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insécurité - Page 1006

  • Les tribunaux islamiques des rebelles syriens

    Une émission diffusée le 1er septembre :

    "D'interminables interrogatoires, de la torture, des simulacres d'exécution, des maris adultères détenus et jugés aux côtés de voleurs et de prisonniers de guerre au nom de la Charia. C'est le quotidien des tribunaux islamiques d'Alep, la deuxième ville de Syrie, contrôlée aux deux tiers par la rébellion anti Bachar El-Assad. Les islamistes de Jabhat Al-Nosra promettent de mettre fin au chaos de la guerre civile et de rétablir l'ordre et la sécurité. Pour la première fois, ces djihadistes affiliés à Al-Qaïda ont accepté une caméra dans leurs tribunaux."

    Ce sont ces gens que Hollande veut aider.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La sécurité des canailles n’est plus assurée en France

    La sécurité des canailles n’est plus assurée en France
    On ne s’en lasse pas de cette histoire…

    C’est celle d’un jeune Syrien, de 18 ans, prodige de football recruté par l’Olympique de Marseille dans le plus grand secret. Lors de son premier match, son club est mené 3 à 0. Il entre alors sur le stade à vingt minutes de la fin et avant que ne résonne le fatidique coup de sifflet de fin de match, marque 4 buts coup sur coup ! Après avoir été ovationné par un stade en liesse, il peut enfin téléphoner à sa mère pour lui raconter son exploit et celle-ci le félicite d’une voix un peu lasse… Un peu refroidi et avant de raccrocher, il lui demande comment sa journée à elle s’est passée…

    — Rien de spécial aujourd’hui, mon fils… On a volé la voiture de ton père, il a du rentrer par le bus ; moi, on m’a bousculé à la sortie de la boulangerie pour me voler mon porte-monnaie, j’ai un peu mal à l’épaule… et ta sœur a été violée dans l’après-midi, elle n’ira pas à l’école demain…

    — Ah ! Je suis désolé, maman.

    — Désolé ! rugit-elle. Mais c’est quand même à cause de toi qu’on a dû quitter Damas pour venir habiter Marseille… Tu peux l’être, désolé, c’est trop tard maintenant !

    Une histoire qui fait un tabac sur la Cannebière en cette fin d’été… Un peu aussi à Colombes, dans les Hauts-de-Seine, quoique forcément, ça « le fait moins », vu que le club de foot local, évidemment, n’a pas la même notoriété !

    Toute cette violence quotidienne, tous ces cadavres qu’on ramasse à la pelle alors qu’on n’est même pas encore en automne, ont tout de même permis une belle unanimité de la classe politique. Il paraît que « ça suffit ! »

    Quoi ? La violence quotidienne, ordinaire, banale – vol de voiture, de porte-monnaie et viol de gamine ? – que les medias rapportent plus ou moins systématiquement, à tel point que l’Opinion publique n’y prête plus grande attention, forcément ! C’est tellement répétitif… D’ailleurs, à notre époque où l’on zappe d’une chaîne de télé à l’autre (et on a le choix !), on finit facilement par confondre JT et séries policières… Ils ont cela en commun que même si on rate un épisode, on peut quand même suivre…

    Ou alors, que les voyous s’entretuent les uns les autres ? Alors là, on se demande bien pourquoi ! Et qu’on ne nous parle pas d’éventuelles victimes innocentes quand il s’agit de professionnels de la gâchette… Ils ciblent leur proie et l’exécutent proprement. Sans bavure.

    Jeudi dernier, par exemple… Adrien, le fils de José Anigo, directeur sportif, ex-joueur et entraîneur de l’Olympique de Marseille, s’est fait trouer « à la gorge et à la tête » par deux motards. Ce fut net, sans dommages collatéraux. Un peu comme la guillotine d’antan.

    Évidemment, cet Adrien-là est désormais une victime. De ce règlement de comptes ? Pas seulement : d’abord de sa remise en liberté en 2010 suite à une erreur de procédure ; comme on l’a rappelé, outre son très lourd passé judiciaire, il devait comparaître sous peu aux Assises, pour une série de braquages en 2006 et 2007… Un brave gars, quoi !

    Quel pays, vraiment où la sécurité des canailles n’est plus assurée en dehors des prisons qui sont, comme Dame Taubira ne cesse de le marteler, tellement surchargées !

    Alors, faut-il que cela cesse, finalement ? Et si on se hâtait lentement…

  • La stratégie du chaos

    De Jean-Yves Le Gallou :

    "Chaos en Afghanistan, chaos en Palestine, chaos en Égypte, chaos au Liban, chaos en Irak, chaos en Syrie. Ce n’est évidemment ni le fruit du hasard, ni de quelconques maladresses mais d’une volonté machiavélique : « Diviser pour régner. » C’est une catastrophe humanitaire avec des centaines de milliers de morts et des millions de personnes déplacées. C’est aussi une catastrophe politique.

