
Dès fin juin, l’été fut chaud. La mort de Nahel a entrainé les émeutes dont le monde entier a parlé. Elles furent sources de catastrophes pour bon nombre de commerçants et d’entrepreneurs. Depuis, l’été poursuit sa course avec chaque jour son crime, son viol, ses actes de barbarie insoutenables. Il nous faut tenter de réfléchir aux traitements médiatiques de ces horreurs et à leurs incidences psychologiques.