Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 834

  • LA HAINE DU BLANC COMME MOTEUR DE L’HISTOIRE

    emeutes-a-baltimore-etats-unis-jeunes-noirs-sautant-sur-une-voiture-de-police.jpg

    Arnaud Malnuit

    Quel est le point commun entre les viols massifs de jeunes Anglaises par des immigrés à Telford en Grande-Bretagne, le 19 mars 1962, la profanation de la basilique de Saint-Denis par des clandestins appuyés par la France insoumise et l'expropriation sans indemnisation des fermiers blancs en Afrique du Sud, la lancinante, permanente et même de plus en plus affirmée haine du blanc.

    Haine du blanc qui va désormais chasser les Européens de leur propre continent, qui va jusqu'à effacer leurs cultures, leurs œuvres, leurs découvertes. Cette accusation permanente d'avoir commis les pires crimes tout en demandant de payer y compris le téléphone indispensable au clandestin « fuyant la misère ». 

    De nombreuses vierges effarouchés ne cessent de nous faire pleurer sur le sort des migrants, des clandestins et autres extra-Européens victimes tant du racisme des Européens présentés comme riches et surtout pillant les richesses de ces migrants, les exploitant pour des revenus de misère. Sans oublier un passé colonial honteux fait de pillage et de mort culturelle. Et ne parlons pas de l'appropriation culturelle, ce crime que des Blancs commettraient en se grimant en Noirs ou en Asiatiques...

    C'est avec ce genre de mythes, de fantasmes que ces mêmes vierges effarouchés justifient les agressions commis par des immigrés sur des Européens en niant le caractère raciste anti-Blancs, justifient les massacres commis au nom des luttes anti-coloniales, et pire participe à des actions de profanation de noter culture, de notre histoire et de notre foi ou du moins celle de nos aïeux... Ainsi les élus de La France insoumise, ceux avec qui on pourrait prendre un café, ont aidé des clandestins – donc des gens présent chez nous illégalement – à violé la basilique de Saint-Denis en hurlant « On est chez nous ! » (sic). Et ne revenons pas sur les propos abjects de Clémentine Autain quant à la sépulture des rois de France... Les mêmes aussi qui justifient les camps d'été décoloniaux interdits aux Blancs...

    On voit donc que cette gauche, que ces humanistes font la politique du PIR, ce Parti des Indigènes qui proclame sa haine des Blancs sans qu'il ne soit interdit en France, ce parti qui trouve des alliés de fait et de cœur chez les partisans de Mélenchon, ce parti qui trouve des relais médiatiques, ce parti qui montre bien que pour ces gens le moteur de l'histoire ce n'est pas la lute des classes, ni la lutte des opprimés contre les oppresseurs, mais bien la haine des Blancs. Blancs qui pour ces gens doivent disparaître, à commencer des pays et du continent dont ils sont originaires et créateurs.

    C'est pourquoi la lutte contre l'immigration et m^me pour la remigration est une lutte primordiale pour la survie des peuples européens. 

    Source Parti de la France cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/03/23/la-haine-du-blanc-comme-moteur-de-l-histoire-6037024.html

  • Scandale pédophile de Telford : pour L’Obs, c’est embêtant car cela fait « le miel » de la « fachosphère », par Charles Demassieux

    telford.gif

    Au lieu de compatir pour les victimes de ce durable réseau de pédophilie en Grande-Bretagne, L’Obs préfère pointer du doigt la « fachosphère ».

    Officine progressiste où se concoctent des mixtures idéologiques destinées au plaisir sadomasochiste des Blancs qui se sentent ontologiquement coupables, L’Obs vient encore de sévir en titrant « Le scandale de pédophilie de Telford fait le miel de la fachosphère ».

    Donc, au lieu de compatir pour les victimes de ce durable réseau de pédophilie en Grande-Bretagne, L’Obs préfère pointer du doigt la « fachosphère », qui s’en est légitimement émue quand le silence faussement pudique des médias relevait non seulement de la faute journalistique, mais encore d’une autocensure, les responsables de cette abomination étant sans doute immaculés par leur origine non blanche et ne pouvant être balancés parce qu’ils n’aiment pas le porc !

    L’hebdomadaire accuse ainsi le « tweet outré de Gilbert Collard, plusieurs billets caricaturaux sur plusieurs sites d’extrême droite, et une tribune dans le FigaroVox », à savoir celle de Gilles-William Goldnadel qui, fort justement, « évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d’associations osent parler ».