    La politique traditionnelle de la France, monarchique comme républicaine, aux échelles du Levant était la protection des minorités chrétiennes. Nous nous acharnons à détruire les régimes qui les protégeaient en Irak, en Syrie, en attendant les répercussions au Liban.

    Nous avons le plus grand mal à contenir l’immigration et le flux de réfugiés à nos frontières et nous conduisons des politiques qui multiplient leur nombre en provoquant le déplacement des populations.

    Nous avions des intérêts pétroliers et économiques en Iran (qui était le premier acheteur de voitures Peugeot), nous les avons sacrifiés car, dans la guerre ethnico-religieuse entre les chiites et les sunnites, nous avons choisi, sans raison valable, les sunnites. Et la guerre contre la Syrie apparaît de plus en plus comme un simple préalable à une agression contre l’Iran. Dans la logique de Kerry et Netanyahou, la Syrie n’est qu’un simple domino à faire tomber avant de s’attaquer au gros morceau perse.

    Nous nous alignons ainsi sur la position d’Israël mais aussi de l’Arabie saoudite et du Qatar, ces monarchies obscurantistes qui financent avec l’argent du pétrole des mosquées et des prédicateurs fondamentalistes en France.

    Nous prétendons combattre le terrorisme islamiste mais nous soutenons les Frères musulmans et armons des séides d’Al-Qaïda. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les Chrétiens de Syrie livrés aux mains des terroristes islamistes

  • Suicide d’un enseignant : ce que les profs ne supportent plus

    Pierre Jacque était professeur d’électronique à Marseille. Il a mis fin à ses jours la veille de la rentrée scolaire, « parce que le métier tel qu’il est devenu […] ne m’est plus acceptable en conscience », comme il l’a écrit.

    Il s’inscrit dans la liste, qui s’allonge, des enseignants qui, explicitement, se suicident parce qu’ils ne supportent plus la dégradation continuelle de leur métier, la trahison de la mission d’enseignement que leur imposent les gouvernements successifs depuis près de quarante ans. Combien le font en silence, combien de suicides mis sur le compte de la « dépression », des « problèmes personnels », qui sont aussi la conséquence de la décadence de notre enseignement ?

    C’est qu’un professeur aime sa discipline, c’est pour cela qu’il l’a étudiée. Il aime transmettre sa passion pour le savoir. Il sait bien que beaucoup d’élèves ne peuvent voir la beauté de ce savoir ; c’est son métier de tenter de les « élever » vers cette beauté et s’il peut souffrir parfois du désintérêt de ses élèves, il ne peut le leur reprocher. Il sait aussi que la société n’est pas en phase avec cet idéal de culture. Mais c’est précisément sa mission, de donner aux jeunes les armes pour résister aux facilités du panem et circenses.

    Ce que de plus en plus de professeurs ne supportent pas, en revanche, ce sont les réformes absurdes, l’obligation qui leur est faite de trahir leur mission en les assignant à des activités récréatives, cédant à l’esprit du temps plutôt qu’à celui des muses, la dévaluation continuelle des diplômes et donc de leur travail, l’infantilisation que leur fait subir la hiérarchie. Quelques-uns tentent de résister au détriment de leur carrière, d’autres souffrent en silence, certains se suicident.

    Il serait temps que le ministère apporte d’autres réponses qu’une cellule d’aide psychologique. Il serait temps que les syndicats majoritaires sortent de leurs discours stéréotypés. Il serait temps que la société cesse de mépriser les enseignants. Si le suicide de Pierre Jacque permettait ces prises de conscience, il ne serait pas complètement inutile.

    Pierre Van Ommeslaeghe dans Boulevard Voltaire

    http://fr.altermedia.info/societe/suicide-dun-enseignant-ce-que-les-profs-ne-supportent-plus_50810.html

  • 9 septembre : manifestation contre la guerre en Syrie

    Cette manifestation est organisée par le Collectif Non à la Guerre en Syrie. Elle est distincte et complémentaire de la manifestation du 7 septembre, et certains soutiens participeront aux deux manifestations afin de ne pas lâcher le gouvernement sur ce sujet.

    Avec le soutien de Roland Dumas, Robert Menard, Nicolas Dupont Aignan, Paul-Marie Couteaux, Daniel Hamiche, Béatrice Bourges, Dominique Jamet, Frédéric Pichon, Catherine Rouvier, Le Rouge et le Noir, Nouvel Arbitre, Jacques de Guillebon, Aymeric Chauprade, Marion Maréchal Le Pen.

