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immigration - Page 831

  • Face cachée du Ramadan : faux jeûne, business, orgies de nourriture, indigestions massives, gaspillage, dégâts sociaux

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    Le terme « jeûne » n’est pas forcément adapté pour désigner les pratiques islamiques du ramadan… qu’on ne peut plus rater en France.

    Certes, le fait de ne pas avoir le droit de boire de l’eau pendant tout le jour est dur, voire inhumain quand il fait chaud (et cela interroge sur la religion qui impose de tels préceptes).

    Pour le reste, certains parlent du « mois de la nourriture » !

    En Algérie, en 2010, le nombre de personnes admises aux services des urgences médicales après l’Iftar (repas de rupture du « jeûne ») durant les 10 premiers jours du « mois sacré » avoisinait les 10 000. « La quasi-totalité des cas personnes souffrant de troubles digestifs, d’hypertension et de troubles de diabète ont été enregistrés au niveau des hôpitaux du nord du pays », a indiqué à Echorouk le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), le professeur Mustapha Khiati.

    Au Qatar, dès le soir du premier jour du ramadan, les hôpitaux ont reçu en 2013 des dizaines de patients souffrant de douleurs. Douleurs non pas dues un manque de nourriture ou d’eau, mais à l’inverse dues à un excès.

    En effet, les patients, qui se sont suralimentés au cours de l’iftar, se sont plaints principalement de brûlures d’estomac, et de vomissements répétés. Tout au long du ramadan, les hôpitaux qataris reçoivent régulièrement des patients ayant trop mangé. En 2015, une centaine de personnes ont été admises au service des urgences au cours de la première nuit du ramadan.

    Le ramadan est aussi l’occasion d’un formidable gaspillage de nourriture :

    « Les musulmans jettent plus de 40 % des plats préparés chaque jour pendant le Ramadan. » C’est le constat d’une étude réalisée par Mohammed Aman, un écologiste du Bahreïn spécialiste de l’environnement et des déchets. « Les gens ont tendance à multiplier par trois la quantité de nourriture qu’ils consomment durant l’Iftar », ajoute-t-il.

    Par ailleurs, en Algérie, femmes et enfants battus au sein du foyer durant le ramadan : +120% ; rixes et disputes causant des blessures : +400% ; voies de fait, agressions : +320% ; vols de voitures, escroqueries, faux et usage de faux : +180% ; rendements dans les entreprises : -62% ; nombre de sinistres : +410% ; nombre de blessés : +214% ; nombre de décès : +80%. Ces chiffres ne sont pas le fait d’islamophobes rabiques, mais résultent d’une enquête menée par l’institut algérien Abassa, dans 24 régions administratives d’Algérie, auprès d’un échantillon représentatif de 3.004 individus. L’objectif de cet institut était d’identifier et de quantifier les principales conduites sociales individuelles et collectives durant le mois du Ramadan. On voit les résultats… Depuis, l’Institut Abassa a été démantelé par les autorités algériennes.
    http://www.contre-info.com/face-cachee-du-ramadan-faux-jeune-business-orgies-de-nourriture-indigestions-massives-gaspillage-degats-sociaux#more-45206

  • LOGEMENT : LES EFFETS PERVERS DE L’IMMIGRATION

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    Depuis deux mois, maintenant, j’ai quitté Paris pour le soleil du midi. Sans regret aucun, sinon pour y avoir laissé des êtres chers, mais je ne supportais plus de voir une ville où j’ai passé quatre décennies devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Je « remonte » à la capitale régulièrement, et plus le temps passe, plus cela m’est pénible !

    Outre la qualité de vie – une expression pleine de sens –, je cherchais de la place. De l’espace. Je l’ai trouvé. De quoi, très largement, me faire entrer dans les catégories de l’INSEE dont je vous parlais l’autre jour : je vis désormais dans un appartement en « sous-peuplement très accentué ». Très très accentué, même. Pire que ces égoïstes qui « ont tendance à conserver leur logement après le départ des enfants du domicile familial ou le décès du conjoint », j’en ai acquis un tout exprès pour y recevoir la famille et les amis, et j’espère bien pouvoir en profiter.

    C’est mesquin, honteux sans doute car dénué de charité chrétienne, mais c’est ainsi. Ayant passé mon enfance provinciale dans une longère où nous dormions à trois par chambre, et vingt ans à quatre dans un modeste appartement parisien, je m’offre aujourd’hui ce grand luxe qu’est l’espace.