    L’Obs ne s’arrête pas en si bon chemin et pinaille sur le nombre de victimes du réseau pédophile, estimé à environ un millier par le Sunday Mirror – qui a révélé ces crimes après une longue enquête –, rapportant de son côté, comme caution morale, les doutes d’un officier de police – laquelle, police, n’a pas vraiment brillé dans cette affaire de plus de trente ans – qui a déclaré à la BBC : « J’ai des inquiétudes sur le nombre de 1.000 car je ne sais pas sur quoi il se base et surtout parce que nous travaillons avec un nombre de jeunes personnes qui ont été victimes d’abus sexuels depuis plusieurs années, et il n’est pas du tout proche de 1.000. »

    Et de retranscrire, avec des pincettes, les propos de Lucy Allan, députée conservatrice de Telford – « Ces jeunes filles étaient très souvent issues de la classe ouvrière blanche, souffrant de fragilités multiples et c’est pour cela que leurs agresseurs les ciblaient » –, et ceux du Sunday Mirror – désignant les responsables de ces crimes comme étant « majoritairement des hommes asiatiques », issus notamment « de la communauté pakistanaise », et affirmant que « les autorités locales n’auraient pas tenu de dossiers sur certains agresseurs, issus de la communauté pakistanaise, “par crainte de racisme” ». Autant de propos qui semblent destinés à horrifier le lectorat de L’Obs et décrédibiliser leurs auteurs.

    Enfin, L’Obs prétend avec force que les faits n’ont pas été passés sous silence, soulignant que Libé Désintox – autre décodeur de la bonne pensée – a joint la BBC, qui va dans son sens. Chacun jugera en constatant la couverture médiatique a minima d’un scandale à contre-courant du vivre ensemble.

    À l’instar d’une Clémentine Autain obsédée par le mâle blanc dominant, L’Obs ne saurait-il admettre qu’il existe bel et bien des prédateurs sexuels en dehors de chez les visages pâles ?

    Si la honte était une ivresse, nombre de journalistes auraient une cirrhose !

    Charles Demassieux

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/210126/scandale-pedophile-de-telford-pour-lobs-cest-embetant-car-cela-fait-le-miel-de-la-fachosphere-par-charles-demassieux/

  • DAECH AU SUPERMARCHÉ : COLLOMB NOUS REJOUE LE SKETCH DU « ON NE POUVAIT PAS SAVOIR »

    5ab4db16d424fTreves-2.png

    Il y eut Daech au Bataclan, Daech à Bruxelles, Daech à Londres, Daech à Berlin, Daech à Nice, Daech à Barcelone. Il y eut Daech contre Charlie et la liberté d’expression, Daech contre des militaires à Montauban, Daech contre le CRS Xavier Jugelé sur les Champs-Élysées, Daech dans une église, en pleine messe, contre le père Hamel. Et j’en oublie. Et je ne m’en tiens qu’aux attentats européens, de façon non exhaustive. Une série interminable. « Tragique de répétition », avait finement dit Alain Finkielkraut dès 2015. Que dire, aujourd’hui ? De la répétition, mais avec, à chaque fois, de menues variations qui montrent l’étendue du drame sécuritaire qui ne fait que commencer, depuis 2012 et Mohammed Merah, et qui se joue autour de nous, dans notre pays, au cœur de notre société, dans notre environnement le plus familier.

    L’identique : un Marocain de 26 ans connu pour sa radicalisation, mais laissé en liberté, le vol d’une voiture dont le passager est abattu, les tirs sur des forces de l’ordre, une prise d’otage. Versant lumineux, aussi : l’héroïsme d’un gendarme qui s’est échangé contre le dernier otage…

    Mais, cette fois-ci, Daech est entré dans ce lieu familier, reposant, qui fournit à chacun de nous une pause : le monde des courses, du supermarché, où nous avons nos petites habitudes. Tel rayon, telle caisse car la caissière nous connaît, et la promo du vendredi sur les huîtres, avec le producteur lui-même. Et puis les mêmes connaissances que l’on croise, tous les vendredis, à la même heure. Le supermarché est un lieu rassurant, il continue quoi qu’il arrive : élections, attentats, bonheurs ou malheurs personnels, il est toujours là. Il est même quasiment ouvert tout le temps : « Ouverture lundi de Pâques. » Eh oui, déjà tous les œufs et les lapins sont là. Et il faut être un très mauvais sociologue marxiste pour n’y voir que déshumanisation, asservissement à la publicité, etc.