    Collectif soutenu par : Le Rouge et le Noir, Nouvel Arbitre, Aymeric Chauprade, Jacques de Guillebon, Paul Marie Couteaux, M° Frédéric Pichon, Béatrice Bourges, Daniel Hamiche, Dominique Jamet, Le Salon Beige.

    9Parce que le prétexte avancé de l’utilisation des armes chimiques par le gouvernement syrien n’est pas encore prouvé Autour de cette guerre règne une désinformation constante, de la part d’acteurs (gouvernement américain, islamistes radicaux, Arabie Saoudite, Qatar et même France) dont on ne peut pas dire que la sincérité et la transparence soient la règle. Au contraire, plusieurs falsifications d’ampleur, dont au moins une a conduit à la guerre d’Irak, ont jalonné l’histoire américaine et française. Autant de forgeries révélées sur le tard, une fois le mal fait. Les déclarations des rebelles sont évidemment sujettes à caution, les révélations des gouvernements américains et français sont forcément suspectes, et il est nécessaire d’attendre les conclusions des enquêteurs indépendants (qui d’ailleurs faisaient déjà état de rumeurs sur l’utilisation de gaz par la rébellion dès mai 2013).

    Parce qu’il est hypocrite de prétendre qu’assassiner des civils avec du gaz serait plus condamnable qu’une autre forme d’assassinat Pourquoi mourir gazé serait-il plus effroyable que de mourir fusillé, égorgé, tailladé, brûlé ? En quoi cette dimension technique serait-elle suffisante pour franchir un seuil d’horreur ? Tout massacre est en soi horrible, et c’est mettre une indécente délicatesse de le juger supportable quand il est commis au fusil ou à l’arme blanche, et insupportable avec un autre agent. La France, l’Europe, les Nations Unies et l’Amérique ont laissé l’Algérie plonger dans une guerre civile atroce, ont laissé et laissent plusieurs pays africains être ravagés par des meurtres de masse. Ces dizaines de milliers de victimes n’ont pas eu droit à notre secours parce qu’on les massacrait de façon convenable ?

    Parce qu’on ne peut déclarer une guerre pour des motifs moraux qu’à condition d’être toujours moral Pourquoi la France serait-elle le juste bourreau de la Syrie ? Quelle est sa légitimité ? S’est-elle dressée à chaque injustice récemment commise par les gouvernements chinois, massacrant les Tibétains, russe, massacrant les Tchetchènes ? Hormis protester, juger et donner des leçons, quel a été son engagement constant sur le terrain, indépendamment de ses intérêts, qui justifierait qu’elle puisse aujourd’hui assumer ce rôle de fléau moral de la Syrie ? A ce compte, d’autres guerres sont à déclarer immédiatement, par le monde, y compris en Afrique, où nous avons prouvé notre capacité à agir. Aucune guerre d’ingérence des XXe et XXIe siècle n’a été une guerre juste, quelque pays qui l’ait menée, car les motifs affichés ont toujours recouverts des intérêts de puissance, une volonté hégémonique et le plus souvent des désirs commerciaux – de soutien de l’industrie nationale ou de conquête de marchés extérieurs. Les « dommages collatéraux » des « frappes chirurgicales » des USA ont faits des milliers de victimes civiles : était-ce moral ? Les USA tuent à distance avec leurs drones, dans des pays où ils ne sont pas autorisé à pénétrer : est-ce moral ? Avec la guerre en Syrie, on rétablit le droit du plus fort… Est-ce moral ?

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  • Attaque chimique en Syrie : des rebelles de la Ghouta avouent l’avoir causée

    Des miliciens syriens dans la banlieue est de Damas dans la Ghouta orientale ont admis qu'ils étaient responsables de l'incident d'armes chimiques de la semaine dernière, imputé par les puissances occidentales aux forces de Bachar Al-Assad.

    Ces aveux ont été faits pour la correspondante de l’agence américaine Associated Press au Moyen Orient, Dale Gavlak, dont la crédibilité est impressionnante. Elle a aussi travaillé pour National Public Radio (NPR) et écrit des articles pour la BBC News.

    Elle assure que des miliciens syriens lui ont rapporté que l’accident a été causé en raison d’une mauvaise manipulation des armes chimiques qui leur avaient été fournies par l'Arabie saoudite. "Dans de nombreux entretiens avec des médecins, des résidents de la Ghouta, des combattants rebelles et leurs familles,... beaucoup affirment que certains rebelles ont reçu des armes chimiques par l'intermédiaire du chef du renseignement saoudien, le prince Bandar bin Sultan, et sont responsables de la perpétration de l'attentat au gaz (mortel)," ajoute Gavlak.

