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immigration - Page 832

  • Emmanuel Macron face à l’immigration : l’esbroufe pour masquer le vide [Partie 4]

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    Par Robert Martin ♦ Un de nos lecteurs nous a récemment contactés. Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, il est théoriquement soumis à un devoir de réserve, nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Nous avons décidé de publier en 5 parties un grand texte solidement documenté sur le projet de loi d’Emmanuel Macron et, plus globalement, sur les mesures qu’il faudrait adopter pour gérer efficacement la crise migratoire.
    Après une première partie dédiée à l’analyse globale du texte Asile et Immigration, et un commentaire détaillé du rapport du Conseil d’Etat sur ce projet de loi, puis une analyse sur le manque de sérieux du projet de loi, Robert Martin tentera ici de donner plusieurs pistes de réformes pragmatiques et simples qui pourraient avoir un impact réel.
    Polémia

    La réforme de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA)

    Améliorer la solennité des lieux :

      • Drapeau et rappel des symboles républicains dans le hall et les salles d’audience
      • Tenue distinctive pour les membres de la formation collégiale composée de trois membres :
        • un président, appelé président de formation de jugement, nommé :
        • un assesseur nommé par  3 ans le vice-président du Conseil d’État parmi des fonctionnaires en activité ou retraités ;
        • un assesseur nommé par le Haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR) sur avis conforme du vice-président du Conseil d’État ;

    La Cour nationale du droit d’asile est la seule juridiction à comprendre parmi ses membres un représentant d’une organisation internationale, le Haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés, qui participe de ce fait à l’exercice d’une mission de souveraineté nationale. Ce dernier doit être de nationalité française.

    Harmoniser la rémunération entre les assesseurs :

    La rémunération des assesseurs « HCR » est d’environ le double de celle des assesseurs « Conseil d’Etat  » qui ne percevaient qu’une indemnité journalière fixée au 1er juillet 2017 à 126 € avant impôt pour des vacations commençant à 9h00 et pour une durée variable d’une dizaine heures en moyenne, auxquelles s’ajoutent l’examen des 13 dossiers numérisés et transmis préalablement à l’audience de jugement, soit au moins 20 minutes pour « parcourir » une soixantaine de pages numérisées en moyenne par dossier.

    Ce qui donne au total pour une quinzaine d’heures de travail, un revenu horaire de 8,40 € imposable, c’est à-dire, 0,65 € (soit +8,40 %) de plus que le SMIC horaire net fixé depuis le 1er Janvier 2017 à 7,75 € net.
    Cette situation a dû encore se dégrader avec l’augmentation de la CSG au 1er janvier 2018-03-10

    Sans vouloir mettre en cause leur indépendance de jugement, il faut néanmoins admettre qu’à la différence des assesseurs « Conseil d’Etat », les assesseurs « HCR » doivent – semble-t-il – rendre régulièrement des comptes au HCR sur la nature des décisions prises. Or, nombreux sont les assesseurs « HCR » disposant de revenus précaires ou modiques qui complètent largement leurs moyens financiers par plusieurs audiences à la CNDA.

    Il semble indispensable de ne pas laisser s’accroitre cet écart de rémunération.

    La réforme du rôle des avocats

    Les avocats « professionnels»

    Problème de la concentration des dossiers entre quelques avocats, ce qui assure quasiment à leurs clients entendus en audience normale un délai important avant leur passage devant la CNDA.[1]Les « intermittents de l’AJ»

    Ces avocats sont rémunérés sur la base de 16 unités de valeur (UV actuellement fixée à 32 €), soit 512 € par dossier plaidé devant la CNDA, sachant qu’en principe 2 dossiers leur sont attribués par jour d’audience, représentent environ 400 avocats concentrés pour l’essentiel sur les barreaux d’Ile-de-France.

    La suppression possible de la procédure de demande d’attribution de l’Aide juridictionnelle (AJ)

    Tous les demandeurs de l’asile ayant pratiquement droit à l’AJ[2], sauf si leur recours est :

    • Sollicité contre une décision de l’OPFRA rejetant une demande de réexamen dans le cas où le demandeur a été entendu par l’OPFRA et la CNDA devant laquelle il a déjà été assisté par un avocat au titre de l’AJ,
    • Est manifestement irrecevable (forclusion) ou infondé,
    • Les délais de dépôt de la demande ne sont pas respectés (15 jours après réception par le demandeur de la décision de rejet de l’OFPRA, mais le demandeur peut faire sa demande d’AJ au plus tard dans son recours).