    Mais en ce premier vendredi de printemps, Daech a débarqué au supermarché. Pas l’Hyper Cacher de Paris, pas le marché de Noël de Berlin, non, ça, c’est pas votre truc, c’est lointain, c’est connoté : les juifs, les chrétiens. Non, votre supermarché lambda, le Super U du quartier, avec ses rayons bio et halal, avec son drive, évidemment : un vrai supermarché du vivre ensemble. Propre et anonyme, invisible, périphérique à souhait. Fondu dans le paysage. Et Daech y a tué un employé et un client.

    Le privilège de l’historien, avec le recul, c’est de pouvoir dater un début, délimiter une période, indiquer une fin. 14-18. 39-45. C’est clair, c’est net. Une guerre bien encadrée. Là, nous ne connaissons que le début : Toulouse, mars 2012. Nous pouvons égrener les autres dates, les autres lieux. On pourrait même imaginer une carte d’état-major, avec des épingles fichées sur tous ces lieux de triste mémoire. Mais nos chefs ont décidé de faire la guerre différemment, en nous incitant à oublier vite ces crimes, à ne pas trop nous interroger sur les causes structurelles de la situation ni, entre autres, sur les conditions de liberté des islamistes plus ou moins radicalisés. Les historiens pourront un jour pointer les dénis, les « Faisons l’autruche et parlons d’autre chose ». Il y aura des thèses à écrire…

    Car c’est vrai qu’en France, tout recommençait bien comme avant, les choses se remettaient en ordre – en marche – depuis quelques mois : une nouvelle ère avec notre nouveau Président, Sarkozy qui assurait le spectacle avec ses mises en examen et même des manifestants SUD et CGT dans la rue contre l’héritier d’Alain Juppé à Matignon. La France semblait retrouver ses bases, ses spectacles favoris, ses figures rassurantes et redevenir ce supermarché du vivre ensemble.

    Sauf que, à Trèbes, ce vendredi 22 mars, près de Carcassonne, Daech a déboulé dans le supermarché et a encore frappé. Daech que l’on combat au Mali, qui serait en voie d’être vaincu en Irak et en Syrie ? Mais qui tue ici quand il veut.

    Au fait, Daech, chez nous, c’est qui ? Réponse du ministre de l’intérieur Gérard Collomb : Redouane Lakdim, Marocain de 26 ans, fiché S depuis 2014…

    « C’était un petit délinquant, il était connu pour deal de stupéfiants mais on ne pouvait pas dire qu’il allait être un radical qui allait passer à l’acte. »​‌”

    « Nous l’avions suivi et nous pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation, mais il est passé à l’acte brusquement. »

    Daech, en France, c’est donc cela.

     

    http://www.bvoltaire.fr/daech-supermarche-collomb-rejoue-sketch-on-ne-pouvait-savoir/

  • Les femmes sont devenues invisibles dans les cités de l'immigration

    6a00d83451619c69e201b8d2e4cd10970c-200wi.jpgTandis que Libération sort une enquête "marronnier" sur la misogynie au sein de la prépa militaire à Saint-Cyr l'Ecole, un ouvrage décrit la réalité des banlieues de l'immigration, où les femmes sont traitées conformément à la charia :

    "Abdel, le coiffeur installé depuis longtemps dans la cité déplore de ne plus avoir de clientes, ‘’la mixité, elle est morte chez nous’’…

    C’est vrai, les femmes sont invisibles dans la cité. Même Malek a eu du mal à m’imposer comme « collègue » comme si je n’étais pas une fille dans cette enquête. C’est une absence de respect que de prendre le numéro de téléphone d’une nana, tu ne peux pas avoir une copine, ça n’existe pas. Les filles ne vont plus dans les cafés, les lieux de vie, elles y sont mal vues. Elles s’en moquent et disent en parlant des hommes « On leur a laissé le 93, et on a pris Paris ». Une escorte qui s’est baptisée, la « Reine des putes », explique « On perd quoi finalement ? Un bouquet de tours grises, des mecs qui se grattent les couilles sur un banc, grand bien leur fasse, nous, on préfère aller sur les Champs-Elysées ! » Elle est l’une des rares prostituées qui s’en sortent bien. Je l’avais rencontrée lors d’une enquête pour Marie Claire sur la prostitution en banlieue. Elle a 30 ans, elle est plus maligne que les petites de 20 ans qui sont sous la coupe d’un mac. Elle, elle a un discours libéré mais beaucoup de ces filles sont cabossées.