    Passé ce petit préambule, j’aimerais justement vous livrer quelques réflexions sur le logement. Une question qui peut sembler secondaire en regard de tant d’autres problèmes mais qui est, incontestablement, la cause de la frustration de bien des Français.

    Voilà, pour illustrer, trois histoires qui touchent des proches et disent, sans qu’il soit besoin de commentaires, toute l’absurdité de notre système.

    Une amie vend à la frontière des XVIIe et XVIIIe arrondissements de Paris un appartement de 76 m2 pour la coquette somme de 780.000 euros. Elle part dans le IXe où, pour 760.000 euros, elle va s’installer dans un appartement de 64 m2 où il lui faut faire des travaux.

    Un couple d’amis avait acheté, voilà dix ans, un appartement de 65 m2 dans les immeubles neufs qui font face à la gare RER d’Évry, la bonne ville de Manuel Valls. La location arrivant à son terme, ils souhaitent le vendre. Il est en parfait état. Acheté 175.000 euros, ils ne trouvent pas, aujourd’hui, preneur à 130.000.

    Madame X., âgée, est partie en maison de retraite. Pour payer les frais, ses enfants ont vendu l’appartement dans lequel elle s’était installée après son veuvage. (Ex)-beaux quartiers de Poitiers, belle prestation : 70 m2, salle d’eau et salle de bains, parties communes bien entretenues, deux chambres. Ils l’ont très péniblement vendu… 70.000 euros ! Pourquoi ? Parce que la municipalité a installé en face des logements sociaux pour y abriter des populations « allogènes » venues de la capitale avec ses mœurs et ses trafics.

    Paris ne compte plus, désormais, que des gens « très riches » – soit parce qu’ils sont depuis longtemps propriétaires d’un logement dont les prix flambent de façon délirante, soit parce qu’ils appartiennent à une classe sociale extrêmement aisée ; face à eux, des logements sociaux. Entre ces deux extrémités, on ne trouve plus personne. Les cadres moyens fuient vers la banlieue, qui se met elle aussi à flamber. Un jeune couple qui s’est installé voilà cinq ans à Montreuil dans une maison d’à peine 90 m2 où il a fallu faire de lourds travaux, payée 347.000 euros, s’en voit proposer aujourd’hui 650.000 !

    J’ai discuté avec mes déménageurs. Ils parcourent la France, doivent souvent dormir à l’hôtel. Seulement voilà, ils ne trouvent plus d’hôtels à bas prix : tous ou presque, en périphérie des grandes villes, sont réquisitionnés pour y loger à l’année des immigrés.

    Les déménageurs sont payés au SMIC. Que croyez-vous qu’ils pensent lorsque le patron les engueule parce qu’ils n’ont pas trouvé une chambre en dessous de 100 euros la nuit ?

    Les beaux esprits nous serinent que « les populistes » se trompent ou, pire, qu’ils vivent dans le fantasme : faux, l’immigration ne coûte pas cher à la France ! Reste qu’elle coûte probablement très cher aux Français en qualité de vie, en pertes individuelles, en désespoir parfois.

    http://www.bvoltaire.fr/logement-effets-pervers-de-limmigration/

  • Balkans : nouvelle barrière anti-immigration

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La Croatie fait face à une nouveau flux migratoire arrivant depuis la Bosnie. L’objectif des migrants n’a pas varié : rejoindre l’Europe Occidentale, en passant par la Slovénie. Ce dernier pays pourrait se retrouver dans un avenir proche avec 60.000 clandestins bloqués à la frontière de l’Autriche peu encline à les laisser entrer.

    Cette nouvelle route balkanique traverse l’Albanie, le Monténégro, la Bosnie-Herzégovine avant de rejoindre la Croatie puis la Slovénie. Alors que la Croatie reste passive pour le moment, le Monténégro semble quant à lui décidé à empêcher ce scénario d’advenir. Vojislav Dragovic, chef du département de la police des frontières au ministère de l’Intérieur du Monténégro a déclaré à la télévision publique que la construction d’une barrière frontalière avec l’Albanie était envisagée.