    On peut se demander quel est l’intérêt financier de maintenir cette procédure puisque selon le rapport d’activité de la CNDA pour 2017, le taux d’admission à l’AJ s’est élevé à 96,6 % sur 44 989 décisions rendues en 2017 et à 96,2 % sur 28 217 décisions rendues en 2016.  .

    Des officiers dans les ambassades françaises

    La création à titre expérimental d’un poste d’officier de protection dans une ou plusieurs des ambassades des pays ayant le plus grand nombre de demandeurs recensés sur les dernières années (Bangladesh, Albanie, RDC, Haïti) serait une bonne piste.

    Placé auprès de l’attaché de sécurité intérieure (ASI qui est soit un policier ou un gendarme) il serait chargé de « crédibiliser » les nouvelles demandes dès leur dépôt devant l’OFPRA).

    Le recensement des familles polygames

    Bien qu’interdite en France, le nombre de familles polygames avait été estimé en mars 2006, dans un rapport de la Commission nationale consultative des droits de l’homme entre 16 et 20 000 familles, soit près de 200 000 personnes.

    Robert Martin 19/05/2018

    [1] Dans une lettre ouverte au président de la République, le Syndicat des avocats de France (SAF) a fait état, lundi 14 mars, d’une correspondance adressée le 13 décembre 2010 par Brice Hortefeux, alors chargé de l’Intérieur et de l’Immigration, au Garde des Sceaux Michel Mercier dans laquelle il demande son intervention à l’encontre de Maître Gilles Piquois, avocat spécialisé dans le droit d’asile. La raison : cet avocat disposerait à lui seul “d’un stock de 1.700 dossiers” de demandeurs d’asile en cours d’examen devant la Cour national du droit d’asile (CNDA). …Me Piquois. Joint par l’Obs, il rejette en bloc les griefs contenus dans cette missive. Il assure ainsi que le chiffre évoqué par Brice Hortefeux [1700, ndlr] est bien au-delà de la réalité et pourrait “être largement diminué d’un tiers.”
    “Compte tenu des limites de sa disponibilité pour participer aux audiences et de son refus de se faire substituer, cet avocat contribue aux difficultés rencontrées par la cour pour juger dans un délai raisonnable”, estime le ministre. Par conséquent, il juge que cette attitude “induit un coût non négligeable pour l’Etat” dans la mesure où ces demandeurs d’asile bénéficient “plus longtemps que d’autres” du dispositif d’hébergement et d’accueil prévu par la loi française. Brice Hortefeux s’appuie sur l’article 21.3.1.3 du règlement intérieur du barreau de Paris qui dispose que “l’avocat ne peut accepter une affaire s’il est dans l’incapacité de s’en occuper promptement compte tenu de ses autres obligations”.

    [2] La circulaire du 19 janvier 2017, rappelle que les demandeurs d’asile ne sont pas soumis au contrôle de leurs ressources pour bénéficier de l’AJ.

    Crédit photo : Emmanuel Macron – LeWeb 2014 [CC BY-SA 2.0], via Flickr

    https://www.polemia.com/emmanuel-macron-face-a-limmigration-lesbroufe-pour-masquer-le-vide-partie-4/

  • TERRORISME ISLAMISTE : LES MÉDIAS ONT VRAIMENT CHANGÉ

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    Les dernières réactions aux agressions islamistes ont fait apparaître une nouvelle approche politique et médiatique du phénomène et l’on a vu, ces derniers temps, se tenir et se développer, de plus en plus nombreux, des propos nouveaux, en contraste avec les indignations immenses et graves qui étaient de mise à l’époque héroïque des Charlie, charlots et autres résistants des terrasses et cafés des lendemains d’attentat…

    Et, certes, on organise encore des marches blanches, mais avec moins de monde et de conviction ; la tour Eiffel, sur ordre de la reine socialiste Hidalgo de Paris, est privée de lumière toute une nuit, mais plus personne ne s’en soucie ; on voit encore bougies et bouquets de fleurs s’entasser sur les lieux où ont péri les malheureuses victimes, mais en moins grand nombre ; et les heures de reportage qui leur sont consacrées fondent comme neige au soleil…

    Non, le cœur n’y est vraiment plus, et les médias se font peu à peu l’écho d’un début de changement de pensée sur le terrorisme islamiste et ses effets, alors que les célèbres pilules de Cépassalislam ou de Padamalgame ont vu leurs ventes baisser sensiblement.