    Que sont les mariages halal ? Pourquoi se développent-ils de plus en plus ?

    C’est un mariage religieux devant l’imam sans passer par la mairie. Officiellement, tu n’es pas mariée, mais c’est un sésame pour vivre avec ton mec en dehors de la cité tout en préservant l’honneur de la famille. Pour le couple de salafistes que j’ai rencontré, c’est différent, ils ne reconnaissent pas la valeur d’un mariage républicain. En un an, je n’ai vu aucun mariage célébré à la mairie. Les codes les traditions sont plus importants que les lois républicaines.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/03/les-femmes-sont-devenues-invisibles-dans-les-cit%C3%A9s-de-limmigration.html

  • Attentat : encore et toujours un terroriste hybride - Journal du Vendredi 23 Mars 2018

  • Forte poussée de l’islamisation dans les entreprises

    Un observateur attentif et de bonne composition ne pourrait que demeurer perplexe en constatant le peu de cas fait des dangers de l’islamisation par les principaux candidats en lice pour l’élection présidentielle en cours. Hormis le terne François Fillon prétendant ne s’en prendre qu’aux djihadistes  et au terrorisme, et Marine Le Pen promettant la mise à genoux de l’islam radical, aucun candidat ne semble s’être sérieusement inquiété, même du bout des lèvres, de l’islamisation légale, massive et rapide, provisoirement pacifique, prospérant au vu et au su de tous et en passe de modifier en profondeur notre civilisation ou ce qu’il en subsiste. Il est fâcheux que ni les uns, ni les autres ne semblent avoir parcouru l’essai consistant paru aux éditions du Toucan en 2009, du chercheur universitaire américain, Christopher Caldwell, dont le titre et le sous-titre dispensent de commentaires : « Une révolution sous nos yeux. Comment l’islam va transformer la France et l’Europe ».

    Après avoir appelé de leurs vœux le développement de la « diversité » en entreprise comme ailleurs, source d’infinies richesses nous affirme-t-on, de grands vrais ou faux naïfs feignent de découvrir l’irruption du « fait religieux », comme ils disent, dans l’entreprise sans jamais bien préciser ou le plus subrepticement possible, en quoi peut bien consister ce « fait religieux » qui empoisonne l’ambiance et la productivité de nombre d’entreprises.

    S’agirait-il, par hasard, d’impétueux catholiques entonnant à temps et contretemps de vibrants Salve Regina ou Ave Maria sur leur poste de travail ou exigeant du poisson le vendredi au restaurant d’entreprise et des menus allégés durant le Carême ? Ou peut-être d’ardents Israélites clamant Shema Israël au détriment de leur fonction et de la patience de leur voisinage de travail ? Ou encore quelques disciples de Bouddha débitant des mantras au milieu de nuages d’encens et enquiquinant leurs collègues avec les vertus supposées du Dalai Lama ? Peut-être des Témoins de Jéhovah au prosélytisme apocalyptique un peu trop lourdingue ? Difficile de trancher à la lecture des nombreuses publications sur le sujet évoquant pudiquement une réalité du fait religieux dans l’entreprise.

    Inutile de prolonger cruellement le suspens car malgré les pudeurs de chaisières des grands media dont la fonction essentielle consiste à masquer encore et toujours et le plus longtemps possible, jusqu’à l’irréversibilité du processus, la réalité de la situation, chacun sait bien que c’est de l’inexorable montée d’une islamisation qui n’épargne guère plus les entreprises que la société civile qu’il s’agit.

    Une islamisation galopante à l’assaut du monde du travail

    Année après année, les enquêtes de l’Institut Ranstad et de l’Observatoire du fait religieux en entreprise (OFRE) démontrent et quantifient un affichage, sinon un étalage, de plus en plus manifeste des « convictions religieuses » au travail. Dans l’enquête de 2016, la dernière en date, Lionel Honoré, professeur des universités et directeur de l’OFRE, affirmait que 65% des salariés interrogés certifiaient avoir constaté cette progression, contre 50% en 2015 et 44% en 2014. Les signataires de l’étude concèdent, sans doute à contrecœur, que « le plus souvent la religion impliquée est l’islam » pour ajouter benoîtement, sans doute terrifiés par leur audace : « même si toutes sont concernées ». Ah bon, lesquelles ? La lecture du compte-rendu de l’enquête ne nous renseignera pas à ce sujet.

