepter des migrants clandestins, de quelque manière que ce soit le bureau du président est impliqué dans les négociations et vous pouvez vous référer au ministère des Affaires étrangères et des Affaires européennes, qui est détenteur de tous les détails liés à ces activités… Mais assurez-vous que je ne signerai pas «l’accord de Marrakech»… ”

    La Croatie se joint à un nombre croissant de pays qui ont décidé de ne pas signer le pacte des Nations unies sur la migration. Auparavant, les États-Unis, la Hongrie et l’Autriche avaient refusé de le signer. Des pays comme la Pologne et la République tchèque s’y opposent également.

    Traduction Fabrice Drapel pour alter INFO

    https://www.alterinfo.ch/2018/11/02/la-croatie-ne-signera-pas-le-pacte-de-lonu-sur-les-migrations-et-rejoindra-les-etats-unis-la-hongrie-et-lautriche/?fbclid=IwAR3YkaKon5NHDfEqri0JPyEIivuV57ZUDhuDDFz_TNPInCLT1WxLqrwEVj8

  • I-Média n°262 – Villeurbanne : islamisme et relativisme

    Nouveau format pour l’émission I-Média sur TV Libertés, avec Jean-Yves Le Gallou et Nicolas Faure. Au sommaire (détaillé ci-dessous) : islamisme, censure, justice, Allemagne…

    Sommaire

    02:25 Villeurbanne : islamisme et relativisme

    Un migrant afghan a poignardé mortellement un jeune Savoyard de 19 ans et blessé plusieurs personnes à Villeurbanne. Les médias ont tout fait pour relativiser l’attaque islamiste.

    12:56 Revue de presse

    Dans cette nouvelle rubrique, nous balaierons quelques actualités médiatiques particulièrement intéressantes. Censure, bien-pensance et folie végane, il y en aura pour tous les goûts !

    25:07 Condamnation inique, silence médiatique

    Trois militants identitaires ont été iniquement condamnés pour avoir mené une opération symbolique de sécurisation des frontières dans les Alpes. Les médias ont fait profil bas.

    33:55 Vers le réveil allemand ?

    Pour clore l’émission, Jean-Yves Le Gallou analysera la hausse notable des scores de l’AfD en Allemagne.

    https://fr.novopress.info/

  • LE DROIT D'ASILE, UNE PASSOIRE D'IMMIGRATION ILLEGALE ! par Marc Rousset

    Attaque de Villeurbanne : des réactions médiatiques et politiques fort instructives...

    Une attaque a été perpétrée, samedi après-midi, à Villeurbanne, à la sortie d’un métro. L’agresseur était armé d’un couteau et d’une fourche de barbecue. Bilan : un mort et huit blessés, dont trois grièvement. Après son arrestation, le parquet de Lyon l’a placé en garde à vue pour « assassinat et tentative d’assassinat ». On a appris assez vite qu’il s’agissait d’un réfugié afghan, demandeur d’asile.

    On devrait en apprendre plus sur les motivations exactes de cet homme, mais le plus instructif, ce sont les premiers commentaires des médias, qui ont répété à l’unisson que la piste terroriste n’était pas privilégiée. Certes, tant que l’enquête ne l’a pas éclairci, on ne peut affirmer s’il s’agit d’un acte dicté par le fanatisme islamique ou de l’acte d’un « déséquilibré ». Mais n’est-ce pas tendancieux de privilégier une version plutôt que l’autre, dans la présentation de ce fait divers tragique ? Il suffisait de dire qu’on ne pouvait, à ce stade de l’enquête, déterminer avec certitude les motivations de cette agression mortelle.

    Les réactions politiques ne sont pas moins intéressantes. Gérard Collomb s’est dit « extrêmement choqué », tandis que Christophe Castaner a déclaré que « la police nationale est mobilisée, sous l’autorité du procureur de la République, pour faire toute la lumière sur l’agression » et que « [ses] premières pensées vont aux proches et à la famille du jeune homme qui a perdu la vie ». Bruno Bonnell, député LREM de Villeurbanne, a appelé sur LCI à la prudence dans l’interprétation de cette attaque, précisant qu’« on a malheureusement un climat qui tout de suite fait sortir la carte terroriste de tout acte d’agression ». Une prudence extrême, donc, pour ne pas admettre qu’il pourrait y avoir un lien entre le terrorisme et une immigration incontrôlée.

    D’autres personnalités politiques, notamment au Rassemblement national et à droite, ont mis les pieds dans le plat, se faisant accuser d’instrumentaliser cette affaire. Marine Le Pen a déclaré que « de nationalité afghane, l’un des suspects de l’attaque au couteau de Villeurbanne est par ailleurs […] un demandeur d’asile », mettant en cause « la naïveté et le laxisme de notre politique migratoire ». Même type de réaction du côté de Nicolas Dupont-Aignan, qui se demande « combien de temps les Français devront-ils encore supporter le laxisme migratoire du gouvernement », ou de Julien Aubert, candidat à la présidence LR, pour qui « il faut revoir de fond en comble ce droit [d’asile] qui est dévoyé, pour le réserver aux vraies victimes et ne pas en faire une passoire d’immigration illégale ».

    Car le problème est bien là. Qu’il s’agisse d’un individu aux intentions terroristes ou d’un « déséquilibré » (les deux ne sont pas incompatibles), on ne peut éluder la question de la politique migratoire. Est-il normal que des assassins en puissance puissent se retrouver sur le territoire français le plus légalement du monde ? Le fait que l’agresseur soit inconnu des services de police – sauf, selon BFM TV, pour son addiction aux stupéfiants – n’est guère rassurant : combien de personnes dangereuses circulent ainsi en France sans que la police ne soit au courant ? Quant à la thèse de la folie, elle reste bien fragile : quand on se poste à la sortie d’un métro, armé d’un couteau et d’une fourche de barbecue, cela ressemble beaucoup à de la préméditation.

    Le procureur devrait prochainement prendre la parole. On en saura peut-être un peu plus. Quoi qu’il en soit, le gouvernement commettrait une faute grave s’il ne s’interrogeait pas, à l’occasion de ce fait divers tragique, sur sa politique migratoire.

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