    C’est qu’un nouveau concept vient de naître, qui est celui de sa banalisation et de sa normalisation, exprimées à travers la formule : « Il faut que les Français s’habituent, il faut qu’ils apprennent à vivre avec, car cela ne s’arrêtera pas… »

    Exemple de ce discours, sur une chaîne de télévision — j’ai oublié laquelle, mais peu importe puisqu’elles disent toutes la même chose —, le propos tenu par un célèbre chroniqueur — mais de plus en plus de journalistes et de politiques le tiennent également. Voici à peu près ce que cela donnait : « Il faut que chaque Français se dise, tous les matins en sortant de chez lui, qu’il peut se faire renverser par une voiture, qu’une tuile peut lui tomber sur la tête ou qu’il peut aussi recevoir un coup de couteau, alors qu’il marche sur le trottoir. »

    Eh oui, c’est comme ça, c’est la vie, mon brave ! Tout peut arriver !

    N’en doutons pas, ce nouveau concept fataliste, avec les nouvelles perspectives économiques qu’il pourrait engendrer, est appelé à se développer dans les mois et les années qui viennent. Bientôt, les coups de couteau en pleine rue, les voitures qui vous foncent dessus, les massacres de clients dans les supermarchés au nom d’Allah seront mis sur le même plan qu’une glissade sur une peau de banane, un entartage crémeux façon BHL ou un dépassement du 80 km/h.

    Et pour encore plus de banalisation, mais aussi de bénéfice économique — car, dans la France du Président Macron, tout ce qui peut rapporter de l’argent est vite repéré —, j’imagine d’autres suites lucratives. N’a-t-on pas vu se créer, déjà, une entreprise (pardon, une start-up) pour compter les manifestants de la CGT et des Insoumis chroniques ? Ainsi, une nouvelle start-up pourrait bientôt proposer à ses clients des cottes de mailles et des minerves ultrafines en acier trempé sur lesquelles aucun couteau, y compris le plus acéré, n’aurait de prise. L’heureux acheteur de ce nouveau produit vestimentaire pourrait se promener tranquille dans les rues sans risque de se faire égorger ou poignarder dans le dos ou la poitrine. En même temps, il contribuerait à la prospérité du pays et à la création de nouveaux emplois.

    On pourrait appeler cette nouvelle start-up, dont on peut être sûr qu’elle sera vite cotée en Bourse, et que ses actionnaires percevront de gros dividendes, « Stop Attentat » ou « Marche Tranquille » ou encore « Jecrainsplusrien.com »…

    http://www.bvoltaire.fr/terrorisme-islamiste-medias-ont-vraiment-change/

  • Oui, le Grand Remplacement est en cours et les « statistiques » le confirment !

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    Par Jean-Yves Le Gallou ♦ Dans un article récent paru dans Monde & Vie, Jean-Paul Gourévitch a refusé d’accepter la thèse du Grand Remplacement. Il se trompe.

    « Ouvrez les yeux »

    Une première remarque d’abord. Au cours de sa vie tumultueuse, le Front national a connu pas mal d’avanies mais aucune de ses affiches n’a été censurée. Aucune ? Non, sauf une : celle qui représentait le regard d’une femme aux yeux bleus et était légendée ainsi : « Immigration : ouvrez les yeux ».
    Elle fut interdite sous un prétexte futile de droit à l’image de France 3 alors que l’affiche était inspirée par le visage d’une conseillère régionale FN… C’était au début des années 1990 et précisément il ne fallait pas que les Français ouvrent les yeux !

    Penseur du Grand Remplacement, Renaud Camus est un écrivain qui n’apprécie guère les statistiques mais qui aime à dire : « Ouvrez les yeux ». Convenons que l’argument est assez convaincant ! Davantage que certains contre-arguments statistiques tels que ceux utilisés dans le dernier numéro de Monde et Vie. Jean-Paul Gourévitch, essayiste par ailleurs intéressant, commet une double erreur : de raisonnement et de chiffre.