    La même étude révèle que les gênes occasionnées par la pratique mahométane ont fait plus que doubler en un an, passant de 8% en 2015 à 18% en 2016, ce qui s’avère extrêmement inquiétant pour l’évolution de la situation dans les années à venir et laisse présager des lendemains qui déchantent.
    En octobre 2014, l’Observatoire Sociovision avait démontré qu’en vingt ans, la part des croyants et des pratiquants au sein de la société française, toutes religions confondues, n’avait fait que régresser, passant de 60% à 45%. Mais, commente l’organisme Technologia, « cette proportion est aujourd’hui clivée : d’un côté, une majorité de catholiques âgés, de l’autre une faible proportion de baptistes (sic) et de jeunes musulmans dont 41% ont moins de 30 ans ».

    On demeure sidéré devant le grotesque tour de passe-passe consistant à enrôler les baptistes qui n’en peuvent mais, avec les musulmans qu’il convient sans doute de ne pas « stigmatiser » seuls.

    L’accélération du processus d’islamisation en cours dans les entreprises ne peut faire oublier que dès les années 1970 des constructeurs automobiles, tels Renault et Peugeot, concédaient déjà des aménagements horaires destinés aux musulmans en période de ramadan et installaient des salles de prière dans l’enceinte de leurs entreprises. C’était  l’époque de la grande utopie de l’intégration et de l’assimilation auxquelles n’ont sans doute jamais cru les véritables instigateurs d’une colonisation de peuplement décidée dès les années 1970 par les maîtres du monde et symboliquement entérinée par la législation sur le regroupement familial.

    Oubliée la législation de 1905 sur la laïcité, modèle prétendument indépassable de neutralité dont il s’est vite avéré qu’il ne s’agissait que d’une machine de guerre contre le seul catholicisme. Mettre l’ensemble des cultes sur un pied d’égalité dans une nation alors essentiellement catholique ne revenait bien sûr qu’à affaiblir le catholicisme en le noyant dans une pluralité de cultes bénéficiant ainsi de fait, avant la lettre, d’une discrimination positive. Aussi vrai qu’on l’arbre juge à ses fruits, les résultats sont là, flagrants, incontestables et il apparaît que le laïcisme militant loin de constituer un rempart contre l’islamisation n’aboutit finalement qu’à saper les fondements de la civilisation chrétienne pour ouvrir un boulevard à des croyances d’importation.

    Une bonne quarantaine d’années plus tard, Jean-Michel Lagardele député-maire d’Aulnay-sous-Bois, commune de Seine-Saint-Denis, département colonisé s’il en est, président de l’UDI et démocrate pur jus, jusqu’alors jamais pris en défaut de conformisme, avouait au micro de France Info, face à Jean-Michel Aphatie, le 3 janvier dernier, l’omniprésence religieuse et les dérives communautaristes liées à l’islam dans l’usine PSA de la commune, précisant même que « la pratique trop poussée de l’islam à l’usine d’Aulnay-sous-Bois est à l’origine de la fermeture de l’usine en 2013 ».

    Réactions indignées des Jeunesses communistes, expertes sans doute en matière de liberté d’expression, sur les réseaux sociaux, et démenti indigné de Pierre-Olivier Salmon, porte-parole du groupe PSA n’évoquant que de vagues problèmes économiques, rejoint dans son indignation par l’inévitable CGT dénonçant une « saloperie ».

    La RATP, pépinière de fiché « S »

    Quant à la RATP, officiellement Régie Autonome des Transports Parisiens et non, contre toute apparence, Régie Africaine des Transports Parisiens, l’entreprise française la mieux pourvue en individus fichés « S » si l’on en croit le quotidien Le Parisien, en 2013, un collectif de femmes salariées de ladite Régie avait choisi de s’exprimer par le truchement  d’un enregistrement vidéo diffusé en ligne sur le calvaire enduré par la gent féminine dans cette entreprise très largement ouverte à la « diversité ».

