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Qu’est-ce que la cybercriminalité, qui touche les particuliers mais également les entreprises et les administrations ? Qui est derrière ce phénomène de piratage informatique et comment peut-on essayer de le contrer ?
Explications de Xavier Raufer au micro de Boulevard Voltaire.
Des villes, des collectivités et des hôpitaux sont parasités par des attaques informatiques. Ce phénomène s’est multiplié pendant l’épidémie de Covid-19. On pense, notamment, à la ville de Marseille qui a été handicapée pendant plus d’une semaine. D’où viennent ces attaques informatiques ?
Laurent Nunez sur France Inter : « Évidemment que nous expulsons les individus radicalisés en situation irrégulière ! 575 ont été expulsés depuis 2017. Mais ne tombons pas dans le piège de Marine Le Pen : sur les six dernières années, 80 % des terroristes sont Français. »
Une chose est sûre : il y a un lien entre l’insécurité et l’aveuglement. Les premiers responsables du Grand Effondrement sont les dirigeants français qui pratiquent, depuis plus de trente ans, la politique de l’autruche à propos de l’immigration de masse. Cette commode cécité est partagée par la bien-pensance, qui s’affole aujourd’hui que des islamistes tuent régulièrement au nom d’Allah. Mais qui, sinon ces belles âmes moutonnières, ont répété que l’immigration était « une chance pour la France », que l’islam était « une religion de paix et de tolérance » et que la nation devait s’ouvrir à la diversité ? Dimanche, place du Trocadéro à Paris, une foule inquiète a manifesté sa colère après la décision de la cour de Cassation d’exonérer de sa responsabilité pénale Kobili Traoré, l’assassin de Sarah Halimi, défenestrée au cri d’Allah Akbar parce qu’elle était juive.
Le nouvel attentat islamique qui a endeuillé la France, vendredi dernier, n’est que le dernier d’une longue série qui, malheureusement, n’est pas près de s’achever. Mais comment son caractère insupportable en soi — le lâche assassinat d’une fonctionnaire de police au sein du commissariat de Rambouillet — ne serait-il pas redoublé par le caractère, tout aussi insupportable, même s’il est d’un autre ordre, des propos de Castex qui n’a su, à la sortie du commissariat, que débiter sur un ton mécanique :
L’auteur de l’attaque de Rambouillet était un Tunisien entré en France en situation irrégulière avant d’être régularisé en 2019. Un schéma qui peut interpeller des Français en quête de fermeté.
L’attaque de Rambouillet oblige une nouvelle fois la majorité présidentielle à répondre aux charges de LR et du RN, qui accusent l’exécutif de faiblesse sur le régalien. «Il faut cesser de nier le lien entre terrorisme et l’immigration récente», a déclaré Valérie Pécresse, la présidente (Libres!) de la région Île-de-France, dimanche lors du «Grand Rendez-vous Europe 1-CNews- Les Échos». Une phrase qui hérisse les Marcheurs, qui fustigent en chœur l’analyse de l’ex-ministre. «Elle a franchi le Rubicon. Il y a une volonté d’amalgame», charge le député LREM Pierre Person, qui craint une «fuite en avant du débat public» à la faveur de ce énième attentat.
«Une partie de la droite montre qu’elle est désormais fongible dans le RN à force de sortir les mêmes éléments de langage», charge le député Jean-Michel Mis. Pour la députée MoDem Isabelle Florennes «une instrumentalisation est menée par des participants à une campagne électorale». «Je comprends l’émotion, mais ce discours simpliste et la recherche d’un coupable est dangereuse», s’inquiète la députée LREM Alice Thourot.
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Dès dimanche, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a attaqué dans Le Parisien les ténors de LR et du RN, comparés à des «vautours». «Il faut construire une réponse dépassionnée» sans «nier l’inquiétude de nos concitoyens», avance Jean-Michel Mis. Un équilibre difficile à un an d’une élection présidentielle où le RN apparaît en dynamique dans les sondages.
Au programme ce soir, retour sur la colère contre la Justice dans l’Affaire Sarah Halimi. Dans toute la France, de nombreux rassemblements ont eu lieu pour protester contre la décision de ne pas reconnaître Kobili Traoré, l’assassin de la vieille dame, responsable de ses actes. En effet, les juges ont considéré qu’il avait agi dans une bouffée délirante…
Également dans cette édition, le point sur le Covid-19. Alors que les plus jeunes enfants ont pu reprendre le chemin de l’école avec un nouveau totem : les autotests, les Français attendent patiemment une libération… Un déconfinement qui se profile dans une valse de chiffres de plus en plus instrumentalisés.
Enfin, nous reviendrons sur l’attaque terroriste de Rambouillet. 72 heures après le passage à l’acte de Jamel Gorchene, son profil met une nouvelle fois en lumière les nombreuses défaillances de l’Etat français.
https://www.tvlibertes.com/affaire-halimi-que-fait-la-justice-jt-du-lundi-26-avril-2021
Selon les données publiées par le Ministère de la Justice danois, les étrangers sont fortement surreprésentés parmi les personnes condamnées pour viol puisqu’ils comptaient pour 25 % du total environ l’année dernière. Le nombre d’accusations de viols et de condamnations pour viol a explosé au cours des 8 dernières années, passant de 417 plaintes et 132 condamnations en 2012 à 987 plaintes et 217 condamnations en 2020. 53 personnes sur 217 condamnées pour viols en 2020 n’avaient pas la nationalité danoise.
Coup sur coup deux décisions de justice ont renforcé, dans une partie de l'opinion, le sentiment d'une clémence de la magistrature française envers les voyous et les criminels.
Le 14 avril, en effet, la Cour de cassation confirmait une décision d’irresponsabilité pénale concernant le meurtrier de Sarah Halimi. Cette innocente retraitée avait été torturée et défenestrée en 2017 par un drogué dont la bouffée délirante s'était investie sur l'appartenance juive de la victime.