    Les rebelles dévoilent aussi pour Gavlak qu'ils n'ont pas été correctement formés sur la façon de manipuler les armes chimiques ou même informés de ce qu'ils étaient. Il semble que les armes étaient initialement censées être données au front al-Nosra, une émanation d’al-Qaïda.

    «Nous étions très curieux au sujet de ces armes. Malheureusement, certains des combattants les ont manipulées de façon inappropriée déclenchant les explosions », assure un chef de milice nommé J., sous le couvert de l’anonymat. Il rapporte aussi que « les miliciens du front al-Nosra ne coopèrent pas avec les autres rebelles, sauf dans les combats sur le terrain. Ils ne partagent pas les informations secrètes. Ils ont simplement utilisé des rebelles ordinaires pour transporter et utiliser ce matériel ».

    Ces conclusions sont reprises par un autre combattant nommé «K», qui dit Gavlak : «Ils ne nous ont pas dit comment manier ces armes ou comment les utiliser. Nous ne savions pas que c’étaient des armes chimiques. Nous n'avions jamais imaginé qu'ils s’agissait d’armes chimiques ».

    Abou Abdel-Moneim, le père d'un rebelle de l'opposition, a également dit à Gavlak : «Mon fils est venu me voir il y a deux semaines, demandant ce que je pensais des armes qu'il avait été invité à réaliser», les décrivant comme ayant une structure en forme de tube, tandis que d'autres se présentaient sous forme d’énormes bouteilles de gaz.

    Révélant que le milicien saoudien qui a fourni les armes est connu sous le sobriquet Abou Ayesha, Abdel- Moneim assure aussi que les armes ont explosé à l'intérieur d'un tunnel, tuant 12 rebelles dont son fils.

    Dans son article, Gavlak assure aussi que plus d'une douzaine de rebelles interrogés ont indiqué que leurs salaires proviennent du gouvernement saoudien.

    Le site sur lequel l’histoire est apparue à l’origine est Mint Press , une organisation médiatique légitime fondée dans le Minnesota. Il est signalé sur ce site que l’article a été rédigé avec la collaboration de Yahya Ababneh, un freelancer journaliste jordanien qui écrit pour Amman net, Saraya news, Gerasa News et autre.

    Le site rappelle que le rôle présumé de l'Arabie saoudite dans la fourniture d’armes chimiques aux rebelles n'a rien d’une surprise, étant donné les révélations faites plus tôt cette semaine que les Saoudiens ont menacé la Russie d’attaques terroristes aux Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi l'an prochain, à moins qu'ils abandonnent soutien le président syrien . " Je peux vous donner une garantie pour protéger les Jeux olympiques d'hiver de l'année prochaine. Les groupes tchétchènes qui menacent la sécurité des jeux sont contrôlés par nous, " aurait dit le prince Bandar au président russe Vladimir Poutine, rapporte The Telegraph.

    Quant au site Infowar qui a repris l’article, il a indiqué que l’agence Associated Press l’a contacté pour confirmer que Dave Gavlak est correspondante chez elle mais que son histoire n'a pas été publié sous sa bannière.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2013/09/attaque-chimique-en-syrie-des-rebelles.html

  • Colombes : un banditisme « made in » Marseille

    Soixante-dix policiers ont été déployés en renfort dans la nuit de mardi à mercredi à Colombes (Hauts-de-Seine). La ville a été le théâtre de deux fusillades entre bandes rivales en moins de 24 heures. Mardi, vers 19 heures, un groupe de délinquants a tiré sur le conducteur d’un véhicule. Il a pris la fuite et n’a pas été retrouvé par la police. Une source policière évoque « une recrudescence des règlements de compte entre bandes rivales ». La veille, déjà, un homme d’une trentaine d’années avait été blessé par balles dans le quartier multiculturel de Petit-Colombes, gangréné par les trafics de stupéfiants depuis de nombreuses années.

     

    « Toutes proportions gardées, nous connaissons dans certains quartiers une situation comparable à [celle de] Marseille », a déclaré Philippe Sarre, le maire socialiste de Colombes. « Si la violence est moins élevée, la logique maffieuse de conquête de territoire et de maîtrise des marchés parallèles est à l’œuvre », a estimé l’édile francilien. Tombé entre les mains de la pègre maghrébine, le nouveau banditisme ne frappe pas qu’à Marseille, mais s’étend à l’ensemble du territoire national. L’un des nombreux méfaits de l’immigration de masse.

    http://fr.novopress.info/141144/colombes-un-banditisme-made-in-marseille/#more-141144

  • Vladimir Poutine s'exprime sur les menaces d'intervention militaire en Syrie