
Pour décrire ce qui se passe dans Paris, notre belle capitale défigurée depuis plus de vingt ans par la chienlit socialo-bobo-écolo, on pourrait paraphraser la chanson Les Loups de Reggiani, un chanteur que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître :
« Les hommes avaient perdu le goût/ De vivre, et se foutaient de tout/ Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas/ Pour eux c’était qu’du cinéma/ Le ciel redevenait sauvage/ Le béton bouffait l’paysage, alors…/ Alors…/ Les camés, eh-eh, eh-eheh/ Les camés sont entrés dans Paris…/ Pas par Issy, pas par Ivry… »