Nous pourrions ironiser une fois de plus sur la mise en place d’une « brigade anti-incivilités » par la municipalité socialiste depuis le début de cette année 2024 si la situation n’était pas aussi grave à Rennes.
N’étant pas seulement devenu le théâtre des multiples règlements de compte entre gangs de criminels pour le contrôle du trafic de stupéfiants, la capitale de l’Ille-et-Vilaine voit régulièrement des agressions se dérouler dans ses rues.
Curieux hasard, c’est à Maurepas, l’un des quartiers « sensibles » de Rennes déjà célèbre pour ses fusillades que la dernière affaire en date a débuté.