    Un raisonnement qui oublie la question générationnelle

    Parlons d’abord du raisonnement. Sur la base de ces chiffres (que je contesterai après), Jean-Paul Gourévitch affirme que le solde des entrées d’étrangers plus le solde naturel d’origine étrangère se monte à 310 000 personnes  et nous dit que cela ne représente que la bagatelle de 0,46 % de la population française. Observons d’abord qu’il serait plus exact de parler de 0,46 % de la population résidant en France que de 0,46% de la population française. Ce n’est pas tout à fait pareil. Mais là n’est pas l’essentiel.

    La grossière erreur de raisonnement consiste à avoir au numérateur une population jeune – d’une part, les naissances d’origine étrangère dans des populations dont le taux de fécondité est le double de celui de la population de souche, d’autre part, les entrées d’étrangers dont la très grande majorité se situe dans la tranche d’âge 15/35 ans – tout en ayant l’ensemble de la population au dénominateur !

    Or l’immense majorité des décès concerne des Français de souche. Leur proportion n’est pas la même parmi les naissances… C’est bien là qu’est le Grand Remplacement que chacun peut constater intuitivement d’ailleurs en lisant les pages d’état civil dans les bulletins municipaux.

    Ce qui serait honnête, c’est de rapporter les entrées, non pas à l’ensemble de la population, mais à la population française de moins de 40 ou 45 ans. On ne trouverait pas alors le chiffre de 0,46 % mais celui de 1 %… ce qui est  nettement différent.

    Oubli de la drépanocytose et minorations statistiques

    L’erreur de raisonnement est elle-même d’autant plus grave qu’elle se cumule avec une minoration des chiffres utilisés. Jean-Paul Gourévitch en cite trois : les sorties de Français, les naissances d’origine étrangère, les entrées d’étrangers.

    Jean-Paul Gourévitch évalue les sorties définitives de Français à 80 000 par an. C’est un domaine qu’il connaît bien et pour lequel il a fait un travail remarquable. Je retiens donc ce chiffre.

    Il évalue ensuite le solde naturel des naissances étrangères (naissances moins décès) à 150 000. C’est un chiffre minoré car il ne prend pas en compte les deuxième et troisième générations. Or, près de 40% des enfants sont dépistés à la naissance pour la drépanocytose, une maladie génétique rare qui ne concerne que les enfants (pas tous d’ailleurs) d’origine extra-européenne. Il est donc permis d’évaluer à 280 000 les naissances d’origine étrangère.

    Pour les entrées nettes d’étrangers Jean-Paul Gourévitch est totalement à côté de la plaque. Il les évalue à 180 000. Un chiffre sans doute juste il y a quatre ou cinq ans, totalement minoré aujourd’hui.
    En 2017, les entrées RECENSÉES par l’État se sont élevées à près de 420 000 :
    – 262 000 nouveaux titres de séjour délivrés ;
    – 100 000 demandeurs d’asile ;
    – 50 000 mineurs isolés (ou plutôt clandestins se déclarant mineurs isolés).

    Ce chiffre est lui-même un chiffre par défaut car il ne prend pas en compte les mineurs accompagnant les personnes ayant obtenu un titre de séjour ou recensés comme demandeurs d’asile.
    Le chiffre de 420 000 entrées d’étrangers est donc un minimum.

    Certes, il y a eu des retours : expulsés (très peu), étudiants ayant fini leurs études et repartant, et d’autres cas particuliers. Retenons le chiffre 100 000 départs (sans doute une évaluation haute).
    Nous arrivons ainsi à un remplacement de : 80 000 (sorties de Français de souche) + 280 000 (naissances d’origine étrangère) + 320 000 entrées = 680 000 soit 1 % de la population française et 2 % de la population – celle qui est significative – des moins de 40/45 ans.
    Et sans doute près de 2,5 % de la population française de souche de moins de 40/45 ans.

    Il suffit alors de pratiquer les intérêts composés pour comprendre l’ampleur du Grand Remplacement.

    Arrêtons de nous mettre la tête dans le sable !

    Jean-Yves Le Gallou 20/05/2018

    https://www.polemia.com/oui-le-grand-remplacement-est-en-cours-et-les-statistiques-le-confirment/

  • Une députée britannique se dit convaincue de vivre « le grand remplacement »

    37212782090_ba3898560f_b.jpgL’eurodéputée indépendante Janice Atkinson est devenue la dernière personnalité publique de haut niveau à parler du «grand remplacement», selon lequel les Britanniques et les Européens sont systématiquement remplacés par une immigration massive et incontrôlée.