    Avant même de visionner l’enregistrement, il conviendrait de se poser et répondre à trois questions simples : qui conduit les rames du métro et du RER ? Qui les remplit ? Qui assure la maintenance des stations et matériels ?
    Les habitants d’Ile-de-France connaissent bien la réponse. Passons…
    Dénonçant les maltraitances de la part de certains de leurs collègues masculins « fanatiques religieux sexistes », les atteintes à la laïcité, les prières clandestines, les signes ostentatoires de leur pratique, les relèves non effectuées pour ne pas avoir à remplacer des femmes, ni devoir s’asseoir après elles sur le même siège – situation parmi tant d’autres révélant une frustration sexuelle véritablement pathologique – les courageuses salariées s’exposèrent à quelques quolibets et réactions virulentes mais surtout au lâche silence gêné du système politico-médiatique et de la direction de l’entreprise.

    Il faut dire que Pierre Mongin, le PDG de l’époque, parti depuis lors pantoufler chez GDF Suez en qualité de Directeur général adjoint n’a pas vraiment le profil de l’intrépide résistant.

    Issu en 1980 de la promotion Voltaire de l’ENA, tout comme Ségolène RoyalDominique de VillepinFrançois Hollande et vice-président de la Fondation Agir Contre l’Exclusion (FACE), Pierre Mongin reconnu par ailleurs comme grand professionnel du transport et même encensé par la CGT, ce qui n’est jamais très bon signe, ne pouvait ignorer que le moindre soupçon d’islamophobie aurait définitivement compromis son transfert de la Régie communautarisée à l’un des fleurons du CAC 40 dirigé par Isabelle Kocher, ex-conseillère de Lionel Jospin, Premier Ministre.

    Ce petit monde consanguin du système ne souffre pas la moindre incartade et aucun de ses affidés ne peut s’offrir le luxe du courage, ni la moindre velléité d’indépendance d’esprit. Le maintien autour de l’assiette au beurre est à ce prix et les convives savent l’impérieuse nécessité d’y toujours penser sans jamais en parler.

    Réflexions, conférences et brochures pour contrer l’islamisation

    En avril 2010, Nicolas Sarkozy, Président de la république en fonction, invitait le Haut Conseil à l’Intégration (HCI) à mener une réflexion sur l’application du principe de laïcité dans la république et notamment sur l’expression religieuse et la laïcité dans l’entreprise. La machin accoucha bien entendu d’un rapport convenu rappelant la liberté de conscience, notamment en matière de croyances, à ne surtout pas confondre avec une liberté d’expression religieuse qui ne saurait être absolue. Il affirmait notamment que le règlement intérieur de l’entreprise peut prévoir des limitations de l’expression religieuse en rapport avec les obligations définies dans le contrat de travail, notamment concernant la nature des tâches à effectuer et les impératifs liés à la sécurité, l’hygiène et la santé.

    À noter qu’une grande inégalité subsiste entre la fonction et les entreprises publiques et celles relevant du secteur privé.  L’État laïc et indépendant des cultes, conformément aux prescriptions de l’article 10 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, reprise dans l’article 1er de la Constitution du 4 octobre 1958dispose en effet que : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure par conséquent, théoriquement tout au moins, l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte, en principe, toutes les croyances… ».

    Ces généreux principes imposent aux agents desdites administrations et entreprises publiques de ne manifester d’aucune façon leurs convictions religieuses alors que les citoyens étant, eux, individuellement libres de manifester leur croyance ne sont pas astreints aux mêmes obligations. Subtilité, certes, mais d’importance.

    En mars 2013, la cour de cassation annulait le licenciement d’une employée de la crèche associative Baby Loup, implantée dans un quartier « populaire » (traduire « ethnique) de Chanteloup-les-Vignes, celle-ci refusant d’enlever son voile islamique. L’affaire initiée en 2008 par la salariée en question aboutit en 2013 à une annulation du licenciement au motif qu’il aurait été prononcé en raison des convictions religieuses de la salariée. Même Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, déplora une décision remettant en cause le principe de laïcité.

    Mais derrière cette agitation juridico médiatique, auront beau se multiplier les incantations à la laïcité, les outils de communication, les guides, les conférences, les formations, les sensibilisations, l’islamisation n’épargnera évidemment pas le monde du travail d’autant que nous n’avons pas à faire à une religion comme persistent à qualifier l’islam les observateurs les moins avertis.