    D’autant que l’Albanie ne semble pas disposée à reprendre les clandestins qui arrivent au Monténégro, en dépit d’accords bilatéraux entre le Monténégro et l’Albanie. La Hongrie a déclaré être disposée à offrir au Monténégro 25 km de grillage frontalier sur les 172 km que compte la frontière. Un bel exemple de coopération européenne !

    https://fr.novopress.info/

  • Facebook : les identitaires, la censure et les libertés publiques

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    La suppression par Facebook de la page de Génération Identitaire, qui rassemble plus de 200.000 abonnés, a suscité un vif débat public. Dominique Reygnié, directeur général de la Fondapol, s’en est ému dans une tribune parue dans le Figarovox.

    Selon lui, « la question posée par la fermeture du compte de Génération identitaire est, à proprement parler, cruciale : il s’agit de savoir si nous sommes engagés dans un processus de privatisation de nos libertés publiques et en dehors de tout contrôle de type juridictionnel ou parlementaire. »

    Nicolas Bay, patron du Front national au Parlement européen, a lui aussi soulevé la question de cette censure politique et directement interpellé le président-fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, auditionné hier par les députés européens. Ce dernier s’est contenté d’une réponse évasive affirmant qu’il était très attaché à la liberté des opinions politiques.

    https://fr.novopress.info/

  • [Vidéo] Bistro Libertés avec Romain Espino de Génération Identitaire

    Martial Bild et les sociétaires reçoivent le porte-parole de Génération Identitaire Romain Espino. Ils débattent de l’utilité des fiches S, de la position de la diplomatie française après le retrait des Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien et du désamour pour le festival de Cannes.

  • Immigration, islam, famille : un accord de droite en Italie

    Le Mouvement 5 Etoiles et la Lega ont conclu un accord de gouvernement qui devrait inspirer la droite française tant il porte sur l’essentiel. Extrait dans Minute :

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    [...]

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « Terrorisme : je ne suis pas plus islamophobe que christianophobe ou judéophobe. Je préfère interpeller sur les causes que sur les conséquences, aussi dramatiques soient-elles… »

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    Entretien avec Philippe Randa

    Propos recueillis par Guirec Sèvres, publiés sur le site Synthèse nationale

    Plusieurs personnalités ont signé un « Manifeste contre les nouveaux collabos de l’islam » cliquez ici dont Guy Millière, Guillaume Faye, le Dr Alain de Peretti, Gérard Brazon, Jean Robin, Abbé Guy Pagès, Marc Rousset, Uli Windisch… Pas vous ?

    Non, bien qu’on me l’ait proposé, mais je ne suis pas plus islamophobe que christianophobe ou judéophobe… De philosophie païenne, je suis tolérant envers toutes les religions. Les sanglantes dérives au nom d’Allah sont directement et avant tout liées à l’immigration incontrôlée et à l’actuelle politique extérieure des États-Unis… Je préfère interpeller sur les causes que sur les conséquences, aussi dramatiques soient-elles. Au début du XXe siècle, les musulmans en France étaient estimés à environ 120 000 ; ils pratiquaient leur religion au vu et au su de tout le monde sans revendications insupportables et personne n’y trouvait rien à redire… Tout a changé à la fin de ce siècle après l’arrivée incontrôlée de plusieurs millions d’immigrés à majorité musulmane : les conversions à l’islam n’ont jamais été numériquement importantes, c’est le flot continu – car l’immigration officiellement « restreinte » depuis les années soixante-dix du siècle dernier, ne l’a jamais été – de millions d’étrangers convertis qui nous posent aujourd’hui des problèmes autant d’identité que de sécurité : tous les jours, nous pouvons constater autant l’échec de l’intégration que de l’assimilation pour des millions de ces « nouveaux Français » qui, de fait, ne le sont que de papiers ; plus terrible encore, il y a le rôle que jouent les innombrables associations et les « idiots utiles » qui favorisent et accueillent les clandestins : leurs filières sont redoutablement efficaces. Grâce au totalitarisme du « politiquement correct » relayé par la quasi-totalité des médias mainstream, ils agissent quasiment en toute impunité : les différents gouvernements de la France depuis un demi-siècle sont paralysés à l’idée d’être accusés de racisme. Ainsi le passeur de migrants Cédric Herrou qui a enfreint la loi française est invité au Festival de Cannes, tandis que les militants de Génération identitaire qui ont fait respecter sans violence aucune cette même loi française notamment au Col de l’Échelle, sont discriminés jusque sur leurs lieux de travail.