    Écrivant dans la Voix de l’Europe (…) l’eurodéputée du Sud-Est de l’Angleterre dit que que lorsqu’elle a lu la théorie, elle pensait qu’il s’agissait d’une «réaction excessive». Mais l’ancienne membre de l’UKIP a récemment changé d’avis et est maintenant « absolument convaincu » que le Grand Remplacement est un effort concerté des élites mondialistes pour remplacer la population indigène en utilisant une immigration massive incontrôlée de la plupart des pays à majorité musulmane afin d’exploiter les faibles taux de natalité à travers le continent.

    « Quand j’ai lu pour la première fois la théorie du Grand Remplacement, je pensais que c’était un peu excessif mais maintenant je suis absolument convaincu que c’est le plan de l’UE, de l’ancienne administration Obama, de l’ONU, de certains politiciens libéraux britanniques et même de certains conservateurs, a écrit Janice sur la plate-forme médiatique paneuropéenne (…)

    Parlant de la décision « d’English Heritage » d’offrir un programme de formation uniquement aux personnes appartenant au «patrimoine ethnique noir, asiatique ou minoritaire», Janice poursuit : «Le grand remplacement est ouvertement et honnêtement mené par certaines de nos (anciennes) institutions vénérables telles que l’English Heritage et le National Trust (…)

    Source : Shy Society

    https://kahlenberg.blog/2018/05/21/une-deputee-britannique-se-dit-convaincue-de-vivre-le-grand-remplacement/

  • Une honte!

  • Ouistreham : la présence massive de migrants soutenus par l’extrême-gauche fait s’effondrer l’activité touristique et commerciale

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    À Ouistreham (Normandie) alors que la saison touristique a démarré, la présence des migrants clandestins musulmans – essentiellement soudanais – dans cette station balnéaire de 9.500 habitants menace les commerces d’une grave dépression économique. Les autorités n’ont pris aucune espèce de mesure, se contentant d’appeler à « accueillir » les clandestins.

    Premier facteur, l’extrême-gauche qui se déchaîne pour fixer le plus grand nombre de migrants clandestins possible sur place à des fins d’agitation (lire ici).

    La suite ici

  • Islamisation : appliquons le principe de précaution

    Cet article de Jean-Louis Chaton, Président du Comité d’action pour le respect de l’État de droit (CARED), avait été publié il y a 2 ans et demi. Et les gouvernements successifs n'ont rien fait :

    "Je rends un vibrant hommage aux victimes malheureuses du terrorisme et demande l’application du principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation.
    Parmi les auteurs des attentats du 13 novembre, figure au moins un « réfugié » accueilli en Grèce le 3 octobre. Au moins un autre terroriste était, par ailleurs, classé S, c’est-à-dire reconnu comme dangereux, mais laissé en liberté.

    Si le principe de précaution en matière d’immigration et d’islamisation avait été appliqué, les attentats n’auraient pas pu avoir lieu. Je dénonce donc la politique laxiste et angélique des gouvernements successifs et demande aux actuels dirigeants d’appliquer ce principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation en :
    – ne laissant pas entrer en France des centaines de milliers de clandestins, en grande majorité de confession musulmane, parmi lesquels se trouvent des terroristes ;
    – interdisant la diffusion de livres islamistes, incitant au meurtre, ainsi que la tenue de congrès et de conférences salafistes ;
    – fermant un certain nombre de mosquées et en incarcérant ou expulsant tous les prêcheurs de haine qui y sévissent ;
    – expulsant, incarcérant ou assignant à résidence tous les terroristes potentiels fichés « S » qui passeront à l’acte tôt ou tard, comme le montrent les faits d’actualité répétés ;
    – laissant partir des terroristes djihadistes vers la Syrie, au lieu de s’opposer à leur départ, et en empêchant, en revanche, leur retour ;
    – ouvrant enfin un grand débat national lucide sur la place de l’islam dans notre République, seule religion aujourd’hui capable d’enfanter de tels monstres, au lieu de s’enfermer dans le déni suicidaire du « pas d’amalgame »."