    L’islam n’est pas une religion mais un système idéologico-religieux au service d’une théocratie totalitaire comme le rappelle l’islamiste Hani Ramadan, frère du très médiatique mais non moins ambigu Tariq Ramadan, un temps chouchou des plateaux télévisés et proche de l’UOIF (l’Union des Organisations Islamiques de France), lorsqu’il déclare : «L’islam touche tout autant l’espace public que la sphère privée (…) Il est religion et État, foi et loi, doctrine et mode de vie ; il comprend dans son système les principes d’un gouvernement et aussi des prescriptions de guerre, appelant les croyants au combat pour défendre leurs droits ». 

    Lorsqu’il explique l’islam, ce grand défenseur de la charia, de la lapidation des femmes et autres préceptes d’un autre âge, islamologue patenté, récemment arrêté à Colmar et frappé d’une interdiction administrative de résider sur le sol français au motif de « risque à l’ordre public », sait sans doute de quoi il parle … Mais il n’est de pire sourd que celui qui ne veut entendre.

    ARNAUD RAFFARD DE BRIENNE

    Article initialement publié dans Rivarol en 2017.

    https://www.noussommespartout.fr/forte-poussee-de-lislamisation-dans-les-entreprises/zones-occupees/

  • Attaque terroriste par un islamiste près de Carcassonne. Au moins 3 morts. L'islamiste a été tué

    6a00d83451619c69e201b7c95a9125970b-250wi.jpg2 hommes à bord d'une voiture ont tiré sur 4 CRS qui faisaient leur footing à Carcassonne. L'un des policiers serait blessé.

    Une prise d'otage serait en cours dans un hypermarché de Trèbes près de Carcassonne. Il y aurait un mort. La gendarmerie confirme qu'une à deux personnes ont été touchées par balles dans le Super U.

    Le parquet annonce que le preneur d'otage de Trèbes se revendique du groupe Etat islamique.

    Add : Une à deux personnes ont été touchées par balles et seraient décédées, selon le commandant de gendarmerie. LCI évoque 2 morts et 12 blessés dans ce Super U.

    13h20 : l'attaque terroriste a fait 2 morts et 12 blessés. Le preneur d'otages, qui se réclame de Daech, serait un ressortissant marocain connu des services de police. Le preneur d'otages a été vu dans sa voiture hurlant "Allah Akbar" et disant vouloir "venger ses frères en Syrie". Il est armé et porteur de grenades. Bien connu de la DGSI comme étant l'un des tous premiers candidats au djihad.

    13h23 : le preneur d'otages réclame la libération de Salah Abdeslam.

    13h45 : Connu pour port d’armes, cet homme d’origine marocaine né en 1992, actif sur les réseaux sociaux salafistes, était suivi par la DGSI. Il avait été incarcéré à Carcassonne en 2016. Le renseignement le suspecte d’avoir effectué un voyage en Syrie, mais n’en a pas la certitude.

    14h37 : on parle désormais de 3 morts. Un lieutenant-colonel s'est échangé contre la vie des otages. Le terroriste a d'abord volé une voiture à Carcassonne, tuant un passager et blessant le conducteur, avant de toucher à l'épaule un CRS à proximité de la caserne située non loin de là. Il a ensuite tué 2 personnes au sein du supermarché.

    14h45 : le Marocain a été tué.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La justice italienne est en passe de remporter son face à face contre les ONG favorisant l’immigration clandestine

    Migrants-Méditerranée-Italie-copie-600x246.jpg

     ITALIE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    L’organisation non gouvernementale “Proactiva Open Arms” et trois de ses membres sont sous le coup d’une enquête de la justice italienne suite à des événements survenus en fin de semaine dernière. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs en vue de favoriser l’immigration clandestine, après avoir refusé de remettre des immigrés illégaux aux autorités libyennes,. Ce faisant l’ONG est en effet passée outre l’accord passé avec le ministère italien de l’Intérieur en juillet 2017 qui réglementait notamment le débarquement d’immigrés sur les terres italiennes. Un accord similaire pris avec les autorités libyennes permettait ainsi d’endiguer le flux d’arrivées en Italie.

    Ces réglementations faisaient suite à de nombreuses passes d’armes entre ces organisations et le gouvernement italien.

    En effet, il était reproché à de nombreuses ONG d’inciter les africains à tenter la traversée de la méditerranée, voir même d’être directement en contact avec les passeurs. A la suite d’une enquête ouverte à ce sujet par le parquet de Catane, le nombre de bateaux de ces associations affrétés en Méditerranée a drastiquement diminué. Début 2017 une dizaine d’entre eux sillonnaient la mer de manière coordonnée, ramenant une quantité colossale d’immigrés illégaux sur les terres transalpines. Ils n’en resterait maintenant plus qu’un, suite à la saisie du bateau de l’ONG Proactiva Open Arms ce samedi.