    Vous pensez donc que l’islam peut avoir une place en France ?

    De fait, il l’a : il y a entre 8 et 10 millions de personnes d’« origine musulmane », plus ou moins croyantes et pratiquantes. On peut imaginer les traquer, les parquer et les expulser, bien sûr ! Mais encore faudrait-il expliquer comment s’y prendre et où « s’en débarrasser »… Leurs pays d’origine ? Ils sont plusieurs millions à être nés sur le sol français, désormais depuis deux ou trois générations…

    Cela pourrait au moins s’envisager pour les Fichés « S » ?

    Rappelons qu’ils sont au nombre de 20 000 selon l’actuel Ministre de l’Intérieur Gérard Colomb : tous ne sont pas musulmans, certes, mais c’est la majorité. À l’évidence, les pays dont ils sont originaires n’accepteront sans doute par de récupérer de telles canailles, nées qui plus est sur le territoire français. Quant aux naturalisés, tel Khamzat Azimov, né en Tchétchénie en 1997 et naturalisé français, si tant est que leur pays d’origine accepte de les récupérer, on imagine quel sort leur sera réservé sur place… Certains pourront s’en réjouir, mais les associations auto-proclamées des droits de l’homme dont c’est le gagne-pain feront pleurer dans les chaumières françaises sur le sort qui leur sera réservé. Et puis, l’actuel président tchétchène ne s’est pas gêné de dénoncer la responsabilité de notre belle démocratie (que le Monde entier est censé nous envier) dans la dérive djihadiste d’Azimov ; je le cite : « Il est important de noter que l’entière responsabilité de l’orientation criminelle de Khamzat Azimov revient aux autorités françaises ; il est né en Tchétchénie, mais il a grandi dans la société française, où ont été forgées sa personnalité et ses opinions »… Incontestablement, il a raison. Ça fait mal à entendre, certes, même si les coups de couteau d’Azimov ont fait plus de mal encore à ses victimes (1 mort et 4 blessés)…

    Alors, il n’y a rien à faire ? On laisse l’islam continuer de progresser en France et les Fous d’Allah frapper où ils veulent, quand ils veulent ?

    Bien sûr que non, mais plutôt que des imprécations, ne pourrait-on pas plutôt chercher des solutions efficaces parce que surtout envisageables ? Par exemple, inscrire l’interdiction du « djihad » dans la loi française et l’assortir d’une déchéance automatique de la nationalité française ? Ainsi, tous ceux partis faire la guerre en son nom hors de nos frontières ne pourraient plus revenir… Ce serait déjà autant de personnes dangereuses tenues à l’écart ! Quant aux « terroristes potentiels » qui ne sont pas encore passés à l’acte, ce sont pour la grande majorité d’entre eux d’anciens délinquants de droit commun. C’est donc à ce stade-là qu’il convient d’abord d’intervenir : repérer autant parmi la population carcérale que parmi les aumôniers musulmans ceux qui les radicalisent… Et puis surtout, principalement et impérativement, pour tarir la source d’approvisionnement en terroristes futurs, fermer les vannes de l’immigration incontrôlée… Tant que cela ne sera pas le cas, on ne pourra que compter nos chômeurs et pleurer nos morts. Soit continuer la politique de l’autruche comme depuis des décennies. Le pire serait de découvrir que nos concitoyens s’y sont définitivement résolus.

    Directeur du site EuroLibertés. Ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale, chroniqueur politique, éditeur (éditions Dualpha, Déterna et L’Æncre) et auteur de plus d’une centaine de livres. Sociétaire de l’émission « Bistrot Liberté » sur TVLibertés. Il écrit également des billets pour le quotidien Présent et co-anime chaque jeudi l’émission « Synthèse » avec Roland Hélie sur Radio Libertés. Ses chroniques politiques sont publiées chaque année en recueil sous le titre : « Chroniques barbares ». Dernier livre paru Une démocratie hors de prix, préface d’Aristide Leucate.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • LA RÉPONSE DU NOUVEAU GOUVERNEMENT ITALIEN À BRUNO LE MAIRE : « LES ITALIENS D’ABORD ! »

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    L’année dernière, Marine Le Pen en rêvait et c’est en Italie que l’alliance des populistes des deux rives s’est accomplie avec le gouvernement formé, ce lundi, par la Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement 5 étoiles de Luigi Di Maio avec, comme Premier ministre, Giuseppe Conte, brillant professeur de droit au profil assez lisse.