    Guillaume de Thieulloy donnera une conférence organisée par le CARED le 23 mai :

    Capture d’écran 2018-05-14 à 22.23.46

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dominique Reynié revient sur l’interdiction de la page Defend Europe par Facebook

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    Nous avons consacré plusieurs articles aux réactions des médias après l’action de Génération Identitaire de défense des frontières européennes dans les Alpes françaises en avril 2018. Le vocabulaire employé que ce soit dans les médias nationaux ou régionaux, à la télévision ou à la radio, était celui de la disqualification morale. L’interdiction de deux pages Facebook par le réseau social californien a été analysée en référence à un article de la Fondation Polemia. Le politologue Dominique Reynié, Président de la Fondapol (souvent présentée comme proche de LR) a publié une intéressante tribune sur le sujet dans Le Figaro du 11 mai 2018).

    Comment Facebook justifie la censure

    Le politologue enseignant à Sciences Po et spécialiste du populisme, cite le communiqué de Facebook. L’entreprise justifie sa décision en ces termes : « Nous nʼautorisons pas les discours incitant à la haine sur Facebook, parce que ces discours créent une atmosphère dʼintimidation et dʼexclusion, et peuvent aboutir à des violences dans le monde réel. » Exhibant ensuite le « code de conduite » signé avec la Commission européenne en 2016, Facebook assure avoir lʼobligation de réagir en moins de vingt-quatre heures quand un « discours de haine » lui est signalé par des utilisateurs ». Fin de citation.

    Dominique Reynié poursuit : « Pourtant, chacun peut consulter, exemple entre mille, des comptes de black blocks, agrémentés de vidéos ou de photos montrant des policiers en flamme, des CRS à terre et blessés, le tout accompagné de commentaires jubilatoires qui expriment souvent de la haine. Cʼest depuis lʼun de ces comptes, toujours actif et dont je nʼapprouverais pas la suppression, quʼà lʼoccasion du 1er Mai fut lancé un événement promettant, je cite, « un mai sauvage », auquel se sont inscrits plus de 1100 participants, donnant lieu à des manifestations de haine dont on a pu constater ce jour-là les effets, bel et bien réels, dans les rues de Paris, sans émouvoir Facebook ».

    Censure privée et censure publique, enfouissement des opinions

    L’auteur souligne, ce qui avait déjà surpris l’Ojim, la conjonction d’une censure publique (l’intervention du préfet qui préside la DILCRAH) et d’une censure privée (celle de l’entreprise Facebook) : « Qui peut dire comment et par qui a été prise la décision de fermer le compte de Génération identitaire ? Pourquoi ce compte en particulier, parmi tous ceux qui, souvent, devraient être frappés de la même sanction ? Enfin, pourquoi un préfet de la République, le délégué interministériel à la lutte contre le racisme, lʼantisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah), sʼest-il publiquement réjoui de la décision de Facebook, dans un tweet dont le texte et la forme semblent vouloir suggérer quʼil avait lui-même pris part à cette décision ou quʼil en avait été informé ? Sʼagit-il dʼun pacte de censure entre la puissance publique et lʼentreprise privée ? ».

    Il ajoute que le procédé, « lʼemploi dʼune procédure privée, aussi parfaitement invisible que terriblement efficace, offrant le pouvoir de déclasser – en fait dʼenfouir – des opinions», aboutit à une censure silencieuse, en-dehors de toute intervention judiciaire. Il conclut « la question posée par la fermeture du compte de Génération identitaire est, à proprement parler, cruciale : il sʼagit de savoir si nous sommes engagés dans un processus de privatisation de nos libertés publiques et en dehors de tout contrôle de type juridictionnel ou parlementaire. ». La question est posée.

    Tribune reprise du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • Quand le militant pro-migrants Cédric Herrou s’affiche au Festival de Cannes

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    Le V de la victoire n’était pas de rigueur au festival de Cannes pour Cédric Herrou. Alors que fouler le tapis rouge du prestigieux festival reste une consécration pour les acteurs, l’agriculteur défenseur des migrants y voit plutôt un tremplin pour défendre son combat. Un engagement raconté dans le documentaire “À tous vents” réalisé par Michel Toesca et dans lequel Cédric Herrou joue son propre rôle.

    Le militant immigrationniste a notamment déclaré :

    Je vais monter les marches du Festival de Cannes comme j’ai monté les marches du palais de justice, en gardant la tête froide et avec le but final qui est en fait, de parler, de dénoncer et de porter mon témoignage sur ce qui se passe en france et précisément dans la Roya.

    “À tous vents” retrace la rencontre des habitants de la Roya, une vallée du sud de la France et des migrants qui y arrivent en tentant de passer la frontière franco-italienne.