    La justice italienne est donc en train de gagner ce combat de la Méditerranée.

    En effet, et les débarquement sur les côtes italiennes ont baissé de plus de 60% dans le même temps, preuve de l’impact désastreux qu’avait l’implication de ces associations. Matteo Salvini, chef du premier parti de la coalition de droite du pays s’est réjoui des actions judiciaires de ce samedi, se félicitant que “enfin un parquet italien s’élevait contre le trafic d’être humains”. Après les pays d’Europe Centrale, l’Italie est elle aussi en passe de prouver qu’il est possible de résister à l’immigration massive à laquelle est confrontée l’Europe actuellement.

    https://fr.novopress.info/210112/la-justice-italienne-est-en-passe-de-remporter-son-face-a-face-contre-les-ong-favorisant-limmigration-clandestine/

  • Il est permis d'occuper une église mais pas le toit d'une mosquée

    XVM8276a1ca-b5a1-11e7-8aca-c6cafecb3960

    Un an de prison avec sursis

    Arton9751

    Rien

    Comme le dit Alexis Lacroix, de l’Express :

    « Quelques migrants ont un peu chahuté dans cette église […] la fachosphère essaie d’instrumentaliser ce micro-événement »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • I HAVE A DREAM… UNE GRANDE MANIFESTATION DE PROTESTATION, DIMANCHE, À SAINT-DENIS !

    profanation-saint-denis-manif-1499x660.jpg

    Quel déluge ! La profanation de Saint-Denis par une horde d’immigrés illégaux a suscité tant et tant de réactions, tellement d’heures d’antenne et d’interviews radio. On est un peu abasourdi.

    Une manifestation monstre de protestation aura lieu, dit-on, dimanche après-midi, en présence, bien sûr, d’Emmanuel Macron et des évêques de Paris. On attend un million de personnes, au bas mot.

    Après les titres du 20 Heures de TF1, dès dimanche soir, c’est Jean-Pierre Pernaut qui consacra, lundi, un long reportage à l’affaire, expliquant que l’absence de produits auvergnats sur les étals a valu à Saint-Denis de ne pas être élu plus beau marché de France. Mais que là n’était pas raison de vouloir halaliser les hosties ni venir retirer les bouteilles de vin de messe de la sacristie.

    Il est même question, d’ici le grand rassemblement de dimanche, de rappeler aux têtes blondes des classes primaires le livre de Georges Bordonove, Les rois qui ont fait la France, et de l’offrir en prix à ceux qui auront rédigé la meilleure rédaction à ce sujet. Les aînés devront, quant à eux, se satisfaire d’une « Émission politique » exceptionnelle sur France 2 où seront co-invités Monseigneur le duc d’Anjou et le prince Jean.

    On a même entendu l’ombre d’une phrase que Wauquiez aurait prononcée sur le sujet. À moins qu’il n’ait retiré sa déclaration. Avec lui, on ne sait jamais…

    Mais qu’importe ! Les Larrivé, Calmels, Peltier et Ciotti ont bel et bien réagi, non ? C’est là l’essentiel. Montrer qu’on ne se laissera pas faire et que s’il est beau de s’offusquer des têtes de porc, tranches de jambon et autres drapeaux français déployés par les identitaires sur une mosquée en construction, il faut aussi marquer que ce lieu-là est « d’chez nous », à nous.
     
    D’ailleurs, n’a-t-on pas eu une docte déclaration de l’Assemblée des évêques de France sur cette affaire ? Ah, mais non ! Que je suis sot. J’anticipe… Rassemblés à Lourdes et consacrant la journée de jeudi au sujet des migrants, il nous faut attendre encore un peu pour savoir de quelle formule ils useront lors de la prière universelle, dimanche. Quelque chose de bien sonnant, appelant au respect des morts et des saintes espèces que le lieu commande à tout homme soucieux de respecter les valeurs de la République.
     
    M’enfin… J’ai dû abuser du gros rouge, et en carême, j’en avoue la faute.

    Il ne s’agissait QUE de la basilique Saint-Denis.

    http://www.bvoltaire.fr/i-have-a-dream-grande-manifestation-de-protestation-dimanche-a-saint-denis/