    En démocrate vigilant, Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, ne pouvait que se ridiculiser, lui (et la France, au passage), avec ces propos tenus ce dimanche dernier sur Europe 1 : « Les Italiens doivent comprendre que l’avenir de l’Italie est en Europe et nulle part ailleurs ! Il y a des règles à respecter… » Bref, c’est l’Europe punitive. Et le même de poursuivre, passant du registre de la menace à celui de l’apocalypse annoncée : « Si le nouveau gouvernement prenait le risque de ne pas respecter ses engagements sur la dette, le déficit, mais aussi l’assainissement des banques, c’est toute la stabilité financière de la zone euro qui serait menacée. »

    Ce qui inquiète Bruno Le Maire, grand sensible devant l’éternel ? Cette déclaration, peut-être : « Nous entendons revoir, avec les partenaires européens, le cadre de la gouvernance économique », ce qu’exigeaient, précisément, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon durant la campagne présidentielle de 2017. La réponse de Matteo Salvini, qui n’a pas tardé, vaut son pesant de prosciutto :

    « Je n’ai pas demandé les votes et la confiance pour continuer sur la route de la pauvreté, de la précarité et de l’immigration : les Italiens d’abord ! »

    Voilà qui a, au moins, le mérite d’une indubitable clarté.

    D’ailleurs, si Bruno Le Maire connaissait mieux l’Europe, il saurait que, pour jovial qu’il puisse souvent paraître, le Ritalien peut aussi se révéler susceptible, surtout lorsque chatouillé de trop près ; ce qui lui aurait sûrement évité cette autre réplique cinglante : 

    « Que les Français s’occupent de la France et ne se mettent pas à casser les pieds chez les autres. […] Il y a ce ministre français [Bruno Le Maire, donc, NDLR] qui dit que “le prochain gouvernement devra continuer à faire ce qu’ont fait tous les autres avant lui”. Qu’il se mette le cœur en paix : nous ferons l’exact contraire de ce qu’ont fait les gouvernements qui nous ont précédés. »

    Au fait, ce programme qui donne des sueurs froides à notre ministre, qu’a-t-il de si proprement scandaleux ? On y trouve des mesures sociales – de gauche ? – et des mesures sécuritaires – de droite ? – parmi lesquelles : abaissement de l’âge de la retraite, instauration d’un salaire minimum et d’un revenu de citoyenneté de 780 euros par mois. Mais aussi des baisses d’impôts significatives et des mesures musclées quant à l’immigration de masse et un islam de plus en plus envahissant. Soit un programme qu’on pourrait tenir pour être à la fois de « gauche » et de « droite » ; ce qui est une assez bonne définition du populisme. Il n’y a donc pas tromperie sur la marchandise.

    On y trouve même des mesures sociétales assez intéressantes en matière de « moralisation de la vie politique », telle cette interdiction faite aux francs-maçons de devenir ministres. Mesure qui, dit-on, pourrait déclencher un peu plus l’ire des instances européennes, mais qui s’explique assez bien, étant donné le contexte local : le souvenir du scandale de la loge P2, avec ses implications au sein du Vatican, de la Mafia et de la CIA, est encore largement présent dans les mémoires.

    Cette alliance des populismes, Marine Le Pen l’appelait de ses vœux l’année dernière. Jean-Luc Mélenchon n’a pas osé franchir le Rubicon, préférant céder devant ses ouailles immigrationnistes pratiquant un gauchisme d’un autre temps. Dommage. Car une alliance du peuple, celui du « non » au référendum sur la Constitution européenne, celui qui souffre de la mondialisation, celui des invisibles et de la France périphérique aurait eu un peu plus d’allure que cette fantasmatique union des droites dont un Laurent Wauquiez ne veut à aucun prix et que réclame en vain un Front national aujourd’hui passablement déboussolé.

    http://www.bvoltaire.fr/reponse-nouveau-gouvernement-italien-a-bruno-maire-italiens-dabord/

  • Italie : M5S-Ligue prévoit un budget important pour l’expulsion de migrants

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    Italie : M5S-Ligue prévoit un budget important pour l’expulsion de migrants >> https://bit.ly/2IZD5Ug 

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